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Une journée bien excitante 2

Cachée pour épier un couple en plein rapports sexuel, Pauline ne savait pas qu'elle se ferait attraper. Prise au dépourvue, elle aura ce qu'elle voulait tant. Qui sait si ce n'est plus.

Proposée le 12/11/2017 par Belacuta

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Comme j'en avais assez vu, je décide de retourner d'où je suis venue, autrement dit, chez moi parce que je n'ai plus du tout l'envie de poursuivre ma balade. Tout ce dont j'ai envie c'est de me soulager au plus vite. Sauf que mes pieds ont marchés sur une brindille, suscitant du bruit. Je me cache instinctivement. J'ai peur d'être découverte. Maudit bois ! Putain je me demande bien ce qu'il fout là. J'ose espérer qu'ils ne m'est remarquer. Ayant passé trop de minutes caché, je tente de lever la tête pour voir où ils en sont, mais rien. Je ne les voit nulle part ! Je commence à paniquer, les cherchant rapidement des yeux. Et s'ils m'avait découvert ? Bon sang, que penseront-ils de moi ? Quelle idiote !

Bref, de toutes façons je ne peux rester là longtemps. Si ça se trouve ils ont dû partir, pensant qu'on les observait rien de plus. Hop, je me lève quand une voix grave me parvient.

— Coucou ma jolie, alors on se fait du bien en matant du cul ?

Surprise par ce timbre de voix, encore de la manière dont il me parle, je me retourne pour tomber sur lui. Sur l'homme qui baisait la jeune femme y'a pas longtemps. Merde ! Ils m'ont repérés. Je cherche la jeune femme, elle n'est apparemment pas derrière lui. Il est tout seul. Et franchement je ne sais quoi répondre. Je suis si gênée. Non mais tellement qu'aucun mots ne daignent sortir de ma bouche. C'est dingue !

— Eh oh, blondinette ? C'est à toi que je parle, tu comptes rester muette ?

— Non... en fait, je ne sais pas quoi dire d'autres.

Jamais, je ne m'étais retrouvée dans une telle situation. Jamais je n'avais tenté le voyeurisme alors pour le coup je me sens un peu en faute. Mais je me dis aussi que ce n'est pas totalement de ma faute. C'est eux qui baisent en plein air. Normal qu'on les voient ! À coup sûr c'était fait exprès.

— Oh, t'es gênée ? Faut pas, voyons, fait-il se rapprochant dangereusement de moi.

— Hé mais que faites vous ? Reculez !

Il ne m'écoute pas, il m'attire à lui violemment. Je me retrouve bloquée contre sa poitrine, de gré. Il me fusille du regard. Un regard pervers doublé de vices, je dois dire.

— Lâchez moi tout de suite ! Fais-je me débattant.

— Non, hors de question ma poupée, tu ne t'ai pas gêner pour me mater en secret. Ça veut dire que t'es une grosse cochonne, allez fais pas ta rebelle et laisse toi faire, me chuchote-t-il à l'oreille.

Quoi ?

Il comptait vraiment me baiser ?
Et moi, le voulais-je ? Avec cet inconnu de surcroît.

À force de réfléchir je ne sens pas vite qu'il a passé sa main sous ma robe. Il me caresse doucement les cuisses, remontant jusqu'à ma petite culotte. Il faut que je l'arrête bordel, on est dans la rue !

— Arrêtez tout de suite ce que vous fai-

Je n'eus pas le temps de finir ma phrase car il avait déjà insérer un doigt dans ma foufoune toute humide.

Je gémis fortement.

— Putain, ce que t'es mouillé ! Ça t'a bien excitée, hein ?

Je ne réponds pas, je ne le repousse pas non plus. Ses doigts me procure un bien énorme. Je ne veux même pas qu'il arrête de les agiter. L'excitation est à son comble. Le sexe me monte au cerveau. Plus aucune morale ni réticences ne m'anime, tout ce que je veux c'est lui. C'est l'avoir en moi. Aussi fou que cela puisse le paraître. Plusieurs semaines déjà que je n'ai pas copuler alors quand un mâle vient à me toucher, je m'électrise sur le champ.

— Ouh là ! Chaude, en plus ! S'exclame-t-il en retirant ses doigts.

Pourquoi d'ailleurs ? Je suis tout de suite dégoûtée. Je suis en feu, mon vagin réclame du marteau, de la bonne queue. J'en peux plus de cette excitation. Putain, qu'il me touche vite !

Heureusement pour moi, il suit les mouvements de mon corps qui se tortille sur lui. Souriant, il fait tomber les manches de ma robe, retire mon soutien gorge, libérant mes seins comprimés. À leur vue, il est pris d'une grande admiration. De la lueur lubrique se lit dans son regard, en même temps que son érection qui est nettement visible dans son pantalon. Côté poitrine, je suis bien foutu. Un beau 90D, pas étonnant qu'il en bave de gourmandise. Les mecs que je me suis fait raffolent de cette forte poitrine. Et moi j'en joue au maximum.

L'inconnu passe ses mains sur mes deux globes, les empoignant vigoureusement. Il les massent, me faisant gémir. Je suis très sensible alors quand il tire sur mes tétons, je ne peux me contenir de pousser des cris sauf qu'il m'en empêche en couvrant ma bouche de ses mains. Il joue encore un peu avec mes mamelons puis s'arrête.

— Qu'est ce qu'il y'a ? Ne puis-je m'empêcher de lui demander.

— Je veux te baiser, j'ai envie de toi, tu m'excite.

— Dans ce cas, vas y qu'est-ce que tu attends, abdiqué-je, toute retournée.

Je me cambre un peu, afin de lui présenter mon cul dissimulé par ma culotte. D'ailleurs je suis surprise de toujours la conserver. Je prends appuie sur l'arbre en vue, attendant d'être pénétrée. Je bave d'excitation quand sa bite frôle mon clitoris. Toute ma vulve suinte, et lui il s'amuse à me caresser avec son bout. Impatiente, je bouge du cul pour lui faire comprendre que je suis à point que je meurs d'envie de l'avoir en moi. Heureusement pour moi, il ne se gêne pas pour faire entrer la tête de son noeud. Ses mains disposés sur mes courbes, il s'enfonce de tout son long, me donnant un haut le coeur. La sensation est purement jouissif. Mon inconnu à la bite bien membré, fait coulisser son vit dans mon oeillet en manque. Il tape dans le fond de mon vagin, remontant ses mains, il triture ma poitrine. Mes seins ballotent sous les coups de boutoir. J'halete, il halète. Nos respirations se rejoignent. À chaque coup, il va un peu plus loin me tuant de plaisir.

— Putain, feule, geint, salope ! T'es tellement serré, j'aime trop ta chatte !

Il me claque les fesses, fortement. Ses paroles doublent mon plaisir. Je décide d'y prendre part, tant sa queue me rend folle.

— Ouiii...baise moi... Finis moi ! Je suis ta putain...

— C'est ça, roule du cul, baise toi toute seule, montre moi comment t'es affamé. Comment t'as besoin de cette grosse queue dans tes trous !

Je m'active sur lui, allant et venant. Pour mieux voir sa queue me défoncer copieusement, il décide de déchirer ma culotte. Je me retrouve toute nue. Le cul à l'air, en prenant pour son graal. Toute offerte, je reçois sa queue. Elle me foudroie, me ravage il baise si bien ce salaud ! Et dire que j'enviais la femme de toute à l'heure. J'ai de quoi me satisfaire maintenant. Et le pire c'est que rien ne m'ébranle. Je suis là en pleine air, en train de me faire éclater la chatte, sachant pertinemment que je pourrais être vue à n'importe quel moment et surtout par n'importe qui. Cela dit je m'en fiche complètement. J'ai besoin de sexe.

Toujours enfiché dans ma grotte avide de sensations, mon inconnu me relève la jambe afin de mieux m'ouvrir. La pénétration devient plus intense. Je me passe une main sous moi pour caresser mon clitoris gonflé d'excitation. Je suis si bien, je sens le plaisir se décupler. Il arc-boute à l'intérieur de moi avant de s'enfoncer encore plus violemment. Je deviens vite bruyante mais il s'empresse de fourrer ma culotte dans ma bouche. Cela m'étonne de voir qu'il ne désire pas être épié, encore découvert. Une âme pudique se cache peut-être derrière cette apparence de queutard. Je souris à cette pensée. Soudain il se retire de moi afin de se décharger sur le sol. Je pensais vraiment qu'il le ferait sur moi. Sa jouissance me dégoûte un peu. J'aurais aimé qu'il retarde ce moment, j'y étais presque. Faut croire qu'il ne pense qu'à lui. Il cherchait juste à se vider les couilles.

— C'était très bien, je dois l'avouer, dis-je en lui faisant face.

— Ce n'est pas encore terminé. Tu n'as pas jouis. Et j'y compte bien.

Quoi ?

Je suis surprise de l'entendre. Se pourrait-il qu'il se soit pris d'affection pour moi ? Au point de vouloir me soulager ?

— Je croyais que tu voulais tirer un coup vite fait, lâché-je incrédule.

— Sache que je ne le fait pas pour toi. Je le fait parce que j'ai pour habitude de satisfaire toutes les femmes que je me suis fait. Crois moi tu n'es ni la première ni la dernière. Maintenant couche toi et écarte tes cuisses.

Surprise, je ne m'oppose pas et décide de lui obéir.

Il s'abaisse vers mon antre pour lui donner deux coups de langues. Après, il dispose une main sur ma poitrine généreuse, les malaxant avec ferveur. Je gémis doucement. J'adore quand on s'occupe de mes seins. Mon excitation remonte d'un cran. Il les massent, jouent avec mes tétons. Puis sans attendre quoi que ce soit, il se rapproche d'un afin de le gober entièrement. En même temps que ses dents me morde sensuellement, il agite ses doigts en moi créant une avalanche de plaisirs. Mon clitoris est en feu. J'adore ce qu'il me fait. Au bout de moments de doigtage je finis par exploser libérant ma cyprine qui inonde ses doigts. Je suis comblée et satisfaite.

Je reste un moment pantoise avant de me lever pour le remercier d'un baiser sur la bouche. Il a été parfait, cet inconnu.

— Pas de quoi, ma belle, c'est quand tu veux. J'ai adoré être en toi.

On se sourit et je me dépêche de me vêtir. Il me passe, fin prêt, son contact. Je l'enfouit dans mon sac et il part comme si de rien n'était. Un sacré queutard ! C'est le cas de le dire. J'éclate de rire avant de recevoir une bouffée d'air dans ma chatte. Je me rends compte que je ne porte pas de culotte. Je n'étais jamais sortit sans mais à dire vrai, ce n'est pas plus mal. Je me passe un doigt à travers ma robe. Je continue à être chaude. Qui sait, d'ici là, je rencontrerai un autre mâle, prêt à se vider en moi. Non, je rigole, je préfère rentrer chez moi. Quoique j'ignore encore si je vais renouveler cette expérience.

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Commentaires de l'histoire :

jang
pas mal pour une promnade
Posté le 28/09/2018

jang
pas mal de baiser avec un inconnu
Posté le 23/09/2018

mac@ire
Ouais belle histoire mais ça mérite une suite tout peu pas finir ainsi
Posté le 13/04/2018


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