Dans le train me ramenant à mon domicile, je croise le regard de Laurence, une belle rousse. Les 30 dernières minutes de trajet seront les plus belles et les plus érotiques que je n'ai jamais connues.
Proposée le 2/02/2017 par LZ79
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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Roman
Hier soir, pour la première fois depuis de nombreuses semaines, je devais prendre le train pour rentrer à mon domicile. La dernière fois, lorsque je m’y étais embarqué, j’étais loin de m’imaginer que le premier voyage serait supprimé et, le second, retardé de plus de 35 min.
Je ne vous raconte pas l’état de mauvaise humeur que j’avais à mon retour à la maison.
Cependant, en cette période de l’année où les routes sont souvent verglacées, c’est malheureusement le moyen le plus sûr pour rentrer vers domicile.
Habitant dans un village reclus mais, disposant pourtant d’un arrêt, je n’avais pas à hésité, malgré les 45 minutes à passer presque seul entre l’avant- dernière station et le terminus. Et pourtant, contrairement à d’ordinaire le train semblait à l’heure et donc, un temps restreint avant de pouvoir enfin savourer le we.
Pour la première fois, sur l’autre siège je vis cette magnifique dame d’une quarantaine d’années. Sa longue chevelure rousse épousait les sublimes formes de son haut.
Ses jambes élancées, bien épilées et sa poitrine bien que peu généreuse paraissait très ferme.
A chaque arrêt, j’espérais qu’elle ne descendrait pas pour disposer ainsi d’un peu plus de temps pour la contempler
Au début, je la regardais subtilement au travers du reflet de la glace mais, constamment, mes yeux la contemplaient directement. Elle ne put ne pas s’apercevoir qu’elle ne me laissait indifférent. Je dirai même qu’elle avait l’air d’affectionner cette situation.
A l’avant-dernier arrêt, elle vint se mettre en face de moi et exerça avec sa tête un mouvement en agitant sa longue chevelure. Une manœuvre qui m’excita.
Nous nous regardâmes de longues minutes et soudain, à ma grande surprise mais non sans plaisir, elle déboutonna son chemisier laissant apparaître les fentes de ses seins. Je ne pouvais faire sans détacher mon regard et mon organe s’érigeait de plus en plus dans mon pantalon.
Gêné, j’essayai de changer de position pour le cacher mais, la belle rousse me fit comprendre qu’elle l’avait bien vu. Soudain, elle se plaça à mes côtés et vint poser sa main sur ma cuisse. Elle la caressa et arriva progressivement à hauteur de mon sexe.
Voyant qu’elle désirait aller dans une relation au-delà des regards, je mis ma main sur son chemisier et entama des mouvements de massages en la glissant vers sa poitrine.
Ses seins se tendirent et je pus apercevoir ses mamelons au travers de son chemisier.
Après quelques secondes, alors que même que nous ne connaissions pas, nous nous embrassions avec fougue. Elle, comme moi d’ailleurs, voulions entamer une relation. Je dégrafais son soutien permettant à sa poitrine de mieux s’ériger. De son côté, la belle rousse qui, comme son badge l’indiquait s’appelait Laurence, s’installa sur mes genoux. Ma main gauche remontant lentement, à travers sa jupe, en direction de sa partie intime.
Ne voulant pas me précipiter et, ainsi, faire monter un peu plus l’excitation de Laurence, les mouvements de ma main allaient et venaient vers sa partie intime. Sa respiration haletante et l’humidité de son string marquaient, à eux seul,son bien être.
Après quelques secondes, mon doigt remonta sa cuisse tout en la caressant et se positionnant à quelques cm de sa partie intime.
Laurence prit mon index me faisant comprendre qu’elle désirait que je le place au sein de sa cavité vaginale.
Après quelques mouvements accomplis en douceur, la belle rousse laissa émerger un liquide tout en soupirant, synonyme d’un premier orgasme.
Dans le même temps, Laurence avait déboutonné mon pantalon et prit mon attribut tendu sans sa main. Sa bouche plongea et pris mon sexe entre ses lèvres.
J’étais excité et mon organe se raidissait comme un flanc de montagne.
Avec douceur, elle sortit sa langue, humidifia mon gland et entame quelques secondes après une fellation. A mon tours, je soupirais et gémissais.
Je sentais l’orgasme monter en moi.
Malgré des efforts, ma tentative de me retenir fut veine et ne pu m’empêcher de rependre ma semence au plus profond de sa gorge.
Bien que nous nous sachions seuls dans ce train où les contrôleurs ne passent jamais, nous trouvions ces moments érotiques des plus enivrants.
Après avoir éprouvé une jouissance personnelle grâce aux manœuvres de notre partenaire respectif, nous désirions maintenant communier dans un organe simultanément.
Laurence qui était plus chaude que la braise et dont l’humidité de sa partie intime atteignait son paroxysme se positionna horizontalement sur la banquette du train. Certes, une position peu confortable pour elle mais, tellement excitante pour nous deux.
Ma bouche alla susurrer le bout de ses mamelons dans un mouvement circulaire. Mes mains, quant à elles, remontaient de ses cuisses vers sa poitrine que je massais à chacun de mes passages.
Laurence, dans le même temps, caressait son clitoris. Nous gémissions de plaisir et de plénitude. A certains moments, elle me le faisait lécher pour le repositionner ensuite et continuer ses caresses.
Mon organe viril, plus rigide que le roc, ne demandait qu’une seule chose. Rentrer au sein de la caverne d’amour de Laurence. Sans même insister, après quelques secondes, nous échangions dans notre bonheur sexuel.
Laurence se cabrait régulièrement par des mouvements répétitifs.
Une nouvelle fois, je ne su me retenir et injecta ma semence au creux de Laurence. Laurence dont les ongles s’agrippaient à mon dos gémit de bonheur.
Cette fois, nous eûmes notre extase simultanément.
Il restait quelques minutes à peine pour nous rhabiller avant d’arriver à notre gare terminus.
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