Pour ceux qui ont apprécié le premier épisode de ma visite chez le pharmacien, voici la suite. Je vais découvrir le fist-fucking et par la même occasion que mon pharmacien est monté comme un cheval ! Bonne lecture !
Proposée le 23/08/2019 par sorggulp
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominé
Personnages: HH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
La semaine s’était écoulée comme dans un rêve. Je repassais mentalement en boucle la scène de la pharmacie. Le souvenir de ses doigts glissants entre mes fesses me faisait bander comme jamais. Je me caressais de nombreuses fois en repensant à la scène, jouissant à chaque fois avec toujours plus de plaisir. C’était évident, je voulais revoir ce pharmacien.
Ayant pris soin d’effectuer une toilette intime minutieuse, je pris la direction de la fameuse pharmacie. Alors que je m’approchais de celle-ci, mon rythme cardiaque accélérait. Je cherchais du regard la présence du pharmacien.
J’étais à la fois soulagé et anxieux lorsque je le repérais, affairé avec une cliente. Il ne tarda pas à remarquer ma présence.
« Bonjour, Comment allez-vous ? » me dit-il avec un léger sourire tout en venant vers moi. Il portait une blouse blanche ouverte, laissant apparaître un pantalon de ville et une chemise d’été.
« Bonjour, j’aimerais savoir si le traitement que vous m’avez prescrit fonctionne bien » bredouillais-je.
Je sentais le regard de mon interlocuteur se poser furtivement sur mon bas-ventre. Visiblement, il n’avait pas oublié.
« Je vais examiner monsieur, occupez-vous des clients, j’en ai pour un petit moment » dit-il aux préparatrices.
« Suivez-moi » dit-il en m’indiquant la porte de la réserve.
A peine entrés dans celle-ci, le pharmacien ferma la porte à clef.
« Déshabillez-vous » me dit-il tandis qu’il cherchait quelque chose sur une étagère.
Le cœur battant, je retirais mes vêtements, ne gardant que le slip. J’attendais quelques secondes qui me paraissaient une éternité.
« Tous les vêtements » entendis-je dans mon dos tandis qu’il se plaçait sur ma droite.
Ayant retiré le dernier rempart protégeant mon intimité, je me positionnais comme la première fois, face au mur, mains posées sur la table, jambes légèrement écartées.
Comme lors de ma première visite, il prit place sur la seule chaise du local puis se positionna assis derrière moi.
« Je vais tout d’abord vérifier la cicatrisation de la fissure anale ».
Ecartant des deux mains sans ménagement mes fesses, il examina de longues secondes mon petit trou. Le silence était total si ce n’est le bruit des discussions de l’autre côté de la porte ce qui ne manquait pas de pimenter la situation.
Soudain, je sentis quelque chose d’humide chatouiller ma raie. Regardant le miroir fixé au mur, je voyais le visage du pharmacien enfoui entre mes fesses.
Sa langue cherchait l’entrée de mon trou, la trouvait et s’enfonçait immédiatement plus loin ! J’étais à la fois sidéré et terriblement excité !
Sa main saisit ma queue déjà bien gonflée d’excitation et commença à la branler. Je ne pouvais retenir des gémissements de plaisir. Décidément, ce pharmacien savait comment s’y prendre pour examiner ses patients !
Le plaisir montait en flèche tandis que sa langue pénétrait de plus en plus profondément mon trou. Mes jambes flageolaient sous ses caresses expertes.
Stoppant ses caresses quelques instants, il enfila un gant de latex jetable sur sa main gauche, déposait une grosse noisette de lubrifiant dessus. Je remarquais à ce moment précis la finesse de sa main.
La main lubrifiée se glissa entre mes fesses. Elle parcourut quelques instants la raie de haut en bas puis se posa sur ma rosette. Un doigt entra sans difficulté faisant de nombreux aller-retours.
Je cambrais volontairement les reins. Un deuxième doigt vint renforcer le premier. De son autre main, il me branlait lentement, me massant régulièrement les boules.
Il continua ainsi de longues minutes. Je sentais ses doigts aller de plus en plus profondément. Posant les coudes sur la table, j’écartais d’avantage les jambes envoyant ainsi un message sans équivoque au pharmacien.
« Relâchez-vous au maximum » me dit le pharmacien en me doigtant de plus belle.
Il fit couler une grande quantité de lubrifiant entre mes fesses. Je sentais le liquide couler tout le long de ma raie et à l’intérieur des cuisses. Il reprit de plus belle son activité, ajoutant encore un doigt (c’est ce qu’il me semblait).
La douleur devenait insupportable.
« Vous me faites mal ! » dis-je en me tordant de douleur.
« Détendez-vous… » murmura le pharmacien en enfonçant plus profondément encore ses doigts gantés. Ne pouvant retenir un cri de douleur, je cru suffoquer lorsque je sentis mon sphincter se refermer sur sa main !
« Ce n’est pas possible ! » pensais-je en sentant sa main coulisser entièrement dans mon cul.
Jetant un coup d’œil au miroir, je pouvais parfaitement voir son avant-bras planté entre mes fesses. Fermant les yeux, je m’affalais sur la table, les jambes largement écartées et les reins cambrés au maximum. Progressivement, je m’habituais à ce godemichet hors normes, le sentant coulisser de plus en plus facilement. Le pharmacien me branla de nouveau tout en me godant de sa main.
« Vous voyez ? C’est tellement plus facile lorsque vous êtes bien détendu » souffla le pharmacien en retirant sa main.
Il se redressa, jeta le gant maculé de lubrifiant au sol.
« Ne bougez-pas, s’il vous plaît »
Je reconnus le bruit caractéristique d’une fermeture éclair.
Me prenant par les hanches, le pharmacien donna un grand coup de rein.
Sa queue entra d’un coup, m’arrachant un cri de surprise. Tout d’abord, je ne m’attendais pas à ce qu’il me prenne ainsi et surtout j’étais loin d’imaginer qu’il fut monté de la sorte !
Le pharmacien resta ainsi immobile quelques instants. Je sentais sa queue fichée en moi tel un pieu. J’étais rempli à l’extrême. Progressivement, la douleur ressentie diminua.
« Vous comprenez mieux pourquoi il fallait que je vous prépare un peu ! » me glissa le pharmacien.
Il me prit les hanches des deux mains. Sa queue ressortit lentement puis reparti à l’assaut de mon cul. Tournant le visage vers le miroir, je voyais l’énorme chibre coulisser entre mes fesses.
Le rythme accéléra.
La douleur avait disparu laissant la place à des sensations incroyables. Mon cul était parcouru de vibrations inconnues alors que le pharmacien me baisait comme un sauvage. Son ventre claquait sur mes fesses à chaque poussée.
Ma position devenait inconfortable. Je m’allongeais sur le dos, face à lui. Il prit mes chevilles pour les poser sur ses épaules. D’une main, il guida son chibre entre mes fesses. Dans cette position, il entra beaucoup plus facilement.
Le pharmacien semblait apprécier mon initiative, me pénétrant encore plus vigoureusement. Il en profitait pour me branler énergiquement.
Nous perdions le contrôle de nos corps, uniquement concentrés sur les sensations ressenties.
Je poussais un cri en jouissant sous les caresses expertes de mon partenaire, répandant mon foutre partout sur le ventre. Le pharmacien portait sa main maculée de foutre à ses lèvres pour la lécher. Cela eu pour effet de l’exciter encore plus.
Ma rondelle se contracter sur la queue massive.
Le pharmacien haletait de plus en plus fort puis s’immobilisa soudainement au fond de mon cul, inondant celui-ci de longs jets de semence. Je pouvais parfaitement ressentir les tressaillements de sa queue tandis qu’il jouissait.
Se retirant entièrement, Il me reprit par les hanches pour donner l’estocade finale. Sa queue repartit dans mon cul lubrifié de foutre. Son ventre claquait encore plus fort contre mes fesses. Il semblait possédé. A ma grande surprise, il déchargea une deuxième fois quelques instants plus tard. Son corps tremblait sous l’intensité de l’effort.
Il s’affala sur mon dos tandis que je sentais sa semence couler le long de ma cuisse intérieure.
« Tout va bien ? » demanda une voix féminine derrière la porte.
« Oui, ne vous inquiétez pas, j’ai presque terminé l’examen » répondit le pharmacien en se retirant, laissant un long filet blanchâtre s’écouler de mon cul.
« L’examen est concluant, le traitement a parfaitement rempli son rôle, vous êtes guéri » me dit-il. « Il faudra tout de même surveiller cela, vous savez où me trouver au cas où ». Remettant un peu d’ordre dans sa tenue, il effaça les traces de nos ébats avec un chiffon.
Il m’accompagna à la caisse pour me prescrire une nouvelle pommade tandis que sa semence s’écoulait le long de ma cuisse.
Je repartais de la pharmacie, complètement sonné mais comblé.
Vivement la prochaine visite !
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Commentaires de l'histoire :
Bernard
voilà une ordonnance bien agreable a recevoir, j'aurais aimé être a votre place.... A lire d'autres récits avec plaisir...continuez
Posté le 30/10/2020
Anonyme
Salut, magnifique narration, j'ai adoré cette histoire. merci
Posté le 17/11/2019
Anonyme
Très mignonne histoire. J'ai bien aimé ! J'aimerais trouver la première partie de cette aventure pharmatico-erotique !
Posté le 4/11/2019
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