Mon chef et moi

Quand le désir est plus fort que la raison, je vous raconte ce jour qui a bouleversé le reste de ma vie.

Proposée le 26/12/2016 par Justme

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

Il fallait que je parte vite de cette équipe. Je me sentais de plus en plus mal et me lever le matin pour me rendre dans ce service me rendait fébrile, malade.

Après une prise de tête énergique avec ma chef j'ai décidé de changer de poste. Me voilà quelques jours plus tard a quelques minutes de mon entretien avec ce jeune homme.

J'ai regardé sa tête dans l'intranet histoire de voir a qui j'avais affaire. Plutôt bel homme, blond, de beaux yeux...Je sais que je les déjà croisé, il met familier. J'arrive à l'entretien, le choque... Mon cœur s'emballe, mes pupilles rétrécissent, j'ai chaud... Ces yeux, d'un bleu profond me donne le tournis, je n'entend plus rien, je suis déconnectée. Le son de sa voix me rend toute chose. Je sens mon ventre se serré, je vais imploser tellement la tout de suite je le désire. Je panique a l'idée d'ouvrir la bouche, je sais que je n'arriverai pas à aligner deux mots cohérent. Je suis en état de choc pendant tout l'entretien.

Je ne l'ai pas laissé indifférent j'en suis sûre, d'ailleurs j'ai eu le poste alors que je n'ai pas ouvert la bouche une seule fois.
J'integre son équipe et rapidement s'installe un jeu entre nous. Nous brûlons de désir, et cela se remarque même par les gens qui nous entourent.
Un soir, alors que nous partons en même temps, il me propose d'aller boire un verre. Je n'en peux plus, c'est mon chef, je dois le respecter, mais c'est plus fort que moi. Sous la table j'ose lui caresser la cuisse. Il retire ma main aussitôt !!
Je suis déçue. J'étais persuadée que nous étions sur la même longueur d'onde. Je me sens humiliée.
C'est décidé il n'existe plus à mes yeux. J'ai honte et des le lendemain j'installe une distance entre nous.
Un soir, nous nous retrouvons en petit groupe pour une sortie parisienne.
Il est si beau, il me cherche, me colle. J'ai tellement envie de lui.
Il est assis à côté de moi au restaurant, je me sens toute mouillée. Je suis ouverte, a bien des égards.
Après le restaurant nous décidons de finir la soirée dans un petit bar à tapas et a musique. Encore une fois il se pose à côté de moi. J'en peux plus.
Il me parle mais je n'entends rien, alors je me rapproche, de son visage, il parle, je ne comprend rien, je me rapproche encore, le temps s'arrête, je pose délicatement, doucement, mes lèvres sur les siennes. Il ne me repousse pas. Nous nous effleurons les lèvres sous les yeux ébahis des membres de notre équipe.
Aucun de nous deux ne passe la seconde, nous nous effleurons sans pour autant céder a l'envie, le besoin, de se dévorer. Je veux qu'il me prenne maintenant, tout de suite, sur la banquette de ce bar. Je veux qu'il me baise, me fasse mal, me fasse jouir. Je me consume de l'intérieur.
Cela n'ira pas plus loin... en tout cas pas dans le bar.
La soirée se termine. Nous nous retrouvons dans le métro tout les deux. Nos chemins se sépareront dans 2 stations. Je me dirige vers la porte pour aller sur le quai, il me suit. Arrivé sur le quai, il me prend par la taille et m'embrasse avec fougue. Je sens sa langue avide, il rentre au plus profond de moi. Il me veut, il tremble d'envie, de passion. Je peine à respirer tellement il me fait l'amour avec sa bouche. Je frémis, j'en veux plus mais n'ose le toucher de peur qu'il disparaisse. Je subis son désir. Il est collé contre moi et je sens son sexe dur sur mon bas ventre, je tressaille. Il me propose de finir la soirée chez lui.
Évidemment j'accepte !!

Arrivé dans son appartement, il se met à genou devant moi, déboutonne mon pantalon, il me sent la chatte, la respire avec des bruits qui me font mouillés si fort que j'ai l'impression de me faire dessus.
Il insère sa langue dans ma fente. Elle est chaude, il fouille avec a l'intérieur, il stimule mon clitos avec force et passion. J'ai peur de jouir. Je sers sa tête dans les mains.
J'en reviens pas, je suis entrain de me faire bouffer la chatte par mon chef, dans le couloir de son appartement. Le fantasme ultime de la ménagère Il se relève et m'embrasse, sa bouche à le goût de ma cyprine. Tout en m'embrassant il ouvre la porte derrière moi et me pousse dans une pièce, je tombe sur son lit. Il se pose sur moi, mes lèvres sont en feu. Je sens sa queue si dur, il se frotte frénétiquement sur mon bas ventre. Toujours sa bouche collée à la mienne. La langue qui tournoi encore et encore. Il avale mes lèvres, les suçotes, Il descend déboutonne le haut de ma chemise et sort mes seins de leur emballage. Je sais qu'il réalise un fantasme, j'ai une grosse poitrine (110D) et je sais que j'en fais baver plus d'un au bureau. Il les lèche, me suce les tétons. J'en peux plus. Je déboutonne son pantalon et libère sa queue. Je veux la sentir au plus vite en moi. Il va me baiser comme dans mes rêves inavouables.
Ma culotte est sur mes cuisses, il m'enlève une jambe de mon pantalon et embarque un côté de ma culotte au passage. Son impatience se traduit par une introduction de sa bite d'une violence inouïe dans mon intimité, j'en ai le souffle coupé. Il enchaîne un va et vient profond, bestial. Nos corps ne font qu'un. Il me veut encore plus profond, il sort de moi prend mes jambes les places sur ses épaules et me pénètre encore plus profondément, il entame un va et vient plus doux, je suis à deux doigts de jouir mais je ne me laisse pas encore aller. Il continu et va de plus en plus vite. Il veut m'entendre hurler de plaisir. Je ne peux résister plus longtemps, je me met à gémir de plus en plus fort. Je commence à me lâcher, je lache prise, je vais me faire dessus, je jouie si fort que je suis sûr que les voisins m'entendent prendre mon pied. Je dégouline de sueur, de plaisir. Il me baise frénétiquement. Il grogne de plaisir, la nuit va être longue. Il ne veut pas jouir et veut profiter de ma chatte jusqu'à épuisement.
Il se retire, enlève totalement mon pantalon, et se déleste du sien, il enlève va veste de costard, sa cravate, sa chemise. Il enlève mon haut, me retourne et attrape mes hanches, me voilà a 4 pattes au bord du lit.
Lui debout au sol, moi a 4 pattes offerte, Il me pénètre et me défonce la chatte. J'hurle de plaisir,

Ouiiii encore, vas-y, plus fort, jte sens bien, baise moi, encore, je t'en supplie fait moi mal !!! Ne t'arrêtes pas je vais jouir !!

Il me pilonne, encore et encore tout en tenant mes hanches pour y aller plus fort et plus profond, je me laisse aller à une jouissance si forte que j'en ai des convulsions. Il me retourne et met sa tête entre mes jambes, il entre-ouvre mes petites lèvres et pose le bout de sa langue dur sur mon clito. Après m'avoir fait jouir une troisième fois, il se lève et reste debout la queue dressée toujours aussi belle et dur. Je n'en reviens pas !! Je m'assois sur le bord du lit, je mets sa belle virilité dans ma bouche. J'avale son gland goulûmeunt. Je le suce lentement, et joue avec ma langue autour de son gland. Je le suce profondément jusqu'à la base. Un va et vient en tempo. Je ne freine jamais mon rythme et j'accélère quand je commence à l'entendre gémir. Ça y est, il se laisse aller au plaisir. Son sexe gonfle encore un peu dans ma bouche, j'adore ce moment où je sais que je suis à quelques seconde de recevoir des gicles de sperme chaud. Il lache tout et je sens 3,4 raffales dans ma bouche que j'avale directement sans en laisser une goutte. Nous nous couchons dans les bras l'un de l'autre. Demain il me détestera parce que j'irai rejoindre mon mari, alors que lui sera seul chez lui....
Lundi ça promet au bureau....

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