La femme du chef de clan vaincu (partie 1)

Mathilda est la femme d'Ulrich, un chef de clan sanguinaire. Une guerre éclate, les choses tournent mal pour Ulrich et la pauvre Mathilda est fait prisonnière. Quel sort sera réservé à la femme du chef de clan vaincu?

Proposée le 28/05/2021 par daboo7

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Vengeance
Personnages: Groupes
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman

Nous sommes en l’an 924. La guerre fait rage partout sur le continent qu’on appelle aujourd’hui l’Europe. Plusieurs clans tribaux se livrent bataille afin d’établir leur dominance et leur suprématie.

Mathilda est la femme d’Ulrich, le chef d’un des clans les plus sanguinaires du pays. Ulrich est une brute horrible. Il a pillé de nombreux villages, massacrant non seulement des guerriers ennemis, mais aussi de pauvres gens innocents au passage, tous ceux qui avaient eu le malheur de se trouver sur son chemin. Ulrich a épousé Mathilda il y a quelques années. Celle-ci lui a toujours été fidèle, non pas par amour, mais par peur de perdre la vie.

Mathilda est une femme musculaire et féminine à la fois. Elle semble sortir tout droit d’une bande dessinée de super héroïne. Elle est une grande femme aux cheveux aussi noirs que l’obsidienne et à la poitrine gigantesque. Forte et redoutable avec une épée, elle a prêté main forte à Ulrich à de nombreuses reprises lors de ses batailles. Elle acceptait d’aider Ulrich par instinct de survie uniquement. Connaissant trop bien son mari, elle savait qu’il n’hésiterait pas à la tuer sur le champ si elle avait l’audace de lui tenir tête.

Mathilda est particulièrement nerveuse aujourd’hui. Le clan de son mari s’apprête à attaquer son plus grand ennemi, le clan de Godrick Grande Montagne. Ils attaqueront à l’aube, dans une heure tout au plus. Mathilda s’assure que son épée soit bien affûtée pendant qu’Ulrich est occupé à contempler son plan de bataille.

- On va lui faire sa fête, à ce salaud de Godrick! N’est-ce pas. femme?
- Oui, Ulrich.

Les minutes s’écoulent lentement jusqu’au moment fatidique. Les guerriers du clan d’Ulrich sont prêts à l’assaut. Ulrich donne le signal. Ses hommes se précipitent aussitôt sur le village Grande Montagne, criant et brandissant leur arme. Ulrich et Mathilda les suivent non loin derrière. Dans la chaos de la bataille, ils se séparent. Mathilda entre dans une hutte dans l’espoir de trouver et tuer Godrick pendant qu’Ulrich prête main forte à ses guerriers.

Les choses tournent mal pour Ulrich. Godrick avait prévu la manœuvre. Plusieurs archers qui avaient été placés stratégiquement en retrait du village attaquent maintenant les envahisseurs. C’est un massacre. Les guerriers d’Ulrich tombent les uns après les autres. Ulrich se réfugie à toute hâte dans une hutte dans l’espoir d’y trouver quelqu’un pour prendre en otage et ainsi marchander sa remise en liberté. Malheureusement pour lui, la hutte est vide. Godrick et quelques uns de ses meilleurs guerriers entrent dans la hutte.

- Va au diable, Godrick!

Voilà les dernières paroles d’Ulrich, car Godrick le transperce aussitôt de son épée. La brute n’est plus. Plus tôt pendant la bataille, Mathilda avait été fait prisonnière. Les guerriers de Godrick l’avaient ligoté pendant que les envahisseurs se faisaient exterminer.

Mathilda comprend rapidement ce qui s’est passé et craint le pire. Elle connaît le sort réservé aux femmes de chefs tués au combat. « Ils me feront plein de saloperies et après ils me tueront », désespère-t-elle. Heureusement pour elle, elle ne sait pas encore que Godrick n’est pas un dégénéré comme son défunt mari.

Godrick entre dans la hutte où Mathilda est ligotée sans même lui prêter attention. Mathilda est surprise car elle s’attendait voir bondir une brute se précipiter sur elle pour la posséder et la torturer.

- Bonjour Mathilda. Écoutez je ne vais pas passer par 4 chemins. Votre gros dégénéré de mari est mort. Je viens de le tuer.
- Oui, je sais.
- Vous savez, il y a une tradition dans notre clan : nous mettons à mort les femmes des chefs que nous vainquons ou bien nous...

Les peurs de Mathilda sont confirmées. Celle-ci devient blême.

« Je m’en doutais... » dit-elle en éclatant en sanglots.

« Attendez. » répond Godrick. « Je n’ai pas terminé. Notre tradition veut que nous offrions deux choix à la femme du chef vaincu: la mort ou le rite de passage.» Il poursuivit :

- Si vous choisissez la mort, sachez que tout sera fait proprement. Vos souffrances seront brèves et tout sera terminé rapidement. J’interdirai à quiconque de vous crier des insultes, que ce soit avant, pendant ou après votre exécution. Nos mises à mort sont très protocolaires.

- Je ne m’attendais pas à autant de respect dans les circonstances, monsieur. Mais, qu’en est-il du rite de passage? De quoi s’agit-il exactement?

- Hum… et bien le rite de passage est différent. Un avantage non négligeable de celui-ci est qu’il vous permet de garder la vie! Mais ce n’est pas tout, à la fin du rite vous ferez totalement parti de notre clan.

- Ça me semble trop beau pour être vrai. Si je peux me permettre, en quoi consiste le rite de passage?

Godrick regarde Mathilda avec un sourire en coin. Il s’éclaircit la gorge et lui dit : « Le rite de passage est composé de deux phases. La première est le châtiment, la deuxième est la soumission. Pour la première phase, vos mains seront ligotées à une branche du grand arbre qui se trouve au milieu de notre village. Vous serez nue. Tous les adultes du village pourront passer vous voir. Ils auront l’autorisation de vous sermonner, de vous insulter, de vous toucher et de vous fouetter comme bon leur semble. Votre châtiment durera 3 heures. L’objectif de cette phase est de vous punir pour avoir osé nous défier et pour avoir été la complice de ce salopard d’Ulrich. »

Mathilda baisse les yeux. « Et en quoi consiste la phase de la soumission exactement? »

Godrick répond : « Après le châtiment, vous serez conduite dans notre quartier général. Tous mes meilleurs guerriers y seront. Je vous ordonnerai de vous mettre à genou et de satisfaire chacun d’entre eux. Vous voyez ce que je veux dire? »

« Oui, évidemment...» répond Mathilda poliment.

« Bien… » rétorque Godrick. « Avant de sucer un de mes guerriers, vous lui demanderez pardon d’avoir été l’épouse de ce dégénéré d’Ulrich. Ensuite, et bien… inutile d’aller trop dans les détails. On improvise à chaque fois de toute façon! Lorsque nous jugerons que vous aurez bien compris la leçon et que vous serez totalement soumise. Nous vous demanderons de jurer allégeance à notre clan. Après quoi, vous serez une des nôtres! Toutes vos erreurs seront oubliées et j’interdirai à qui que ce soit du clan de vous manquer de respect en raison de votre passé. »

Mathilda croit rêver. Elle n’en revient pas de la chance qu’elle a. Non seulement elle aura la vie sauve, mais elle pourra vivre dignement dans un nouveau clan. Et ce Godrick, bien qu’autoritaire, est 100 fois moins pire que sa brute d’Ulrich. Bien que ce « rite de passage » semble humiliant et qu’elle préférerait de loin l’éviter, dans les circonstances elle trouve que cela est une proposition en or.

« Alors? » s’impatiente Godrick. « Que choisissez-vous Mathilda? »

Mathilda s’empresse de répondre avant que son interlocuteur change d’avis

« Je choisis de subir le rite de passage, monsieur » répond-elle rapidement.

Un large sourire se dessine sur les lèvres de Godrick.

« Très bien! » dit-il en déliant les liens de Mathilda, qui était toujours ligotée.

« Enlevez tous vos vêtements immédiatement » ordonne Godrick.

Mathilda est vêtue d’une jupe en tissu très rudimentaire qui descend jusqu’au haut des genoux pendant qu’un autre généreux morceau de tissu cache son énorme poitrine.

Elle obéit sans discuter les ordres de son nouveau chef et retire ses vêtements. La voilà maintenant complètement nue, debout devant Godrick. Ce dernier la regarde avec intérêt, ses yeux remplis de désir sont rivés sur ses seins spectaculaires.

« Suivez-moi. Nous allons au grand arbre » Dit-il sur un ton qui n’invite pas à la discussion.

Mathilda suit Godrick hors de la hutte. Elle baisse la tête et regarde le sol, embarrassée. Tous les villageois observent la prisonnière nue marcher derrière Godrick jusqu’au grand arbre situé au centre du village. On peut entendre les ricanements dans la foule.

Rendu au grand arbre, Godrick empoigne la taille de Mathilda et la guide brusquement jusqu’à l’endroit souhaité. Godrick ordonne à Mathilda de joindre ses mains au dessus de sa tête. D’abord il lui ligote les mains ensemble et ensuite il attache le reste de la corde à une grosse branche.

« Chers amis, le châtiment de Mathilda, femme de notre ancien ennemi Ulrich, commence maintenant! »

Godrick quitte les lieux avec la plupart des villageois. Quelques hommes restent afin d’observer et admirer la magnifique prisonnière dans cette position vulnérable. Un grand homme à la carrure imposante du nom de Derrick est le premier à briser la glace. Il s’avance près de Mathilda et la saisi par derrière. Il empoigne ses deux gros seins tout en frottant sa verge bandée sur ses fesses.

« C’est le temps de payer, ma jolie… N’est-ce pas que tu as mérité de payer? » lui dit-il en respirant bruyamment dans son cou et en tirant sur ses mamelons avec le bout de ses doigts.

Mathilda laisse échapper un cri de surprise. «  Oui… je l’ai méritée » bredouille-t-elle.

L’homme lâche subitement son étreinte et applique sans prévenir une fessée magistrale à Mathilda avec ses énormes mains. À chaque claque, sa main couvre entièrement les deux globes charnus de la prisonnière. Les autres hommes, en bons spectateurs, se mettent à applaudir et à rigoler. Mathilda se tortille et crie de douleur. Ses fesses sont déjà passées au rose vif et il n’y a que 5 minutes qui se sont écoulées!

- Oww… Arrêtez par pitié!
- Oh mais t’as encore rien vu, je t’assure! T’as pas honte d’avoir été la femme de ce débile d’Ulrich??

Derrick continue à punir les fesses de Mathilda à un rythme effrénée. « Oui, j’ai honte. Je ne l’aimais pas. Je vous assure! Je suis désolée, par pitié!» implore la prisonnière.

Derrick s’arrête soudain et vient se placer devant Mathilda. Son regard s’arrête sur sa chatte qu’il se met à effleurer du bout des doigts. « On va bien s’occuper de toi aujourd’hui, tu vas voir...». Il se met à genou et s’affaire à lui donner de grands coups de langue sur sa chatte. Mathilda ne peut retenir un petit cri d’excitation.

« C’est qu’elle aime ça, la petite garce?! » dit l’homme, avant de recommencer à lui lécher son sexe qui commence à s’humidifier.

« Hey Derrick! Ça suffit. C’est un châtiment, pas une partie de plaisir » lui crie sévèrement Godrick qui vient de revenir sur les lieux. « Tu peux lui toucher et profiter de son corps un peu, mais n’exagère pas. Si tu lui donnes trop de plaisir, elle ne retiendra pas la leçon. Il faut la punir! Comme ça! »

Godrick se met à fesser Mathilda avec sa main sans aucune retenue. Mathilda crie de douleur.

- Oww! Arrêtez! Je vous en supplie monsieur. Je serai bien sage je vous jure et je vous obéirai au doigt et à l’oeil!

- Cela va de soi, ma chère. Je suis votre nouveau chef et vous me devez obéissance. Aujourd’hui vous devez être punie pour le simple fait d’avoir été la femme d’Ulrich. Rien ne vous a obligée à être à ses côtés. Vous auriez pu le quitter avant, mais vous ne l’avez pas fait. Vous méritez votre châtiment!

- Oui mon chef.

Godrick continue la fessée à un rythme soutenu. En voyant les deux gros seins de sa prisonnière qui se balancent après chaque claque, il n’en peut plus et décide de les empoigner avec ses deux gigantesques mains. Il pince ses mamelons entre ses doigts tout en collant sa queue bandée entre ses fesses.

« Demande moi pardon! » lui ordonne-t-il.

« Pardon!!! » lui répond aussitôt Mathilda.

À suivre...

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email