Histoire Erotique

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Vidéochat et plus si affinité

Une histoire presque vraie ; j'ai (malheureusement ?) dû refuser pour raisons conjugales la proposition d'une fille chaude rencontrée un soir de chance sur Omegle de venir la prendre un soir à domicile pour la venger d'un mec infidèle. Voilà ce qui aurait pu se passer avec un peu de romanesque :3

Proposée le 5/09/2019 par Bob

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Thème: Vengeance
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Cela faisait bien trois semaines que j'étais accro.
J'avais découvert Omegle en cherchant à tuer l'ennui, durant mes premières semaines de vacances d'été. Le chat vidéo anonyme et aléatoire avec des étrangers du monde entier avait un certain charme de l'inconnu et de l'éphémère. J'y allais initialement exempt de toutes pensées, cherchant simplement à rencontrer des gens sympas et à échanger innocemment... mais j'avais vite été confronté à la véritable nature du site... enfin plutôt à la légion de bites en érection qui défilaient sur mon écran. Les gens étaient là pour du cul... j'aurais du m'en douter. Je trouvais ça exaspérant au début, puis, sans doute pris par l'ennui et la canicule écrasante qui me rendait fiévreux, je me pris au jeu aussi.

Je commençais d'abord par le chat écrit. Plus pudique, moins de queues pixelisées vous sautant à la gueule, et surtout plus de filles à la recherche d'un peu de fun. Plutôt doué avec les mots, je n'eus pas trop de mal à en convaincre de me choisir parmi la flopée de mecs en chien qui traînaient sur le site pour se faire un peu de bien à deux en échangeant des messages chauds. J'avais parfois à mentir un peu sur mon âge, poussant mes 18 ans vers les 20 pour avoir l'air plus convainquant... mais je dois dire sans me vanter que je n'ai pas déçu ces dames (je me souviens encore de cette anglaise que j'ai faite jouir 4 fois en deux heures en lui décrivant ce que je lui ferais... un très bon souvenir).
Enfin, toujours était-il que le chat écrit cessa bien vite de me satisfaire : je voulais un corps en face de moi en plus des mots, sans compter que j'avais commencé à aimer me dévoiler. Je m'étais donc lancé dans l'océan de caméras masturbatoires, en espérant avoir la chance de tomber sur une fille sympa qui me préférerait à un autre phallus.

C'est ce qui m'arriva ce soir là, où mes parents m'avaient laissé à l'appart pour le week end entier et où je me préparais une nuit de branlette torride... et l'on peut dire que j'ai eu une chance de cocu.

Il faut dire que je soignais mon approche en gentleman : malgré la canicule, je portais un t-shirt et un boxer devant ma webcam (j'avais constaté que voir un torse nu tendait à être trop agressif parfois pour des filles qui skippaient à la pelle des mecs à poil en train de s'astiquer).
J'entrai en contact avec un autre utilisateur... qui ne me skippa pas au bout de dix secondes.
Je tressaillis en voyant qu'il s'agissait d'une fille en face : les accros d'Omegle savent que ça revient à pécher un saumon de Norvège dans une marre.
Et pas n'importe quel saumon : du saumon dans un débardeur gris moulant son bon 95D et sa taille plutôt fine, révélant le bas de son nombril. Assise en tailleur son ordi sur ses jambes dont on apercevait légèrement les rondeurs des cuisses. Sa tête était hors du cadre, évidemment.

Stranger : « Hey »

Je lâchai mon téléphone pour répondre un « hey » sur mon clavier. Le haut de la page de chat indiquait que l'on parlait le même langage : elle était française.

Stranger : « Quel âge ? »
Moi, décidant de ne pas mentir : « 18, toi ? »
Stranger : 27. T'es d'où ?
Ouf, déjà le 18 ne l'avait pas rebutée une seconde.
Moi : Paris. 14e
Stranger : Moi aussi, 15e
Moi : oh cool !

Un petit blanc fébrile resta quelques secondes. La question était toujours de savoir ce que l'autre cherchait, ouvertement ou derrière des mots (sachez que les filles qui « s'ennuient » ont généralement une idée de la manière dont s'occuper...). À traîner sur Omegle vers 22h dans un débardeur mettant autant en valeur sa poitrine, on pouvait être optimiste, mais il ne fallait jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Elle lance le fatidique :

Stranger : Tu cherches quoi ?:p
Moi, tentant d'être tactique : Plutôt du hot, je vais pas te mentir, même si je suis jamais contre un peu de conversation
Ce genre de phrase, c'est la roulette russe.

Stranger : Du hot ça m'intéresse :p

YES ! La machine était lancée : à partir de là, tout se faisait très vite. Avachi en travers de ma webcam, je me redressais un peu pour prendre une pose un poil plus sexy (je savais pertinemment qu'elle exposait mes abdos sous un angle séduisant).

Stranger : « Tu me fais voir vite fait comment t'es foutu ? :p
Moi : en haut ou en bas ?;p
J'étais habituellement pas fan des smileys, mais comme elle avait l'air d'apprécier, autant la suivre sur ce ton
Stranger : en haut pour commencer : mon copain est encore à l'appart

Je frémis. Un copain ? Mmmm ça m'excitait encore un peu plus, ça. Je ne savais pas comment les événements pouvaient virer, elle pouvait devoir me quitter d'une seconde à l'autre pour peu que son mec s'approche trop, mais le goût d'interdit et de secret me foutait déjà un début de trique.
Je soulevai mon T-Shirt pour dévoiler mon six pack ciselé. Je n'étais pas du genre très musclé, mais j'étais un grand brun assez svelte, et ma finesse faisait facilement ressortir mes abdos, qui avaient toujours leur petit effet.
Je les caressai nonchalamment d'un doigt en attendant sa réponse.

Stranger : mmmm miam, ça fait envie...
Moi : t'aimes ?
Stranger : beaucoup ! T'es gaulé comment en bas, pour savoir ?;p
Moi, décidant de rester sur de l'honnêteté. Ma taille n'avait jamais déçu, pas besoin de gratter des centimètres : 17 cm à peu près. Peut être un peu moins.
Stranger : Mmmm ce que j'aime
Moi, joueur : Il a quoi ton mec ?
Stranger : Pareil, peut être un peu moins...
Stranger : T'es rasé ou pas ?:p
Moi : Rasé, je préfère. Je trouve ça plus confortable. Et toi ?
Stranger : Mais dis donc t'es parfait toi XD bien foutu, bien membré, bien rasé...
Stranger : oui je suis épilée
Moi : Je t'excite un peu ?:3
Stranger : Mmmm oui pas mal, avec tes beaux abdos et ton 17cm...
Stranger : Et moi, je te plais ?;p
Elle rehaussa un peu son débardeur, faisant rebondir ses seins rebondis. Mpppfff...
Moi : Oh oui beaucoup...
Stranger : je le fais grossir, ton 17 ?

Je fis pivoter mon ordi pour montrer mon boxer, en travers duquel se trouvait déjà un énorme barreau

Stranger : Waouh ouais t'as pas menti... t'es déjà bien chaud bb ;p
Moi : c'est la canicule, ça monte vite, surtout devant une aussi belle paire de seins:p
Stranger : Merciii
Elle se caressa distraitement la poitrine, aguicheuse. Je relançais le jeu, plus pratique :

Moi : Du coup c'est quoi le plan, avec ton copain à côté ??
Elle sembla réfléchir un instant, commença à taper quelque chose, puis sembla brusquement changer d'onglet. Sa webcam toujours active, je la vis qui se penchait sur le côté comme pour répondre à un truc, puis elle me reprit

Stranger : Mon mec va à une soirée avec ses potes ce soir, il rentrera pas avant trois heures du matin. Il prend une douche rapide là puis il part »
Moi, me réjouissant déjà des heures de sexcam : oh cooool ! Ça nous laisse pas mal de temps :3
Stranger : En fait je me demandais si tu serais dispo pour venir chez moi pour qu'on baise

Ce fut comme si je venais de foutre mes doigts dans du triphasé. QUOI ?! C'était pas possible, je rêvais.

Stranger : C'est pas loin, je suis à la station Hotel de Ville. Tu peux venir tu penses ?
Moi, complètement abasourdi : Beeen oui bien sûr sur le principe je suis super chaud mais... tu veux vraiment tromper ton mec avec un inconnu comme ça ? Enfin entre traîner sur omegle pour de la sexcam et baiser, c'est pas pareil...
Stranger : Franchement j'en ai rien à foutre, je sais qu'il m'a trompée. Il a baisé une de ses collègues, et ma pote Mélanie. Je me suis tapé son pote Medhi pour me venger mais j'ai envie de plus, et ce soir j'ai une terrible envie de me faire sauter par un étudiant de 18 ans bien membré alors qu'il se bourre la gueule ;p

Je reculai un peu, perplexe. Ça semblait trop beau pour être vrai : j'emballais une fille sur omegle sans problème, et elle voulait que je vienne la baiser chez elle dans l'heure pendant que son mec infidèle était absent ?
Au milieu de la fièvre incrédule qui commençait à monter, une pensée lucide me traversa l'esprit : et si c'était un piège ? Genre une esclave de la mafia russe attirant les petits jeunes chez elle où Sergueil et Smirnov leur brisaient les genoux pour revendre leurs organes au marché noir ?
Mais je réprimai ma paranoïa et repassai l'ensemble de la conversation dans ma tête : non, tout concordait et semblait naturel, le ton, les smileys, les réactions, le copain...

Stranger : Alors ??

J'étais seul pour le week end. Je n'avais pas baisé depuis bien un mois. Elle était foutrement bandante et visiblement désireuse. C'était le plan parfait.

Moi : Ok, tu veux que j'arrive dans cbn de temps ?
Stranger : d'ici 20 minutes c'est possible ? Mon copain sort de la douche il est parti dans 5 minutes max.
Moi : Ok, donne l'adresse
Stranger : 26 rue de la Branche. Interphone Ladier, 3e étage gauche. J'ai des capotes t'inquiète pas.
Je la vis baisser un peu fébrilement son écran en se penchant en avant, visiblement pour embrasser son mec avant qu'il ne parte, puis redresser sa webcam.

Stranger : ok il vient de partir, c'est bon !! C'est quoi ton nom ?
Moi, après un instant d'hésitation à donner un faux nom, avant de me dire que ça ne changerait rien à mes genoux cassés par sergueil et Smirnov si c'était bel et bien un piège : Matthias.
Stranger : Ok, moi c'est Sonia. À tout de suite ;p

Et elle quitta le chat.
Je restais hébété un instant, avant de me ruer sur mon téléphone pour prendre en photo toutes les informations et d'enfiler un jean et des baskets en vitesse.
Je claquai la porte de mon appart vide, et courus vers le métro, avant de me calmer. Il n'était pas très sexy d'arriver en sueur à un plan cul improvisé, sans compter qu'on ne savait jamais : il serait idiot de croiser son mec en arrivant trop tôt au bas de son immeuble.

Le trajet en métro fut court, alors que je fantasmais déjà sur tout ce que j'allais faire, le cœur battant. Je bandais dans mon jean, et ça devait bien se voir. Je n'avais pas baisé depuis un bail, j'avais des envies de bête.
Dans les 20 minutes convenues j'étais devant chez elle. L'interphone sonna.
« Oui ? »
« Ouais, c'est Matthias »
La porte s'ouvrit. Je gravis 3 étages à grands pas, puis arrivai devant sa porte. Elle ouvrit d'elle même.
« Saluuut ! » s'exclama-t-elle avec un sourire un poil crispé. Forcément, entre la distance d'omegle et la brusque confrontation face à face, il y avait un peu de gêne.

C'était une jolie blonde aux cheveux ondulés, terminés par de petites mèches brunes, qui encadraient un visage plutôt mignon, avec des yeux chocolat. Elle était bien plus petite que moi, environ 1m60 contre mon mètre 80. Quelques minuscules rondeurs pas désagréables aux hanches qui donnaient à sa silhouette une allure plus galbée, mais une taille plutôt svelte, de belles cuisses rondes mais toniques, un joli bassin et un ventre bien sculpté, et surtout cette splendide paire de seins prisonnière d'une dentelle sexy qu'on voyait sous la nuisette transparente qu'elle avait enfilé entre temps. Mmmm elle me recevait bien... une fille mignonne, foutrement bien foutue, et qui prenait soin de son corps à la salle visiblement. Soit son mec était un abruti fini, soit les deux meufs qu'il s'était tapées étaient de véritables bombes.

« S...Salut ! » répondis-je avec autant d'aplomb que possible. Elle me fit entrer, me montra où accrocher mon manteau et me fit signe de la suivre, ce que je fis, sans me gêner pour reluquer son joli cul bombé qui se dandinait.

Elle me mena au salon, où deux bières nous attendaient, près de son ordi.
« J'ai pas vraiment trouvé mieux, alors... ça te va, une bière avant de se mettre au travail ? » me dit-elle, encore un peu gauche mais tentant sensiblement de détendre l'atmosphère. Je décidais de l'aider un peu.
« Pas de soucis : je suis un ptit étudiant de 18 ans bien membré après tout, je suis habitué à la bière en soirées ! »
Elle pouffa d'un rire assez franc : le courant passait bien.
Nous nous laissâmes tomber dans son canapé, et je saisis ma bouteille. En général, plus j'avais d'alcool dans le sang, plus longtemps je bandais. Autant tout boire très vite.
Elle lança la conversation en questionnant la fréquence de mes rapports, et nous dérivâmes assez vite sur le cul en général. Elle me questionna en rigolant (mais non sans une point de curiosité gourmande) si j'étais « réputé comme un bon coup ». Je lui racontai mes expériences : pas de copine, je préférais papillonner, me faire plaisir et faire plaisir. Quelques meufs de mon lycée sautées après des soirées, pour certaines devenues des plans culs sur quelques mois... pas mal de filles en vacances... je ne me serais pas défini comme un tombeur mais j'avais mon petit palmarès, en tant que grand brun svelte, pas trop moche et avec juste ce qu'il fallait d'assurance pour accrocher, et juste assez d'expérience pour savoir m'y prendre avec le corps d'une fille. Elle était de ses propres mots du genre à bien aimer la baise (petit faible pour la domination et être traitée comme une salope. J'avoue que j'ai bien bandé sur cette partie), avait eu une période bi mais préférait finalement les mecs, et était avec son copain depuis presque un an. « Bon baiseur, mais un peu rapide, et trop sûr de lui ». Elle avait déjà songé à le tromper, mais s'était toujours retenue... sauf depuis qu'elle avait découvert que lui ne se gênait pas.
Nous en étions à sa fameuse baise de vengeance avec Medhi le pote de son mec.
« Il en a une grande, faut lui reconnaître ça -un bon 18-19- mais qu'est-ce qu'il est mou ! »
« Ah merde il bandait pas ? »
« Haha nan nan, il était lent ! Des coups de bassin poussifs, tranquilles... je sais pas, démonte moi, merde ! »
« Vous étiez en quoi ? »
« Levrette. »
« Ah ben en plus oui, levrette il faut pilonner ! »
« Haha tu m'étonnes »
« Moi à sa place... »
Cette phrase était le déclencheur qu'on s'était tous les deux évertués à mettre en place. Elle me jeta un regard moqueur en avalant sa dernière gorgée de bière, et me décocha un : « Et qu'est-ce que t'aurais fait à sa place, hein ? »
« T'es curieuse ? »
« Mmm viens me montrer »

j'avais amorcé mon mouvement vers elle, et me retrouvais dans ses bras, la surplombant à moitié, à lui rouler une grosse pelle. Nos mains savaient où aller : les siennes me palpaient le dos et les abdos sous mon tshirt, les miennes se glissaient sous sa nuisette et empoignaient déjà ses seins en passant sous son soutif. Mmmm c'était gros, chaud et ferme... je sentais ses tétons pointer sous mes paumes.
Une de ses mains se referma sur mon entrejambe, et longea avec gourmandise le long relief qui barrait mon jean. Je l'imitais en glissant une main entre ses cuisses, touchant son con bien moulé dans le fin triangle de tissu de son string. C'était déjà mouillé : elle avait l'air bien chaude...

« Attends, on va aller dans la chambre » me dit-elle en me repoussant gentiment « On sera mieux »
Elle m'entraîna dans la pièce attenante, alluma le plafonnier, et nous titubâmes jusqu'au lit en nous choppant salement. Sa taille m'obligeait à me pencher un peu, mais c'était le gabarit idéal au lit : le genre qui peut se faire culbuter sauvagement dans tous les sens. Et c'était ce qu'on voulait tous les deux d'un commun accord très net : que je la culbute sauvagement dans tous les sens.
Sur le trajet mon tshirt vola, de même que sa nuisette. Elle me jeta sur le matelas, grimpa sur moi, descendit en criblant de baisers mon torse, avant de s'attaquer à ma ceinture, de me retirer mon jean et de baisser mon caleçon d'une main vigoureuse. Ma queue se déploya directement, déjà bien raide.
Elle me jeta un regard brillant, comme reconnaissante que je n'ai pas menti sur la marchandise, et se redressa un instant pour dégrafer son soutif. Son splendide 95D rebondit devant mes yeux, déjà tout pointu. J'avais envie de lui bouffer les seins mais je dus me retenir, la laissant se pencher sur ma bite.
Elle prit mon membre en main, le décalotta du pouce, le branla énergiquement pendant quelques secondes et l'enfourna dans sa bouche. Je lâchais un soupir : cette sensation chaude, humide... ce que c'était bon
Sonia savait sucer, aucun débat là dessus. Elle me prit tout au fond de sa gorge, en faisant beaucoup de bruit, me lécha le muscle en me branlant fort, aspira mes boules dans sa bouche... C'était incroyable.
Je passais mes mains dans ses cheveux pour enfoncer doucement sa tête sur ma queue. Putain, qu'est-ce que c'était bon, de la sentir hoqueter dessus...
Mais je me ressaisis. J'étais là pour la baiser fort et vite, pas pour me faire entretenir.
Je me redressai, la saisis à la taille pour la plaquer violemment dans le lit, et me jetai sur elle. Ça n'avait pas l'air de lui déplaire que je prenne un peu brutalement les rènes. La tête fourrée dans son cou, je lui retirai son string d'une main bourrue pour découvrir son petit con bien rasé et pulpeux déjà un peu luisant. Elle attrapa une capote sur la table de chevet, ouvrit l'enveloppe, et me l'enfila fébrilement.
« Vas y démonte moi... » souffla-t-elle d'une voix bouillonnante d'envie en passant ses bras à mon cou et en fermant ses cuisses autour de ma taille.
Demandé si gentiment...
J'empoignais ma queue, raide comme du bois, et l'enfonçai sans ménagement entre ses petites lèvres. Faute de longues préliminaires, elle était encore un peu serrée, mais mouillait bien assez pour que je me sente glisser en elle sans trop de peine.
Elle poussa un soupir de plaisir et se mordit la lèvre en me sentant arriver tout au fond, remplissant bien l'espace. Elle était étroite et brûlante autour de ma queue... bordel qu'est-ce que cette sensation m'avait manqué.
Je m’arrimais d'un bras au sommier, plantai l'autre dans l'oreiller à côté de sa tête, et m'élançai de toutes mes forces dans son corps, pilonnant à grands coups de reins. Sonia se mit aussitôt à gémir.
« Oh bordel c'est bon... hmmm t'es gros... oohh... »
Son corps ondulait sous l'arche de mon torse, faisant rouler son bassin arrondi sur ma queue, son joli ventre musclé, ses splendides seins étalés qui rebondissaient sous mes bons coups de pilon. Son joli visage se tordait de plaisir, esquissant de grands sourire ouverts de délectation, plongeant son regard noisette dans le mien avec une étincelle de luxure bandante à souhait, qui disait clairement « Dis donc, tu sais baiser mon salaud... »
C'était bon... j'allais et venais puissamment dans son con musclé qui me massait la bite ; la capote atténuait juste assez les sensations pour garder le contrôle de mon excitation. Je devais rester tactique : j'étais un coup d'un soir, mais j'avais intérêt à assurer.
On allait pouvoir passer à la vitesse supérieure.
Je m'arquai au dessus d'elle, bandant tous mes muscles, raffermis ma prise sur le sommier, et passais à la cadence supérieure. Mon gland se mit à taper tout au fond de sa chatte à toute vitesse, alors que mes boules claquaient contre son cul et que ma queue la trouait dans un grand bruit de mouille.
« Oh putain oui défonce moi.. ! » cria-t-elle d'une voix nette et sonore qui m'excita encore plus.
Je lui martelais le col de l'utérus à grand coups de pilon. Pas question de faire dans la dentelle : j'allais lui ruiner l'intérieur.
Ma queue, plus grosse qu'elle ne l'avait été depuis un moment, gonflée de veines, lui ramonait les parois à grande vitesse. Elle hoquetait sous mes coups de marteau piqueur qui la clouaient dans le lit, ses gros seins tressautant en rythme avec sa voix gémissante, ses doigts griffant les muscles de mon dos, et l'étau de ses cuisses me pressant plus toujours plus profond en elle.
« T'aimes ça, salope, hein ? » me risquais-je à lui gronder dans l'oreille, me rappelant son goût pour la domination. Elle a eu l'air d'aimer, puisqu'à ce moment précis sa chatte s'est mise à palpiter fort sous mes coups de brute et à gicler un peu, alors qu'elle se mordait la lèvre en poussant un cri étouffé, les yeux fermés. J'esquissais un sourire carnassier : elle jouissait déjà ? Hehe, c'était bon pour moi, ça, je me démerdais pas si mal.
Je ralentis lentement la cadence en me redressant au dessus d'elle, la tenant par les hanches en la soulevant un peu, puis me retirai de son con dégoulinant et la retournai sur le ventre. Je tenais les rênes.
Je laissai mon excitation redescendre un peu, et décidai de tirer un peu sur la corde de la domination. J'avais déjà essayé deux trois trucs avec un de mes plans cul qui aimait bien ça ; c'était du pile ou face, mais il fallait s'y risquer.
Je redressais avec force son corps contre le mien, plaquant son dos contre mon torse, et empoignais ses seins à pleines mains en lui mordant le cou. Elle gémit un peu Je sentais sa poitrine se gonfler vite, haletant encore des bons coups de bite que je lui avais assénés. Mmmm ce que ses obus étaient fermes, lourds, tendres, veloutés... je jouais un instant avec ses tétons tout dressés, la faisant glousser de plaisir.
« T'aimes jouer ? » sussurai-je « T'es une petite salope ? »
« mmm ouiii.. ! » jubila-t-elle, joueuse, en passant ses mains dans mes cheveux par dessus son épaule « parle moi mal vas y !! »
je fis descendre ma main entre ses cuisses, écartai d'un doigt ses petites lèvres pour masser son clito, puis rentrai soudainement deux doigts dans sa fente, les agitai, et les ressortis pour les fourrer d'un trait dans sa bouche, dégoulinants de mouille.
C'était risqué de faire ça, surtout avec une inconnue : certaines filles n'appréciaient pas du tout... mais Sonia était de celles que ça rendait folle. Après un frisson, elle poussa un gémissement de plaisir et lécha goulûment mon index et mon majeur pleins de cyprine. Une bonne grosse chienne.. j'adorais ça.
Alors qu'elle léchait son jus et que je lui malaxais les seins de mon autre main, elle empoigna en tâtonnant ma queue toujours bien droite entre ses jambes, et l'astiqua d'un bon coup de poignet. Elle en voulait encore...
« Tu la veux dans ta chatte, hein ? » sifflai-je, me prenant au jeu. Elle acquiesça, mes doigts dans sa bouche. Je la flanquais à quatre pattes sur le matelas, levais bien sa croupe au niveau de mon bassin, cambrai son dos sous ma paume en la faisant glisser sur son échine depuis ses reins, puis la saisis brusquement à la nuque et la clouai sur le lit comme un papillon sur du liège, imposant ma force, écrasant ses seins et son visage contre les draps. Son visage béat lâcha un miaulement de délectation avant de se mordre la lèvre lorsque je lui claquai violemment son cul bien rebondi dans une fessée sonore.
Aimant jouer un peu les sadiques, je fis coulisser ma queue raide entre ses cuisses, touchant son ventre de mon gland, glissant lentement sur sa vente qui nappait la capote de mouille... puis finalement fourrai ma queue dans sa chatte jusqu'à la garde, d'un coup.
Tout son corps fut projeté vers l'avant alors qu'elle lâchait un nouveau gémissement de plaisir, étouffé dans les draps. La dominant de toute ma hauteur, ma main droite lui tenant la nuque fermement, l'autre agrippant son cul, je la besognai en levrette à un rythme soutenu qui faisait claquer mon bassin contre sa croupe dans des effusions de mouille. Et la faisais crier son plaisir à gorge déployée.
« Oh putain vas y oui, baise moi, oui, oui, oh putain c'est bon, c'est bon !! ta grosse queue oui vas y putainnn.. !! HaaaAAaannnNn !! »
Je pensai un instant à son mec, probablement en train de mater des culs d'autres meufs à sa soirée, la gueule puante. À Medhi, possiblement en train de se faire une fille de cette même soirée, à coups amorphes de sa grande verge.
Puis je baissais les yeux sur le dos cambré de cette nana de 27 ans que je démontais et qui prenait son pied, ses cheveux en travers de son visage suffoquant de plaisir. Et c'était putain de satisfaisant, presque meilleur que de sentir ma queue au fond d'elle ; juste savoir qu'un petit étudiant de 18 ans bien membré avait rentabilisé sa soirée bien au delà de ses espérances, et refait celle d'une fille frustrée croisée sur omegle.
Gonflé à bloc par cette pensée, délicieusement orgueilleuse, je ramenai ma main de sa nuque à ses hanches, pour l'avoir bien en main, et la martelai de toutes mes forces. Les cris langoureux de Sonia se changèrent en hoquets étranglés, saccadés par mes coups de pilon tapant contre ses organes. Je la vis mordre l'oreiller pour étouffer ses cris et tordre les draps dans ses mains fébriles. Voir une fille réagir comme ça, ça fait toujours plaisir.
J'avais une forme de bête, ce soir. La voir dans cet état alors que je la déboîtais me galvanisais. Ma queue restait dure comme une barre de fer, refusant de cracher avant d'avoir troué ma salope.
Ses parois palpitaient le long de mon membre qui la forait comme une barre à mine, pompant ma queue comme une bouche, visiblement au bord de l'orgasme. Je glissai une main entre ses cuisses et frottai son clito gonflé, sans arrêter mes assauts au marteau-piqueur. Son corps se cabra soudainement, comme écrasé d'un coup par l'orgasme, et je sentis sa chatte jouir fort autour de ma queue alors qu'elle poussait un râle tonitruant et dérayé, étouffé par l'oreiller entre ses dents.
Je m’extrayai de sa fente dégoulinante avec un bruit de succion, et me penchais au dessus de son corps menu cambré, brisé, en sueur, et lui mordillais le cou en lui prenant la taille, puis glissant sur ses fesses pour malaxer son cul bien rebondi.
Je la vis arborer un sourire essoufflé, se redresser lascivement pour m'embrasser du coin de la bouce et me sussurer : « T'as pas joui, bébé ? »
« Nope... Encore bien dur pour te démonter un troisième round... »
« Mmmm prends moi le cul... » souffla-t-elle en posant ma main sur ses fesses pour les écarter « Finis toi dans mon cul, j'adore me faire déboîter par là... »
Je frémis d'excitation. J'avais jamais tenté la sodomie, mais ça m'avait toujours excité.
Je passai ma main sur son con rouge de s'être fait pilonner pour m'enduire les doigts de mouille, et l'étalais sur son petit trou alors qu'elle écartait les fesses. Je lui massai quelques instants la rondelle la sentant frémir et frétiller du cul en se mordant la lèvre, avant d'appuyer et de lui enfoncer un doigt. Elle poussa un gémissement alors que mon doigt poussait en elle. C'était chaud, serré... un peu différent d'une chatte, mais je m'y voyais tout aussi bien y carrer une queue...
Je me saisis, encore bien raide, et apposai mon gland contre sa rondelle. J'appuyai doucement, faisant peu à peu céder la résistance, avant que son cul ne s'ouvre et ne me laisse me glisser profondément dans son anus.
Elle poussa un cri de satisfaction en sentant mon gros membre pénétrer dans son fondement. Je laissai échapper un grognement de bien être en sentant son trou serré et musclé engloutir ma queue, qui disparaissait petit à petit entre ses fesses rebondies.
Sonia commença à onduler, faisant aller et venir son boule sur ma barre de fer. Je me sentais maintenant pas loin de l'éjaculation : il fallait que je la démonte vite et bien.
J'agrippai ses hanches pour raffermir ma prise, et commençai à aller et venir puissamment dans son petit cul ; puis, sentant son anus se dilater à mesure que je la ramonais (elle était visiblement habituée à se faire prendre par là), je pris plus d'assurance, accélérant lentement ; puis, sentant de plus en plus sa cavité aspirer ma queue en la serrant bien fort, je fus pris d'une véritable ivresse fiévreuse et entrepris de la démonter comme un forcené « par l'entrée des artistes ».
Je la secouais, la malmenais, bringuebalais son corps en l'embrochant sur ma queue, faisant claquer brutalement mon bassin contre son cul. Mon membre gonflé de grosses veines entrait et sortait de son cul à toute vitesse, lui labourant les entrailles, tapant du gland tout au fond de son rectum. Sonia toussait presque ses hoquets de plaisir sous mes coups de pilon dans son fondement, lâchant des mots étranglés : « Han ! o...oui... ouf... Haaann ! oh puta-a-a-ain ! Vas-y-y-y... ! »
Je sentais la sève monter le long de ma hampe. Je la sentais venir du fond de mes bourses, prête à jaillir dans un orgasme comme j'en avais jamais eu ; mais je la retenais encore un peu. Juste le temps de faire jouir Sonia une dernière fois. Je déchaînai mon martellement au fond de son cul, lui tenant une fesse d'une main ferme, et frottai son clitoris comme un forcené de l'autre. Ce fut à ce moment précis qu'elle partit en vrille, poussant un grand cri désaccordé et incontrôlable, commençant à convulser et à éructer en dégoulinant tout le long de ses cuisses tremblantes, son cul tressaillant sur ma queue. Alors, je finis par jouir fort en elle, remplissant la capote de foutre bouillonnant, et Sonia acheva de jouir sur mon membre palpitant en ondulant, le souffle rauque.
Sonia s'affala lascivement sur les draps en reprenant son souffle, écrasant son buste et sa poitrine généreuse sur le matelas. Je restai un instant figé au dessus d'elle, ma queue crachant ses dernières gouttes dans ses ultimes spasmes d'orgasme au fond de son cul dilaté ; puis m'écroulai sur son corps brûlant pour exhaler dans son cou un souffle brûlant. Sonia sourit, haletante, en me prenant délicatement la nuque par dessus elle pour me caresser les cheveux.
« Oh bébé c'était boooonnn... pas vrai ? »
Je lui mordis le cou en lui choppant les seins et en les pétrissant bien au creux de mes paumes. Elle lâcha un gloussement de gourmandise, puis me repoussa délicatement pour m'extraire de son rectum.
« T'as bien joui ? » demandai-je dans le creux de son oreille, soucieux de savoir si j'avais bien rempli mon rôle, alors qu'elle se dégageait et retirait ma capote pleine
« Oh oui, j'ai bien eu trois orgasmes... » soupira-t-elle en s'étirant comme un chat à côté de moi, avant de caresser ma queue encore gorgée de sang et pleine de grosses veines qui redevenait flasque « T'es monté comme un taureau et tu sais baiser, toi ! Je me ferai des petits étudiants de 18 ans plus souvent haha ! »
Elle se leva pour pour aller nonchalamment jeter le préservatif dans la poubelle de la salle de bain attenante, sa silhouette petite et fine déhanchant délicieusement son cul rebondi et encore dilaté dans la lumière. Puis elle revint s'épancher sur moi, étalant ses seins somptueux sur mon torse, sous mon nez, et me regarda avec un air coquin.
Je recommençais déjà à bander, sentant son corps sculptural et collant de sueur étalé sur le mien. Elle me sentait grossir entre ses cuisses, et elle aimait ça.
« Mon copain ne rentre que dans deux heures... » lâcha-t-elle simplement, avant d'attraper une nouvelle capote.

***

Une bonne heure torride et une douche plus tard, je quittais Sonia dans son hall, elle à nouveau en nuisette sexy, moi à nouveau en manteau. La gêne du début semblait refaire un peu surface, hors du lit.
« Bon bah... » fis-je, les mains dans les poches « C'était... sympa ! »
« Ouais ! » fit-elle en riant « C'était... c'était bien sympa ! »
J'allais tourner les talons pour prendre la porte quand elle lança : « Euh... je me disais... tu pourrais prendre mon numéro ? J'aimerais bien qu'on devienne, enfin... un plan cul régulier, quoi. Si t'es d'accord ! Mais, t'es vraiment un bon coup, et j'en ai pas fini de me venger de mon mec, donc... pourquoi pas continuer à prendre un peu de plaisir ensemble ? »
Je restai un instant interdit, complètement assommé, avant de hocher vivement la tête avec un sourire idiot. Elle me dicta ses dix chiffres en se dandinant d'un pied sur l'autre, puis me regarda en se mordant la lèvre, et vint me mordre la mienne avant de glisser à mon oreille : « Tu pourras venir me baiser après les cours, mon taureau... »
J'avoue que ça m'a foutu une bonne trique, et la seule chose qui m'ait empêché de remettre le couvert sur le canapé du salon fut le sms de son mec lui annonçant dans un orthographe approximatif son retour.
« Allez sauve toi ! » rit-elle en me poussant vers la sortie « Je t'appellerai quand j'aurai envie d'un coup de bite au fond. Ok ? »
J'acquiesçai en riant, et la laissai refermer la porte derrière moi. Je sortis de l'immeuble, retournai à la nuit et à la solitude en quittant le nid de chaleur et de luxure de Sonia...
Putain, ce que j'étais chanceux !

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