Virginie découvre le plaisir de se faire servir. Comme elle apprend vite, elle le fait d'une façon très particulière. Si vous aimez Virginie, faites-le-moi savoir et cela me donnera du courage pour écrire la suite.
Proposée le 29/01/2018 par Donatien
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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Mon cher cahier, il faut que je te dise que le service dans cette maison devient de moins en moins fatigant. Madame ne me demande rien de plus que des choses faciles comme passer le plumeau sur ses bibelots. Ce n’est pas du tout difficile, même si je dois le faire avec la culotte baissée jusqu’aux genoux, ce qui n’est pas commode pour marcher. Elle me demande toujours cela quand Monsieur est dans la maison, mais elle lui interdit de s’approcher de moi. C’est drôle, Monsieur me fait peur à moi, mais il n’ose pas désobéir à Madame.
Ce matin, elle m’a fait venir près d’elle au petit déjeuner et m’a demandé de beurrer ses tartines. Dès que j’ai eu les mains occupées, elle a glissé la sienne sous ma robe et s’est mise à me caresser entre les jambes. Elle le faisait très bien, et au bout d’un moment j’ai dû lâcher la tartine et me tenir à la table pour ne pas me laisser tomber sur le tapis. Alors elle m’a claqué très fort le derrière et m’a dit :
— Mais enfin, ma petite, pensez donc à ce que vous faites !
J’ai repris ma tartine et ça a recommencé jusqu’à ce que les fesses me brûlent et que ma culotte soit mouillée comme si j’avais fait pipi dedans. Quand elle a vu que je n’en pouvais plus, elle m’a demandé si j’avais envie de jouir. Maintenant, je sais ce que ce mot veut dire !
— Oh oui, Madame !
Alors, elle m’a déshabillée tout doucement en me caressant et en m’embrassant, mais sans jamais me toucher là où je voulais. Je devais garder les mains derrière le dos pendant qu’elle agaçait mes tétons du bout de sa langue. C’était terrible parce que je sentais que j’étais mouillée au point que ça coulait le long de mes cuisses.
Elle a ensuite sonné Solange et lui a demandé de faire venir la cuisinière et Raymonde, son aide. Elle a fait assoir toutes les femmes et m’a ordonné :
— Allongez-vous ici, sur le tapis. Mais oui, ici. Voilà, caressez-vous, maintenant. Montrez-nous comment vous faites.
J’avais envie de pleurer d’être regardée ainsi, mais j’ai obéi. J’ai glissé un doigt entre les lèvres de ma minette et j’ai commencé à frotter. Dieu que ça me faisait du bien. Madame et la cuisinière faisaient des commentaires, Raymonde ne disait rien.
— Vraiment cette fille est une putain !
— Voyez comme elle se tortille, Madame Boiron, quelle petite salope !
— Regardez comme elle écarte les jambes ! Qui aurait cru qu’elle était aussi vicieuse ?
Évidemment, j’étais morte de honte, mais il me semblait que plus j’avais honte et plus j’avais envie qu’elles me regardent et plus le plaisir montait haut. Et comme c’était ce qui leur faisait plaisir, je n’ai retenu ni mes cris ni les clapotements mouillés que faisaient mes doigts dans ma minette. J’ai vu que la petite Raymonde avait saisi son entrejambes à travers son tablier de cuisine et le serrait très fort. C’est en la regardant dans les yeux que j’ai joui et j’ai compris en voyant son visage rougir soudain qu’elle jouissait en même temps que moi.
Quand tout a été fini, Madame a pris Solange par la main et l’a emmenée très vite dans sa chambre. Je crois qu’elle lui a fait jouer de l’olisbos. La cuisinière est retournée à ses fourneaux et Raymonde est restée pour m’aider à me rhabiller. Je n’en n’avais pas besoin mais ça semblait lui faire plaisir. Elle m’a chuchoté en boutonnant ma robe :
— Oh, Mademoiselle, vous êtes si belle !
— Mais enfin, Raymonde, je ne suis pas une demoiselle, je sers ici comme toi !
— Non, vous, vous êtes une princesse. C’est toujours à vous que je pense quand Monsieur me prend.
J’ai vu que cette petite folle allait se mettre à genoux, alors je l’ai retenue et je l’ai embrassée sur la joue. Elle est redevenue très rouge.
— Oh ! Mademoiselle ! Vous ne devez pas ! Je ne suis qu’une sale fille de cuisine ! Je voudrais tant vous servir !
Je me suis dit qu’après tout être servie ne serait pas mal, et puisque cela semblait lui faire plaisir…
— Veux-tu me nettoyer ? Je suis encore toute mouillée…
— Oh oui, Mademoiselle !
Je lui ai tendu une des serviettes de table et elle s’est tout de suite mise à genoux sur le tapis. Mais c’est avec sa langue qu’elle a entrepris de faire ma toilette. C’était très amusant de la voir sortir une petite langue de chat et de lécher chaque centimètre de mes cuisses. C’était plaisant aussi et quand elle est arrivée en haut j’étais de nouveau très excitée. Je n’avais pas remis ma culotte alors elle s’est mise à lécher ma minette, mais toujours comme font les chats, pas comme Solange qui savait trouver les endroits les plus sensibles. C’était à la fois agréable et très énervant. Et en voyant cette fille à mes pieds, à quatre pattes comme un animal, j’ai regretté de ne pas avoir le martinet de Madame. Il me semblait que j’aurais eu bien du plaisir à lui faire rougir les fesses pour lui apprendre pendant qu’elle me léchait.
Comme j’avais une petite envie, j’ai eu une idée pour la punir. Je me suis concentrée et j’ai lâché un petit jet de pipi sur son visage. Elle a reculé mais je l’ai attrapée par les cheveux et je lui ai dit :
— Tu as dit que tu voulais me servir alors reste ici et ouvre la bouche.
Elle a obéi et j’ai lâché tout mon pipi sur son visage et dans sa bouche. Je sais que ce n’est pas bien, mais quel plaisir j’avais à la voir supporter ça sans bouger ! Le devant de sa robe était trempé et collait à ses petits seins pointus. Je l’ai trouvée presque jolie.
— Allons, va te changer et retourne à la cuisine !
— Oh, non, Mademoiselle, je veux rester comme ça !
— Tu m’aimes donc bien ?
— Oh oui, Mademoiselle !
— Tu es gentille. Viens m’embrasser.
Elle m’a tendu sa joue, mais je lui ai collé un vrai baiser avec ma langue dans sa bouche. Elle avait un peu le goût de pipi mais ça ne m’a pas déplu. J’ai cru qu’elle allait défaillir. J’avais envie d’aller voir comment c’était sous sa robe mais à ce moment la cuisinière est revenue l’appeler et elle n’était pas contente du tout, alors je l’ai laissée partir.
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