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L’évolution de Céline – Agréables perspectives

C’est l’évolution d’une femme pudique qui accepte de voir la sexualité sous un autre jour afin de ranimer son couple victime de l’usure classique du temps, ce qui entraîne parfois des malentendus. Une historiette bien banale.

Proposée le 12/02/2018 par Erty99

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Sébastien, la petite trentaine, grand et plutôt bien bâti, était pensif. Depuis quelques mois il constatait une évolution dans le comportement de son épouse Céline.

Cette évolution avait débuté quelques temps après qu'elle ai intégré un nouveau service administratif ou elle faisait bureau commun avec Florence, une jolie brunette à la vie amoureuse bien remplie, d'environ trente-cinq ans, et Samia, une collègue d'origine maghrébine d'une dizaine d'années plus âgée que Céline.

Comment Florence ou Samia l’influençaient elle ? Sébastien ne le savait pas mais il remarquait qu'elle devenait plus féminine, plus sensuelle.

Céline, de deux ans la cadette de Sébastien, était bien faite malgré qu’elle paraisse presque grosse : grande et bien charpentée, la finesse de la taille et des chevilles faisait ressortir l’opulence des hanches et des seins. Lorsqu’elle chaussait ses talons hauts, c’est à dire rarement, elle atteignait presque la taille de Sébastien. Sa stature et ses rondeurs la complexait. Elle portait régulièrement des vêtements amples à l’exception de quelques jupes qu’elle assortissait alors d’un haut lui descendant au milieu des fesses, les masquant ainsi partiellement.

Au bureau, les femmes avaient échangé des confidences et Céline avait confié à ses collègues son regret de ne pas avoir d'enfant après huit ans d’union, mais aussi sa crainte de voir son époux s'éloigner d'elle pour ce motif : il avait envie d'elle moins souvent, elle sentait qu’elle lui procurait moins de plaisir, mais elle en prenait moins aussi. L'usure normale du couple pensait-elle.

Florence lui vanta les résultats d’un traitement hormonal augmentant les chances de fertilité. Sa sœur aînée en avait bénéficié avec succès, elle lui donna, le lendemain, l'adresse du médecin qui s’en était occupé.

Samia lui conseilla d'être plus sensuelle, de mettre en valeur ses formes, de « varier les plaisirs » et lui proposa une épilation orientale intégrale :

- « Comme j'en pratique sur Florence, demande lui ce qu'elle en pense ».

A ces mots Florence releva sa jupe et baissa son string pour dévoiler un sexe glabre.

-« Montre à ton homme que tu peux être sexuellement disponible et il reviendra vers toi, commence par être plus sexy, Samia est dans le vrai » dit-elle.

Cette vision et ce propos troublèrent Céline : elles avaient probablement raison, cependant, très pudique, voir prude, elle refusa la proposition de Samia.

Dans un premier temps, car les paroles de ses amies revenaient en boucle dans ses pensées, et plus encore après avoir commencé le traitement hormonal prescrit par le médecin indiqué par Florence. Ce médecin l'avait bien prévenue des effets secondaires : les hormones allaient rendre sa poitrine plus sensible et plus volumineuse et auraient une action positive sur sa libido. Elle n'avait pas parlé de ce traitement à son mari de crainte qu'il ne l'empêche de le suivre à cause de ces effets secondaires, qu’elle se jugeait à même de contrôler.

Il lui devenait de plus en plus évident qu'il fallait qu'elle devienne « sexy », elle en ressentait d’ailleurs le désir. Elle avait eu l’envie de s’acheter une jupe courte et moulante et une paire de chaussures à talons haut, mais n’avais pas osé : « Ce n’est pas mon style, comment le prendrait Sébastien si j’expose ainsi mon cul ».

Il y a deux mois, Sébastien, l’observant tandis qu’elle se rasait les cotés du maillot avant d’aller à la piscine, lui proposa, une fois de plus, de s’offrir les services d’une esthéticienne pour une épilation intégrale. D’habitude elle répondait que c’était trop gênant et que, de toute façon, elle n’était pas une actrice porno. Mais cette fois-ci, c’est elle qui lui parla de l'épilation orientale proposée par Samia. Sébastien, enthousiaste, l'encouragea à accepter.

Elle avait donc dit oui l’offre de Samia et depuis l'accompagnait régulièrement chez elle, toujours un vendredi , en sortant du bureau, afin de réaliser cette épilation intégrale.

L'application du sucre et du miel rendait sa peau d’une douceur exceptionnelle et elle ne pouvait résister, chaque fois qu'elle se croyait seule, à l'envie de se caresser le ventre, la chatte et parfois le pourtour de l'anus. Ceci la maintenait dans un état d'excitation qu'elle appréciait inconsciemment.

Un vendredi soir, après que Samia l’eut épilée, elle caressa son pubis pour constater le résultat, ses doigts s’aventurèrent sur ses lèvres intimes et son clitoris, l’émoi provoqué par ce geste l’incita à ne pas remettre sa culotte sous sa jupe. Samia, qui avait suivit du coin de l’œil le manège de Céline, lui adressa un sourire complice .

- « Il n’y a pas qu’aux hommes qu’une belle chatte bien lisse fait de l’effet. Et tu en profiteras mieux en la laissant à l’air libre ».

Céline regagna ainsi son domicile, émoustillée de sentir l’air caresser ses parties intimes.

A la maison, après avoir embrassé Sébastien, elle alla ranger du linge de maison, acheté durant la pose de midi, dans le tiroir bas d’une commode. En se penchant son cul massif fut exposé impudiquement aux yeux de Sébastien qui se délecta du spectacle. Il observa l’absence de marques du sous vêtement dont il soupçonna l’oubli. Quelques minutes plus tard, il lui caressa les fesses.

- « Que t’arrive-t-il, tu ne mets plus de culotte maintenant ?

- « C'est ce que m'a conseillée Samia, ne rien porter pendant quelques jours pour l'hygiène », avait elle répondue (la bonne excuse !).

- « Alors il ne faut plus en mettre, tout simplement. » acquiesça Sébastien, qui ne cru pas un instant à l’explication de son épouse mais fut trop content de ce changement vestimentaire.

Depuis, durant les week-end, à la demande de Sébastien, Céline restait ainsi nue et épilée sous ses robes ou jupes (bien sages). Elle trouvait cela agréable et était souvent excitée, « je mouille tout le temps… » se disait-elle.

Les rapports sexuels de Sébastien et Céline étaient devenus plus fréquents et plus intenses. La disponibilité de Céline encourageait Sébastien qui devenait de plus en plus tactile, n’hésitant plus à passer une main sous ses jupes pour la caresser lorsqu’ils étaient seuls. Il lui léchait plus fréquemment la vulve libre de tout poil. Il était aussi de plus en plus directif au lit. Céline se lassait faire et manifestait ostensiblement son plaisir d’être ainsi traitée.

Mais elle remettait une culotte le lundi pour repartir au travail, et le train-train quotidien reprenait.

Voilà déjà plusieurs mois que Céline avait commencé son traitement hormonal, sans le résultat escompté, sinon que sa poitrine était devenue plus lourde et plus sensible. Ses soutiens-gorges étaient devenus trop étroits et la compressait, elle évitait d’en porter à l’appartement.

Sébastien s’en était aperçu. Ajouté à la sensualité nouvelle de Céline, il se posait des questions sur ces changements :
- « Sa poitrine qui prend du volume, pourquoi ? Elle se fait épiler, elle aime avoir le cul nu, elle aime de plus en plus faire l’amour et se présente d’elle même en levrette sans que je lui demande ».
Il lui avait proposé, au début de leur vie commune, de lui raser la chatte et suggéré de ne pas porter de sous-vêtements. Elle avait refusé net le traitant alors de pervers. Sébastien n’avait pas insisté un peu honteux. Pourquoi ce revirement ? Ne serait-t-elle pas sous l’influence d’un amant ?

La réponse à cette question lui paru évidente : oui, elle obéissait à un autre que lui. Il ressentit une émotion intense à cette constatation, mélange de douleur et d’excitation. Il était trompé, mais l’évolution de Céline lui plaisait, il en profitait. Il l’avait souvent imaginé se comportant comme une « salope » et se livrant à d’autres hommes. Cela l’excitait, comme à l’instant : il bandait.

Quelque soit ses sentiments, il devait savoir ce qu’il en était réellement.

Céline et Sébastien prenaient habituellement les transports en communs pour se rendre sur leurs lieux de travail respectifs. Cependant Sébastien avait remarqué que Céline empruntait plus souvent le véhicule du couple, « pour faire des courses » disait-elle, et que c’était toujours un jeudi. Il consulta la mémoire du GPS du véhicule et y trouva une adresse nouvelle. Le jeudi suivant, il se libéra de ses activités professionnelles dès le début de l’après midi et se rendit en taxi à cette adresse, dans une rue commerçante d’une banlieue cossue de la ville.

L’entrée de l’immeuble était fermée, régulée par un interphone. Sébastien photographia les noms inscrits sur l’interphone, une dizaine, à l’aide de son smartphone. Puis, par chance, il trouva un poste d’observation dans un bar, situé à une cinquantaine de mètres de là, de l’autre coté de la rue. De la table où il buvait café sur café, il observait, à travers la vitre du bar, l’entrée de l’immeuble portant le numéro de rue trouvé sur le GPS. Son attente fut longue, mais, vers dix sept heures, il blêmit en voyant le véhicule du couple se garer et Céline en sortir. Elle rentra directement dans l’immeuble après s’être présentée à l’interphone. Il du patienter trois-quart d’heure avant de la voir ressortir, reprendre sa voiture et repartir. Trois-quart d’heure pendant lesquels il passa par des sentiments contradictoires : de la jalousie à l’excitation de la savoir femelle... mais avec un autre.

Sébastien rejoignit son domicile à la même heure que d’habitude et essaya de faire comme si rien ne c’était passé malgré qu’il fut rongé par la jalousie. Ce n’est que plus tard dans la soirée que Céline, devant l’air renfrogné de son époux, lui demanda :

- « Qu’est-ce qui ne va pas chéri ? Tu a des problèmes au travail ?

- « Non, pas au travail, avec toi », Sébastien sorti son smartphone et lui présenta la photo de l’interphone avec la dizaine de noms des habitants de l’immeuble ou elle était rentrée quelques heures auparavant.

- « Lequel est ton amant ? » vociféra-t-il, et il enchaîna, sans laisser le temps à Céline de se défendre.

- « Tu es libre d’avoir un amant puisque, sur le plan sexuel, j’ai été incapable de te satisfaire. Tu lui accorde ce que tu m’a autrefois refusé et que je n’ai plus oser te demander. Mais je suis heureux pour toi. D’autant plus qu’il t’éduque comme j’aurais aimer le faire, et que tu me fais profiter de tes nouvelles dispositions. Te savoir le sexe lisse, sans culotte, ayant constamment envie de faire l’amour, m’excite moi aussi. J’espère qu’il va continuer et faire de toi une pute recherchée qui aime se faire enculer et sucer des bites. »

Puis, se rendant compte qu’il avait été trop loin, sur un ton plus doux, il repris :

- « Excuse ma grossièreté, mais je suis malheureux que ce soit avec un autre que tu te libère sexuellement car je t’aime et j’aurais tant voulu que tu m’accorde ce privilège, cette marque d’amour ».

- « Idiot, répondit elle, je vais chez le médecin, le docteur au premier étage, regarde mieux ta photo ! Et je fait tout çà pour toi ! Crétin ! ».

Puis elle se leva brusquement et alla s’enfermer dans la chambre.

- « Cette nuit tu dormira dans la chambre d’amis » lui cria-t-elle à travers la porte sur un ton qui n’admettait aucune réplique.

Honteux de s’être si lourdement trompé, Sébastien ne put que se résoudre à la laisser tranquille. Il passa une très mauvaise nuit, cherchant comment se faire pardonner. Au matin, il se leva tôt et parti au travail avant qu’elle ne fut debout, ne voulant pas affronter son regard réprobateur.

La nuit fut aussi très agitée pour Céline. D’abord cet espionnage vécu comme une trahison de la part de l’homme qu’elle aimait, d’autant plus que ce qu’elle faisait, elle le faisait pour lui, pourquoi pensait-il que se fut pour un autre homme ? Ensuite, s’il était malheureux, c’est qu’il tenait à elle. Enfin, qu’elle soit sexy et disponible lui plaisait, c’était bien le but qu’elle recherchait. Mais il voulait qu’elle aille plus loin, jusqu‘où ?

Au fur et à mesure que les heures passaient, elle admettait qu’il se soit trompé, ne lui avait-elle pas dissimulé son traitement pour la fertilité ? Ne lui avait-elle pas refusé certaines pratiques sexuelles depuis le début de leur liaison ? C’est vrai que devant ses refus catégoriques, dus à une éducation stricte, il n’avait pas insisté, par respect pour elle. Maintenant, sans qu’il lui demande, elle avait quelque peu changé, le comportement de Sébastien n’était peut-être pas anormal ? Et puis cette phrase qu’il avait sorti sous le coup de la colère « J’espère qu’il va continuer et faire de toi une pute recherchée qui aime se faire enculer et sucer des bites. » Il la rêvait donc en « salope », mais tous les hommes ne sont-ils pas des salauds ? Mais lui elle l’aimait, et elle aimait faire l’amour avec lui, les derniers week-end avaient été supers sur ce point. Alors pourquoi ne pas se réconcilier et lui accorder un peu de ce qu’il désirait, on verrait le « jusqu’où » plus tard.

C’est dans cet état d’esprit que Céline se leva le lendemain matin. Elle fut déçue de constater que Sébastien était déjà parti. Le connaissant, elle devina qu’il n’avait pas voulu l’affronter. « On verra çà ce soir » se dit-elle. Pour aller travailler, elle mis une jupe qui moulait bien son derrière, elle remarqua les marques de sa culotte et les trouva inélégantes. Elle se passait de ce vêtement avec plaisir le week-end et Sébastien appréciait, alors pourquoi ne pas l’enlever, c’était sans risque avec une jupe droite, s’arrêtant aux genoux. Elle le fit et parti ainsi.

Sébastien se concentra sur son travail toute la journée, « on s’expliquera ce soir, avec le cadeau que je vais lui faire elle devrait me pardonner ». Durant la pause de midi, il passa à la bijouterie ou Céline avait repéré, quelque temps auparavant, une montre de marque magnifique mais un peu chère. Il sorti de la bijouterie avec un beau paquet cadeau et un ticket de carte bancaire mentionnant un chiffre conséquent, l’amour n’a pas de prix.

Au contraire, Céline vécu cette matinée avec une sensation étrange d’être habillée et nue en même temps. Avec son mari c’était une chose, elle se sentait protégée, mais au travail c’était différent : elle avait l’impression d’être disponible en permanence, elle mouillait et craignait que d’autres s’en aperçoivent ce qui ne fit que l’exciter encore plus.

Son mari était-il un pervers ? C’est la question que Céline se posait. Prétextant une urgence, elle regagna son domicile en fin de matinée. Elle alluma l’ordinateur familial et se lança dans la recherche sur internet de forums parlant de sexe. Elle trouva rapidement ce qu’elle cherchait, en bien plus hard que ce qu’elle lisait dans les magazines féminins. Après quelques heures de lectures et de visionnages, les pratiques et les situations rencontrées lui firent voir la sexualité sous un autre jour, la perversité de son époux lui semblait maintenant bien banale.

Durant ses recherches, son désir de sexe fut exacerbé par certaines vidéos, dont quelques sodomies et doubles pénétrations. Elle releva sa jupe jusqu’à la taille et se mis à se caresser activement la chatte. Quelques instants plus tard, elle alla prendre le vibromasseur, de la forme d’un phallus de belle taille, que Sébastien avait acheté et dont elle acceptait rarement qu’ils s’en servent. Elle le glissa facilement dans son vagin trempé, et le mis en marche tout en revisionnant ces vidéos. Elle atteint rapidement un puis deux orgasmes en le manipulant. Puis elle voulu le faire pénétrer dans son anus, mais celui-ci, mal préparé, trop serré, refusa de s’ouvrir. Elle força et la douleur de cette tentative la fit renoncer. Elle replaça le sex-toy, vibreur éteint, au fond de sa chatte et poursuivit la consultation des forums, un peu calmée par ses orgasmes précédant, avec la sensation troublante et agréable d’être « bien remplie ».

Elle n’avait pas vu le temps passer et ne se rendit compte de l’heure qu’au bruit de la clé dans la serrure de la porte d’entrée. Sébastien arrivait, en avance par rapport à ses horaires habituels, trop pressé de se réconcilier avec sa femme. Elle ferma sur-le-champ l’ordinateur, et se précipita dans la salle de bains. Elle sortir le vibromasseur, gluant de sa mouille, de son sexe et le cacha dans le panier de linge sale. Elle pris ensuite le temps de remettre de l’ordre dans ses vêtements.

Quand elle revint dans le salon, Sébastien l’attendait. Sans un mot, il lui tendit un paquet cadeau. Elle le saisit, surprise, et l’ouvrit pour découvrir la montre. Il lui dit alors :

- « Pour me faire pardonner d’avoir soupçonner sans raison la femme que j’aime ».

Malgré l’apparence froide qu’elle affichait afin de se donner une contenance, Céline n’attendait qu’un geste de sa part pour pardonner à son mari, ce cadeau était plus que ce qu’elle espérait. Elle se jeta à son cou et ils s’embrassèrent quelques secondes. Sébastien empoigna les fesses de sa femme et les malaxa langoureusement. Puis il la souleva et la porta jusque sur le canapé du salon. Allongée sur le dos, Céline se souleva et remonta sa jupe, découvrant son sexe nu resté ouvert et gras, souvenir de la présence prolongée du vibromasseur. Déjà excité par la chaleur du corps de Céline et son absence de culotte, la vision de son bas ventre ainsi exposé finit par le rendre fou de désir. Il baissa son pantalon et sortit sa queue.

Céline écarta les cuisses :
- « Prends-moi, j’en ai besoin…j’ai besoin de sentir que je te plais encore... »

Elle saisit le sexe raide de Sébastien, l’attira sur elle. Ce n’était pas souvent qu’elle prenait ainsi l’initiative. Sans préliminaire, il s’enfonça doucement dans son vagin plus large et plus accueillant que de coutume. Cette sensation nouvelle lui fit perdre tout contrôle et il se déchaîna en elle de toute la puissance de ses reins. La violence de l’assaut surpris Céline qui ne put retenir des cris de jouissance tandis que se jambes tremblaient. Sébastien déchargea dans les secondes qui suivirent.
Il leur fallu plusieurs minutes pour reprendre leurs esprits.

Sébastien, remettant les pieds sur terre, lui demanda :
- « Pour quel traitement consulte tu le médecin où tu avait rendez vous hier soir ? »

Céline ne répondit pas de suite, elle était dans ses pensées « Que c’était bon de se faire culbuter comme une dévergondée ! ». Sébastien répéta sa question.

Elle se lança alors dans une explication médicale sur les « inducteurs d’ovulation ». Son mari n’y compris rien, sinon qu’elle se faisait injecter des hormones dans le but de tomber enceinte. Comme elle n’était pas sûre du résultat, elle ne lui en avait pas parlé. Oui, sa sensibilité mammaire avait augmenté et probablement la taille de sa poitrine. Et comme cela n’avait aucun sens si ils ne faisaient pas l’amour, elle avait fait un effort pour être plus sexy. En résumé, elle faisait tout pour lui donner un enfant et il n’avait aucune raison de lui reprocher son évolution physique, vestimentaire et sa nouvelle sensualité.

- « Je ne suis qu’un imbécile, je n’avait rien compris. » fut la seule phrase que trouva à dire Sébastien qui avait écouté attentivement les explications de son épouse, qui se taisait maintenant, fatiguée par sa longue explication. Sébastien l’enlaça en lui caressant son ventre dénudé. L’image du vagin élargi et la sensation qu’il avait ressenti en le pénétrant lui revinrent à l’esprit ainsi que l’expression extatique du visage de son épouse au moment de son orgasme.

- « Mais, tout à l’heure, tu ne vas pas me faire croire que tu n’as pas pris ton pied. Tu profite toi aussi de tes efforts et moi je te trouve extraordinaire. Je t’aime ainsi, tu te libère. »

- « C’est vrai que j’ai eu du plaisir. Nous faisons mieux l’amour depuis que je t’excite comme une cochonne. Tu vois que tu me suffit et que je n’ai pas besoin d’un amant… »

Un silence s’installa durant lequel Céline se remémora les situations qu’elle avait lues et visionnées une grande partie de l’après-midi sur les sites de sexe. Elle dit alors à voie basse, comme si elle ne souhaitais pas qu’il l’entende :

- « Comme çà tu voudrais que j’ai un amant qui fasse de moi une pute qui aime se faire enculer? C’est bien ce que tu m’a sorti hier ? »

- « Hier j’étais emporté par ma jalousie, mes paroles ont dépassé ma pensée. » Tenta-il de se justifier. « J’aimerais que tu sois totalement satisfaite sexuellement avec moi, mais je manque peut-être de savoir faire, et si je ne suis pas à la hauteur, peut-être voudra tu d’un amant plus expérimenté. »

- « Ce soir tu as été plus qu’à la hauteur et je suis prête à t’écouter si ce que tu me demande m’apporte des orgasmes aussi forts… Prête à être ta pute à toi. » Finit elle par avouer.

- « Je t’aime. » Dit Sébastien à qui cet aveu ouvrait soudainement d'agréables perspectives.

Plus tard dans la soirée, Céline s’installa devant l’ordinateur sous un prétexte banal pour, discrètement, effacer les traces de ses recherches de l’après-midi. Ce qui intrigua Sébastien car elle n’utilisait que très rarement cet ordinateur, travaillant toute la journée sur ce type de matériel. Aussi intrigant que l’absence de culotte et du vagin dilaté de son épouse lorsqu’il l’avait prise dès son arrivé au domicile. Elle devait s’être débarrassée de cette culotte dans le panier de linge sale, destination normale pour un vêtement utilisé. Tandis que Céline avait les yeux fixés sur son écran, il se dirigea vers la salle de bains. Il ne trouva pas de culotte mais mis la main sur le vibromasseur, encore enduit des sucs séchés de son utilisatrice. Sébastien compris qu’elle s’était faite plaisir toute seule. Il remis tout en place, il jouerait l’ignorant pour ne pas la gêner.

Plus tard, sur l’ordinateur, il trouva des mots compromettant (forum sexe, histoire érotique, porno, etc…) dans le moteur de recherche. Il compris qu’elle avait surfé sur des sites de sexe et franchement pornographique. Ce n’est pas seulement pour ne pas la gêner qu’il ne l’informa pas qu’effacer l’historique, ou utiliser une session privée, du navigateur internet ne suffisait pas.

Sébastien avait l’explication concernant l’état du bas ventre de son épouse à son arrivée. Elle se décoinçait vraiment.

Sexe et peut-être une maternité, l’évolution de leur vie de couple présentait d'agréables perspectives.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

poulain
tres bien ecris avec du suspens vite la suite felicitations
Posté le 13/02/2018

vanbruje
A nouveau un très bon texte, merci. Une suite de "Mauvaise influence" serait la bienvenue, merci df'avance
Posté le 12/02/2018


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