voila notre première aventure candauliste dans un cinéma porno des années 1980; ce souvenir est si fort que nous voulons vous en faire profiter. Et, surtout que vous ayez autant de plaisir a le lire que moi à l'écrire
Proposée le 13/01/2025 par jano5975
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FHH
Lieu: Cinéma
Type: Histoire vraie
SOUVENIRS EROTIQUES
Ces aventures se passent dans les années 1980. Ces années bénies de la révolution sexuelle, ou le sida n'existait pas. Cette période avait vu vu également l'éclosion des cinémas pornographique.
C'est d'ailleurs dans l'un d'entre eux que nous allons vivre notre première aventure.
Je m'appelle Noël , et ma femme Patricia.
Nous sommes un couple d'une trentaine d'année, avec enfant. Nous habitions la région parisienne.
Durant l'été 1981, nous étions en vacances en Sologne, et, dans la ville proche de notre camping, le cinéma existant avait programmé pour le samedi soir un film appelé « X »
La curiosité nous tillant. Enfin, pour être honnête, je dirai plus moi que ma femme bien évidemment.
Cela dit, malgré tout elle accepta volontiers de me suivre.
Ma femme était une jolie brune 1m65 pour 60 kg . Une belle poitrine arborant fièrement un 90b.
Un fessier tout aussi fier d'être là, posé sur deux longues et fines jambes.
Sans prétention aucune, elle avait ce plaisir de voir la tête de certains hommes se retourner à son passage. Ce qui me procurait, à moi aussi, un certain orgueil.
Nous avions beaucoup apprécié cette soirée érotique qui sortait de l'ordinaire. Contre toute attente, nos relations amoureuses s'étaient intensifiées depuis ce soir là.
Je sentais ma femme, s’ouvrir de plus en plus au jeu de l'amour.
Le temps passant, l'envie, partagée cette fois par Patricia, de refaire un petit ciné « X » nous lutinait progressivement.
N'y tenant plus, profitant d'un week-end ou nous étions seul, on décida de s'octroyer une soirée coquine.
On choisit méticuleusement le cinéma. Car certain était plutôt limite. Notre choix s’arrêta sur un cinéma situé rue de la boétie à Paris. A deux pas des champs élysées.
Pour cette sortie, Patricia avait revêtu sur le haut, un cache-cœur croisé en moumoute bleuté.
Je m’aperçus par la suite, qu'elle le portait sans soutien-gorge dessous.
Ce cache-cœur suivait parfaitement avec sa jupe portefeuille écossaise, qui laissait libre court à toute idée d'investigation facile.
Pour parfaire ce beau tableau, une paire de bas surmonté par des chaussures à talons haut, me comblait à ravir.
Nous n'étions pas assis dans la salle depuis cinq minutes, qu'un homme est venu s'asseoir à la droite de Patricia en laissant un siège d'écart.
Pour la rassurer, je l'entourais de mon bras autour de son épaule. Tout en l'embrassant je laissai ma main se déposer sur son sein. C'est à ce moment que je pris conscience de l'absence de soutien-gorge. Mon sexe apprécia comme moi en développant une certaine ardeur.
Je l'embrassais encore plus sensuellement. Nous sommes restés un moment comme cela à regarder ce qu'il se passait sur l'écran. Mon excitation montais, mais je ressentais avec un grand plaisir , la même fébrilité envahir le corps de Patricia.
Je retirais mon bras de son épaule en délaissant son sein, pour venir prendre possession de son genou.
Je jetai un œil sur notre voisin de droite. Il regardait fixement le film son imper sur ses genoux.
Assuré d'être tranquille, j'écartais le pan de jupe, qui d'ailleurs était déjà ouverte à moitié, pour laisser ma main remonter doucement le long de sa cuisse.
Notre voisin ne bougeant pas, je pouvais tranquillement continuer ma caresse. Mes doigts après le soyeux du bas, atteignirent la peau lisse de sa cuisse. Je sentais qu'elle les écartaient lentement.
Ce signe me donnait l'autorisation de remonter jusqu'à sa culotte.
Enhardi, délicatement j'écartais le fin tissu pour venir glisser mon majeur en écartant ses lèvres. Je constatais immédiatement, le degré d'humidité dû à son excitation.
Je me penche vers son oreille . Je lui dis tout bas ; tu mouilles bien dis donc. Elle me regarda en souriant, et je sentais ses fesses s'écarter encore plus.
Mon doigt partis à la recherche de son petit bourgeon. Il n'attendais que cela, car je le sentais bien dur sous la pression de ma caresse.
Le mouvement de va et vient que j’exerçais sur sur ce mince bout de chair ultra sensible, lui déclencha une ondée de plaisir soudain. Elle s’enfonça un plus sur son siège. Les fesses maintenant bien écartées. De mon autre main je saisi son genou, pour venir poser sa jambe sur la mienne.
Ma caresse étant à chaque fois plus intensive, Ma femme se donnait entièrement.
J’abandonnais momentanément son îlot du plaisir, pour lui pénétrer en douceur cette chatte bien mouillée. Mon doigt bien planté dans son intimité, c'est à ce moment que notre voisin se leva pour venir s'installer sur le siège juste à coté de ma femme. A vrai dire dans le feu de l'action nous l'avions un peu oublié.
Une fois assis, son genou est venu effleuré celui de ma femme. Elle eut un tressautement, et referma ses jambes aussitôt.
Je me retrouvais avec ma main coincée entre ses cuisses.
Elle tourna la tête vers moi un peu surprise.
En réponse, mes yeux lui dire de faire selon ses propres désirs.
Elle sourit. M'embrassa amoureusement. Je sentis la pression de ses cuisses sur ma main diminuer. Son genou était en train de venir se repositionner sur le genou de son coquin de voisin.
Très heureux de cette initiative, notre coquin avait compris le message.
Sa main, très délicatement, passa de sa propre jambe, sur le genou de Patricia.
Ma femme me regarda de nouveau, comme pour avoir mon approbation.
Je lui donnais sans hésiter, par un petit signe de tête.
Elle se laissa aller voluptueusement dans son fauteuil. Un peu en marque de soumission à cette main coquine.
Les jambes écartées, la jupe écossaise n'offrait plus aucune résistance. Même dans la pénombre de la salle, on pouvait apercevoir la culotte de ma femme.
Bien sur, en connaisseur qu'il devait être, le propriétaire de cette main, commença à entamer une lente remontée. Laissant glisser ses doigts le long du fin tissu soyeux du bas qui recouvrait sa jambe. Quand ceux-ci effleurèrent la peau lisse de sa cuisse, je ressentis un frémissement de plaisir chez ma femme. Ce qui ne l’empêcha pas de continuer, bien au contraire.
Sa main se retrouvant si proche du sexe de Patricia, je décidais de me retirer de son nid d'amour bien mouillé.
J'en profitais pour placer le rebord de sa culotte sur le coté. Laissant l'entrée de sa petite chatte à découvert.
Sans perdre de temps le doigt du coquin, était déjà au bord de ses lèvres.
Il n’eut aucun mal à s'y insérer intérieurement car ma femme s'était cabrée pour lui faciliter la tâche. Quand j'ai vu, pour la première fois, cette main prendre entièrement possession du sexe de Patricia, j'ai ressenti une énorme tension érotique. Amplifié par le visage inondé de plaisir, que ma femme me donnait à voir.
Noyé dans cette sensualité si forte, nous avions l'impression d'être seul au monde.
Enfin presque seul, car deux types étaient venus s'asseoir en douce dans la rangée juste devant nous.
Il ne perdait rien du spectacle qui s'offrait à eux.
Curieusement cela fit monter encore d'un cran mon excitation. Mon propre sexe ne tenait plus en place. Je sentais mon gland lui aussi tout mouillée.
Pris dans le tourbillon du plaisir, je pris la fesse de ma femme pour la placer sur celle de son coquin de voisin.
Patricia se retrouver maintenant bien offerte aux yeux des deux voyeurs, et en plus aux caresses de notre voisin. Il me remercia d'un large sourire.
Renforcé par mon initiative, se mit à doigter Patricia de plus en fort.
Le cul bien offert, elle s'abandonner entièrement à la jouissance que lui procurer son voisin.
Moi je voyez ce doigt aller et venir dans sa chatte.
Je voyais en même temps le plaisir sur le visage de ma femme.
Cela me provoqua une telle excitation, que je me retrouvais dans un état second.
J'étais loin de m'imaginais qu'une chose pareil pouvait nous arriver.
Le fait de n'éprouver aucune jalousie me surprenais aussi beaucoup.
La tension montait avec les gémissements que Patricia ne pouvait contenir sous la caresse de ce sacré coquin.
Ne voulant pas être en reste, je poser ma main sur son bourgeon trempé de désir.
Quand mon doigt l'a effleuré, elle ressenti une secousse de tout son corps.
Dévoilant encore plus ses fesses aux deux voyeurs, qui se régalaient.
Sous la pression de nos deux caresses Patricia explosa de jouissance. Elle inonda la main de son branleur éphémère, avant de refermer ses jambes brusquement.
Elle m'embrassa goulûment.
Une façon de me remercier, pour lui avoir fait vivre ce moment de plaisir intense.
Mais, elle n'en avait pas encore tout à fait fini. Car ce petit cochon de voisin, venait de dégager son imper, laissant apparaître une belle verge très tendue par l'excitation ambiante.
Elle semblait réclamer elle aussi son dû. Les yeux de ma femme la contemplait avec une certaine Gourmandise.
Le désir aidant, et n'y tenant plus, le voisin pris le bras de ma femme, lui faisant comprendre son envie de subir ses caresses.
Ma femme me regarda de nouveau. Je compris le message et lui envoya un sourire complice. Comment aurai-pu refuser.
Aussitôt elle se pencha vers lui.Sa main saisi cette belle hampe dressé.
Sa bouche effleuré presque son gland. Elle entama doucement cette caresse divine.
Je profitais de l'instant ou ma femme était en pleine extase sur cette belle queue, pour relever sa jupe et lui retirer sa culotte trempée à souhait.
Pour ce faire j'avais relevé ses jambes, et les deux voyeurs avait son cul presque sous leur nez. Téméraire l'un d'eux passa son bras par dessus le fauteuil pour lui toucher les fesses.
Sous le feu de l'action, ma femme les écarta, pour lui faciliter l'attouchement.
Je me suis dit a ce moment, qu'elle était en train de devenir une jolie petite salope !
D'autant que sa main s'agitait de plus en plus vite sur le membre bien raide de son voisin.
Je doute que celui-ci, ne résiste plus très longtemps à ce traitement
Je sentais ma Patricia se régaler à soumettre à son gré, son coquin de voisin qui l'avait bien fait jouir.
C'était à son tour à présent, et cela se manifesta par un soubresaut qui laissa éjaculer en grand jet sa sève sexuelle.
Le visage de Patricia rayonnait de bonheur, en voyant ce liquide chaud s'écouler sur cette belle queue, et sur sa main qui la tenait. Elle se sentait très fière du résultat.
Elle revint s'asseoir sur son siège, et de nouveau m'embrassa goulûment en me disant merci.
Je notais au passage qu'elle avait laissait les pans de sa jupes bien écartées, tout comme ses jambes d'ailleurs. Offrant une dernière fois le spectacle de son intimité toute mouillée aux deux voyeurs.
Notre voisin voyant que nous allions partir, se présenta.
- Je m'appelle claude. Puis-je vous offrir un verre au bar le plus proche proposa t-il ?
J'ai trouvé cela sympa. J'acceptais volontiers.
Tous trois attablé, il complimenta galamment Patricia. C'était un homme d'une cinquantaine d'année. Il présentait bien, avec sa petite moustache coquine. Bref l'impression nous semblait bonne.
Avant de nous quitter il se permit de nous glisser une petit mot, avec ses coordonnées, au cas ou.... ?
Nous dit-il malicieusement.
Pourquoi pas répondit mon épouse avant que je puisse quoi que ce soit.... !
Pour une première ce fût une belle soirée . On pris le chemin du retour main dans la main.
Étant impatient de retrouver notre chambre pour clore cette soirée en apothéose.....
Alors qui sait ? Si cette histoires vous a plu, peut-être, y aura t-il une suite.....
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