Céline a changé, elle qui se laissait guider par son mari le trouve maintenant timoré. Mais celui-ci fantasme de la voir se libérer...avec un autre. L’occasion se présente, une « amie » la pousse à accepter.
Proposée le 5/06/2018 par Erty99
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Le lendemain matin Sébastien se réveilla en érection, cependant, regardant sa femme dormir, il préféra la laisser dans les bras de Morphée « hier, elle a eu une bonne journée, il faut la laisser récupérer » pensa-t-il. Il se leva. Il avait rendez vous à dix heures dans son agence bancaire pour renégocier son crédit immobilier. Il prépara le petit déjeuner.
Dans l’embrasure de la porte, il regardait Céline endormie : qu’elle était belle ! Et quelle chemin parcouru depuis une semaine, lui qui la croyait prude ! Elle n’était plus opposée aux pratiques anales, au contraire. Le dépucelage de ce coté était proche. Il se souvint de la soirée de la veille, quand il écartait les fesses de sa compagne afin que le vendeur du sex-shop lui place le plug, il s’était comporté comme un salaud et elle avait été docile, prenant même du plaisir. S’il avait demandé au vendeur de la saillir, aurait-elle acceptée ? Jusqu’où pouvait-il l’amener ? Mais peut-être se trompait-il : c’était elle qui changeait et l’incitait à se montrer plus dominant.
Elle se réveillait, il quitta son poste d’observation et revint avec le petit déjeuner de madame sur un plateau. Elle l’accueillit avec un grand sourire, sans cacher sa nudité. Elle mangea d’un bon appétit. Lui, assit sur le lit, la dévorait des yeux.
- « C’est pour te faire pardonner de ce que tu m’as fait faire hier soir que tu est si gentil ? »
- « D’abord, je suis toujours gentil avec toi, ensuite, je ne t’ai pas vraiment forcée et je suis certain que tu as pris ton pied, les clients du sex-shop doivent en avoir encore plein les oreilles. »
Céline rougit à cette évocation.
- « Tu m’as un peu poussée, quand même ! » Il y eu un silence et elle reprit « Je ne t’ai pas attendu dehors dans la rue parce qu’un homme m’a abordée comme si je faisais le trottoir, tu te rend compte ! Comme si j’en avait l’air. ». Pourtant elle le savait qu’elle en avait l’air.
- « Hier tu était très sensuelle. » Répondit Sébastien.
- « Parce que je ne le suis plus ? »
- « De plus en plus. » Il enleva le plateau du petit déjeuner du lit et l’enlaça tendrement. L’évocation de la soirée raviva l’excitation de Céline.
- « Sensuelle ou pute, il me faut maintenant plus qu’un câlin. »
- « Hélas, trois fois hélas, tu as oublié mon rendez-vous à la banque à dix heures, il faut déjà que j’y aille. »
Céline, seule dans l’appartement, se leva mais resta nue, profitant d’une sensation agréable. Elle trouva les achats de la veille dans leurs sacs, au milieu du salon. Elle déballa les paquets : vêtements sur le canapé, elle les rangerait plus tard quand elle saurait comment s’habiller, et sex-toys sur la table du séjour. Elle lu rapidement les notices d’emploi de chaque produit : les deux godes, les deux plugs restant, un tube de lubrifiant classique et un flacon de lubrifiant anal accompagné de deux seringues permettant « d'appliquer une dose de lubrifiant à l'endroit où vous le voulez : au fond du vagin, entre les seins, dans l'anus. », comme le précisait la notice. Elle nettoya le plug porté la veille et le mis avec les autres.
La présence de ces objets l’avait émoustillée. Elle hésita entre tester le gros gode et placer le plug moyen dans son rectum. La deuxième solution fut son choix, Sébastien voudrait sûrement être présent pour l’utilisation du gode. Cependant, c’est le petit plug qu’elle saisit, se souvenant de la douleur ressentie lors de son retrait « celui-là je sais que je le supporte ». Ayant graissé l’entrée de son anus avec le lubrifiant adéquat, elle utilisa une seringue pour le graisser en profondeur. Elle pris le plug par sa base, positionna le bout sur sa rondelle et l’enfonça à son rythme. Une légère gêne au début se transforma en une voluptueuse émotion quand, imitant les gestes du vendeur, elle se branla avec le plug.
Elle passait l’aspirateur, nue et avec son plug toujours en place quand Sébastien rentra de la banque. Elle avait le dos tourné et ne l’avait pas entendu. Enchanté, il l’observa : son fessier charnu, mais sans la moindre trace de cellulite, et ses seins volumineux, bougeaient au rythme du maniement du balai de l’aspirateur. Elle se pencha en écartant les cuisses pour dépoussiérer sous un meuble et Sébastien remarqua que l’intérieur de ses cuisses était luisant de mouille. « Quelle belle salope » se dit-il, admiratif en débranchant l’aspirateur. Elle sursauta mais déjà il la prenait dans ses bras pour l’embrasser, lui tenant la nuque de la main droite pour mieux forcer sa bouche et lui effleurant sa vulve grasse de l’autre main.
La rapidité de cette intervention soudaine provoqua chez Céline une montée d’adrénaline, alors qu’elle était déjà échauffée par la caresse permanente de l’objet qui lui dilatait l’anus. Le baiser profond se son mari ainsi que le contact de ses doigts sur son clitoris furent les déclencheurs d’une jouissance dévastatrice. Sébastien dut la retenir dans ses bras pour ne pas qu’elle s’écroule. Il la porta sur le canapé ou elle repris ses esprits.
- « Qu’est-ce qui m’arrive ? Je ne pense plus qu’à çà, c’est trop bon. »
- « Tu est normale, tu aimes simplement la bite et tu le découvres depuis peu. Ton traitement hormonal doit y être pour quelque chose mais ce n’est qu’un simple révélateur. »
- « Oui, j’étais attirée par le sexe mais je n’osais pas, je me forçais à penser à autre chose chaque fois que j’avais des idées cochonnes. Maintenant, je m’assumes plus. Merci, mon chéri, de me faire connaître de tels plaisirs. Fait de moi une petite salope : je vis plus intensément. »
- « Moi non plus je n’osais pas, je découvre avec toi. » puis, touchant le plug.
- « Je te l’avais dit que tu aimerais. Maintenant qu’il est préparé, si on l’agrandissait ? »
- « Tu m’as tuée, je n’en peux plus. Enlève le plutôt. Après je te suce. »
- « Non, je me réserve pour cette nuit. » Dit Sébastien en pensant « Il faut que je reste à la hauteur donc garder des forces. » Puis il demanda « Tourne toi, je te l’enlève. »
L’extraction du plug fut aisé : Sébastien avait pris le coup de main.
Le quotidien refit surface, Sébastien relata son entretien avec le banquier, ils déjeunèrent…
L’après-midi ils allèrent remplir le réfrigérateur pour la quinzaine à la grande surface du centre commercial le plus proche. Encouragée par son époux, elle remis la jupe acquise la veille, sans culotte, mais avec des talons plus bas. Elle put constater qu’elle continuer d’attirer les regards concupiscents des hommes et de jalousie des femmes. Auparavant elle aurait été gênée, maintenant elle s’en amusait, avec une pointe d’excitation, et plus par moment.
Troublée par son exhibitionnisme naissant, elle se fit aguicheuse envers Sébastien en se penchant plus que nécessaire lorsqu’il s’agit de ranger les courses, dévoilant très haut ses cuisses.
- « Et si on essayait le numéro deux ? »
Sébastien ne compris pas immédiatement qu’il s’agissait du plug moyen. Céline aurait voulu dire « baise moi comme la pute dont j’ai l’air », mais un reste de pudeur, un petit reste, la fit prononcer cette interrogation, apparemment anodine.
Pour l’aider à comprendre, elle releva sa jupe, lui montra son postérieur et écarta ses fesses.
- « J’ai près bien supporté le numéro un, je peux passer au numéro deux. Si tu as l’intention de me sodomiser un jour, tu dois faire le passage. »
- « Mais bien sûr » répondit joyeusement Sébastien, qui se précipita chercher ses outils dans la chambre : lubrifiant anal, plug moyen et, dissimulé, le second godemiché, vibrant avec un bout oblong et s’élargissant vers la base.
Quand il revint dans le salon, Céline était à genoux devant le canapé, le buste reposant sur l’assise de celui-ci. Sébastien se plaça derrière son épouse qui écarta ses fesses, une fois de plus, pour lui faciliter la tâche. Il déposa une noix de lubrifiant anal sur la rondelle, qu’il assouplit en y enfonçant un puis deux doigts. Il remis une autre noix de lubrifiant puis enduit le godemiché. Il l’enfonça dans l’anus de sa femme en répétant scrupuleusement le rituel montré par le vendeur du sex-shop. D’une épaisseur plus grosse que le plug, l’intromission, et la manipulation, de ce gode fut plus douloureuse. Céline poussa un petit cri, mais s’empressa de rassurer son mari.
- « Ce n’est rien, il faut que je m’habitue. » qui pensait toujours qu’il s’agissait du plug.
Sébastien sortit le sex-toy, remis une dernière noix de lubrifiant dans le trou qui avait commencé à se faire et réintroduit l’engin, cette fois-ci au deux-tiers. Céline serra les dents en pensant que le meilleur était à venir tandis que Sébastien lui caressait la vulve, grasse de mouille, avec l’autre main, insistant sur le bouton. Chez Céline, cette caresse intime estompa totalement la sensation douloureuse de son anus. En un instant Sébastien baissa son pantalon et, comme au sex-shop, saillit son épouse. Ce fut plus difficile, mais la sensation fut aussi plus forte pour les deux partenaires. Sébastien, penché sur Céline, s’enfonçait au maximum dans le vagin qui l’accueillait afin que son ventre pousse la base de l’olibos.
Pour Céline la sensation était différente de la veille : elle était mieux remplie et à chaque mouvement le godemiché pénétrait et élargissait son anus, provoquant un mélange étrange de plaisir et de douleur. Les yeux fermés, centrée sur les émotions que son sexe et surtout son anus lui procuraient, son plaisir montait.
- « C’est bon de se faire baiser par les deux trous?? » Lui demanda Sébastien.
- « Oui... j’aime ça... »
- « Tu aimes être remplie des deux côtés. Imagine toi prise entre deux hommes, je suis sûr que tu aimerais. »
- « Salaud, tu est en train de faire de moi une salope. »
- « Plus tu es salope, plus tu es belle tu sais... »
- « Encule moi ! » Implora-t-elle « Je veux une vraie queue dans mon cul. »
- « Quand tu seras enceinte. » Répondit Sébastien « Je réserve ma semence pour ta chatte ... »
Il se redressa et mis en route le vibreur du gode. Céline comprit aux vibrations qu’il ne s’agissait pas du plug. Sébastien, la tenant par les hanches, se mit à la pilonner plus violemment. Vibrée et Pénétrée simultanément par les deux orifices, Céline hurla tandis que la jouissance les prenait tous les deux ensemble.
Sébastien voulut profiter de l’élargissement de la rondelle de son épouse pour placer le plug
moyen, mais elle refusa, rassasiée mais aussi un peu déçue de ne pas avoir eu « une vraie queue » entre ses fesses.
Le lendemain matin, Céline s’éveilla la première. Constatant que Sébastien avait une érection matinale, elle prit son sexe dans sa bouche et s’évertua à lui faire une gorge profonde telle qu’elle l’avait observée sur des vidéos. Il ne lui fallu que quelques minutes pour faire gicler le sperme de son mari qu’elle réussit à tout avaler. Sébastien se cru au paradis.
Invités à passer ce dimanche chez les parents de Céline, à deux cent kilomètres de là, ils ne s’attardèrent pas. La journée fut plaisante pour Céline dans sa famille, moins pour Sébastien qui fut mis à contribution par son beau-père pour ranger les stères de bois de chauffage livrée la veille. Ils rentrèrent tard le soir, Céline aurait bien aimé qu’ils reprennent leurs jeux érotiques mais Sébastien, fatigué, ne le proposa pas.
« Tant pis » se dit Céline.
Céline réalisait que Sébastien accompagnait sa transformation et l’encourageait, mais en matière de sexe, il ne prenait avec elle aucun risque. Elle lista les initiatives qu’elle avait prises :
C’était elle qui avait décidée de ne pas porter de culotte occasionnellement et d’utiliser le vibromasseur (bon, c’est lui qui l’avait acheté..).
C’était elle qui lui avait demandé de la baiser lors de leur réconciliation.
Au sex-shop, il n’avait pas demandé au vendeur de la baiser, et c’était elle qui lui a demander de la prendre.
C’était elle qui s’enfilait les plugs, et qui faisait le ménage nue ainsi équipée.
Il avait refusé de l’enculer...
Il ne la dirigeait pas. Et cette idée de la confier à un mentor… Elle se remémore leur discussion, au restaurant, à ce sujet. Sur ce point il avait probablement raison, si elle voulait quelqu’un qui soit plus directif et qui la surprenne. De plus elle avait maintenant des besoins sexuels plus important qu’il ne pouvait plus satisfaire totalement.
« En vérité, depuis que j’ai accepté ma soif de sexe, je n’ai pas assez d’un tel homme. » Elle pensa à Claude. Quand le reverrait-elle ?
Le début de semaine fut très calme sexuellement pour Céline, non pas que ses désirs aient diminué, mais parce que Sébastien, trop préoccupé par son travail, n’était pas disponible. Mercredi matin, au bureau, Céline fut agréablement surprise de recevoir un appel téléphonique de Claude. Il lui dit avoir beaucoup apprécié leur rencontre, lors du dîner organisé par Fabienne la semaine précédente, et souhaitait la revoir lors de son prochain passage, le week-end à venir. Céline aurait bien voulu répondre favorablement à cette invitation, mais ses scrupules d’épouse l’emportèrent et elle refusa, répondant qu’elle était mariée et que ce n’était pas convenable.
Dès qu’elle eu raccroché, elle regretta sa réponse. Elle se rendit compte aussi que la voix de Claude et le contenu de cette conversation l’avait excité. Elle se dirigea vers les toilettes où, constatant que sa culotte était humide, elle l’enleva pour plus de confort (ou parce qu’elle aimait les sensations que cela lui procurait?). Cependant, Claude n’avait pas abandonné l’idée de revoir Céline et était intervenu auprès de Fabienne qui accepta facilement de jouer les entremetteuses. En début d’après-midi, elle appela Céline pour lui demander de passer la voir. Ce qui fut fait en fin de journée.
Son mari parti en asie pour développer sa boîte, Fabienne était maintenant seule pour quelques semaines. Damien avait utilisé le week-end précédent à préparer son voyage. D’un naturel jaloux, il était préoccupé de laisser sa femme seule. L’idée de lui clore le vagin en passant des anneaux dans les lèvres de son sexe l’amusait et l’excitait. Il lui en avait parlé et, contre toute attente, il l’entendit répondre.
- « J’irais voir mais je ne te promet rien ».
En réalité, Fabienne n’avait aucune intention de se faire percée, mais l’intérêt qu’elle avait perçu chez Céline pour les bijoux intimes attirait sa curiosité. Mais elle en était resté la. Elle reçue son amie devant une tasse de thé et lui résuma la conversation qu’elle avait eu avec Claude, après le départ de celle ci et la fin du match de foot.
- « Tu lui as tapé dans l’œil et il m’a questionné, il voulait tout savoir sur toi. Certaines questions étaient très indiscrètes, j’aurais voulu ne pas y répondre, mais je ne voulais pas le contrarier, c’est un gros client de mon mari. Mais, rassure toi, je ne lui ai pas tout dit. Cependant, quand il m’a dit avoir constaté que tu ne portait pas de soutien-gorge, j’ai répondu que je te l’avais fait enlever ainsi que ta culotte, çà l’a visiblement excité. Qu’il t’est appelé ne me surprend pas : tu lui plais. D’ailleurs il ne t’avait pas laissée indifférente, toi non plus. Je suis sûre que tu y penses. »
Céline hésita un instant, puis confessa.
- « C’est vrai, il m’arrive de penser à lui, il a un certain charme. »
- « Tu ne désire pas le revoir ? »
- « Pourquoi pas » accepta Céline, se rappelant avoir regretté son refus de la matinée et ne voulant pas rééditer cette erreur.
- « Veut tu que je dise à Claude que tu est d’accord pour une invitation au restaurant samedi soir ? »
- « Mais tu veux me jeter dans ses griffes ? » Rétorqua Céline prenant un air offusqué alors que la tournure des événements l’émoustillait plutôt.
- « Il s’agit d’une sortie, rien de plus, à toi de voir la suite… Mais je pense que Claude serait bon pour toi. Je te l’ai déjà dit, tu es faite pour le plaisir du sexe. Tu as besoin d’un amant, un amant exigeant qui saura te guider, même s’il doit te forcer un peu : le contraire, ou le complément de ton mari... Tu n’oses pas encore, mais tu as envie. »
Céline constata que son amie la connaissait vraiment bien : ses commentaires allaient dans le même sens que les réflexions qu’elle avait depuis quelques jours. Oui, elle était attirée.
– « Peut-être, c’est vrai que j’en ai envie. » répondit Céline, « d’autant plus que Sébastien m’a fait comprendre qu’il aimerait que j’ai un amant expérimenté pour m’éduquer et le faire profiter de mes nouvelles dispositions... Et faire de moi une pute recherchée qui aime se faire enculer et sucer des bites. Ce sont ses termes exacts ».
- « Ton mari est plus pervers et plus intéressant que je ne le pensais ! Alors je vais arranger ce repas, dans l’intérêt de tous. »
- « Si tu y tiens. » Les deux amies discutèrent encore quelques dizaine de minutes durant lesquelles Fabienne fit, habilement, parler Céline sur sa vie intime ainsi que des réactions de Sébastien. Celle-ci ne cacha rien, n’était ce pas pour se confier qu’elle avait appelé son amie la semaine précédente ? Puis elles se séparèrent.
Fabienne eu, en soirée, une longue conversation téléphonique avec Claude pour le renseigner sur les dispositions de Céline et l’acceptation probable de son mari à son futur cocufiage. Quant à Claude, il communiqua ses goûts en matière de femmes et fit miroiter une augmentation de ses commandes à l’entreprise de Damien.
Le lendemain, Céline fit un détour pour passer chez Fabienne après le bureau. L’entremetteuse dit avoir réservé le restaurant, il y aurait Claude et un ami, elle-même et Céline. Sébastien serait aussi invité, pour la forme, en espérant qu’il décline l’invitation compte tenu de ses penchants candauliste. Elle se garda bien de dire à Céline qu’elle l’avait trahie en fournissant à Claude les confidences reçues de la bouche de son amie. Par contre elle recommanda à Céline d’être attirante : robe ou jupe, talons hauts et dessous sexy. Suivant les instructions de Claude qu’elle fit passer pour une intuition personnelle.
Rentrée chez elle, elle fut tentée de garder cette invitation secrète, ce qui l’obligerait à trouver un motif pour se libérer. C’est tard dans la soirée que, finalement, elle la révéla à Sébastien.
- « Fabienne nous invite au restaurant samedi soir, elle s’ennuie depuis le départ de Damien. Claude, le gros client de Damien, qui m’a dragué l’autre soir sera là. Il a demandé à Fabienne des renseignements sur moi afin de me rencontrer de nouveau. Comme elle ne veut pas lui dire non, elle l’a invité lui aussi. Tu crois que nous devons y aller ? »
Sébastien fut dans un premier temps surpris par cette demande, puis réalisa que sa femme intéressait un autre mâle et qu’elle était sur le point de lui céder. Cette situation l’excita, il ne put s’empêcher de répondre.
- « Tu m’as avoué avoir apprécié la cour que ce Claude t’avait faîte, pourquoi tu ne recommencerait pas. Je te l’ai dit : je ne suis pas jaloux… Et puis je ne me suis pas occupé de toi ces derniers jours. »
Il y eu un silence et Sébastien reprit.
- « Tu iras seule, tu seras ainsi plus libre, j’ai envie que tu y ailles. Mais tu me raconteras ? »
Céline compris qu’elle avait carte blanche. Elle remarqua la bosse qui déformait le pantalon de son compagnon et en fut émue. Elle se rapprocha de lui et ils s’embrassèrent. Excités tous les deux, ils se dénudèrent et rejoignirent la chambre conjugale.
Sébastien la poussa à genoux sur le lit et s’enfonça aussitôt dans son vagin, cognant tout au fond, contre la matrice et la pilonna avec ardeur en la maintenant par la taille.
- « Ainsi ma femme se fait draguer par un vieux pervers et elle aime çà ! »
Il sortit du vagin et eu la tentation de se présenter à la porte étroite, mais y renonça immédiatement.
- « Tu as un gros derrière fait pour la sodomie, tu crois que ton vieux pervers sauras t’initier ? Il te plaît au moins ? »
- « Oui, il est bel homme, mais c’est toi que j’aime. »
- « Alors tu lui donnera ton cul, et pour que ce soit un plaisir, je vais te préparer. »
Sébastien sortit du lit pour revenir très vite avec le plug numéro 2 et du lubrifiant qu’il fit couler sur l’anneau de Céline, qui n’avait pas bougée. Il lui prépara l’anus avec un puis deux doigts et plaça lentement le plug. Céline gémit de plaisir plus que de douleur. Une fois le plug en place, Sébastien guida son sexe vers l’entrée du vagin de sa femme et repris son pilonnage. Chaque fois qu’il était à fond, son pubis poussait la base du plug. Céline avait la sensation d’être remplie comme rarement elle l’avait été. Sébastien fut endurant, elle eu deux orgasmes consécutifs puis il se retira.
- « Je veux ta bouche et jusqu’au bout ! »
Il s’allongea sur le dos, elle s’agenouilla entre ses cuisses et le prit entre ses lèvres.
- « Tu suceras ce Claude à fond et tu le boira. »
Elle ne répond pas mais accentua sa succion. Ce n’était plus une carte blanche mais un ordre. Sébastien voulait vraiment la livrer à Claude. Il gicla au fond de sa gorge et elle s’appliqua tout boire.
Céline garda le plug dans son fondement autant qu’elle le put, c’est à dire une partie de la nuit.
Le lendemain, au lieu de déjeuner, elle se rendit dans les magasins qu’elle avait fréquenté la semaine précédente et s’acheta des sous vêtements sexy suivant les recommandations de Fabienne puis les déposa chez celle-ci, n’osant pas les montrer à son mari car il n’en serait pas le premier bénéficiaire. Après le travail elle accompagna Samia chez elle afin que celle ci lui refasse son épilation à la cire, mais ceci était prévu depuis longtemps.
Le soir, à sa demande, Sébastien lui replaça le plug dans son anus, et il firent l’amour. C’est dans la position du missionnaire, les jambes écartées et relevées, que Céline lança un dialogue rythmé par le va et vient du sexe de son mari dans sa chatte resserrée par la présence du plug.
- « Si je vais seule au restaurant, je ne pourrais peut-être pas résister, veux tu vraiment que j’y aille ? »
- « Tu y vas ! Tu en a tellement envie que tu ne pense qu’à çà. Moi je bande à l’idée qu’un vieux pervers t’encule et te fasse aimer cela, je te fantasme en salope. »
- « En pute tu veux dire. »
- « Et puis n’oublie pas Fabienne dont tu arranges les affaires de son mari, c’est elle qui fait de toi une pute en agissant comme une maquerelle ».
- « En somme vous voulez tous que je sois une pute qui aime se faire enculer. »
Sébastien ne répondit pas mais accéléra la cadence. Tous deux sur-excités par les images que ces paroles généraient dans leurs cerveaux jouirent presque simultanément.
Le lendemain, Sébastien ne la toucha pas : elle devait se réserver pur son vieil amant lui dit-il.
Elle quitta le domicile en avance « pour papoter avec son amie » dit-elle. Elle avait revêtu sa jupe moulante achetée quelques jours plus tôt et un chemisier en satin, noir comme la jupe. Quand Sébastien la vit ainsi, perchée sur ses plus hauts talons, il éprouva un sentiment mélangé d’admiration et de jalousie.
Arrivée chez Fabienne, elle trouva, déballés, sur le lit de la chambre d’ami, les sous vêtements qu’elle avait choisis : deux ensembles soutien-gorge, string et porte-jarretelles, l’un noir et l’autre rouge, et des paires de bas noirs. Fabienne lui désigna l’ensemble rouge comme étant sa préférence. Céline se déshabilla pour se changer. Sa nudité émue son amie qui se proposa pour l’aider à se vêtir. Une aide justifiée par la présence du porte-jarretelles et des bas, dessous dont Fabienne avait plus l’habitude et qui en profita pour caresser les jambes de son amie en lui enfilant et ajustant les bas. Céline mit seule son soutien-gorge à balconnet et le string assorti et, après avoir chaussé ses talons, se présenta devant le miroir.
- « J’ai l’air d’une libertine dans cette accoutrement. »
- « C’est le but recherché. Le porte-jarretelles plaît aux hommes de l’âge de Claude. Cela va le pousser a te traiter comme une fille facile, voir une putain, et tu lui céderas parce que tu en as trop envie, et tu aimeras. C’est ce que Sébastien espère, parce que sinon il ne t’aurais pas laissé venir seule. Tu as de la chance. » Répondit Fabienne.
- « Tu as raison pour Sébastien, il me veut en pute, il me l’a dit. Je ne sais pas si c’est une chance. »
Elle remit sa jupe et son corsage, en ajustant sa jupe, elle prit conscience qu’elle devrait faire attention pour que l’on n’aperçoive pas le haut de ses bas et les attaches des jarretelles. Mais n’était ce pas un moyen supplémentaire pour séduire ? Puis elle fit un complément de maquillage, guidée en cela par son amie qui l’incita à forcer le trait et qui la coiffa tout en laissant sa chevelure blonde libre.
En attendant Claude et son ami, les deux jeunes femmes ouvrirent une bouteille de champagne. Fabienne lui dit ne pas connaître l’ami qui accompagnait Claude et répéta combien les bonnes relations avec ce dernier étaient importantes pour les affaires de son mari.
- « Je suis donc une escort au service de sa boîte. Combien me paie tu ? » plaisanta Céline. « A moins que tu sois une maquerelle ? »
- « Le rôle maquerelle me conviendrait mieux. Et comme tu es ma pute, enlève ton string. » dit Fabienne d’un ton autoritaire.
Est ce l’effet du champagne, de l’autorité de Fabienne ou tout simplement de son désir, mais Céline s’exécuta sur le champ en retirant le bout de tissu. Fabienne alla le ranger dans un tiroir d’où elle prit un rosebud en métal, de taille moyenne, dont la base était ornée d’un crystal rouge.
Céline compris immédiatement ce que voulait Fabienne et senti l'excitation croître dans son ventre. Sans que son amie lui demande, elle laissa sa jupe relevée sur ses hanches et se pencha pour présenter son anus en écartant ses fesses à deux mains. Fabienne introduisit l’objet dans sa bouche pour l’enduire de salive et l’enfonça doucement, sans rencontrer de résistance, dans le rectum de Céline, rodé par le port des plugs. Elle glissa ensuite un doigt dans la chatte offerte et constata le degré d’excitation de Céline.
- « Sébastien a raison, le rôle de pute te vas bien. »
Céline ne dit rien, honteuse d’être aussi docile, mais tellement excitée. Fabienne l’embrassa tendrement, en lui caressant la vulve, comme autrefois, quand elles étaient adolescentes.
La sonnerie de l’interphone les interrompit, Claude et son ami étaient au pied de l’immeuble.
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Commentaires de l'histoire :
cocuforever
Et bien oui, à quand la suite; sinon ça va refroidir (LOL)
Posté le 11/07/2018
saeed
Merci beaucoup votre histoire m’a vraiment excité
Posté le 16/06/2018
Eulalie Juillet
Au risque de détoner dans ce concert de louanges, je ne trouve pas cette série si "excellente", mais fade et sans surprises. Dès le premier épisode, on sait de quoi la suite sera faite. Histoire classique du pseudo maitre qui se fait dépasser par son élève qu'il "initie". Il faudrait aussi se relire et corriger ses fautes avant de publier...
Posté le 11/06/2018
Anonyme
C'est une très belle série, et c'est exactement le type d'histoire que j'essaie de vivre avec ma compagne ! Continuez s'il vous plaît.
Posté le 10/06/2018
dauphi
hummm à quand le suite??? ou les suites
Posté le 8/06/2018
vanbruje
Toujours aussi excellent ! Avec l'espoir qu'il ne faudra pas attendre aussi longtemps pour une ou plusieurs suite(s) Merci d'avance
Posté le 6/06/2018
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