Enculé par le mari pendant que je m’occupe du minou de sa femme 3

Enfin je fais la connaissance de René l\'amant de Monique...

Proposée le 8/03/2015 par michelgay

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Enfin le jour J arrive, je suis garé près du supermarché et j’attends Monique, elle arrive descend de sa voiture, j’en fais de même, nous nous embrassons et main dans la main nous allons vers l’hôtel ou René nous attends, deux coups bref et la porte s’ouvre sur un bel homme d’une bonne soixantaine d’années, il embrasse Monique, me serre la main, il a une poigne solide et virile, j’entrevois une après-midi de sexe de haute volée, il commence par caresser Monique tout en la déshabillant, elle ne porte aucun sous-vêtements, ce qui a pour effet de me faire bander instantanément, René me fait signe de me positionner derrière elle, je m’exécute et je lui glisse ma bite entre les fesses sans la pénétrer, j’effectue quelques va et viens, elle en profite pour enlever la chemise de René et continue en lui défaisant son pantalon qu’elle laisse tomber sur les chevilles puis s’attaque au slip, devant ce superbe sexe je reste sans voix, il est magnifique, long 18/19 cm, gros au moins 4.5 cm, il me hâte de m’en occuper je n’en ai jamais pris d’aussi grosse, mais priorité à Monique, il la mène sur le lit, la fait assoir, l’embrasse, lui suce les seins, et met sa tête entre les cuisses et commence un cunit, je me glisse entre eux et je prends sa queue dans ma bouche et lui pratique une fellation, au bout d’un bon moment il me demande de m’occuper de la bouche de Monique, je me relève et lui présente ma bite qu’elle engloutie et me gratifie d’une superbe pipe, René lui prends les jambes les mets sur ses larges épaules et la pénètre avec fougue, il me tarde qu’il en fasse autant avec moi, mais je suis patient, après un temps que je trouve interminable Monique se crispe et en étouffant un cri elle a jouie comme je ne l’avais encore jamais vu faire depuis que je la connait, elle a la bouche ouverte et le souffle rapide et saccadé. René me fait comprendre que j’allais subir le même sort, je n’attendais que ça et je m’étais préparer pour, il a mis sa queue dans ma bouche et j’ai commencé à le sucé, je retrouvais le gout de la cyprine de Monique qui de son côté était en train de récupérer, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit et il m’a de suite pénétré, je me suis bien douté qu’il prenait des pilules, après quelques va et viens en douceur il a commencé à me démonter le cul a grand coups de queue, au bout d’une quinzaine de minutes il s’est retiré, il m’a demandé de me coucher sur le dos, il a demandé à Monique de s’empaler sur moi et pendant que je la baisait il la enculée, elle a serré les dents pour ne pas crier, je voyais bien que malgré la douleur elle se régalait et il me tardait qu’il s’occupe à nouveau de mon cul, et mon rêve s’est réalisé, il a lâché Monique, comme j’étais encore sur le dos il s’est positionné entre mes cuisses, a posé mes jambes sur ses épaules et sans ménagement m’a enculer une fois de plus, Monique est venue se positionner au-dessus de ma tête me présentant sa belle chatte à sucer, je me suis empressé de prendre possession de son superbe clito que j’ai sucé, aspiré, jusqu’à ce qu’elle me jouisse dans la bouche, c’est le moment qu’a choisi René pour jouir en m’inondant le cul de plusieurs flot de sperme chaud et gluant. Monique s’est mise à quatre pattes sur le lit pour que je l’encule, je me suis exécuté, l’effet de la pilule se faisant bien sentir je lui ai bourré le cul pendant plus d’un quart d’heure, pendant ce temps René se faisait sucer, j’ai joui avec force remplissant son cul de tout le sperme qui restait dans mes couilles, René en fit autant dans la bouche de Monique.
J’ai compris que la fête était finie, une bonne douche, Monique et moi on se rhabille, mais avant que l’on se sépare il m’a demandé de le sucer une dernière fois, nous l’avons fait à deux avec Monique, il a éjaculé sur nos deux bouches, on s’est régalés de son merveilleux foutre. Il a remercié Monique de lui avoir permis de baiser un si bon cul très accueillant, ses propos m’on flattés.
En partant il nous a dit avec un regard malicieux « à bientôt vous deux » avec Monique on s’est regardé et avec un ensemble on lui a répondu « bien sur quand tu veux » il nous a raccompagné a la porte et nous a remis à chacun un petit paquet qui contenait vous vous en doutez des pilules miracle.
Nous somment partis nous tenant par la taille comme deux amoureux, arrivés près de nos voitures on s’est embrassé en se promettant de se rencontrer très bientôt, Monique m’a demandé si je voulais qu’elle s’occupe de me préparer les gélules, je lui ai donné le sachet, la pro c’est elle je savais que le dosage serait parfait, et nous somment partis chacun de son coté, j’étais sur un petit nuage je ne m’étais jamais fait enculer comme ce jour bénis, surtout par une aussi longue et grosse bite.
Quelques jours plus tard je reçois un émail de Monique qui me demande de passer récupérer les gélules, je prends le dernier comprimé qu’il me reste et j’arrive chez elle en début d’après-midi, elle est seule, je l’embrasse, la caresse, mais elle n’est pas comme d’habitude, je lui en fait la remarque et elle me dit qu’elle a avoué à Michel sa liaison avec René, j’en reste bouche bée, elle enchaine en me disant que son mari a accusé le coup et qu’il a demandé des précisions, dans la discussion elle a laissé échapper que j’étais présent à l’hôtel avec René, il l’a forcée à lui raconter en détail ce qui s’était passé, en minimisant ma responsabilité elle lui a tout raconté. Il a pris la décision qu’au prochain passage de René elle devra l’inviter ainsi que moi, du coup je n’étais plus très chaud pour la bagatelle.
Nous étions assis habillés sur le canapé quand Michel est arrivé, il m’a dit bonjour et a demandé pourquoi ont été pas à poil, gêné je n’ai pas su quoi répondre, Monique s’est déshabillée, il en a fait de même et m’a dit à poil, je me suis exécuté, pas tranquille quand même, mais tout c’est très bien passé, une fois dans la chambre il a voulu m’enculer de suite sans préparation, en même temps il a demandé à sa femme de me sucer, j’ai compris qu’il voulait reproduire ce que Monique lui avait raconté de ce qui s’était passé à l’hôtel, il m’a démonté le cul, s’était la première fois qu’il me faisait aussi mal, il m’a demandé de me coucher sur le dos a écarté mes fesses et s’est introduit d’un seul coup sec, il a demandé à sa femme de chevaucher ma bouche pour que je lui bouffe la chatte, plus de doute il voulait vraiment reproduire certaines scènes qu’elle lui a raconté, je n’avais plus du tout mal et bien au contraire je prenais un plaisir extrême à en prendre plein le cul pendant que je m’occupais du clito de Monique qui s’est soudainement mise à jouir inondant ma bouche de cyprine, j’ai tout avalé sans broncher, il s’est sorti d’un coup sec en nous disant « bien maintenant on reprends le cour normal de notre relation » il s’est mis à quatre pattes sur le lit, a écarté ses fesses pour que je le prenne en levrette ce que je me suis empressé de faire, pendant que je l’enculais il poussait des petits grognements qui au fur et à mesure se sont changés en gémissements, il prenait son pied, il a voulu que l’on fasse un 69, pas de problème, nous nous somment sucés pendant un bon quart d’heure, il a jouis et comme d’habitude j’ai tout avalé, j’aimais son sperme chaud, un peu gluant mais d’un gout subtil, à mon tour j’ai éjaculé et bien entendu il s’en ai régalé, à ce moment j’ai réalisé que Monique avait été tenue à l’écart, devant mon regard vers elle il m’a dit vas y fait ce que tu veux avec elle, pendant que je reprends des forces j’en ai pas fini avec ton cul de salope, René l’a peut-être plus grosse que la mienne mais moi je peux t’enculer tout l’après-midi, j’ai sucé Monique, puis je l’ai chevauché, et enfin je l’ai fait mettre à quatre pattes et je l’ai sodomisée, à chaque fois que je sortais ma queue complétement pour la lui renfoncer d’un seul coup jusqu’à la garde, dans le miroir de l’armoire je la voyais fermer les yeux en pinçant les lèvres, je savais qu’elle allait jouir, ça n’a pas tardé, avec des tressaillements elle a remuée son bassin pour accueillir mon sperme, Michel qui avait suivi la scène est venu présenter sa queue pour quelle s’en occupe, moi je me suis dégagé de son merveilleux cul et je suis allé me rincer la bite. Quand je suis revenu Michel m’a poussé sur le lit, j’étais face en l’air, il a écarté mes cuisses a mis mes jambes sur ses épaules et me regardant bien droit dans les yeux a planté son gros manche d’un seul coup dans mes entrailles, j’ai eu très mal mais je ne lui ai pas montré toujours en soutenant son regard, et là il m’a pilonné pendant plus d’un quart d’heure, je prenais un immense plaisir mais je ne le lui montrais pas, quand il a éjaculé j’ai senti ses longs flots de sperme envahir ma cavité anale, il m’a souri en me disant « j’ai bien vu que tu t’est régalé » j’ai acquiescé. Il était venu le temps de s’occuper un peu de sa femme, je me suis mis sur le dos, elle est venu m’enfourcher et elle s’est baisée toute seule, au bout d’un moment je l’ai prise par le taille et je l’ai pilonnée, Michel est venu se placer derrière elle et l’a enculée a la sauvage, on a jouis tous les trois.
Après le passage à la douchette pour nous nettoyer le cul et pour Monique le cul et la chatte, une bonne douche, Michel nous a dit qu’il nous pardonnait, qu’on continuerait à se rencontrer régulièrement mais qu’au prochain passage de René il voulait faire une partouze à quatre, Monique l’a embrassé, je me suis rhabillé, ils ont préférait rester nus car je savais qu’ils allaient refaire l’amour.
Je suis parti heureux en n’oubliant pas les gélules, j’étais soulagé de la manière dont cela s’était terminé.
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