Ce pharmacien cache bien son jeu !

Je suis entré dans cette pharmacie pour un simple renseignement. J'en suis ressorti "rempli" d'interrogations...

Proposée le 20/02/2017 par sorggulp

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Thème: Masturbation
Personnages: HH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

"Bien" me dit le pharmacien lorsque j'eu fini de lui expliquer ma présence dans l'officine.

Depuis quelques temps, je ressentais une gêne au niveau de l'anus. Ayant usé toutes les possibilités (lavements, crèmes diverses et j'en passe), je m'étais résolu à en parler à un professionnel. Mon interlocuteur était un homme d'une cinquantaine d'année, les cheveux bouclés poivre et sel. Vêtu d'un costume sombre et d'une chemise blanche ouverte, il portait des lunettes rondes qui lui donnait un air de professeur. C'était ce que l'on appelle dans ce cas précis un bel homme mûr, sûr de ces faits et gestes.
"Je pense que c'est une fissure anale en ce qui vous concerne, les symptômes décrits correspondent tout à fait à ce genre de pathologie", me dit-il.
Il me dévisageait lentement.
J'avais 40 ans au moment des faits. D'allure sportive, j'étais assez porté sur le sexe et à l'affût de la moindre occasion pour m'envoyer en l'air. Homme ou femme, peu m'importait, seul le plaisir primait.
Cependant, dans ce cas précis, j'étais loin d'imaginer la suite de cette histoire...
"J'ai ce qu'il vous faut mais j'aimerais être sûr de mon diagnostic. Verriez-vous un inconvénient à ce que je vous examine ?"
La question me troubla au plus haut point.
M'examiner ? Cela supposait qu'il allait regarder mon derrière ! J'étais décontenancé mais je m'entendais répondre par l'affirmative. Il me proposa alors de le suivre dans une pièce attenante à la pharmacie.

C'était une sorte de petit entrepôt. Des cartons étaient empilés ça et là tandis qu'une chaise et une table étaient disposées dans un angle. Un grand miroir vertical était fixé au mur. Des tubes et des flacons étaient posés en vrac sur celle-ci. Une simple ampoule éclairait la pièce d'une lumière diffuse.
"Enlevez votre pantalon et votre sous-vêtement" me demanda le pharmacien tandis qu'il posait sa veste sur le dossier de la chaise et qu'il retroussait les manches de sa chemise.
"Tournez-vous face au mur et posez vos mains sur la table s'il vous plait".

J'obtempérais non sans ressentir une gêne mêlée à une étrange sensation d'excitation. Jamais, je n'aurais imaginé me retrouver dans cette situation. J'étais quasiment nu, les jambes écartées tandis que le pharmacien s'asseyait pour mieux observer mon anus. Il écartait d'une main une fesse, découvrant mon anus complètement épilé (comme tout le reste d'ailleurs, ce qui ne manquait pas de m'exciter).
"Effectivement, je vois une petite fissure mais rien de bien alarmant." Il devait surtout voir ma raie et mes boules complètement lisses.
Je devais arrêter de me faire des films. Pourtant, le scénario me plaisait de plus en plus.
"Je vais mettre un gant enduit de crème cicatrisante. Ce n'est pas la chose la plus agréable mais le seul moyen de vous soigner et cela vous permettra de le faire seul par la suite. Soyez attentif et cela va bien se passer. Je vois que vous vous épilez et c'est tant mieux car c'est plus facile d'appliquer le gel."
Pas agréable, pas agréable... Je demande à voir !
Le reflet du miroir renvoyait mon image. Je sentais l'excitation grandir. Il fallait que je me maîtrise car cela ne tarderait pas à se voir...
Quelques secondes passèrent. Le pharmacien glissait sa main gantée entre mes fesses. Il lubrifiait l'intérieur de celles-ci sur toute la longueur avec la crème. Le contact du latex sur mes fesses était plutôt agréable. Une fois passé la surprise du contact froid du gel, je prenais de plus en plus de plaisir à sentir la main se balader entre mes fesses.

"Il faut surtout aller lentement afin que la crème pénètre bien dans la peau. C'est ainsi que vous cicatriserez plus vite."
Petit à petit, les mouvements se rapprochaient de ma rondelle. Un doigt faisait de petits mouvements concentriques, entrant insidieusement de plus en plus profondément . Loin de l'en empêcher, je l'encourageais à aller plus loin en écartant imperceptiblement les jambes. Quelques minutes passèrent ainsi dans un silence total. Le doigt allait et venait sans difficulté me procurant des sensations très agréables.
"La fissure anale est présente aussi en interne. Il faut donc déposer la crème à l'intérieur de l'anus afin de cicatriser également. Cela prend plus de temps car cette partie est humidifiée en permanence d'où l'intérêt de bien répartir le produit à l'intérieur. Je vois que vous vous épilez, cela me facilitera le travail " me dit le pharmacien.
Je sentais son regard sur mes fesses complètement épilées. Cela ne me laissais pas insensible.
"C'est à cet endroit qu'il faut insister" me dit-il en enfonçant le doigt plus profondément.
Il me massait maintenant la raie de façon beaucoup plus suggestive en accélérant le mouvement. Soudain, je sentis le doigt entrer entièrement de façon autoritaire en faisant des mouvements circulaires. Je me cambrais instinctivement en poussant un petit cri de surprise.
"Détendez-vous, ce sera plus facile." me dit le pharmacien.
Le doigt allait et venait de plus en plus profondément, fouillait largement mon intimité, s'attardant longuement ainsi à l'intérieur.
Je cachais tant bien que mal le plaisir que je prenais avec son doigt qui allait et venait dans mon cul et le pharmacien devait parfaitement sentir que je le laissais faire. De plus, je commençais à bander. Une douce chaleur se propageait dans mon bas-ventre.
"Parfait, vous êtes maintenant parfaitement détendu, cela me facilite grandement le travail."

Le pharmacien semblait très concentré sur l'examen. J'étais de plus en plus ouvert, ne cherchant absolument pas à empêcher le doigt de s'insinuer entre mes fesses . La main revenait régulièrement glisser sur mes fesses de haut en bas, effleurant imperceptiblement mes testicules. J'étais de plus en plus troublé par le contact de la main gantée. L'examen prenait une tournure inattendue d'autant plus que deux doigts s'invitaient maintenant. J'étais surpris par la facilité avec laquelle ils entraient .
Je relevais légèrement la tête. Dans le miroir, je pouvais observer le pharmacien assis, le visage tout proche de mes fesses. Ses yeux étaient fermés tandis que ses doigts s'activaient dans mon cul.

Soudain, sa main glissa entre mes cuisses, caressa mes boules puis saisit ma queue. Le pharmacien commença alors à me masturber lentement.

Sous l'effet de surprise, je fermais les yeux faisant semblant de ne rien voir, écartant encore plus les jambes afin de faciliter le passage de la main. Je ne pouvais cacher mon excitation. Regardant de nouveau le miroir, je pouvais voir mon sexe maintenant dressé sous mon T shirt. Mon cœur battait la chamade. Je n'osais prononcer un mot, pétrifié mais terriblement excité par la tournure des événements. Jamais, je n'aurais imaginé que cet homme, d'apparence si flegmatique d'apparence, soit bien celui qui me branlait à l'instant présent. Et pourtant, j'avais beau jeter à nouveau un coup d’œil au miroir, c'était bien lui qui s'activait entre mes cuisses. Il me décalottait entièrement, flattait le gland pour ensuite revenir sur ma queue bandée. Il me caressait divinement bien.

Sans plus réfléchir, je me redressais et retirais mon T-shirt, me retrouvant entièrement nu. Je me tournais alors face à lui. Le pharmacien ouvrait les yeux, découvrant ma bite dressée devant son visage.

Dorénavant, les choses étaient claires. Sa main glissait loin entre mes cuisses que j'écartais encore plus afin qu'il puisse me pénétrer tandis qu'il me branlait de l'autre main. Il tenait fermement ma queue en décalottant celle-ci.
Il ouvrit alors la bouche et prit en entier le gland turgescent. Je gémissait de plaisir, posant la main sur sa tête afin de l'inciter à aller plus loin.

Ma queue entrait alors au fond de sa bouche pour ressortir lentement. Il suçait divinement bien. De temps à autre, il prenait une boule entre ses lèvres et la faisait rouler entre celles-ci tout en me caressant d'une main. J'accélérais le mouvement, ne tardant pas à le tenir de plus en plus autoritairement par les cheveux. Ma queue pilonnait à présent sa bouche dans un rythme effréné.

Le pharmacien avait glissé sa main gantée entre mes fesses et me pénétrait avec ses doigts lubrifiés.
Je ne me maîtrisais plus. Le fixant dans les yeux, je l'alertais de la situation mais le pharmacien ne semblait pas vouloir se retirer.

Mes jambes tremblaient, mon ventre dansait tandis que ma queue coulissait dans sa bouche.
Dans un dernier assaut, je m'immobilisais au fond de sa bouche. J'étais parcouru de spasmes alors que je flageolais sur mes jambes. Le pharmacien semblait vouloir garder ma queue au plus profond de sa gorge. J'explosais à ce moment précis, la queue secouée de spasmes de jouissance. Quelques instants s'écoulèrent dans un silence total. Il léchait longuement ma queue qui ramollissait à vue d’œil.

A suivre...

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