Je suis au supplice de Tantale, mais ne peux que regarder ce petit con à la queue démesurée enculer l'une après l'autre mon ex, la belle black et la frêle asiatique. Comment peut-il encore bander après tant de libations, et comment peuvent-elles supporter qu'une telle poutre leurs ramone le fion? Grrrrrrrrr!!!!!!
Proposée le 22/06/2021 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Vengeance
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme
L’odeur de foutre doit encore flotter sur sa hampe et saturer la pièce, elles se relaient, ouvrant très grand la bouche pour absorber seulement le gland soyeux avec un goût de reviens-y, empoignant les deux grosses couilles encore pleines de sève prometteuse.
Deux doigts fureteurs de Claude cherchent l’anus de Lucie qui dans un réflexe le contracte puis lentement laisse l’accès aux doigts qui écartent l’anneau qui se détend doucement, deux phalanges disparaissent à ma vue, elle ronronne comme une chatte.
- Je vais faire plaisir à ton mec en te prenant le cul, je suis sûr qu’il aime ça, te voir me donner ton cul !
En disant cela, le petit salopard écarte les fesses de mon ex, me donnant une vue directe sur son œillet serré.
- Vas-y doucement, tu vas me faire mal avec ta grosse bite.
J’ai le nez collé sur la glace, les filles se lèchent l’anus pour se préparer à l’assaut ultime. Claude positionne son gland contre le sphincter de Lucie qui prend bien en main la verge semi-bandée et s’enfonce elle-même sur son gourdin, lâchant un gémissement sans lâcher du regard la glace sans tain, avalant la totalité du sexe de son bourreau.
- Oh ouiii ! Elle est grosse ta queue, montre-moi comment tu peux t’en servir.
Lucie glisse le long du sexe démesuré de Claude, lentement, ne le lâchant pas de sa main droite.
Je me surprends même à admirer plus cette poutre que le corps de ma femme, comme
hypnotisé par cette vision car il a déjà repris du gourdin et force dans ce passage étroit.
- Oohh qu’elle est dure ta bite, elle me remplit bien, hein les filles ?
- Oui ma chérie, approuve Lani, d’une voix admirative, des grosses comme ça, ça ne court pas les rues…et les bordels ! Mais ne monopolise pas la bête !
Claude et maintenant assis et Lucie lui fait face et descend et remonte en cadence sur le braquemard pendant qu’il prend à pleines mains ses seins, les lèche, les dévore avec sa bouche tel un fauve affamé. Il jette un regard vers le miroir, il sait que je les regarde, que je les entends…et ma femme d’en rajouter pour m’humilier d’avantage.
-Oh oui putain ! Encore, encore !
Lucie se positionne sur la plante des pieds pour avoir plus d’amplitude et ainsi augmenter la vitesse et la pénétration à laquelle elle se prend le pal de Claude, comme transformée en vraie pute, son cul claquant contre les couilles et les cuisses de son empaleur qui lui laisse diriger la manœuvre, ses seins ballotent de haut en bas. Claude comme si ça ne le concernait pas, les yeux grands ouverts, sûrement déjà blasé malgré son jeune âge à baiser des nanas de tous types, préfère s’occuper avec sa bouche et ses mains des parties intimes des deux autres chaudasses.
- Oh oui, qu’elle est bonne ta pine, je la sens bien au fond de mon cul ! Je me la mets bien, tout au fond, jusqu’aux couilles.
- Voila c’est bien, mais tes copines commencent à s’impatienter.
- Oh oui, s’exclame Lina, moi aussi j’aime ça, pousse-toi Lucie, laisse-moi la place !
Lucie décule avec regret mais la place laissée libre est vite prise par Lani qui s’éperonne sur le gourdin d’un formidable coup de reins, se pénétrant sans délicatesse, le cul offert, elle s’est tellement embouquée qu’elle écrase les couilles de Claude qui tapent sur sa fente.
- Eh doucement salope ! Je suis sûr que tu mourrais d’envie de te faire enculer par une si grosse queue, mais fais gaffe quand même !
Le corps de Lani est vite secoué par de longs spasmes de jouissance, ses cris résonnent quand elle se retire et, plaquant les mains sur les épaules de Claude, se défonce à nouveau le petit orifice. Il lui fait remarquer :
-T’es vraiment une vraie machine à jouir ! Il ta fallu moins d’une minute pour que tu trouves ton plaisir. Bon, laisse la place à Jaï maintenant.
Le jeu de bite musicale continue, Lani cède la place à Jaï, mais on est passé d’une grande noire à une petite asiatique. Elle se positionne à son tour en le narguant avec un peu d’appréhension :
- Tu veux mon cul ?
- Oui, je veux prendre ton cul !
-Va doucement hein, tu sais que je suis étroite de ce coté là !
- Tais-toi, ma petite cochonne ! Je sais ce que je fais.
Il s’approche d’elle, écarte les fesses et son gland repousse les chairs, passe un premier obstacle puis pénètre doucement.
- Putain que t’es trop gros !!! Reprend-t-elle, avant de pousser un cri de truie qu’on égorge, en ressentant l’empalement sur ce pieu dantesque.
Gros comme il est, il doit savoir qu’il faut de la douceur avec Jaï, voire de la prudence. Les muscles du sphincter sont entrainés par ce bélier et forment une dépression sous la poussée inexorable de ce défonce-cul aux dimensions colossales. Je suis le spectateur de cet incroyable spectacle. Et pendant de longues minutes, il défonce méthodiquement son arrière-train, se perdant de temps en temps au plus profond d’une chatte béante et trempée pour inonder son jonc vigoureux d’une nouvelle et abondante sécrétion vaginale. Les grandes lèvres en forme d’ailes de papillon sont entrainées par le braquemard formant une dépression sous la poussée inexorable de cet obélisque. Jaï repousse Claude et revient au supplice du pal, les traits tirés par l’effort malgré les précédents passages.
- Haaannnn !!!
Son corps luit de sueur, mais Claude ne cherche même plus à prendre des gants avec elle…
Maintenant, c’est un vrai combat de chattes et d’anus dilatés, elles se relaient et le plantoir change régulièrement d’orifice, glissant langoureusement ou brusquement entre les fesses offertes, d’un trou ridé à une fente trempée de cyprine suivant les filles et leur possibilité à accueillir un tel jonc.
Les jouissances féminines se succèdent dans un concert de râles, de gémissements et de plaintes félines, sous des torrents de paroles crues et de gémissements. Mais telle une machine, cet ado « bouto-nœud » a toujours cette érection démente qui remodèle un anus ou une chatte.
Les filles sont sur les genoux et elles ont beau s’échiner, elles n’arrivent pas à le faire jouir.
Il donne enfin de puissants coups de reins approchant du point de non retour, son sperme doit monter vitesse grand V. Lucie qui est justement en train de le chevaucher l’a senti et arrête immédiatement ses mouvements, bien calée ressentant au fond du rectum la lance qui doit cracher à grands jets comme à son habitude, elle couine de bonheur et aussi de dépit que ça soit déjà fini et s’écrie.
- Ooohhh nnnooonnn !! Pas déjà !!!!!!!
- Désolé chérie mais ça fait quand même deux heures que je vous tronche à tour de rôle ! Je ne m’appelle pas Bruno, moi ! Tu m’as fait jouir salope, t’en avais envie hein ?
Il retire doucement sa bite ramollissante qui glisse d’elle-même du cul, du foutre s’écoule avant que le trou ne se referme un peu, des bulles se forment à chaque contraction de l’anus de Lucie qui continue d’expulser le trop plein de sperme de son cul.
Les filles épuisées ne bougent plus, observant la verge ramollissante enfin.
Apres une boisson bien méritée, Claude se rhabille. Lucie restée nue, le sperme séché tachant encore l’intérieur de ses cuisses le raccompagne jusqu'à la porte.
Un déclic. Ma porte s’ouvre enfin, monsieur Paul et Claude entrent dans la pièce, les deux gorilles attendent sur le palier. Il prend la parole pour me dire :
-Monsieur, j’espère que le spectacle a été à votre goût et vous a plu et que mon poulain a répondu à votre attente… Je vais vous demander de le suivre, il va vous raccompagner à votre voiture. Si vous êtes intéressé par une autre séance, je me ferai un plaisir de vous recevoir à nouveau… avec les mêmes « artistes ».
Je suis donc Claude, je lui sauterais bien dessus pour lui casser la gueule s’il n’y avait pas ces deux gorilles à mes basques. Mais qu’a-t-il fait au fond ? Rien d’autre que ce qu’on lui demandait ! Il a fait son travail, et je dois reconnaitre qu’il est une véritable star dans son domaine, et au niveau de sa réputation. Et pour ce qui est de Lucie, je l’avais bien mérité. Mais si j’avais su avant que ce volcan qui semblait éteint pouvait avoir de telles éruptions.
Je n’ai pas su le réveiller et j’en paie maintenant le prix…
Fin.
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