Histoire Erotique

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Surprise en pleine nuit de canicule !

Depuis toujours nous lisons, avec mon mari, des histoires érotiques. A l'époque, dans un petit bouquin bien connu et maintenant sur le net. Je n'ai jamais imaginé, un jour, écrire une de mes histoires ... mais ce que j'ai vécu vaut bien d'être partagé

Proposée le 1/10/2018 par miss67

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Il fait très chaud, même trop chaud, depuis déjà quelques jours. Je n’aime pas le temps maussade mais alors la chaleur je ne la supporte pas.
Les journées sont difficiles mais les nuits sont bien pires car je n’arrive pas à dormir. Heureusement je suis en congé et qu’en journée je me rafraichie à la piscine.
Ce weekend un couple d’amis de mon mari est de passage chez nous. Comme nos enfants sont aussi en vadrouille avec leurs copains respectifs, on a de la place pour les loger pour deux nuits.
Ils arrivent en début de soirée et nous sommes vraiment content de les revoir car ils habitent à quelques 800 km de chez nous et nous nous voyons que tous les deux à trois ans.
La soirée est vraiment sympa entre un bon repas estival, des mojitos et autres boissons fraiches. Néanmoins sans qu’aucun de nous n’en abuse.
Nous sommes restés jusqu’à 1 h du matin sur notre terrasse tellement il faisait bon, mais un peu lourd. Nos amis qui avaient eu une longue route décident d’aller se coucher. Dans la maison même avec des ventilateurs qui tournent à fond, il fait chaud.
Nos amis dorment à l’étage alors que notre chambre se trouve au rez de chaussée. Mon mari s’endort rapidement alors que moi j’ai du mal à trouver le sommeil.

Vers les 3h je me réveille totalement trempé tellement je transpire. Je me lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller mon homme. La maison est complètement calme, donc je sors de la chambre simplement vêtue d’une petite culotte pour prendre une boisson fraiche dans la cuisine. Je ne fais aucun bruit, j’ouvre le frigo et je me sers une bonne menthe à l’eau. Je prends mon temps et je me sers un deuxième verre.
Soudain j’entends un léger bruit de pas. Je me retourne et je vois notre ami qui rentre dans la cuisine.
Bien évidemment vu l’heure il ne pensait trouver personne et donc il était en caleçons …

D’une main je tenais mon verre et avec mon bras libre j’eue le réflexe de cacher ma poitrine.
J’étais comme tétanisée et même très gênée.
Comme je ne disais rien, il s’est approché de moi et a pris mon verre pour le vider.
Puis il me remit le verre vide dans ma main.

J’étais là comme une statue.

Il me pris alors la main qui cachait mes seins et tira légèrement, je résistais mais il tira un peu plus fort sans y mettre toute sa force et je laissais mon bras partir. Il regarda mes seins et chuchota très belle poitrine et se rapprocha encore plus en me regardant dans les yeux. Sa main n’avait pas lâchée la mienne. Il se colla à moi, retira le verre de ma main pour le poser sur le plan de travail et je sentis sa verge en érection dans son large caleçons toucher mon bas ventre. Il n’avait pas lâché ma main. Il la dirigea vers sa verge et plaqua ma main contre son caleçons.
« Non Pierre » « Arrêtes » !
Mais je tenais son sexe dur entre mes doigts et je n’arrivais pas à la lâcher. Les poils de son torse avaient déjà stimulé le bout de mes seins. Mon cœur battait très fort dans ma poitrine et je transpirais de chaud et d’excitation. Il pris ma culotte des deux coté et la fit glisser au sol.
Mes tétons frottaient contre sa poitrine poilue et durcissaient de plus en plus.
Je caressais sa queue qui avait quittée son caleçons à pleine main. J’ai écarté mes cuisses pour qu’il puisse y mettre sa main. On était là dans la cuisine à se caresser mutuellement sans bruit ou presque car m’a respiration était devenu plus rapide et plus sonore et de mon entre jambe on pouvait entendre un bruit de caresses mouillées.
On était face à face mais nos bouches ne se sont pas trouvées. On se regardait, on se souriait avec de temps en temps un « oui » « c’est bon » étouffé qui sortait de ma bouche.
Il me retourna lentement et je pris appui sur le plan de travail. J’ai naturellement écarté mes cuisses . J’ai senti sa queue venir en moi doucement, délicatement. Il m’a rempli le ventre de sa queue et avec une excitation à son paroxysme j’ai rapidement eu un plaisir intense. Il m’a prise comme ça, sans dire un mot pendant un bon moment. J’ai réussi à passer ma main entre mes jambes pour prendre ses testicules à pleine main. Il m’a fait jouir une deuxième fois. A ce moment il s’est contracté et a jouit à son tour. Il est resté un moment en moi en me caressant les seins. Puis s’est retiré, ramassé son caleçons et est reparti à l’étage. Moi je suis revenu dans mon lit, sans faire de bruit. J’ai super bien dormi.
Au matin, j’ai préparé le petit déjeuner pour tout le monde qu’on l’a pris à quatre. Pas un regard ou un mot ne fut échangé entre lui et moi. C’était comme si rien ne c’était passé.
Nos amis ont profité durant la journée pour faire l’une ou l’autre visite alors que nous on a passé l’après midi à la piscine. Le soir nous sommes allés au resto pour revenir finir la soirée sur notre terrasse. Les hommes avaient décidé de boire quelques bières alors que nous les femmes nous sommes restées aux jus de fruits. Cette fois on est resté à discuter jusqu’à deux heure du matin. Puis on est allé se coucher. Avant que nos amis ne montent à l’étage, je leur ai dit que j’avais mis de la menthe à l’eau dans le frigo au cas où ils avaient soif durant la nuit…. Très rapidement, la maison tomba dans le calme que seul le bruit des ventilateurs troublait. Mon mari avec un léger coup dans l’aile avait d’autres ambitions que de dormir. Je m’imaginais que Pierre devait écouter à la porte et cela m’excita au plus haut point. Alors que mon mari n’arrêtait pas de dire « chut chérie », « moins fort », je me laissais aller à mon plaisir et à mon excitation. Alors qu’on était dans la position du missionnaire, j’arrêtais pas dire « chéri j’ai envie de te sucer » « chéri prend moi de derrière » « chéri tu m’encules » « encule moi chéri » Mon mari ne devait pas savoir ce qu’il lui arrivait et on a jouit super fort tous les deux. Mon mari s’est endormi directement et ronflait comme un bucheron. Moi j’ai mis une chemise de nuit et je suis allée dans la cuisine. J’ai bu un verre puis deux, je suis allée aux toilettes puis retournée dans la cuisine. J’étais seule et déçu car j’espérais autre chose. Je suis donc retourner au lit avec la porte entre ouverte. Je ne pouvais pas dormir et j’ai attendu. Mon excitation était tombée presque à zéro quand enfin j’ai entendu quelque chose. Quelqu’un descendait à pas de loup dans l’escalier. Mon cœur s’est mis à battre à 200 à l’heure. J’ai vite regardé si mon mari dormait et je me suis glissée hors de la chambre. J’ai fermé la porte et dans la pénombre j’ai reconnu la silhouette de Pierre. J’ai pris sa main et je l’ai entrainé dans la cave puis dans le garage en prenant soin de bien fermer les portes.
Je crois que je me suis ruée sur lui. En l’embrassant à pleine bouche. Nous étions en feu. C’était contrairement à la veille d’une violence sauvage. J’avais envie de brutalité, j’avais envie qu’il me prenne comme une brute. Je l’ai sucé comme une folle, il m’a prise sur le capot de la voiture, il m’a retourné pour me prendre par derrière. On changeait de position à une vitesse folle. Dès que je pouvais je le suçais . On voulait tout tout de suite. Notre respiration était très forte. C’était bestial. J’ai eu un plaisir fou et quand j’ai senti qu’il allait venir je me suis précipité sur sa queue pour tout prendre en bouche. J’ai tout avalé ; Quelle extase. On était trempé de sueur et on a souri tous les deux. J’ai cherché une cigarette (Pierre ne fume pas) et j’ai ouvert la petite porte du garage. J’avais remis ma chemise de nuit et lui son calçons. J’ai tranquillement fumé ma cigarette sous un ciel de nuit dépourvu de tout nuage. Pierre s’était collé dans mon dos sans dire un mot. Il me tenait par la taille. Cela fut un moment de pur bonheur. J’appréciais cette cigarette et le moment que je venais de passer. Pierre passa sa main sous ma chemise de nuit et caressa mon ventre puis remonta vers les seins. Je me faisais ploter entre mon garage et ma cours avec mon mari qui ronflait à l’étage. Vu la barre dure qui était passée sous ma chemise et qui pointait sur mes fesses, les pincements de plus en plus incisifs de mes tétons, Pierre était de retour. Avec mes jambes légèrement écartées, la queue de Pierre trouva rapidement son chemin en moi. Que c’était bon de se faire prendre là debout. J’ai tourné la tête et je lui ai murmuré « fais moi jouir » « mais retient toi car je te veux dans les fesses. » Je crois que sa queue est devenue de suite encore plus raide. Il m’a encore une fois donné un orgasme inouï. J’ai encore sucé cette belle verge. Puis je lui ai dis « encule- moi ». Il m’a largement enduit de ma mouille mon petit trou et moi courbée sur le capot de la voiture avec les jambes à demi fléchies je lui ai présenté mes fesses. Il a poussé et a eu un peu de mal à me pénétrer. J’aurai pu crier quand le bout de sa queue a ouvert la route. Il a pris son temps et ses petits va et vient ont fini par dilaté mon anus et j’ai vraiment pris énormément de plaisir. Mon cul était ouvert, et il y allait de plus en plus fort et de plus en plus loin pour arriver à me pilonner sans aucune retenu. Il faut dire que je l’encourageais avec des « plus fort » « va s’y » « c’est bon ».
Il me baisait le cul avec force et quand il a jouit j’ai senti son liquide chaud giclé au plus profond de moi.
Quand je suis revenu dans la chambre, mon mari dormait toujours et il était 5 h du matin . Nos amis sont partis comme prévu en fin de matinée et vu la distance qui nous sépare je ne sais pas quand on se reverra.

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Commentaires de l'histoire :

ivannormal
Super récit j'ai adoré te lire et lire toutes tes descriptions... je bandé fort...
Posté le 7/09/2020


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