Voici le début d'une nouvelle série. Bien sûr, au début, il ne se passe pas grand chose... mais ça va venir. N'hésitez pas à commenter ! Une correspondante un peu perverse pour qui j'écrirais sur mesure : mon rêve !
Proposée le 31/05/2017 par Donatien
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Masturbation
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
25 juillet 1960
Aujourd'hui était mon premier jour dans ma première place. Il est tard, mais je n'arriverai pas à m'endormir tout de suite, aussi je vais commencer à noter mes impressions dans ce cahier. Cela m'aidera pour me souvenir, car Léa au village m'a fait promettre de tout lui raconter.
D'abord mes patrons. Madame est une assez belle femme d'environ trente-cinq ans. Elle a des cheveux blonds tirant sur le roux et se coiffe en chignon. Je crois qu'elle est assez fière de sa silhouette. Elle portait aujourd'hui une robe que j'ai trouvée un peu courte pour son âge, et très décolletée.
Elle m'a donné tellement d'instructions que je n'ai presque rien retenu. Elle a l'air assez sévère. Elle m'a fait essayer l'uniforme, mais il va falloir faire des retouches car la fille qui m'a précédée était bien plus formée que moi. Madame a marqué toutes les pinces qu'on allait devoir faire. Elle y a mis du temps.
C'est drôle, elle a voulu elle-même m'enfiler les bas de soie blancs, qui étaient trop grands aussi. Elle a promis de m'en acheter, elle dit que les bas de coton que j'ai font vraiment trop campagne. Elle a dit "Pour les culottes, vous pouvez garder celles-ci. Elles conviennent bien à votre genre." Je n'ai pas compris ce qu'elle voulait dire.
Monsieur est un grand brun à l'air très sérieux. Il m'a à peine regardée quand Madame m'a conduit au salon pour me présenter. Elle a dit "Voici Virginie, la nouvelle bonne." Il a levé la tête un instant. Il a dit "Hum ! J'espère que celle-ci ne volera pas les petites cuillères."
Puis il a replongé dans son journal. Mais quand je suis sortie de la pièce j'ai bien senti qu'il me détaillait.
J'ai une chambre sous les toits. Elle est petite mais il y a une fenêtre d'où on voit l'avenue, un petit lit, une armoire minuscule, mais qui suffira bien pour mes affaires, une table, une chaise et un petit lavabo. Les cabinets sont dans le couloir.
Je serai bien mieux qu'à la ferme où je devais partager ma chambre avec mes deux petites sœurs et où il fallait se laver dans la cuisine. La chambre d'à côté est celle de Solange, la femme de chambre de Madame, qui est en congé jusqu'à demain. Il y a aussi une cuisinière et son aide, mais elles ne dorment pas dans la maison. J'ai mangé avec elles tout à l'heure. La cuisinière, Mme Boiron, est une grosse femme au visage rouge, mais elle a l'air gentil. Son aide, Raymonde, est une longue fille pâle aux cheveux noirs pas très souriante. Je crois qu'elle est très jeune.
Voilà, j'ai rangé mes petites affaires et je vais découvrir mon petit lit. A demain cher cahier.
Mon cher cahier, voici enfin cette journée terminée. Je suis si fatiguée que j'ai envie d'aller dormir tout de suite, mais je dois penser à Léa.
La matinée s'est passée à des petits travaux, comme épousseter les lustres et les livres de Monsieur. L'essentiel pour Madame est que je ne casse rien. Pour les travaux les plus durs, il y a une femme de peine qui vient tous les vendredis. C'est tellement moins pénible qu'à la ferme !
A midi, j'ai dû servir le repas. J'ai dû faire tout très mal, malgré les conseils de Madame, car Monsieur me regardait avec son air sévère. Plusieurs fois j'ai eu les larmes aux yeux.
A une heure, une fille est arrivée pour livrer mon uniforme. La couturière a fait bien vite. La commise qui a livré le colis était une petite apprentie d'à peine quinze ans aux cheveux frisés et au nez en trompette. Une effrontée qui regardait Madame avec l'air de se moquer d'elle. Elle a dit : "Rien d'autre aujourd'hui ? Monsieur n'est pas là ?" Madame au lieu de se fâcher lui a glissé une pièce et lui a pincé le menton. Je n'en suis pas sûre mais il me semble que dans le vestibule elle s'est penchée pour l'embrasser. Comme mes patrons sont riches c'est peut-être une de leurs protégées.
Ensuite l'essayage a eu lieu. Toute une cérémonie ! D'abord Madame a chassé Monsieur du grand salon. Il est parti sans protester s'enfermer dans le petit cabinet d'à côté qui est pourtant très étroit.
Madame m'a alors ordonné de me déshabiller. J'ai tout enlevé sauf mon tricot et ma culotte. Elle a dit :"Le tricot aussi." Je n'osais pas lui dire que je n'avais pas de soutien-gorge parce que ma poitrine est trop menue. J'ai ôté le tricot et j'ai vite caché mes seins avec mes mains. Madame m'a alors fixé le porte-jarretelles et elle m'a enfilé les bas. J'avais envie de lui dire que je pouvais le faire moi-même mais elle avait peut-être peur que je les file. Elle m'a ensuite enfilé des chaussures noires à talons, m'a épinglé le bonnet de dentelles et m'a ordonné de marcher dans la pièce.
C'était drôle de le faire dans cette tenue, surtout que je ne suis pas très adroite sur les talons. Puis ça a été le tour de la robe. Mon Dieu, qu'elle est courte ! C'est à peine si elle cache le haut de mes bas. Je me suis dit qu'elle allait sûrement la renvoyer mais non, elle avait l'air d'être satisfaite. Quand j'ai été habillée, elle m'a fait faire plusieurs fois le tour de la pièce, ramasser plusieurs objets sur le sol (qu'elle venait d'y mettre !) et enfin renvoyée dans ma chambre jusqu'au dîner. Décidément, ce n'est pas fatigant ! En sortant, j'ai entendu Monsieur dire : "Un ange ! Mais vous très chère, vous êtes une sorcière ! Cette culotte de coton avec toute cette soie, c'est une trouvaille !" Que voulait-il dire ? Les culottes sont toujours en coton, n'est-ce pas ? Et qui est un ange ?
Je me suis interrompue en entendant du bruit dans le couloir. C'était Solange, la femme de chambre de Madame, qui revenait de congé. J'ai ouvert ma porte, elle a tout de suite lâché son sac de voyage pour m'embrasser. "C'est toi la nouvelle bonne ! Comme tu es jolie ! Ah ! Je sens que nous allons bien nous aimer !"
Ces gentilles paroles m'ont presque fait pleurer. D'autant que je sais bien que je ne suis pas jolie, juste une maigrichonne avec des jambes trop longues et pas de poitrine. Mais Solange, elle, est une beauté. C'est une brune avec des cheveux coupés à la garçonne. Elle a le teint pâle et de jolies lèvres qu'elle dessine au rouge. Sa robe ne cache rien de sa silhouette parfaite. Comme j'envierais sa poitrine et ses hanches si elle ne se montrait pas déjà si gentille avec moi.
Elle m'a fait entrer dans sa chambre qui est presque identique à la mienne, à part le joyeux désordre. "Ah ! Que c'est bon de rentrer ! J'ai dû retourner chez mes vieux, tu parles d'un ennui ! Tiens, aide moi." Elle m'a tourné le dos et je l'ai aidée à défaire la fermeture éclair de sa robe. D'un geste elle s'en est débarrassée. Mais quelle surprise, dessous, à part des bas et son porte-jarretelles, elle était toute nue ! J'en suis restée bouche-bée. Elle a commencé à ranger ses affaires en babillant comme si de rien n'était. Comme je ne disais rien, elle m'a regardée curieusement.
- Qu'est-ce que tu regardes ?
- Euh... tes... seins... Ils sont si beaux !
- Tu trouves ? Un peu gros, non ? Et je n'ai que dix-huit ans ! Mais ce qui est drôle, ce sont les bouts. Tiens, caresse-les un peu. Non, comme ça, tu les pinces doucement, comme pour les aiguiser. Tu vois comme ils se dressent ? C'est marrant, non ? Les tiens font ça aussi ?
Je n'ai rien répondu, j'étais si gênée ! Et j'avais envie de lui demander pourquoi en bas elle était lisse comme mes petites sœurs. Elle a dû suivre mon regard car elle a éclaté de rire.
- Oh ! Ça ! Si tu savais le temps que ça prend ! Un par un, à la pince. Et ça fait un mal de chien. Mais "elle" ne supporte pas le poil noir. Toi tu as de la chance d'être blonde ! Et ces yeux immenses, et cette bouche ! Et ce teint de lis ! Ah, il faut que je t'embrasse.
Et elle s'est mise à me dévorer de baisers. Les joues, le front, le cou, la nuque, et même tout au bord des lèvres. Quelle chance d'avoir trouvé une compagne aussi amicale ! Mais comme c'était étrange d'avoir cette fille nue collée contre moi ! Il me semblait qu'elle avait un peu de mal à respirer.
Elle m'a regardée dans les yeux.
- Toi, tu ne sens rien ! Tu es tout à fait innocente, n'est-ce pas ?
Je ne comprenais pas. Elle a dit : Ah ! Je n'en peux plus !" Elle s'est précipitée dans son lit et a remonté les draps. Elle devait être bien lasse.
- Viens t'assoir près de moi, a-t-elle dit dans un souffle. Il m'a semblé que son bras remuait sous le drap.
Je me suis assise mais j'avais beau tirer sur ma robe elle remontait au-dessus de mes bas. Je devais être affreuse à voir. Solange continuait à remuer sous le drap. Elle poussait maintenant de petits gémissements. Elle m'a dit : "Ecarte les jambes, je t'en prie. Tu es si belle !" J'ai fait ce qu'elle demandait. Elle a posé sa main sur le haut de mon bas et a caressé très gentiment l'étendue de peau entre le bas et la culotte. Cela me chatouillait un peu mais ce n'était pas désagréable. J'ai écarté les jambes plus largement. Elle a fait une chose bizarre. Elle a écarté l'élastique et ses doigts ont touché l'endroit par où je fais pipi. J'aurais dû trouver cela dégoûtant mais elle était si jolie avec ses lèvres entrouvertes que je l'ai laissée faire. Au bout d'un moment je me suis sentie drôle. J'avais envie qu'elle continue. Mais elle a soudain porté les mêmes doigts à ses lèvres, s'est tendue comme un arc et elle a poussé un grand "Ah !"
Ensuite, il m'a semblé qu'elle s'endormait aussi je l'ai laissée et je suis retournée dans ma chambre pour écrire dans mon cher cahier.
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Commentaires de l'histoire :
Le Voyou
Bon début... ^^
Posté le 26/01/2018
mariie
adorable!!!!!!!!
Posté le 10/06/2017
Ellicia
Très agréable à lire,nous attendons la suite avec impatience...
Posté le 2/06/2017
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