Depuis le divorce de ses parents Chloé vit avec sa mère, tout se passe bien entre elles et la vie s'écoule jusqu'à l'arrivée du nouvel amant de celle-ci qui va quelques peu troubler le calme familial...
Proposée le 1/03/2018 par GRONEMOU
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Mes parents étaient divorcés depuis quelques années, je vivais avec ma mère qui avait obtenu ma garde. Maman avait essayé de refaire sa vie, sans grand succès, quelques hommes avaient partagés notre maison et notre quotidien, des sympas, des beaux, des moins beaux, des cons, des égoïstes, des chiants, des jamais la, certains cumulant tous ces qualificatifs, pour des durées allant de 48 heures à 1 an. Puis il y eut Franck…bel homme, la quarantaine épanouie dont maman devint follement amoureuse, au point de redevenir presque une gamine avec lui, dans son comportement et dans ses ébats, oubliant parfois que moi j’allais bientôt ne plus en être une avec mes 17 ans bien sonnés et que je connaissais tous les bruits qui provenaient de sa chambre.
J’étais contente pour maman, je la voyais changer, faisant encore plus attention à elle, déjà qu’elle était une belle femme, elle devenait une magnifique… De plus Franck était assez sympa, intelligent sans être : « Mr je sais tout », drôle sans être un comique, faisant sortir maman de son petit train-train quotidien en l’emmenant au théâtre, à l’Opéra, visiter des Musées, partir en week-end en amoureux, Mr (presque) Parfait…Les yeux de maman pétillaient, son cœur frétillait, ses sens explosaient, apparemment elle était heureuse et moi je pouvais faire pratiquement ce que je voulais puisque mes résultats scolaires étaient là et que je n’abusais pas de la liberté qui m’était accordée, une jeune fille très sage en quelque sorte.
Franck cohabitait avec nous depuis quelques mois, notre maison était grande, nous ne nous gênions pas… Sans être une fille délurée et aguicheuse, je n’éprouve aucune gêne et, sans doute un peu naïve, je ne vois pas le mal… si bien que je me promène souvent chez moi en petite tenue, non pas toute nue, mais souvent en petite culotte et soutien-gorge ou avec mes nuisettes très soft certes mais pas trop non plus. J’aime être à l’aise et l’hiver maman étant une grande frileuse, la maison est surchauffée …
J’adore me lover depuis toute petite dans le grand fauteuil du salon en petite culotte, à regarder la télévision en faisant mes devoirs ou dévorer un livre… sauf qu’aujourd’hui j’ai plus que 17 ans et mes formes n’ont rien à envier à celle d’une femme. Du coup je ne fis pas trop attention aux regards que Franck portaient sur moi, surtout lorsque maman n’était pas encore rentrée et que nous l’attendions seuls tous les deux, lui sur son PC portable à finir ses journées de travail, moi dans mes livres…..
Quand je dis que je ne fis pas trop attention, je mens un peu, j’avais bien croisé quelques regards de sa part sur mes cuisses ou sur ma poitrine, je m’en étais amusé mais aussi sentie flatté que je puisse attirer l’attention d’un « Homme » de cet âge et non pas que des grands ados boutonneux fréquentant la fac, même si j’étais sortie avec quelques-uns dont deux avec lesquels j’avais dépassé le stade des baisers et des mains baladeuses, pas ensemble bien sûr, l’idée ne me viendra que plus tard....Jeune fille devenue femme, maman ne se doutant de rien, ou faisant semblant d’y croire.
Si bien que je m’en amusais un peu, sans le provoquer, je ne changeais rien à mes habitudes, sauf peut-être de préférer mes petites culottes et body assortis en coton très sexy et d’avoir un gout encore plus prononcé pour la lecture…….Naïve et encore jeune je ne vis pas le danger, ni de sa part ni de la mienne….
De sa part : il rentrait de plus en plus tôt, moi studieuse à 18h30 au plus tard j’étais à la maison, lui aussi pratiquement, maman ne rentrant pas avant 20H00, curieusement il me demandait de participer beaucoup plus à ses recherches sur internet ou l’aider à préparer le repas en attendant maman.
De la mienne : le coté amusant étant devenu un prétexte à m’acheter des petits ensembles sexy tout en restant de mon âge, à prendre des poses dans le fauteuil ne cachant rien de mes fesses ou de mon entre-jambes, ainsi que m’épiler et me raser à la perfection de partout….
Le petit jeu était devenu le rituel du soir, maman sur un nuage ne tiquait même pas sur ma tenue lorsqu’elle rentrait…Il faut dire que Franck s’occupait bien d’elle, même du temps de papa ou des autres hommes venus dans son lit je n’avais jamais entendu les cris qu’elle laissait échapper certains soirs de sa chambre, sans doute parce que j’avais le sommeil plus lourd étant plus jeune…mdr !!! …petits cris qui ne me laissaient pas indifférente……..
Je trouvais Franck de plus en plus sympathique mais surtout de plus en plus beau, je devenais curieuse et surtout espiègle, rentrant parfois dans la salle de bain lorsqu’il prenait une douche, l’air innocente et me confondant en excuse, mais c’était pour voir son corps, sans être trop athlétique il était bien proportionné, n’avait pas de ventre et un sexe de bonne taille, du moins en rapport avec le peu que j’avais vu…lui plus malin me frôlait l’air de rien lorsque nous étions en cuisine ou appuyait légèrement sa tête sur mon épaule ou sur le haut de ma poitrine lorsque nous regardions ensemble ce qu’il voulait me faire voir sur internet…nos attouchements, nos frôlements devenaient plus nombreux si bien que j’en rêvais la nuit, me surprenant même à glisser un doigt ou deux entre mes cuisses puis frotter délicatement mon petit bouton jusqu’à en avoir des spasmes et voir mes reins se soulever et me laisser en sueur. Je tombais doucement amoureuse à mon tour du seul homme de la maison, mais qui m’était interdit !!!
Je venais d’avoir 18 ans, pour fêter cela en famille Franck et moi préparions un petit repas. Plus doué en cuisine que moi il voulut m’apprendre à couper des tomates rapidement comme un chef cuisinier il se plaça derrière moi afin de me guider dans mes gestes et là je sus l’effet que je lui produisais, la bosse sous son short calée entre mes fesses ne laissait planer aucun doute, sa façon de me prendre les mains et les guider avec le couteau était comme une caresse, son souffle et sa voix chaude le long de ma nuque me fit comme une petite décharge électrique et je me collais un peu plus à lui innocemment…il dut le sentir et déposa un bisou dans mon cou, ce fut comme un déclic en moi, comme un signe, m’enhardissant je me retournais le regardais droit dans les yeux et l’embrassais sur la bouche, une fois, deux fois, trois fois, plein de fois, je ne m’arrêtais plus…lui surpris ne réagissait même pas, du moins pas encore….ses mains se posèrent sur mes hanches pleines d’hésitation puis s’enhardirent à parcourir mon corps, me toucher de partout, moi les lèvres toujours collées à sa bouche je me pendais à son cou, nouant mes cuisses autour de sa taille, lui tout en me pelotant comme un fou, glissant ses mains sous ma culotte me palpant les fesses n’arrêtait pas de répéter : « c’est de la folie Chloé, c’est de la folie !! »
Nous n’avions pas le temps, mais dans la cuisine plus rien n’existait, ni le four qui chauffait, ni les œufs qui cuisaient dans l’eau bouillante, rien, juste lui et moi collés l’un à l’autre dans une étreinte folle et intense, ses mains étaient passées de mes fesses à mon bas ventre, moi toujours collée à sa bouche j’avais reposé les pieds par terre pour mieux écarter mes cuisses et me laisser explorer…Je sentais ses doigts sur ma vulve humide entrouvrir mes grandes lèvres et plonger dedans, son pouce titillant mon clitoris… sa caresse me rendait folle, ma langue plongeait au fond de sa gorge, roulant et m’enroulant autour de sa langue en soufflant fort tout en gémissant de plaisir !!!
D’un geste sur et habile il retira ma culotte, je sentis le tissus en coton me glisser le long des cuisses puis des mollets, il posa mes fesses sur un des hauts tabourets de bar de la cuisine et entrepris de fouiller mon sexe avec ses doigts….je m’ouvrais comme un compas à sa caresse, intimidée et conquise par la virilité dont il faisait preuve…rapidement le plaisir arriva, les cris qui sortirent de ma bouche m’étaient inconnus et me surprirent …ce n’est que lorsqu’il me retourna et m’appuya les mains sur la table bar en commençant à vouloir ôter son short que je pris conscience du danger…
-Non ! Lui dis-je essoufflée, pas maintenant, pas ici, nous n’avons pas le temps (ma mère allait bientôt rentrer !) … faisons de ce futur moment un instant magique…nous sommes fous mais que cette folie soit belle et que nous en profitions longtemps…Je me surpris moi-même de ces paroles, parlant comme une femme sure d’elle pleine d’assurance et d’expérience.
Les yeux fous de désir il m’écouta, m’embrassant à pleine bouche, je remis ma culotte, nous retournions à notre occupation du début, tout en échangeant des baisers fougueux et des caresses sans aucune équivoque de ce que nous avions envie l’un comme l’autre, moi palpant son sexe, lui caressant mes fesses et ma petite chatte toute lisse. Jamais oh ! Grand jamais je n’aurais soupçonné ce comportement de ma part, cet homme chamboulait tout dans ma tête, moi la petite étudiante sage, je me sentais soudainement comme une courtisane voir pire…..
Ma mère rentra et nous avons tout arrêté l’air innocent.. Juste un sourire complice lorsque nos regards se croisaient …. Je les entendis faire l’amour ce soir là tard dans la nuit, moi dans mon lit, incapable de dormir suite aux événements, jalouse à en crever du plaisir qu’il donnait à ma mère dont les cris cette fois ci me laissèrent indifférente……..
Nous avions convenus d’un après-midi, je séchais la fac lui prenait sa journée…en sortant à midi, je rejoignis d’un pas avide et le cœur battant l’hôtel ou il avait pris une chambre afin que notre passion se déroule hors du lit qu’il partageait avec maman, le mien étant trop petit du moins pour ce que nous voulions y faire….En ouvrant la porte, je crus que mon cœur allait s’arrêter, la chambre était jolie, les doubles rideaux fermés, une douce lumière éclairait le lit entrouvert, Franck m’attendait sur le canapé, sur la table basse quelques rafraichissements, je me précipitais vers lui comme une petite fille, me pelotonnant dans ses bras, cherchant le réconfort et l’étreinte folle, trouvant vite sa bouche pour lui donner un baiser à la fois tendre, fougueux plein de douceurs mais aussi très polisson !
Ses mains me caressèrent doucement à travers mes vêtements ! Il sentait bon, je dévorais sa bouche puis son cou, sa nuque, ses oreilles ou je glissais ma langue…Je n’étais pourtant pas une experte en chose de l’amour et du sexe, mais face à son expérience je voulais l’impressionner ! Ne pas lui faire penser que je n’étais qu’une petite nunuche déflorée vite fait à la soirée d’anniversaire d’une copine par un garçon à peine plus vieux avec qui je sortais depuis quelques semaines et qui ce soir-là, l’alcool aidant, m’avait paru être l’amant idéal pour cette première fois…
Non ! je voulais être sa coquine, sa maitresse lubrique, sa Lucrèce Borgia mais aussi sa petite fille candide, sa Cendrillon ou sa Blanche Neige, partagée entre le désir, le sexe et l’envie de lui plaire…En lui aussi je sentais une hésitation, partagé par sa fougue et le désir de me prendre là, à même la moquette comme une bête sauvage et le respect envers la fille de sa compagne qui aurait pu être la sienne que j’étais, pourtant si désirable et en pleine possession de ses attributs sexuels….
Ce soir j’étais une autre fille, la face cachée de la gentille et douce Chloé, comme une deuxième personnalité en moi…je mordillais le lobe de son oreille, puis glissais ma langue le long de sa nuque pour venir jusque dans l’échancrure de son poitrail, déboutonnant un par un les boutons de sa chemise tout en léchant son torse et descendant jusque son ventre, j’entendais son cœur battre et le souffle de sa respiration, continuant inlassablement ma descente. La boucle de son ceinturon était devant mes yeux, tout en le regardant j’entrepris de défaire cette ceinture obstacle, d’ôter le premier bouton, de faire glisser le zip de la fermeture éclair afin de glisser ma main sous son boxer et d’attraper l’objet chaud, doux et dressé qui s’y cachait. Jamais je n’avais encore fait cela, et aurai cru en être capable. Je caressais doucement son sexe, le palpais, le triturais dans ma main, décalottant le gland dont l’odeur de musc emplie mes narines…Il me regardait sans dire un mot, le souffle plus court, ses yeux pétillants de désir. J’avais déjà pratiqué des fellations, mais sans grand plaisir, sans dégout non plus, juste pour satisfaire mes partenaires mécaniquement, mais là ma bouche avait envie…envie de sucer, de gober, de lécher cette queue tendue, d’avoir son gland sur la langue, de l’enrouler dessus et lui procurer ce plaisir fou dont tous les hommes raffolent. Ce que je fis. J’entrouvris mes lèvres et fis glisser ma bouche gourmande autour de son sexe.
C’était chaud, doux, délicieux, ma langue s’étirant le plus possible et faisant le tour de son gland…Ce soir je voulais être sa putain, sa fille des rues cochonne, sa petite salope qui lui suçait la bite avidement, allongée en travers du canapé la tête calée entre ses cuisses, une main sous ses testicules et le sexe planté bien au fond de la gorge. Il se laissait faire, moi m’appliquant le mieux possible, me découvrant soudainement une véritable passion pour cette pratique…Je sentais son sexe gonfler, il me caressait le visage tout en gémissant doucement ces mots :
-« oh ! Chloé, Chloé, oui ! Oui ! Oui ! Continue, continue ! »
Je n’avais pas envie de m’arrêter, son plaisir m’enivrait, le gout de son sexe aussi, cette sensation de puissance et de pouvoir sur le désir de mon amant me donnait toute la lubricité nécessaire, je m’étonnais moi-même ! je me régalais de son sexe, je voulais le faire grossir encore et encore, qu’il devienne un pieu géant sur lequel j’allais m’empaler, je ne me reconnaissais plus….on entendait dans la chambre que les bruits de succion et de déglutition et nos respirations, je caressais ses boules tout en mettant le bout de ma langue dans son méat, aspirant la salive tombée dans le petit trou, puis replongeait dessus goulument jusqu’à ne plus pouvoir respirer, je fermais les yeux afin de ne rien perdre de ce moment intense…mon ventre était brulant et ma petite chatte me chatouillait….J’ai pompé sa queue jusqu’à en avoir mal aux lèvres, le masturbant sur ma langue, mordillant son gland, gobant ses testicules, je lui faisais l’amour avec ma bouche, intensément, amoureusement. J’en étais folle !
Tendrement il souleva ma tête, moi tellement à mon affaire je restais encore la bouche grande ouverte lorsqu’il se retira, il me prit dans ses bras et m’emmena vers le lit, me déposa délicatement comme une plume sur le drap et entrepris de me déshabiller…de m’effeuiller serait plus juste tant ses gestes étaient précis et délicats, quand je fus nue, il s’allongea près de moi, me caressa, mon corps entier se souleva pour aller au-devant de sa main brulante, puis sa bouche remplaça sa main, léchant tout mon corps de sa langue, explorant la moindre parcelle, puis entre mes cuisses là où la peau est la plus douce s’enhardissant dans l’antre secret de mon sexe rose et humide…Sa langue s’engouffra dans mon berlingot, ouvrant mes grandes et petites lèvres puis vint se poser sur mon petit bouton. Il me prit les mains, les serrant fermement…
Je compris pourquoi ! Sa langue s’activa soudainement, faisant rouler mon clitoris si bien que dans l’état ou j’étais déjà mes reins se cambrèrent rapidement, des petits cris s’échappèrent de ma bouche, puis des feulements, mon ventre bouillonna et fut secoué de spasmes. Ce n’était plus une langue, mais un petit vibro tant elle allait vite, puis ralentissait, pour mieux reprendre, si bien que mon corps se tendit vers cette langue, en demandant encore et encore… quand ma tête explosa au bout de quelques minutes un cri strident fit résonner la pièce, ce fut mon tout premier orgasme…je compris à cette instant les cris de ma mère durant la nuit et son visage épanouie le lendemain matin…
Naturellement il se colla à moi, naturellement il me prit dans ses bras, frotta et appuya le bout de son sexe sur ma vulve et me pénétra, sentant chaque millimètre de son sexe fouiller et ouvrir mon vagin trempé, me faisant l’amour tendrement mais fort en allant au plus profond de moi, mon sexe dégoulinant de cyprine. Il fut d’abord sur moi, puis derrière moi emboités comme des petites cuillères, la main sur ses fesses j’accompagnais ses mouvements, sans changer de rythme il me fit l’amour jusqu’à ce que j’atteigne mon véritable premier orgasme. A partir de la tout changea, il me pilonna dans toutes les positions possibles et inimaginables…en levrette, sur le dos les jambes écartées de chaque côté de la tête, assise face à lui, assise en lui tournant le dos, les cuisses si ouvertes qu’elles m’en faisaient mal, à genoux en levrette contre le lit, debout les mains face au mur , j’étais sa chose , son jouet, sa poupée, il ralentissait un peu puis recommençait encore plus fort, je faisais orgasme sur orgasme, de ma gorge sortaient des sons que je ne soupçonnais pas, j’étais dans un état indescriptible, mon ventre était de la lave en fusion, ma tête ne pensais qu’à son sexe et au plaisir qu’il me donnait, cela dura encore et encore, et j’en voulais encore et encore, nous n’étions plus qu’un seul corps faisant l’amour comme des fous, il me mordait les tétons , les faisant rouler sur ses dents, j’adorais ça….
Entre deux poses, je prenais son sexe en bouche, j’en avais besoin, la sensation de ce membre viril que je suçais doucement avant qu’il le replonge dans mon corps me mettait dans tous mes états…il fut le premier homme à me donner du plaisir, les autres n’étant que des brouillons dont le souvenir fade s’effaça aussitôt…je lui offris mes cris d’orgasmes, ma virginité de plaisir, la plus belle et la plus sincère!….
Il se calma un peu, moi sur un petit nuage mais pas encore rassasiée, mon sexe plein de petits fourmillements délicieux, le bout des seins durs comme de la pierre, et la bouche gourmande…C’est alors qu’il me proposa une chose incroyable que j’acceptais sans réfléchir…dans l’état ou j’étais cela me parut naturel, ce n’est que lorsque je sentis son sexe entre mes fesses que je réalisais soudainement ce qu’il me faisait et que j’avais accepté. Curieusement et trempée de cyprine comme je l’étais cela ne me fit pas mal, juste une sensation différente de pénétration, un peu comme si on voulait rentrer un objet en moi, mais que le trou n’était pas encore fait. Il fut doux et patient et cela se fit tout seul, je le laissais faire, j’aurais tout accepté de toute façon, cette sensation curieuse de se donner pleinement à son partenaire, de s’abandonner à son plaisir et de lui offrir la seule virginité qui me restait…Il me prit en levrette et sur le dos, j’eu même du plaisir et cru reconnaitre sortir de moi les mêmes petits cris que ma mère faisait parfois lors de leurs ébats…plus coquine que j’aurais cru maman !!!!! Son sexe dilatait mon anus, des petites claques sur les fesses décuplaient mon plaisir, mon corps et mon âme lui appartenaient, je n’étais plus qu’une boule de plaisir dont il pouvait user et abuser……
La tête bourdonnante, le ventre et les fesses en feu mais épuisée, je dis à mon incroyable amant qui en réclamait encore :
-Viens je vais te donner ta récompense !
Il se retira de moi et s’allongea, je me calais la tête sur son ventre, pour lui faire une fellation d’anthologie avec une finition buccale bien méritée …chose que je n’avais encore jamais pratiqué et que je tenais absolument à expérimenter maintenant pour lui, la tête pleine de choses coquines et cochonnes ..
Lorsque je sentis son membre gonfler et exploser enfin en de longues salves chaudes et épaisses au fond de ma gorge je fus un peu surprise mais le laissait couler entièrement dans ma bouche. Avec son cri de plaisir accompagnant cette délivrance je sus à ce moment-là que j’étais faites pour cela, mon bel amant ayant ouvert l’écrin dans lequel je me cachais…
Je m’apprêtais à me lever pour tout recracher dans les toilettes lorsque Franck mis un doigt sur mes lèvres et me fit : «non non !» de la tête, me faisant comprendre d’avaler ce qu’il avait déposé sur ma langue …Je roulais des yeux en poussant de petits cris de désapprobation la bouche pleine, mais lui souriant me faisait : «si si !», j’insistais, lui aussi, me chuchotant à l’oreille :
-Ainsi tu pourras dire que tu as avalé un peu de moi !!
Je pris sur moi, pris ma respiration puis déglutis d’un coup sa semence fade et sans gout..
-Tu m’auras tout fait pour notre première fois tous les deux, lui dis-je en l’embrassant à pleine bouche mais ayant pris soin de garder quelques gouttes de sperme en réserve pour lui, et en riant aux éclats lorsqu’il s’en aperçu…..
Je me collais à lui, me lovant contre son torse, épanouie, la tête pleine d’idées lubriques et perverses, mes orifices encore tout chauds de ses ardeurs…il venait de faire de moi une vraie femme, me révéler des sensations et des envies que je ne soupçonnais même pas, je comprenais mieux le rayonnement de ma mère le matin après leurs ébats…..
J’hésitais un instant, lui posais la question qui tue et me trottait dans la tête :
-Tu préfères faire l’amour avec ma mère ou avec moi ?
-Vous êtes différentes dit-il après un léger temps de réflexion et s’être éclairci la voix, ta mère à l’expérience des femmes de son âge en pleine maturité sexuelle qui sait aller au-devant des plaisirs d’un homme, toi tu as la beauté de l’innocence, le gout du fruit défendu et la surprise de trouver une coquine sous ton allure de petite fille sage, si vous n’étiez pas mère et fille, je vous mettrais ensemble dans mon lit…….
Cette réponse me convenait, mais notre relation future allait devenir compliquée, pourtant je désirai continuer, une fois de temps en temps en cachette ne me suffirait pas, j’avais gouté à son sexe, aux plaisirs qu’il me procurait et était follement amoureuse mais en concurrence avec ma mère pour le même homme qui partageait son lit…supporterai-je de les voir ensemble s’embrasser et aller se coucher ? Serais-je capable de supporter les bruits de leurs ébats ? Pourrai-je ranger ma jalousie en les entendant ? Toutes ces questions étaient là et l’avenir m’apparaissait complexe………..
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
salut merci pour ton récit , sa me rappelle au temps où je lisais le magasine " Union " ça m'a beaucoup excité
Posté le 17/06/2018
Bornert
Salut ton récit ma excité j'ai trop envi s que sa m'arrive de couché avec une mature belle et charmante et avis de sexe bonne journée à toi
Posté le 13/06/2018
choups
Très bien écrit, réaliste. Un plaisir à lire.
Posté le 28/05/2018
GRONEMOU
Euh ! se sont ses mains qui sont pleines d'hésitations, il manque sans doute une virgule, mais cela semble évident même sans !!!!
Posté le 10/03/2018
Anonyme
"ses mains se posèrent sur mes hanches pleines d’hésitation". Comment elle fait pour remplir ses hanches d'hésitation?
Posté le 5/03/2018
Alekx65
Très beau récit que j'ai lu avec plaisir et délectation... J'aime beaucoup ton style ! Y aura t'il une suite ?
Posté le 1/03/2018
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