Voir sa sexualité sous un autre jour permet à une femme de moins en moins pudique de ranimer son couple. Mais d’autres désirs se révèlent lors d’une rencontre. Faut-il se laisser tenter ou rester sage ? Une évolution en cours Pour « Mauvaise influence », une suite est en préparation mais il vous faudra de la patience.
Proposée le 19/03/2018 par Erty99
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Dans la nuit Céline se réveilla en pensant à ce qui s’était passé depuis deux jours. Elle mouillait, quelle en était la cause, le traitement hormonal ou les nombreux orgasmes qu’elle avait eu la veille ? Les deux étaient probablement liées.
Sébastien dormait profondément à ses cotés, elle pensa au vibromasseur abandonné dans le linge sale, se leva et passa le prendre dans la salle de bain. Pour ne pas faire de bruit, elle le nettoya au robinet de la cuisine, plus éloignée de la chambre. Au retour, elle s’arrêta un instant devant l’ordinateur, la tentation de l’allumer pour revisionner des vidéos l’effleura, mais ce n’était pas prudent, Sébastien pouvait se réveiller. Dans la chambre, elle se rendit compte qu’il lui fallait ouvrir un tiroir pour ranger l’engin à sa place et cela risquait de réveiller Sébastien. Elle se souvint des sensations troublantes procurées par la présence du sex-toy au fond d’elle lorsqu’elle était devant l’écran. Maintenant qu’elle savait que Sébastien, non seulement n’était pas offusqué par ses initiatives, mais s’en réjouissait, elle osa s’enfoncer le vibromasseur dans le vagin. Surprise de la facilité avec laquelle il entra, elle pensa « C’est donc bien sa place, je devrais essayer plus gros » et se recoucha. Le sexe rempli l’empêcha de se rendormir de suite en la maintenant dans un état d’excitation. Elle se calma en stimulant son clitoris avec ses doigts jusqu’à ce qu’un orgasme la foudroie, lui amenant le sommeil.
A son réveil, Sébastien voulut embrasser son épouse. Elle lui tournait le dos, couchée en chien de fusil. Il se pencha sur elle pour l’embrasser dans le cou et, simultanément, lui passa la main sur les fesses, il prolongea son mouvement vers sa vulve et il rencontra la base du vibromasseur. Un instant surpris, il compris rapidement le profit qu’il pouvait tirer de la situation : il tourna lentement la bague de réglage du vibreur et le poussa le plus profond qu’il le put. Les vibrations sortirent agréablement Céline de ses rêves. Sébastien fit alors aller et venir l’engin dans le conduit déjà bien lubrifié. Son mouvement, d’abord lent, devint de plus en plus rapide, au fur et à mesure que l’intensité des gémissements de son épouse augmentait. Il vit venir l’orgasme de sa suppliciée, quand il advint, il planta le phallus artificiel au fond de son vagin, tandis qu’il l’embrassait Céline bouche ouverte. Elle se tendit et elle vibra de tout son corps.
Sébastien lui laissa le temps de récupérer un peu et lui murmura :
- « C’est avec cet engin que tu t’es préparée hier soir avant que j’arrive »
Céline l’admit sans aucune gène :
- « Oui, je pense que mes hormones me détraque, je deviens nymphomane. Il te faut maintenant faire avec une femme qui a des envies inavouables. Ce vibro, c’est toi qui l’a acheté, ne te plains pas que je l’utilise. Je l’ai mis pour m’élargir le con, si nous voulons un enfant il faut que tu puisse m’ensemencer le plus souvent possible, que je sois prête en permanence. »
- « Je ne me plains pas, au contraire. Je suis heureux que le naturel prenne le dessus sur ta pudeur excessive... Mais si tu est prête en permanence, est tu prête aussi pour d’autres hommes ? »
- « Idiot, les autres ne m’intéressent pas, c’est un enfant de toi que je veux. » Et sur ces mots, Céline se mit à quatre pattes sur le lit, bien cambrée, ses grosses fesses bien en l’air.
- « Profite que j’ai la chatte ouverte et trempée, met toi au travail, je suis en pleine période d’ovulation. »
Sébastien se plaça à genoux derrière Céline, sortit le vibromasseur de son vagin et le remplaça par son sexe qui entra avec une grande facilité. Saisissant ses seins, qui balançaient sous elle au rythme de la pénétration, il les malaxa à pleines mains. Céline réussit à se saisir du sex-toy, à le mettre en mode vibration et en posa l’extrémité sur son clitoris. Sébastien lâcha les seins de son épouse pour la saisir aux hanches et augmenter sa cadence. Tous deux étaient près de la délivrance quand Sébastien cracha sur l’anus de Céline et y étala la salive avant d’enfoncer un doigt dans l’anneau. Malgré une légère douleur, qui disparu rapidement, Céline accepta cette intrusion. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier quand la jouissance jaillit, intense, tandis que du pénis de Sébastien giclait un flot de sperme au fond du ventre de Céline qui s’écroula à plat ventre.
Sébastien resta à genoux et intima à Céline l’ordre de remettre son cul en hauteur afin que le sperme descende bien dans l’utérus. Elle s’agenouilla à nouveau et se cambra jusqu’à poser la tête sur le lit. Elle jugea sa position obscène et le lui dit.
- « Tu n’est qu’un pervers pour m’exposer ainsi, tu dois te rincer l’œil mon cochon ».
- « Tu a bien raison mais c’est pour la bonne cause » répliqua-t-il en lui écartant les fesses à deux mains pour embrasser son anus.
Elle ne réagit pas, alors il récolta, avec deux doigts, les sécrétions qui tapissaient le bord de la vulve béante, en enduit l’anneau et y planta ses deux doigts, d’un mouvement lent mais ferme. Céline gémit de douleur et de plaisir mêlés, mais accepta une fois de plus cette intrusion.
- « Si tu élargis trop ta chatte et que tu ne me sente plus, il me restera cet orifice » dit Sébastien, sur un ton badin, en tournant les doigts dans ledit orifice. Il osait maintenant des gestes et des paroles auparavant jugés indécents.
Céline se laissa faire sans bouger, gênée et excitée par ce geste. Elle répondit, sur le même ton.
- « Tu est trop gros pour ce trou là, mais je saurais toujours te satisfaire autrement gros bêta ».
- « Ce trou là peut être dilaté afin d’accepter ma queue, il suffit de l’entraîner ».
- « On verra çà un autre jour » coupa Céline, ne voulant pas continuer la conversation sur ce terrain.
Elle garda la position encore quelques instants. « Je montre mon cul comme une pute » pensa-t-elle, « mais que c’est bon ! ».
Le reste de la matinée se déroula normalement, leur soif de sexe étant rassasiée. Ils refirent l’amour plusieurs fois dans le week-end, toujours dans le but de procréer. Céline suçait son mari pour le maintenir en forme avec de plus en plus d’entrain, le vibromasseur remplissant son sexe, puis Sébastien la prenait et elle finissait les fesses en l’air. Tandis que le sperme s’écoulait vers le fond de la matrice, Sébastien écartait les fesses de sa compagne et lui doigtait le cul en la complimentant sur la beauté de son postérieur. Elle le traitait alors de cochon lubrique mais ne bougeait pas et y prenait même du plaisir.
Le lundi matin c’est une Céline « culottée » qui se rendit à son travail. Ses collègues la trouvèrent épanouie, bien qu’un peu fatiguée. A un moment, Florence et Céline restèrent seules dans leur bureau. Florence évoqua, librement et dans un langage imagé comme à son habitude, son week-end mouvementé avec son chéri qui l’avait fait « grimper aux rideaux ». Elle demanda à Céline si avec Sébastien la situation s’améliorait. Dans l’ambiance franche et décontractée de la conversation, Céline avoua :
- « Oui, je lui ai expliqué mon traitement pour la fertilité, je lui ai dit que j’étais dans la bonne période pour la fécondation et qu’il fallait qu’il se mette au boulot et il m’a fait... « grimper aux rideaux » comme tu le dit si bien. »
- « Vu ta tête ce matin, je m’en doutais. »
- « Ce qui me gêne un peu, c’est qu’il commence à s’intéresser un peu trop à mes fesses ! »
- « Ben, c’est bien normal ! » s’exclama Florence. Et il n’est pas le seul. Tu n’imagine pas le nombre de types dans l’immeuble qui matent ton cul. Tiens, l’autre jour à la machine à café, il y en a un, plutôt bel homme, qui m’a sorti que tu avais un cul admirable et qu’il en rêvait la nuit. Il voulait que je te le présente, je lui ai répondu « pas touche elle est mariée ». Au lieu d’essayer de le cacher, met le en valeur, tu remonteras le moral de plus d’un ici… Et ailleurs ».
- « Mater d’accord, mais l’utiliser... » essaya d’argumenter Céline, mais Florence la coupa de suite.
- « La sodomie, quand c’est bien fait, c’est le pied ! C’est étonnant qu’avec le postérieur que tu as Sébastien ai résisté. Ou alors il ne sait pas s’y prendre. J’aurai du te présenter le gars de la machine à café, d’après Hélène, du secrétariat, il sait y faire et il est bien monté, et il en rêve même la nuit… »
Samia rentra dans le bureau et la conversation s’arrêta, mais les pensées de Céline continuèrent.
Elle savait bien que les hommes regardaient ses formes et, jusque là, elle en était gênée. Maintenant Sébastien et Florence, chacun à leur façon, lui faisaient comprendre que ses formes lui conféraient un pouvoir de séduction et qu’elle avait tort de les camoufler. Et si elle s’achetait la jupe courte et moulante et la paire de chaussures à talons hauts dont elle avait eu envie quelques temps auparavant ?
Céline pensa à Fabienne, une amie d’enfance, la seule personne avec laquelle elle pouvait parler ouvertement de sexe… Et elle en ressentait un impérieux besoin.
Fabienne était une belle femme, aussi grande que Céline, mais beaucoup plus fine. Adolescentes, elles étaient inséparables au point d’avoir eu des relations intimes. Fabienne avait séduit Pierre, un ami de son père, et s’était fait dépucelée par lui, puis usant de son influence sur son amie, l’avait livrée à ce Pierre qui l’avait à son tour dépucelée. Elles n’avaient eu le même amant que pendant peu de temps car Céline refusa la sodomie, Pierre mis alors fin à leur liaison. Ayant découvert le plaisir avec les garçons, leurs relations intimes diminuèrent puis disparurent, sans que leur amitié n’en fut amoindrie. Elles étaient toujours restées proches, gardant pour elles seules le secret de leurs amours d’adolescentes.
Le soir, après le repas, Céline téléphona à son amie tandis que Sébastien regardait la télévision.
- « Ton appel tombe au bon moment » lui dit Fabienne. « J’organise pour demain soir un petit dîner rapide. Il y aura un gros client de Damien (son mari) de passage dans notre ville. Ta présence rétablira la parité hommes-femmes et nous pourrons parler après le dîner quand les hommes regarderons le match de foot dont tout le monde parle tant depuis quelques jours. »
- « C’est parfait ! Sébastien à aussi prévu une soirée foot chez nous, ton invitation me permettra de ne pas y assister. Il comprendra que je préfère un dîner avec toi plutôt que le foot. »
Comme prévu, Sébastien ne fit aucune difficulté et se réjouis même secrètement d’avoir le champs libre pour accueillir ses copains pour voir le match, et boire quelques bières.
Le lendemain soir, Céline rentra plus tôt que d’habitude pour se préparer. Après une douche elle se maquilla légèrement. Elle mit ensuite une robe « sage », arrivant aux genoux, mais légèrement moulante.
Elle arriva chez son amie alors que celle-ci était encore seule et en plein préparatifs du dîner. Elle l’aida dans sa tâche, tout en discutant. Elle parla de son désir d’enfant, du traitement hormonal qu’elle suivait, de l’augmentation de sa libido induit par ce traitement (la bonne excuse!) et qu’elle avait peur de devenir une salope, d’ailleurs elle était épilée et ne mettais plus de culotte le week-end, à la demande de Sébastien précisa-t-elle.
Fabienne, qui ne l’avait pas interrompue, lui dit simplement.
- « Moi aussi j’aime le sexe, je suis épilée, il m’arrive de sortir sans sous-vêtements. Cà me plaît et pourtant je me sens normale. »
Puis, après un silence,
- « Je sais depuis longtemps que tu es faite pour le plaisir du sexe. Mais ta morale à deux sous fait de toi une coincée. Tu te décoince, c’est bien, si tu veux rattraper le temps perdu alors, fonce. Tu as de jolies jambes, montre-les, tu as des formes, met les en valeur. Profite des jouissances que peuvent t’apporter les hommes, ne fait pas comme avec Pierre (l’ami de son père qui avait pris leurs virginités), il aurait pu t’apprendre plein de choses très cochonnes mais très agréables. »
Se souvenant de l’autorité qu’elle avait autrefois sur son amie, et du plaisir qu’elle en retirait, Fabienne finit sur un ton sec.
- « Tu va commencer par enlever ces sous-vêtements qui font trop de marques à ta silhouette, c’est le problème quand on a des rondeurs, d’ailleurs ton sous-tif est trop petit çà se voit. »
Céline refusa dans un premier temps, mais se laissa convaincre quand Fabienne l’amena devant un grand miroir, dans la salle à manger, constater la réalité. Sadiquement, la maîtresse de maison ne lui proposa pas d’aller dans une autre pièce, si bien que Céline fut contrainte de se déshabiller sur place. Sous le regard de Fabienne sur son corps dénudé et son pubis lisse, Céline sentit son sexe s’humidifier.
Elle remit sa robe, essaya en vain de remonter sa poitrine, et alla ranger ses sous-vêtements dans son sac à main. C’est à ce moment que la porte d’entrée s’ouvrit avec l’arrivée de Damien et de son invité.
C’est Damien qui fit les présentations. L’invité se prénommait Claude, devait avoir près de soixante ans, grand, cheveux blancs, visiblement bien conservé. Damien l’avait convié lorsque, parlant du match de ce soir, Claude avait regretté devoir le regarder seul dans sa chambre d’hôtel, sans ambiance, Damien lui avait alors proposé de le voir ensemble, en buvant le digestif après un bon repas.
Ils passèrent à table rapidement, le match ne les attendrait pas. Fabienne prévint discrètement Céline :
- « Je pense qu’il va te faire la cour, ne le rembarre pas brutalement car c’est un client important de Damien. Attention, il a du succès avec les femmes : il les traite comme des putains, et elles adorent ça. Va comprendre ! »
La maîtresse de maison avait bien fait les choses, le repas fut excellent dans une très bonne ambiance. Claude, que Fabienne avait placé à coté de Céline, posa à plusieurs reprises la main sur la cuisse de celle-ci, par dessus sa robe, mais n’alla pas plus loin sinon une caresse légère. Céline, avertie, se laissa faire, trouvant même ce contact agréable et excitant.
Au café, Fabienne évoqua la prochaine absence de son mari, celui-ci devant superviser l’installation d’une succursale de sa boîte à l’étranger. Damien, sûrement sous l’effet de l’alcool, plaisanta en évoquant le risque d’être trompé durant cette absence.
- « Ah si je pouvais lui faire porter une ceinture de chasteté ! Comme au moyen âge. »
Claude intervint.
- « Les Romains étaient plus modernes. Savez vous que le piercing des lèvres intimes de la femme trouve ses origines dans la Rome antique où on empêchait les rapports sexuels entre esclaves en fermant l'accès au vagin à l'aide d'anneaux. »
- « Oui, mais je ne suis pas une esclave » Rétorqua Fabienne que la mise en doute de sa fidélité par son mari avait assombrie.
- « Mais de nos jours, ce type de piercing a principalement une fonction esthétique. » Dit Claude, pensant éloigner la conversation du thème de la fidélité. « Ces anneaux sont souvent de vrais bijoux. »
- « Est-ce douloureux ? » demanda Céline qui se souvint avoir été émue par la vision d’une femme annelée à la poitrine et au sexe dans une vidéo qu’elle avait revue plusieurs fois.
- « Ce peut être réalisé sous anesthésie locale. Je connais un très bon pierceur dans votre ville. Vous aimeriez en porter ? »
- « C’était une simple question. »
Céline aurait bien aimé poser d’autres questions sur ce sujet, mais elle s’abstint, le sujet était trop intime. Cependant, Claude, la main sur le haut de la cuisse de la jeune femme, avait remarqué sa nervosité.
Le match commençait, les hommes s’installèrent au salon devant l’écran de télévision et les femmes débarrassèrent la table. Dans la cuisine Céline demanda à son amie.
- « Quelles sont ces choses très cochonnes mais très agréables que Pierre t’a apprise ? »
- « Des choses simples comme bien sucer un homme, se faire sodomiser et en jouir, se faire prendre par deux hommes en même temps, et d’autres encore. » Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. Tiens regarde Claude, s’il traite les femmes comme des putains et qu’elles adorent ça, c’est qu’il est sûrement un bon professeur ».
Une fois le lave-vaisselle rempli et mis en marche, les deux femmes s’en allèrent sur la terrasse tandis que le téléviseur hurlait les commentaires du match de foot. Leur discussion continua et c’est fabienne qui prononça la dernière phrase.
- « Tu as besoin d’être contrainte pour dépasser tes inhibitions, tu devrais prendre un amant, un amant exigeant, ton mari est trop gentil avec toi. Je te laisse avec Claude »
C’était la mi-temps et Claude venait les rejoindre. Fabienne trouva un prétexte pour le laisser seul avec Céline et empêcha Damien de venir. Claude dragua ouvertement Céline qui aurait normalement mis fin à cette conversation si elle n’avait reçue pour consigne de ne pas faire d’esclandre. Excusée par cette contrainte, elle en profita pour se laisser séduire avec délice, elle plaisait, il avait envie d’elle et elle aimait entendre ses paroles. Il lui plaisait aussi, il était vieux mais terriblement séduisant, comme Pierre autrefois. Elle sentit des fourmillements dans son ventre. Ses mamelons durcis pointaient sous le tissu de la robe : à son regard elle avait compris qu’il savait qu’elle était sans soutien-gorge. « S’il savait que je suis aussi sans culotte, il me traiterait comme une putain » pensa-t-elle.
Le match repris et Damien vint chercher Claude. Céline pensa que c’était le bon moment pour mettre fin à une situation qui devenait embarrassante pour elle. Elles les informa qu’elle devait regagner son domicile et les remercia pour « cette excellente soirée ». Claude lui demanda son numéro de portable. Tandis qu’il le notait sur son smartphone, alors que Damien avait déjà regagner le salon et les laissait seuls, il lui dit :
- « J’aurais grand plaisir à vous revoir lors de mon prochain passage. J’aimerais mieux vous connaître et vous guider dans le choix de bijoux intimes… puisque ce sujet semblait vous intéresser. »
Céline, troublée, garda le silence, embrassa Fabienne et pris congé. Dans la rue, son excitation fut maintenue par les mouvements de sa lourde poitrine lors de la marche vers sa voiture et l’air passant sous sa robe et caressant son sexe. Elle ne rentra pas tout de suite, roulant une bonne demi-heure dans les rues et réfléchissant à cette soirée. Elle aimait les hommes, mais Sébastien devait lui suffire. Tant pis pour les plaisirs qu’elle ne connaîtrait pas.
De retour à son domicile, elle croisa les amis de Sébastien qui quittaient l’appartement euphoriques, leur équipe avait gagné. Son mari rangeait le salon. Elle parti se dénuder dans la chambre avant qu’il ne s’aperçoive qu’elle était nue sous sa robe. Constatant que son excitation était toujours présente et que sa vulve était grasse, elle chercha le vibromasseur et l’enfila dans son vagin. C’est ainsi que Sébastien la trouva.
- « Pour que la fête soit compète. » Lui dit-elle.
Plus tard, alors qu’elle le suçait, Sébastien lui fit la remarque :
- «Le vibro rentre maintenant trop facilement, il ne doit plus te faire autant d’effet. Veut tu qu’on le remplace par un gode de plus gros calibre ? »
Céline libéra sa bouche du membre de son mari pour répondre :
- « Et quand j’aurais la chatte trop élargie, tu ne me feras plus d’effet non plus. Tu voudras alors mon trou du cul qui lui n’est pas assez élargi, et je ne veut pas souffrir. »
Sébastien fut un peu surpris par la crudité du propos, mais il l’avait bien provoqué, et s’était logique qu’elle libère sa parole alors qu’elle se libérait sexuellement.
- « On peut y aller en douceur avec sex-toys et du lubrifiant, ou faire appel à un spécialiste ». La dernière partie de la phrase était sorti de la bouche de Sébastien sans qu’il y réfléchisse. Il le regretta, sur le moment, quand Céline lui répliqua :
- « Je préfère le naturel à l’artificiel, une vrai bite... »
Elle pensa à Claude et finit sa phrase.
- « Ta seconde proposition me conviendrait mieux » puis elle se rattrapa « Si tu ne me suffisait pas, ce qui est loin d’être le cas. »
- « Pour le moment. » ne put s’empêcher de conclure Sébastien, subjugué par ses fantasmes.
Il reprirent leur joute amoureuse et lorsque Sébastien pris Céline en levrette, c’est elle qui lui demanda :
- « Mets moi tes doigts dans le cul. »
Sébastien retira son sexe du vagin de Céline, y entra deux doigts avec lequel il recueilli la mouille qui en tapissait les parois, puis l’ étala sur l’anus de sa compagne, tandis que celle ci écartait ses fesses à deux mains afin de lui faciliter la tâche. Il répéta ce geste plusieurs fois avant d’enfoncer, doucement, un des doigts bien lubrifié. Céline ne ressenti aucune douleur, elle trouva même cela excitant et le fit savoir par un gémissement de contentement. Sébastien entrepris alors un mouvement de va et vient avec son doigt, puis le second doigt rejoignit le premier et le mouvement repris. Pour la première fois de sa vie, Céline connu le coït anal. Ce n’était que deux doigts, mais pour Céline, c’était la découverte d’un nouveau type d’orgasme, différent. « Avec une vraie bite ce devrait être plus puissant, plus sauvage », pensa-t-elle. Elle se senti femelle.
Sébastien continua en réinvestissant le vagin de sa femme et se vida en elle. Ils s’écroulèrent tous les deux cote à cote sur le lit.
Avant de s’endormir Céline repensa à ce coït particulier et aux conversations de la journée, avec Florence, Fabienne, Claude...surtout Claude. Il était temps d’essayer la sodomie. A voix basse elle en parla, à sa façon.
- « Pas la peine de faire appel à un spécialiste… élargit moi par derrière comme tu l’entend... tu as raison, il me faut un gode plus gros pour ma chatte ».
Lorsque Sébastien, qui ne s’était pas endormi, entendit cette reddition il fut saisi d’une vive émotion qui l’empêcha de répondre. Ses fantasmes devenaient en partie réalité. Il avez cru que sa femme le trompait, et il en avait tiré une grande excitation, bien que soulagé de savoir fidèle. L’idée de la partager avec un autre homme, à condition qu’il soit bien plus expérimenté, c’est à dire plus âgé, faisait son chemin dans son esprit. Elle n’avait pas encore dit oui, mais il la sentait hésitante.
Céline présuma qu’il dormait, mais elle ne pensait déjà plus à lui mais à Claude. Une fois prête par derrière, qui de Sébastien ou de Claude pourrait lui procurer un vertige nouveau, encore plus puissant, plus sauvage ?
Puissants et sauvages comme les accouplements qu’elle voyait sur les sites pornographiques qu’elle regardait en cachette. Des images de double pénétration, gang bang, gorge profonde, énorme bite de black, de filles percées… se bousculaient régulièrement dans sa tête, provoquant trouble et désirs humides.
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