Pardon à mes lecteurs de les avoir fait attendre. Voici la suite des aventures de la candide Virginie. Un peu moins candide d'ailleurs à mesure que le temps passe... Il semble même qu'elle révèle certains dons.
Proposée le 2/01/2018 par Donatien
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Après cela j’ai fait le ménage de la salle de bains en pleurant. Je m’étais fait une bonne amie et maintenant elle allait être fâchée à mort avec moi après les coups de martinet que je lui avais donnés. Si au moins je n'avais pas tapé aussi fort ! Mais le pire, c'était le bonheur que j'avais ressenti à le faire. Il me semblait qu'à chaque fois que les lanières venaient frapper ses fesses, il montait en moi comme une vague de plaisir, de plus en plus grande et quand j'ai vu sa peau tendre ravagée par les lanières, cette vague m'a submergée.
J’ai enlevé ma culotte qui était toute mouillée et ça me faisait drôle de faire le ménage comme ça, toute nue sauf mes bas et mon porte-jarretelles. En plus le grand miroir me reflétait et c’était la première fois que je me voyais nue tout entière. Je me suis regardée un moment en me demandant si c’était vrai ce que Solange disait, si j’étais vraiment jolie. Je me suis dit que mon visage n’était pas si mal, au moins j’ai de grands yeux et ma bouche est bien dessinée. Et le chignon me vieillit un peu. Pour le reste je suis trop maigre et mes seins sont petits avec des pointes très pâles. Je n’ai pas beaucoup de poils sur ma – oh, je ne veux pas dire un vilain mot que je connais – ils sont très clairs et fins et on voit la fente à travers qui remonte assez haut. Je ne sais pas si c’est joli.
J'avais besoin de me laver et la baignoire était encore pleine. J’ai enlevé mes bas et je suis entrée dans l'eau tiède et mousseuse. Nous n'avons pas cela à la ferme et je dois dire que c'était délicieux. Puis j'ai senti la "chose" de madame encore collée au fond. Je l'ai prise dans ma main. Je n'arrivais pas à croire que Madame pouvait faire entrer ça dans son intimité. J'ai même fait une chose bizarre. J'ai fait entrer pour voir le bout de mon index dans mon petit trou - non, je ne suis pas si ignorante, je sais que ça s'appelle vagin. C'était mouillé et glissant, mais bien trop petit pour le gros olisbos. Mais avec mon doigt dans le vagin, j'ai commencé à sentir revenir la vague. J'ai échangé mon index contre mon majeur qui pouvait aller plus loin, là j'ai senti comme une barrière. Alors j'ai fait aller et venir mon doigt de plus en plus vite, je sentais que je pouvais comme ça faire revenir le plaisir. Mais j'ai entendu un bruit et j'ai vite arrêté.
J’ai remis ma robe pour finir mais comme elle est très courte c’était encore plus bizarre de passer l’éponge à quatre pattes par terre. Dans cette maison, je ne sais pas pourquoi mais j’ai toujours l’impression d’être regardée.
Enfin j’ai fini de tout ranger et comme je ne pouvais pas rester ainsi les fesses nues je suis remontée dans ma chambre pour remettre une culotte. Ensuite je suis remontée à ma chambre, très inquiète de devoir affronter Solange. Je suis passée sur la pointe des pieds devant sa chambre, ma culotte encore humide à la main. Mais le plancher craque terriblement et bien sûr sa porte s'est ouverte. Solange est apparue. Elle portait une robe de chambre de soie rouge que je ne connaissais pas, ouverte et sans rien dessous. Elle m’a attrapée par le bras et tirée à l’intérieur. J’ai eu très peur, je pensais qu’elle allait se venger et me battre à son tour. Elle est bien plus forte que moi et en plus je ne me serais pas défendue, je le méritais bien. Bien sûr je pleurais à chaudes larmes. Elle m’a poussée sur son lit, elle est montée sur moi et m’a saisie par les poignets. Je ne pouvais plus du tout bouger. Je fermais déjà les yeux en attendant les gifles qu’elle allait me donner. Elle me disait des choses terribles mais c’est drôle, elle n’avait pas l’air d’être vraiment en colère. Dans la bataille, ma robe était remontée jusqu’à ma taille et je sentais ses cuisses nues sur mes hanches et sa chose à elle tout près de la mienne.
— Alors, garce, tu t’es bien amusée à me fouetter le cul ? J’ai les miches en feu ! La patronne m’a mis de la crème mais ça brûle encore ! Je crois que tu as eu ton compte de plaisir ! C’était bon, hein, de dégeler les fesses de ta copine ! Qui aurait cru ça de toi, avec ton air de Sainte-Nitouche ? Je crois que tu es de la graine de putain ! Une petite salope qui ne le sait pas encore !
Et à mesure qu’elle me parlait, son visage se rapprochait du mien. Et soudain elle a posé sa bouche sur la mienne. J’ai compris qu’en fait elle n’était pas fâchée puisqu’elle m’embrassait. On ne m’avait jamais embrassé comme ça et j’ai trouvé ça drôle. Et quand elle a sorti sa langue j’ai entrouvert ma bouche pour la laisser entrer et ma langue a joué avec la sienne et c’était très doux. Elle me disait encore des gros mots, mais doucement comme si c’étaient des mots doux.
— Tu vois dans quel état tu me mets, petite pute ! Ah ! J’ai la chatte en feu ! Il faut que tu me donnes ta bouche !
Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait puisque ma bouche elle l’avait déjà, mais j’ai fait signe que oui. J’ai compris quand elle s’est déplacée sur le lit pour mettre sa fente au-dessus de mon visage. Oh, comme c’était étrange ! Je n’avais jamais vu l’intimité d’une autre fille d’aussi près ! Elle est si jolie, toute lisse et bombée ! Elle l’a ouverte avec ses doigts et j’ai pu voir l’intérieur, tout rose, mouillé et luisant.
— Allez ! Suce-moi, putain !
Il me semble que j’aurais dû trouver ça dégoûtant mais pas du tout. J’ai allongé ma langue et j’ai goûté. C’était un peu salé et délicieux. Alors avec le bout de ma langue j’ai parcouru toute sa petite grotte. J’ai bien vu quels étaient les endroits où elle aimait bien parce qu’elle gémissait plus fort. Au bout d’un moment elle a commencé à pousser des cris. Elle a attrapé mes cheveux et elle a commencé à frotter son entrejambes sur mon visage. Mon menton, ma bouche, mon nez étaient tout mouillés. Puis elle s’est immobilisée, sa bouche d’en-bas collée contre ma bouche à moi et j’ai senti qu’elle tremblait. Moi j’ai envoyé ma langue le plus loin possible dans son trou d’en bas. En même temps elle coulait plus fort, mais ce n’était pas du pipi. J’en avais plein la bouche et j’avalais comme je pouvais. Elle s’est retirée juste à temps parce que je manquais d’air. Elle s’est penchée, elle était très rouge et elle m’a de nouveau embrassée avec la langue. Elle m’a dit :
— Petite salope, ça faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort. Je crois qu’on va bien s’amuser avec toi. Je te rendrais bien la pareille mais Madame s’est réservé ta première fois.
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