Souvenirs

Histoire d'un couple dont le femme a été initiée dans l'adolescence à la pratique saphique et qui redécouvre avec plaisir ces pratiques

Proposée le 9/07/2017 par CHRYSTAL2

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Nous étions mariés depuis cinq ans et pour marquer le coup nous avions organisé une soirée un samedi soir ,
nous avions réuni quelques amis et amies
La soirée s’était bien passée, nous avions parlé de chose et d’autre comme dans ce genre de réunion
Les discussions allaient bon train et inévitablement tournaient autour des femmes et du sexe comme souvent et comme nous avions bu un peu plus que de coutumes les langues se déliaient
La majorité était marié , nous avions tous aux alentour de la trentaine
Toute chose ayant une fin, l’heure des adieux était venue
A l’époque nous habitions un petit appartement que nous avions acheté en région parisienne
Il y avait une grande pièce et une chambre attenante
Chacun vint reprendre ses vêtements, la chambre ayant servie de vestiaire
Nous étions en train ne faire un peu de rangement avant d’aller nous coucher.
Soudain la sonnette de la porte d’entrée se fit entendre
C’était Juliette la meilleure amie d’enfance de ma femme
Elle avait l’air affolée
« Je ne peux par partir , ma voiture ne veut pas démarrer
Peux tu me raccompagner ? »

Je n’étais pas chaud, il me fallait pas moins d’une heure et demie pour faire l aller et retour aussi je décidais d’aller voir la voiture
« Je vais voir si je peux la mettre en marche »

En arrivant auprès de la voiture, je compris de suite que c’était la batterie qui était déchargée : les feux éclairaient encore très faiblement , Juliette avait dû oublier de les éteindre , la batterie était à plat

Je remontais a l’appartement
« Nous verrons cela demain, voilà ce que s’est d’oublier ses phares ! ! ! ! »

Elle insista pour que je la ramène chez elle ; devant mon peu d’empressement, ma femme lui proposa de coucher à la maison
C’était effectivement une bonne solution
Nous n’avions qu’un seul lit
« Il faudra se serrer un peu, pour une nuit ce n’est un drame «
Je rajoutais :
« Demain nous aurons le temps de trouver un garagiste pour recharger la batterie »
Apres tout cela n’était pas plus mal : à trois , le rangement fut plus rapide
Il était près de 2 heures du matin lorsque nous décidâmes d’aller nous coucher.
Ma femme prêta une chemise de nuit à Juliette, comme elle était ultra courte ,elle me demanda de sortir
,pendant ce temps elles pourraient se mettre au lit.
Je les entendais discuter
« Tu peux venir , nous sommes au lit….. »
Ayant mis mon bas de pyjama dans la cuisine , à mon tour, je me mis au lit
Ma femme était au milieu, cela évitait les contacts volontaires ou non dans le courant de la nuit.
J’éteignis la lumière , la soirée m’avait un peu énervé et j’avais du mal à m’endormir
Ma femme et son amie , discutaient à voies basses.
Je m’étais mis sur le ventre et avais passé un bras sur la poitrine de ma femme
C‘est ainsi chaque soir cela permet de savoir si elle a envie de faire un câlin
La, il n’en était pas question
Je n’arrivais pas a trouver le sommeil les conversations sur le sexe revenaient à mon esprit.

Quelques minutes après, n’y tenant plus je déplaçais mon bras vers le bas ventre de mon épouse….. et là surprise ! ! ! !, il y avait du monde : j’y trouvais la main de ma femme…….. et celle de Juliette.
Faisant semblant de dormir, j attendais de voir ce qui allait se passer
Je ronflais volontairement pour donner le change.

Ma femme bougeait tout doucement , sa nuisette était retroussée et sa main était au niveau de son sexe
Je sentie la main de Juliette qui rejoignait la main de ma femme
Pas de doute ,ma femme se masturbait et Juliette l’aidait
Je ne bougeais pas et ronflais de plus belle
Les mains s’agitèrent un peu plus, j’entendis quelques ricanements et gloussements
Tout cela était discret
Mon épouse se tourna légèrement sur le coté pour faire face à Juliette, si bien que ma main se trouva sur les hanche de ma femme
J’allongeais mon bras un peu plus et ma main vint en contact avec le ventre de Juliette juste à la hauteur de sa touffe
Elle se caressait elle aussi et ma femme lui prêtait main forte…. si je peux dire
A mon tour , j’apportais de l’aide à Juliette en touchant son clitoris qui était tout gonflé et sortait de sa vulve
Je sentais sa toison sous mes doigts
Elle se laissa faire, elle n’avait pas conscience que s’était ma main
Elle devait y prendre du plaisir car sa fente était tout humide,
Mes doigts purent facilement glisser dans son sexe

Cela dura un petit moment , j’avais une érection ; étant sur le ventre il ne m’était pas possible de me branler
Je pouvais juste accroître ma pression sur les draps, je me retournais à mon tour en retirant discrètement mon bas de pyjama. Mon sexe se trouva en contact avec les fesses de ma moitié elle ne bougea pas
Cela dura ainsi quelque temps
Ce fut ma femme, qui la première trouva qu’il y avait des mains en trop pour s’occuper du sexe de Juliette

« Que fais tu ? Tu ne dors pas ! ! ! Tu ne manque pas de culot de caresser Juliette enlèves tes mains

Elle se remit sur le dos et plaqua ma main baladeuse sur son sexe, elle aussi mouillait abondamment
« Occupes toi de moi » ma main allait de l’une à l’autre , mais à chaque fois, elle me la ramenait sur son sexe
Manifestement elle ne voulait pas que je caresse Juliette
Son amie lui passait les mains sur les seins et sur la chatte ou elle s’attardait un peu plus longtemps, nos mains se mêlaient et procuraient le plus grand bien à ma chérie si je m’en tiens aux gémissements de cette dernière
Je me mis sur le dos , le braquemard en l’air
De sa main droite, elle me branlait doucement, comme elle sait le faire, et de sa main gauche elle branlait Juliette
Ma main gauche croisait celle de Juliette et à deux nous la faisions jouir elle mouillait comme jamais
Devant une telle situation , ne voulant rien perdre du spectacle , mon tempérament voyeur aidant, j’allumais la lampe de chevet…
« Non , non éteins ça ! ! ! ! «
Devant mon étonnement et mon peu d’empressement, elle me chevaucha et éteignit la lumière
Mon sexe se trouvait en contact avec le sien et y pénétra facilement ce qui lui arracha quelques gémissements.
« Pas tout de suite…. Attends encore un peu !»
Elle se dégagea et se remit sur le dos
A partir de ce moment , elle n’avait plus rien a cacher et elle repris sa masturbation et s’occupa de Juliette
cette fois d’une façon sonore
Elles gémissaient et gloussaient toutes les deux
Juliette se branlait avec la main de ma femme
Je n’avais pas le droit de toucher Juliette seule mon épouse s’était octroyée ce privilège
Nous étions excités , ce n’était pas dans les habitudes de ma femme de prendre des initiatives et là elle avais pris les choses en main si je peux dire….
Je bandais de plus en plus fort , les deux filles gémissaient de plus belle
Toutes les mains s’agitaient, les corps se tordaient de plaisir
Ma femme se retourna et se mit en position de faire un 69 tout au moins je le crois car je ne voyais rien
Je me masturbais en me frottant contre le corps de Juliette qui cette fois fut a ma portée
Le lit faisait des soubresauts et d’un coup les corps de ma femme de son amie se tendirent , les gémissements s’accentuèrent, les respirations se firent de plus en plus sonores
Elles jouissaient toutes les deux en même temps , elles semblaient y être habituées
Moi le queue à la main, j’attendais de l’aide…..je ne voulais pas me finir seul alors qu’il y avait 2 femmes pour cela
Après avoir repris leurs esprits, elles se rendirent compte de ma présence
Ma femme et Juliette s’affairèrent à quatre main sur ma bite et à mon tour je pu me laisser aller
Elles prenaient à tour de rôle mon sexe dans leur bouche
Ma femme ayant sentie que j’allais jouir avait monopolisé ma bite et ne la laissait pas à son amie
Mon gland était de plus en plus dure et dégoulinait de leurs salives
Elle reçue mon sperme dans la bouche et s’empressa d’aller embrasser Juliette….fellation par personne interposée
Elle avalèrent toutes les deux mon foutre
J’en éprouvais une profonde satisfaction
L’heure assez avancée et les tensions appaisées firent que nous avions envie de dormir
Je pris un sein de ma femme dans la main, son téton redressait la tête mais le sommeil fut le plus fort
Le lendemain matin au réveil le deux filles se firent des petits bécots et s’étirèrent comme deux chattes
Elles étaient ravissantes dans leur petites nuisettes qui ne cachaient pas grand chose
Elles avaient la même taille , leurs poitrines se ressemblaient , leurs tétons tendaient le tissu

Les seins de ma femme étaient légèrement plus gros que ceux de Juliette
Toutes deux étaient brunes, leurs touffes apparaissaient sous le léger voile qui les recouvrait
Le spectacle était charmant dans la clarté de la chambre, il faisait jour et le soleil passait par les persiennes
.La vision de ces deux femmes alanguies ne me laissait pas indifférent…..

Soudain, Juliette retroussa la nuisette de mon épouse et commença à la caresser d’une main , sexe , seins ventre entre jambe rien n’etait oublié et de l’autre elle se fourrageait la chatte en gémissant doucement tout en se trémoussant
Mon cote voyeur prenait le dessus et était satisfait du spectacle……je sentais mon sexe se durcir et je commençais a fantasmer sur le spectacle à venir

Soudain, contre toute attente, ma femme rabattit sa chemise et se leva rapidement
« Cochon ! ! ! !» me dit elle en rigolant
Juliette cessa de se masturber avec regret , sa moue en disait long sur sa déception et insista pour continuer
« Viens , j’ai envie de te caresser …laisses toi faire ! ! Pourquoi tu ne veux pas continuer ? C’était si bon ! ! …….Allez ! Fais moi plaisir» lui demanda Juliette avec une voix doucereuse mais rien n’y fit
L’euphorie d’hier soir provoqué par les nombreux verres d’alcool absorbés par ma femme avait disparue
« Non je n’ai plus envie, d’ailleurs , je ne sais pas se qui ma pris hier soir, vos conversations grivoises et la boisson m avaient mise dans un état second , je se savais ce que je faisais
Oublions cela ! ! »

« Une question, chérie qui me vient à l’esprit est ce la première fois que tu fais çà avec Juliette »
Elle eut l’air embarrassée et sa réponse se fit attendre
« Euh ! …Oui je n’avais jamais touché une femme , passons à autre chose si tu veux bien»
Elle et Juliette avaient un léger sourire et les yeux pétillants, mais cette histoire s’arrêta la comme ça et la conversation tourna autour de la voiture de Juliette
Juliette partie je revins plusieurs fois sur le sujet de l’amour entre femme, mais à chaque fois mon épouse éludait la question
Impossible de savoir si effectivement s’était……. un accident ou une habitude
Nous revîmes Juliette pendant les quelques semaines qui nous restaient avant notre départ en province.
Mais rien ne se produisit

Un soir, après une soirée chez des amis bien arrosée alors que nous étions au lit ma femme vint se blottir contre loi et revint sur ce qui s’était passé avec Juliette et m’avoua qu’elle avait gardé un excellent souvenir de cette soirée et qu’effectivement ce n’etait pas la première fois qu’elle faisait l’amour avec Juliette.
D’une voix chevrotante et hésitante elle me dit :
« Après ce qui s’est passé entre nous, Il faut que je te raconte » et elle commença son récit

« J’étais au collège et les mercredi je passais ma journée seule à la maison
Un jour une voisine que je connaissais bien vint me voir
Elle avait 35ans environs et était mariée Son mari ne rentrait que pour la fin de semaine
Elle s’ennuyait et voulait passer un petit moment avec moi ; parfois la journée je semblait longue je me faisais suer toute seule
Nous avions pris l’habitude de passer une partie de l’après midi ensemble
Lorsque que j’arrivais chez elle , elle me faisait la bise et ensuite lorsque nous avions fait plus ample connaissance elle me faisait un bécot sur la bouche, je ne voyais rien de mal à cela.Nous parlions de musique de ciné……
Cela dura quelque temps, puis après le bécot elle me demanda de lui faire un câlin ce que je fis volontiers , elle était gentille et cela paraissait normal.
Un après midi ou il faisait très chaud, après le rituel , du bécot et du câlin elle me pris sur ses genoux et tout en
m’embrassant , elle fit glisser sa langue dans ma bouche …étrange ! !
Les choses auraient pu s’arrêter là . »
La voix de ma femme avait pris un peu plus d’assurance. et elle reprit :
« A chaque séjour que je faisais chez elle , avec le recul , les choses se précisaient mais je ne pensais pas à mal je ne voyais pas ou cela pouvait me conduire.
Un jour après le rituel du bécot et du câlin et du baiser appuyé, Mireille après m’avoir pris sur ces genoux elle m ‘effleura la poitrine et petit a petit elle se fit plus pressante ,elle glissa sa main dans mon corsage et ses doigts s’insinuèrent dans mon soutien gorge en concentrant son action sur mes tétons qui durcir sous cette caresse
Elle me retroussa ma robe et passa sa main sur le sexe ,ses doigte écartèrent ma culotte et leur contact avec mon intimité fit monter en moi une sorte de bien être
J’avais des frissons sur tout le corps
Elle allait et venait doucement. Elle déboutonna son corsage et sorti un sein puis l’autre de son soutien gorge elle me demanda de lui toucher les seins.
Elle avait une poitrine magnifique et je reconnais que je fus troublée et très impressionnée.
Mon émoi grandissait, j’étais bien. Je ne savais pas comment faire, j’avais peur de lui faire mal
A sa demande je lui suçais les tétons pendant que ses doigts parcouraient mon sexe et ma poitrine
Une douce euphorie monta en moi»

Ma chérie marqua une pose , sa voix semblait être de plus en plus assurée

« J’étais surprise de la tournure des événements , j ‘étais partagée entre un sentiment d’inquiétude avec l’enviie d’arrêter la et celui de continuer car c’était très agréable .
Après avoir fait faux bond un mercredi., je suis revenue la voir
Ma curiosité l’emporta et je retournais la voir.
Le cérémonial repris son cour Au fil des jours, les choses se précisaient et mes sensations se modifiaient
D’habitude nous restions dans le salon mais cette fois elle m’entraîna dans sa chambre

Elle se mit nue et me demandait de faire de même
Elle était magnifique, sa poitrine généreuse tenait parfaitement , son pubis couvert de poils fort bruns avait la forme d’un triangle d’une symétrie parfaite, ma toison a coté de la sienne était moins dense.
Mireille me complimenta sur ma poitrine qui commençait a grossir et sur mon corps de jeune fille
Nous serons mieux ici , car elle mit surlr lit et se caressa le corps elle me demanda de lui malaxer les seins et de lui sucer les tétons qui durcissaient dans ma bouche.
Ensuite ce fut son sexe qu’elle me demanda d’embrasser et ensuite de lécher sa vulve.
Cela sentait bon , au début, j’eus du mal a trouver son clitoris , mais de ses mains elle écarta ces lèvres et le fit jaillir et insistat pour que je le suce comme je faisais avec ses tétons

Je me souviens que Mireille gémissait fort ce qui au début m’inquiéta
Ensuite c’était a mon tour et me faisait la même chose ,sa langue déclenchait en moi des spasmes ce qu’elle appréciait elle continuait de me caresser ma poitrine maintenant bien formée et surtout elle insistait particulièrement sur un point précis que Mireille nommait « bouton d’amour « . C ‘était ce que j’avais eut du mal a trouver….
C’est ainsi que jour après jour je fis la découverte de mon sexe et le moyen de se faire du bien et de donner du plaisir à ma compagne. »

Ma femme maintenant était parfaitement libérée et semblait revivre ces moments avec délectation

« Elle m’apprit à me masturber d’abord en me tripotant le bouton d’amour et mes lèvres et en introduisant mes doigts dans mon sexe.
Je me souviens, elle me plaçait devant la glace de l’armoire et m’écartait les cuisses , elle me guidait dans ma masturbation en commençant par mon pubis , ma vulve et enfin mon bouton d’amour . Je n’en perdais pas une miette et je dois dire que j’en ressentais des sensations très plaisantes
Parfois les sensations étaient tellement fortes que je refermais les jambes, mais elle me les écartaient de nouveau et me demandait de recommencer en allant plus doucement de façon que cela dure le plus longtemps possible
Nous passions des après midi merveilleuses

L’âge aidant , les sensations se faisaient de plus agréables j’étais au bord de la jouissance et c’est avec impatience que j’attendais les réunions du mercredi.
J’avais pris goût a ces pratiques Je ne pensais plus qu’a ça
Le soir au lit je me caressais souvent en revivant ce qui s’était passé le mercredi
Mon sexe était de plus en plus mouillé jusqu’au moment ou un torrent se spasmes m’envahissent
C’est ainsi que je fis la découverte de l’amour physique seule et avec une femme.

Un jour , Juliette vint passer l’après midi avec nous
Cela faisait déjà plusieurs semaines qu’avec Mireille nous avions envisagé cette situation
Mireille entreprit l’initiation de Juliette ce qui fut nettement plus rapide que pour moi , étant plus âgée elle avait déjà fait la découverte de son sexe .
Elle n’hésitait à se mettre nue a se caresser la poitrine et a nous montrer son sexe, elle était a l’aise et se masturbait devant nous
Elle écartait ses lèvres et faisait jaillir son clitoris qu’elle titillait tout en gémissant
Souvent , à la demande de Mireille nous nous se léchions mutuellement le sexe pendant qu’elle regardait et se masturbait en râlant, d’autre fois elle participait à nos ébats
Mireille nous demandait aussi de lui sucer le clitoris tout en lui caressant la vulve, elle écartait ses lèvres afin de pouvoir entrer ses doigts au plus profond de son sexe ou nous y joignions les nôtres avec délice,
A deux nous alternions les positions une s’occupait des seins et l’autre s’occupait du sexe de Mireille qui en éprouvait un plaisir certain , elle se tordait dans tous les sens et criait des obscènités,
Cela durait plusieurs minutes , nous étions toutes les trois en osmose et jouissions comme des folles . Les sentiments de crainte du départ avaient complètement disparus .Je pouvais me laisser aller sans réserve , la présence de Juliette y était pour beaucoup
Elle nous faisait mettre sur le dos jambes écartées et s ‘agenouillait en mettant sa tête entre nos jambes
Elle aimait bien nous sucer à tour de rôle et sa la langue faisait des merveilles en pénétrant profondément nos entrailles , pendant ce temps elle nous demandait qu’une lui caresse la poitrine tandis que l’autre soit lui titillait le clitoris par derrière soit avec la main ou la langue, elle aimait bien que nos doigts la pénêtre au plus profond d’elle même .Nous étions aux anges .
La glace de l’armoire participait a notre excitation en nous renvoyant l’image de nos trois corps
Nous ne pensions qu’à jouir.
Cette période s’est malheureusement achevée à nos grands regrets car Mireille devait partir son mari ayant été muté et Juliette rentrait en pension .
Le charme était rompu
Je n’ai jamais recommencé……. faute peut être d ‘occasions.
C’est a partir de ce moment ou je me suis retrouvée seule que j’ai pris l’habitude de me masturber et que j’ai commencé à culpabiliser .
Suis je normale ? Pourquoi j’éprouve le besoin de me masturber si souvent ?»


Voilà comment ma femme me relata les faits
J’ai eu la forte impression qu’elle revivait cette période avec le maximum de détails dont elle n’était pas avare dans son récit
Elle avait les larmes aux yeux et la chair de poule, elle semblait comme libérée

Elle m’avoua ne pas avoir osée me le dire avant …..elle avait honte , elle avait eu peur d’être lesbienne et de ne jamais trouver un mari. Surtout qu’elle me disait avoir aimer le corps de ces femmes et avoir ressentie beaucoup de plaisir à ces ébats

Je lui demandais si elle souhaitait de nouveau revoir Juliette pour reprendre ce genre de pratique…..j’étais des plus partant il va s’en dire
Elle déclina me disant rester sur le vécu de ces bons moments, elle avait peur d’être déçue
Elle m’avoua se masturber et éprouver de la jouissance en repensant à ses souvenirs de jeunesse
N’y tenant plus , je l’enlaçais ma main glissa vers son sexe.
Il était trempé, sa mouille coulait sur ses cuisses, signe que son récit lui avait fait de l’effet
Elle s’empala sur mon sexe en me chevauchant et tout en se masturbant elle jouit….
Nous fîmes l’amour plusieurs fois avec une jouissance extrême ou se mélait avec nos corps ceux de Mireille et Juliette…….

Nous revîmes Juliette mais le déclic n’eut pas eu lieu. Dommages ! !

Cela fait une quarantaine d’années que les choses se sont déroulées et j’en garde un souvenir ému et …….bandant

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