Soirée étudiante ou presque dans un appartement de banlieue. J'ai 19 ans et je rencontre celui qui saura me faire oublier le regard des autres et sera mon amant pendant un long moment. En plus des autres, évidement.
Proposée le 7/11/2018 par Salope
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie
Bonjour, ou bonsoir.
Je suis Luce, 23 ans et salope en devenir. Je mesure 1m60 pour 65 kilos, des formes généreuses donc dont un bon 95D qui fait le bonheur de ces messieurs. Mes yeux sont bleus clair, mes cheveux blonds et bouclés et mes lèvres pulpeuse. J'ai un visage angélique, mais des envie diaboliques.
Aujourd'hui, je vais vous raconter comment j'ai rencontré un homme qui devint mon amant pendant deux ans après ça. Je devais avoir 19 ans quand je l'ai vu la première fois. Céleste était d'origine jamaïcaine, la peau noir, de courtes et fines dreads sur le dessus de la tête mais surtout un corps sec et musculeux dû à sa pratique de la danse en tant que professionnel. Il devait avoir 24 ou 25 ans quand nous nous sommes rencontrés, au détour d'une soirée. J'étais parce que c'était chez ma meilleure amie que se passait la fête. Il était parce qu'il était l'ami d'un ami.
L'appartement était un long couloir ne formant qu'une seule Pièce. La chambre de mon amie se trouvait dans ce couloir, derrière un paravent et pour l'occasion le paravent avait disparu pour créer un canapé en plus de celui de l'espace projection qui se convertissait en lit. La porte vitrée de l'entrée se situe sur un balcon partagé, une coursive faisant tout le tour de l'étage pour desservir chaque appartement. De ce balcon, on pouvait voir directement le quai de la gare qui se trouvait à deux minutes à pieds. Cette disposition des lieux à son importance pour la suite.
Ce soir je suis venue plus tard que d'habitude, et tout le monde était déjà présent quand je me présentais à la porte. C'est à dire une bonne soixantaine de jeunes déjà imbibés et stone pour la plupart. Ce fut Céleste qui m'accueilli de sa voix grave et rocailleuse, difficile à entendre en temps normal mais d'autant plus avec le vacarme de la musique et de la fête qui battait son plein. Je me suis penchée vers lui pour entendre ce qu'il disait et je frémis de toutes parts en entendant sa voix.
- Salut, moi c'est Céleste. Il me tandis la main en me regardant dans les yeux avec un petit sourire en coin.
Bon sang, je n'avais jamais entendu une voix aussi sexy.
- Luce, enchantée.
Il se pencha sur mon oreille, une main sur ma hanche pour me rapprocher de lui.
- Ravi de te rencontrer, Luce.
Je lui souris mais ce qu'il me faisait ressentir me mettant mal à l'aise, je le laissais sans plus m'attarder pour aller retrouver mes amis et me servir un verre qui me redonnerai un peu de contenance. La soirée passa, je sentais parfois un regard sur moi et quand je me retournais je voyais Céleste me fixer avec un petit sourire énigmatique. Il ne détournait jamais les yeux quand les miens les croisaient, se contentant de prendre une gorgée de son verre ou de tirer sur son joint. Il a beaucoup dansé avec ses amis tandis que je sortais discuter sur le balcon ou bien m'assaillais dans la partie salon du loft pour jouer aux cartes.
Le temps passait et les convives se faisaient de plus en plus rare. Ceux qui restaient se retrouvèrent pour jouer aux cartes, j'appris le 8 américain à cette occasion. La majorité des joueurs étaient composée des amis de Céleste et de lui même, soit des danseurs à son image soit des amis de son quartier, avec des styles un peu voyous. Les autres, c'était mes potes de l'école que je fréquentais et où j'avais rencontré l'hôte de cette soirée. L'alcool m'avait un peu hébétée et j'avais du mal à saisir les règles du jeu, aussi après un dernier joint je partis me coucher au grand damn de mes compagnons de jeu. Je me trouvais un place dans un lit un peu à l'écart du jeu.
Une ou deux heures plus tard, je suis secouée et sortie de mon sommeil par Céleste. Il est penché sur le lit où je dors et me tient par l'épaule pour me réveiller.
- Luce vient jouer, allez viens!
- Laisses moi dormir...
- Allez, tu as assez dormi non? On fait des gages maintenant, t'es plus obligée de boire!
Encore pétrie de sommeil, je clignais des yeux. Quand j'étais partie, il y avait une vingtaine de joueurs. Maintenant ils n'étaient plus qu'une petite dizaine dont une seule fille. Elle regardait du coin de l'œil et me fit signe de me lever pour ne pas la laisser toute seule avec les garçons. Je me décidais à jouer.
- D'accord, mais je ne bois pas.
- Promis, on ne te fera pas boire.
Il me prit la main et m'emmena autour de la table.
- Faites lui une place les gars, vous attendez quoi?
Ses amis s'écartèrent pour nous laisser de la place, je me retrouvais donc entre Céleste et un de ses amis, tous serrés autour d'une table puisque les fauteuils et canapé étaient occupés par des dormeurs à cette heure. Je sentais la cuisse de Céleste contre la mienne mais il ne me regardait plus, trop occupé à distribuer les cartes. La partie commença par des gages gentillets, et j'en étais ravie car je perdais sans arrêt. Puis vinrent les gages un peu plus osés. Rien de vraiment malsain mais un peu déroutant. Et je ne gagnais pas plus. Prise dans le jeu, je m'exécutais tout de même lorsqu'il fallu imiter un orgasme. Voyant cela, le gage suivant fut de mimer de faire l'amour au sol. Je me retrouvais donc les jambes écartées sur le tapis du salon, bougeant les hanches d'avant en arrière et en mouvements circulaires sous le regard d'une dizaine de garçons. Nous étions deux à voir perdu cette partie, mais quand mon pote, un garçon barbu et un peu maladroit s'exécuta, les rires fusèrent. Quand se fut mon tour cependant, le silence était de mise, seulement brisé par quelques encouragements. Je me sentais complètement stupide à me déhancher comme ça par terre, mais cela semblait plaire à l'assemblée. Si j'avais été plus sobre, je n'aurais jamais accepté. Mais je n'étais pas plus sobre. La partie de termina sur ces entrefaits.
Céleste, deux de ses amis et moi sommes resté un peu pour discuter. Ses amis ont fini par nous laisser pour aller se trouver une place, nous en laissant deux sur les 3 du canapé convertible. Nous avons discuter des choses et d'autres pendant encore une ou deux heures avant d'aller nous coucher côte à côte. C'est là que les choses sérieuses ont commencé.
Il s'est collé à moi sous la couette et l'une de ses mains est partie à la découvertes de mes cuisses, d'abord sagement à l'extérieur. Je frissonnais d'envie à se simple contact. Voyant que je ne le repoussais pas, il s'est enhardi et ses mains sont passé à l'intérieur de mes cuisses, les écartants un peu au passage sans trouver de résistance. J'étais allongée sur le dos, et alors que sa main droite continuais de me pétrir fermement l'intérieur des jambes sans pour autant toucher à mon sexe, la gauche passait sous mon t-shirt pour découvrir ma peau, remontant lentement jusqu'à mes seins. Il ne prit pas la peine de retirer mon soutient gorge. Je frissonnais de partout, la respiration hachée par le plaisir et l'envie qui montaient en moi crescendo. Sa main trouva l'arrondi de ma poitrine sous les bonnets de mon sous vêtement. Sa jumelle, plus bas, avait fini par atteindre son but et me caressait maintenant le sexe à travers mon jean. Tout autour de nous, les gens somnolaient. Il y a avait même une fille juste à côté de moi dans le canapé, endormie. Il a déboutonne mon pantalon et a glissé ses doigts sous l'élastique de ma culotte. Comme c'était bon! J'étais complément hors de moi. Je savais que j'aurai dû éprouver de la honte à me faire toucher de la sorte au milieu de toutes ces personnes que je connaissais à quelques mètres à peine. Mais je n'en éprouvais aucune, seulement une excitation grandissante.
Je dois préciser que cet amant à joué un énorme rôle dans mon rapport au sexe actuel.
Il m'a murmuré à l'oreille de le rejoindre dehors, sur le balcon. Puis il a retiré ses mains de moi et s'est levé. J'ai passé un moment sans bouger, pesant le pour et le contre. Tellement qu'il a finit par revenir et me prendre par la main pour que je le suive. Mes sous vêtements étaient encore en désordre et mon jean déboutonné quand je me suis levée pour le suivre. J'ai pris le temps d'enfiler une veste mais pas de remettre le reste de ma tenue en place et je l'ai rejoint dehors. Il était assis sur l'une des chaises de la terrasse, et il sourit en me voyant sortir. Il me tendit la main pour que je m'assois sur ses genoux.
- Qu'est-ce qui se passe?
- Rien... répondis-je
- Je vois bien que non.
J'avais beau avoir entendue sa voix toute la soirée, elle me faisait toujours autant d'effet. Il a recommencé à caresser mes cuisses par dessus mon pantalon.
- Ça fait longtemps, presque un an.
- Quoi?
Il était réellement surprit de l'aveu.
- J'ai arrêté de coucher parce que j'avais une réputation de salope.
- Et alors? Sois en fière, on s'en fout de se que pensent les autres non?
Sa main venait de retrouver ma chatte et il agaçait savamment mon clito. J'ai gémis et alors que je me rendais il a embrassé mon cou. Sous mes fesses, je le sentais dur.
- Embrasses moi, m'a t'il demandé.
Et je me suis exécutée. J'ai posé ses lèvres sur les miennes alors qu'il enfonçait ses doigts en moi. Il était 7h du matin, et le soleil commençait à poindre. Les gens commençaient à sortir pour se rendre au travail ou dieu sait où.
- Je sais que tu en as envie, susurra t'il à mon oreille.
Je n'ai rien dis, trop occupée à apprécier ses doigts qui allaient et venaient entre mes lèvres. J'étais trempée d'envie. Il m'a fait me lever et m'a emmené vers le mur, me plaçant face à lui. Il a baissé mon jean et ma culotte, a sortit son sexe m'a prise comme ça. J'étais dos à lui, sa main sur mon cou me collait à son corps tandis qu'il me prenait sans ménagement. Quelqu'un aurait pu sortir d'un appartement, pire quelqu'un que je connaissais aurait pu se lever et venir sur le balcon. Mais c'était la moindre de mes préoccupation tandis que sa queue me remplissait, allant et venant dans mon sexe mouillé dans un léger clapotis des plus appréciables. Sa main à quittée mon cou pour agripper un sein tandis que l'autre main se posait sur ma bouche pour étouffer mes gémissement de plaisir.
Plus vite... plus fort...
Mes mains posées sur le mur se crispaient au rythme de ses coups de reins. Nous avons joui ensemble, et il s'est retiré de moi. Nous nous sommes rhabillé, il m'a embrassé puis il est rentré. J'ai allumé une cigarettes pour faire le point. Ne me voyant pas revenir, il est revenu. J'ai entendu la porte s'ouvrir derrière moi mais je ne me suis pas retournée. Il m'a enlacé par derrière, ses mains sur mon ventre et sa tête collée à la mienne.
- Ça va?
- Oui...
- Viens dormir.
Et je l'ai suivi. Il m'a prise dans ses bras et nous nous sommes endormis. Le lendemain, nous étions redevenu de simple amis... jusqu'à la prochaine fois où il en voudrait à mon corps.
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