Depuis l’ouverture de ce nouveau café, je rêve de baiser son nouveau propriétaire sexy à souhait. La chance me sourit une beau jour d’automne lorsqu'il m'invite après la fermeture.
Proposée le 24/07/2023 par Jay19
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Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Il était tout simplement charmant avec son sourire rieur et ses yeux brillants, sans compter son entregent qui le rendait encore plus désirable. Joshua avait ouvert ce café super sympa où il était à la fois proprio, barista et serveur. Il le fallait bien, le temps de rentabiliser son commerce.
Rien ne me rendait plus heureux que d’y passer le temps de siroter un délicieux capuccino servi par ce mec tatoué, cheveux mi-longs et aux ongles vernis. Il était craquant dans son jean moulant, son t-shirt mettant en évidence sa superbe musculation rehausser de son tablier qui lui donnait un air hipster. Je ne cacherai pas que je fréquentais ce café à la fois pour le savoir-faire de Joshua et me rincer l’œil.
Un dimanche d’automne, un peu frisquet, je décidai d’aller m’installer au café de Joshua pour me détendre, changer d’air et écrire. Je m’y retrouvai en fin d’après-midi et m’installai à ma table habituelle qui par providence était libre. Je déposai mon perfecto de cuir sur le dossier de ma chaise, et je sortis mon ordi. Joshua me salua de la main avec un large sourire que je lui rendis avec plaisir. Il servit un café pour emporter à l’homme au comptoir et se dirigea vers moi. Sa démarche élastique me faisait fondre. Il portait un jean noir effet enduit super ajusté moulant sa bite qui, à ne pas en douter, était volumineuse; un t-shirt blanc mettant en valeur ses pecs aux mamelons pointus, rehaussant son teint basané; ses cheveux étaient attachés révélant un joli tatou sur son cou at sa nuque. Il était simplement bandant.
—Salut Didier, me dit-il arrivé à ma table. Comment vas-tu ?
—Salut Joshua ! Je vais super bien. Je suis venu changer d’air et écrire dans ton café si inspirant.
—C’est gentil. Je ne savais pas que tu écrivais. J’adore les écrivains. Tu prends tout le temps qu’il te faut Didier. Je te sers quoi ? La même chose que d’habitude ?
—Comme d’hab Joshua ! Merci.
—Je te reviens dans un clin d’œil !
—Pas de souci. Tu sais je suis parti pour quelques heures. Alors, il n’y a pas de presse.
—C’est plutôt tranquille vers la fermeture les dimanches. Surtout lorsque c’est frisquet.
—Ah ! bon !
—Mais ne t’en fais pas. Il me prend quand même un certain temps pour préparer le café pour le lendemain. Tu pourras rester à ta guise.
—C’est trop gentil Joshua !
Quelque trente minutes plus tard, Joshua ferma la porte ce qui me fit lever les yeux vers lui au son du loquet qui verrouillait la porte d’entrée. Il me sourit et retourna à son comptoir finir le nettoyer machines à café et vaisselle. Puis, le temps filant, je décidai de me lever, remettre ma veste de cuir avant de ramasser mes affaires pour quitter ce qui attira son attention.
—Tu quittes ? me demanda-t-il.
—Je ne veux pas abuser de ton hospitalité. Je vois que tu as bientôt terminé.
—Dommage ! dit-il. Je pensais t’inviter à prendre un verre.
—Ah ! bon ! lui dis-je en souriant. Sourire qu’il me retourna. Alors ça change tout !
—D’accord ! me dit-il en riant. J’attrape mes clés, mon perfecto et on quitte par l’arrière.
Joshua me fit signe de le suivre. Son perfecto moulait son corps à merveille et que dire de son joli cul bien bombé. Il s’arrêta à son bureau pour prendre les clés du commerce.
C’était un lieu qui semblait s’être arrêté dans le temps avec son bureau en bois, sa chaise et son divan capitonnés en cuir. Les murs peints en beige avaient été tapissés d’affiches faisant l’éloge de la sexualité fantasmatique et fétichisme d’hommes gais. Certaines signées Tom of Finland. J’étais max excité et prendre un verre ne me semblait plus vraiment ce que je voulais en ce moment.
—Ça te plaît ? me demanda Joshua voyant que je regardais les affiches.
—C’est toi qui me plais, lui dis-je en m’approchant de lui.
Et dès que je l’eus rejoint derrière le bureau où il s’était assis pour fouiller dans le tiroir, il se leva et déposa ses mains sur mes hanches, trouva ma bouche pour y coller ses lèvres humides et pulpeuses. Je l’enlaçai ferment et lui dévorai la bouche pendant que mes mains se baladèrent auscultant tout son corps. Nous nous suçâmes lèvres, langues et cous pendant quelques minutes jusqu’à ce que Joshua enlevât sa veste de cuir, s’agenouilla pour dézipper mon froc et s’appropria ma bite qu’il glissa profondément et passionnément dans sa bouche. Puis il me suça le gland, me lécha méat, la verge, les bourses et l’entrejambe en s’accrochant solidement après mes fesses. La vue de ses lèvres luisantes de salive mêlée au liquide séminal me dévorer le zob me rendait fou.
Il se releva s’assoyant sur le bord du bureau, me prit dans ses bras pour m’amener près de lui afin de m’embrasser lentement et tendrement cette fois. J’en profitai pour ouvrir son pantalon dont la fermeture éclair s’ouvrait jusqu’à l’arrière. Je le prendrais sans enlever son jean. L’idée m’excitait davantage. Il s’appuya sur le meuble en posant ses mains derrière sur le bureau. Ma bouche descendit sur son cou, ses pecs, ses abdos bien fermes avant d’attraper son gland dégoulinant et le sucer longuement. Joshua gémit de plaisir. Ses mains me caressant la tête. Je me relavai et lui fit signe de se retourner. Il me sourit sachant que momentanément, il sentirait mon sexe bien profondément dans ses entrailles.
Il mit ses mains sur le bureau, cambra son dos, écarta ses fesses laissant entrevoir la naissance d’une jolie rondelle bien rose. Je finis de dézipper son pantalon qui ressemblait à une deuxième peau tant qu’il était seyant. Je m’accroupis et lui humidifiai le fion passant et repassant ma langue entre sa raie, l’introduisant à l’occasion pour tester la fermeté de son anus. Joshua aimait l’anulingus bien mouillé que j’étais en train de lui administrer. Je me relevai et introduisis mon pouce, forçant l’entrée. Doucement. Mon amant haletait de plaisir. Puis sentant qu’il était prêt, je m’approchai de son oreille pour lui susurrer un juteux mot lui laissant savoir que j’allais l’empaler. Son corps convulsa de plaisir. C’est à ce moment que je poussai ma queue en lui, le tenant fermement par les hanches. Il émit un bruit jouissif. Et doucement, je me glissai en lui jusqu’au pelvis. Il m’offrit sa bouche que j’embrassai avec passion avant de commencer à le limer de plus en plus rapidement. Joshua râlait de plaisir laissant entendre de jolis couinements parfois lorsque je l’enculais profondément. Je le baisai pendant de longues minutes et me retirai en lui faisant signe de se retourner. On se suça la langue et les lèvres de nouveau et je le pénétrai sur le divan cette fois jusqu’à lui éjaculer tout le foute que j’avais à lui offrir dans son petit cul bien chaud et serré. Lorsque je me suis retiré. Son fion laissait couler du jus. J’en récupérai avec mon majeur pour le déguster. Puis avec ma bouche et ma langue en récupéra davantage que je partageai avec Joshua dans un long baiser langoureux et le serrant contre moi.
—Tu sais ! Je savais qu’on baiserait dès le premier jour que tu es entré dans mon café.
Je lui souris. Ma bite gonflant de nouveau. Prêt pour une deuxième ronde.
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