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Souvenirs érotiques et cochons - Prologue

Souvenirs d'un érotomane fétichiste de petites culottes et amateur de nymphettes vicieuses, rédigés sans ordre chronologique, selon les envies du moment. Ce petit prologue raconte mes "débuts" de fétichiste et de voyeur, initié aux "jeux interdits" par une tante particulièrement perverse et sa fille, qui ne l'était pas moins.

Proposée le 29/06/2018 par enipal

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


Nous vîmes le jour, ma soeur jumelle et moi, une nuit de février 1948 dans le modeste hôtel de montagne dont mes parents étaient propriétaires. À cette époque et dans ces régions oeuvrait encore la sage-femme, une clinique étant un luxe distant de 60 km., pratiquement inaccessible en hiver.

L'hôtel ! Est-il un endroit plus propice pour être entouré de femmes à longueur de journée ?
Les clientes et les employées de l‘hôtel, les amies et connaissances de mes parents, mes tantes et leurs amies. Petit garçon déjà me fascinait ce qu’elles ne montraient pas, ce qu'elles cachaient sous leur robe, ces créatures. Par terre assis au milieu de mes jouets, je me glissais sous les tables pour guigner leurs cuisses, et sublime plaisir, entrevoir une culotte.
Dames d‘âge mûr aux parfums capiteux, aux larges croupes, aux fortes cuisses, qui parfois me serraient un peu trop contre leur opulente poitrine en me faisant la bise. Jeunes femmes qui sentaient bon, qui taquinaient le “petit monsieur“ - j‘étais tout de même le fils du patron ! - en lui disant qu‘il était beau gosse et le faisaient rougir.

Toutes ces créatures alimentaient mes fantasmes érotiques et mes masturbations de puceau timide. Car j'étais affligé d'une timidité que je considérais comme étant incurable.
Les "plaisirs de la chair", les "jeux interdits" comme on les appelait à l'époque, je les découvrais par personne interposée. Lorsque un couple occupant la chambre attenante à la mienne faisait l‘amour, j‘étais à l‘écoute l‘oreille collée à la cloison.
Certaines nuits, il y avait des bruits de literie plus ou moins agités, je percevais des soupirs, j‘entendais des gémissements, des plaintes, parfois des cris et des mots que je n‘avais jamais entendus :
- Oh, tu es si gros ! Oui ! Non, non ! Pas là ! Tu me fais mal ! NON ! OUI ! C‘est bon ! Continue !
Pourquoi suppliait-elle cet homme de continuer, puisqu‘il lui faisait mal !?
Je ne comprenais pas très bien tout ça, j‘essayais d‘imaginer. Mais ça m‘excitais terriblement et je m‘astiquais comme un fou, me faisant gicler deux, trois fois de suite.
Il y avait aussi des grognements et des râles :
- Prends-la bien ! Cochonne ! Prends tout, salope ! Bois tout !
Il l‘insultait, et puis que voulait-il lui faire boire ?… Je vais demander à ma soeur. Je lui demandai. Elle bouda un jour ou deux parce que je ne lui avait pas fait part de mes écoutes nocturnes, puis me révéla ce qu'un monsieur fait boire à une dame.
Je devins définitivement voyeur le jour où je surpris madame B., une dame dans la cinquantaine venant une fois par semaine s‘occuper de la comptabilité et des livraisons, et son amant accouplés comme des bêtes au fond de l‘économat.
Courbée en avant, les seins écrasés sur une table, la culotte baissée sur ses fortes cuisses largement écartées, ses grosses fesses offertes, elle se laissait sodomiser par un jeune livreur de fruits et légumes. Les couilles de l‘homme balançaient, tapaient sa chatte et elle poussait des plaintes de femelle prise.
Parfois il se retirait, et sa queue tendue, luisante, balançait comme le sexe du mâle devant le sexe de la femelle. Puis il la reprenait, la besognait encore et encore et elle couinait comme un petit animal. Le mâle gicla en râlant, couché sur le dos de sa femelle et ils restèrent ainsi écroulés.
Il se retira, à genoux derrière elle il lécha, nettoya la chatte et le cul de madame B. qui se reculotta et il se rebraguetta.
Caché dans mon observatoire, et sans même me toucher j‘éjaculai dans mon slip. Quel spectacle ! Et les copains, la tête qu‘ils vont faire quand je leur raconterai ! Et ma soeur !
La semaine suivante nous étions dans notre poste d‘observation, impatients de savoir s‘ils “le referaient“. Nous ne fument pas déçu, ils “le refirent“ !
C‘était le paradis ! Le soir nous avions “la radio“ dans ma chambre et une fois par semaine le “ciné“ au fond de l‘économat !

Tante Cécile

Tante Cécile ! Sa culotte ! Mon fétichisme ! La grande villa au dessus de Nice où nous passions, mes cousins et cousinent et moi les vacances d'été.
Tante Cécile fut la seconde épouse de mon oncle Jean. Et très peu de temps après leur mariage, les gens se mirent à jaser. Et dans la famille on chuchotait qu'elle avait le feu au cul, qu'elle ne pouvait pas rester plus de cinq minutes près d‘un homme sans lui grimper dessus, qu'elle changeait d'amant comme de culotte.
Peut nous importait. Tante Cécile nous gavant de sucreries, oncle Jean passant en coup de vent entre deux voyages d'affaire, les bras chargés de cadeaux ; ces mois de soleil et de liberté me faisaient oublier les neuf mois de froid, de grisaille et de punitions de l'internat.
Leur union dura deux ans. Oncle Jean se tua sur la Grande Corniche au volant de sa Bugatti, laissant à sa femme une belle fortune et la villa sur la Côte.
C'est ainsi que, durant les années qui suivirent tante Cécile nous présentait chaque été, selon l‘âge du monsieur, un nouvel “oncle Paul“ ou un nouveau “tonton Albert“.
Cet été là, l'été de ma 18ème année, tout commença le jour où je surpris tante Cécile et son amant accouplés comme des bêtes et ce termina le lendemain par une divine branlette.
Pour je ne sais plus quelle raison j‘étais rentré ce jour là plus tôt que d‘habitude de la plage. En traversant le vestibule, j‘entendis des bruits venant de la cuisine, puis la voix de ma tante : "Non… Alors vite… Les petits… Ils pourraient…!" Par le jardin, je me glissai sous la fenêtre de la cuisine…
Debout, les fesses appuyées sur la table, ma tante troussait sa robe. Elle n‘avait pas de culotte, elle écartait les cuisses. Lui, la bite à la main, s’avançait.
Elle plia les genoux, ouvrit son vagin des deux mains et avança le bassin vers lui. Il empoigna sa queue, visa l’orifice et s’y logea. Il resta ainsi, emmanché par le gland. Il posa ses mains sur ses fesses. Il les pétrit en donnant des petits coups de queue pour faire coulisser son gland dans l’ouverture du con.
Il la dévisagea. Elle fit oui de la tête. Ils baissèrent les yeux, regardant la région poilue où leurs corps se rejoignaient. Elle ne quittait pas des yeux la pine qui s’enfonçait avec lenteur dans son con. Elle eu un gémissement et se trémoussa contre lui.
Elle frottait son con de bas en haut, se branlait avec sa queue comme si c’était un gode, se frottait le clito sur les poils pubiens de l‘homme. Elle inclinait le bassin pour absorber entièrement sa bite au fond du vagin et décollait le haut de sa vulve pour libérer le clito.
Se trémoussant toujours pour faire bouger la bite en elle, elle commença à se masturber. Elle gémit : «Touche-moi... Branle-moi… Pince-le fort, fais-moi mal ! »
Il lui attrapa le clito et le pinça de toutes ses forces. Elle glapit d’une voix stridente. Il la tritura, la griffa. Elle sanglotait en le frappant sur les épaules de ses poings. Il lui effleura l’entre-fesse d’un doigt. Elle feula. Il lui enfonça l’index dans le cul.
Elle s’affaissa contre lui, et se mit à baver sur sa joue. Il lui mit un deuxième doigt dans le cul. Elle se déchaîna. Elle riait, elle bégayait, elle bavait. L‘homme grogna : «Je viens…!» Elle cria : «Oui, oui, sale porc, gicle tout !»
Il lâcha tout. Une longue décharge, une immense giclée qui la remplit, puis coula le long de ses cuisses, lui empoissa les jambes. Quand il se retira enfin, elle se laissa choir sur une chaise, et elle resta ainsi, relevant sa robe, regardant le sperme de l‘homme dégorger de son vagin…
Le soir, dans mon lit, je dus me masturber deux fois avant de trouver le sommeil.
Le lendemain de ce jour mémorable, il me fallu "retourner en taule", ce qui signifiait : Dernier jour de vacances et retour à l'internat.
J'avais l'habitude, le matin, de me masturber devant le miroir de la salle de bain. J'aimais me voir jouir et me regarder gicler décuplait mon plaisir... Et ce matin fatidique ayant oublié de fermer la porte à clé, tante Cécile me prit sur le fait.
Elle ne s'en offusqua pas, bien au contraire :
- Voyez-moi ce petit cochon ! Mais je vais te montrer quelque chose de bien meilleur.
Elle passa ses mains sous sa jupe, fit glisser sa culotte et me la fourra sous le nez :
- Elle sent bon. Je la porte depuis ce matin.
Elle se colla dans mon dos, drapa sa culotte autour de ma queue et de mes couilles, et commença une lente masturbation.
- C'est bon ? C'est meilleur que de le faire tout seul, non ?
Je sentais ses tétons frotter contre mon dos, son bas-ventre bouger contre mes fesses. Je nous voyais dans la glace et par le truchement du miroir elle me regardait dans les yeux en m'encourageant : 
- Regarde toi. Tu va bien juter dans ma culotte.
Elle emprisonna ma jambe entre ses cuisses, je sentis sa main se glisser entre mes fesses, me peloter les couilles. C'était divin ! Je m'entendais gémir, et quand son doigt pénétra mon trou du cul mes gémissements se transformèrent en râles et je lâchai tout mon jus à grandes giclées.
Tout le temps que dura mon orgasme, elle garda son doigt dans mon cul et ma bite bien serrée dans sa culotte, me chuintant à l'oreille :
- Oui, comme-ça, mon petit vicieux… Gicle bien tout ton jus de garçon dans la culotte de ta tante…
Elle remit sa culotte et resta un moment immobile, s'appuyant au lavabo. Elle avait le feu aux joues, je voyais son derrière bouger et elle frottait ses cuisses l'une contre l'autre.
Elle se relâcha enfin avec un long soupir, me fit la bise.
- Mon petit cochon, je crois que je vais te faire connaître un tas de bonnes choses…
Elle tint parole. L'été suivant, elle me prit dans son lit, entre ses cuisses et entre ses fesses. Elle se chargea de mon "éducation sentimentale", et je découvris la vraie nature de tante Cécile : Une femme aimant la bite, qui en avait besoin. Une femelle à qui il fallait des mâles, beaucoup, le plus souvent possible. Bref, elle était cochonne, vicieuse, perverse, obscène.
Je devins son "petit cochon", puis son "bouc" et son amant et elle fut ma maitresse pendant deux ans.

Dès lors, toutes mes amantes ou maitresses devront me laisser leur culotte.
Et aujourd'hui encore, je m'arrête toujours devant la vitrine d’une lingerie. Toutes ces culottes ! Je les imagine sur les clientes et les vendeuses du magasin. Mes doigts se glisser pour les effleurer, les décoller de leur fente. Ma bouche se poser là. Ce parfum de chatte déjà humide.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Xodan
J'aurais bien aimer ne pas passer directement à la fornication et avoir des anecdotes culottes etc ... Mais globalement une bonne histoire merci
Posté le 22/01/2019

léa
j'aime les vieux cochons comme vous
Posté le 1/12/2018

Luc
une tante bien cochonne, super!
Posté le 18/10/2018

Anonyme
Ah, les culottes ! Je les aime en coton blanc.
Posté le 17/08/2018

Anonyme
J'ai vécu presque la même histoire il y a 40 ans. Que de souvenirs ! Merci.
Posté le 2/07/2018

Andréa
J'ai trempé ma culotte.
Posté le 2/07/2018

marc
Superbe récit !
Posté le 2/07/2018

Anonyme
Magnifique ! Vivement la suite !
Posté le 1/07/2018

Anonyme
C'est terriblement pervers, j'adore
Posté le 30/06/2018

Anonyme
J'aime beaucoup, merci.
Posté le 30/06/2018


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