Mon mari est cocu 4 et fin

Plus le plaisir est grand plus la chute est dure" voici la phrase qui résume mon expérience...

Proposée le 30/10/2016 par fab22

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

Notre petit jeu était tellement bien rodé que personne n’a jamais rien vu. Nos rencontres se faisaient loin de chez moi et loin de chez lui. Les samedis quand nos fils respectifs jouaient au foot il nous est arrivé de nous voir furtivement. Une fois alors que nous avions garé nos voitures et que nous nous étions rapidement réfugié dans un bosquet nous avons vu passer des promeneurs. Moi les fesses à l’air appuyée à un arbre et lui derrière moi entrain de me pénétrer on a dû se figer pour ne pas se faire repérer. Situation irréaliste car ça a duré un moment avant qu’ils ne passent leur chemin. Moi ça ne m’a pas spécialement excité par contre je sentais bien que lui ça le motivait encore plus. Il continua de lents va et vient alors que moi j’avais une peur bleu de me faire voir. Les promeneurs partis, il se déchaîna et me pilonna comme un fou et jouit rapidement.

Nous avions aussi pris l’habitude d’aller à la piscine. Là dans les douches tout était possible même si le plus souvent je le gratifiais d’une bonne pipe. Il est arrivé que nos besoins respectifs nous poussent à baiser comme des malades. Ce que je préférais c’était à l’hôtel. On allait rarement deux fois dans le même. Mais là on pouvait se lâcher. Souvent on se prenait un après midi complet et entre deux cigarettes on baisait. Il n’y a pas d’autre terme. On était tous les deux là pour ça. J’aimais voir le regard de l’homme ou de la femme qui nous donnait les clés. Il ou elle savait ce qu’on allait faire et ça sa me plaisait. Arrivée dans la chambre on se ruait l’un sur l’autre. Je portais de suite ma main sur sa braguette alors que je l’embrassais à pleine bouche. Je savais que je devais le faire jouir rapidement afin que la deuxième et troisième fois il tienne très très longuement….
Il ne pouvait pas attendre. Il avait une telle envie qu’il se mettait à râler dès que je lui sortais sa queue. Je le caressais. Que j’aimais ça. Avoir sa queue dans ma main et voir ses yeux et son regard complètement perdu. Elle était chaude et dure. Je descendais pour la mettre en bouche et je lui administrais une pipe jusqu’à ce qu’il jouisse en long jet dans ma bouche. Moi qui au début n’aimais pas les fellations je peux dire qu’il n’y a rien de mieux. Je crois que j’aurai pu le sucer tous les jours. Puis nous nous déshabillâmes. A partir de là il ne faisait que de s’occuper de moi. Il me faisait jouir avec sa langue. Puis avec ses doigts et enfin avec sa queue. Quand j’étais complètement épuisé il me demandait de me mettre à 4 pattes. Après avoir récupéré de deux éjaculations il allait m’enculer. Depuis que je le fréquentais mon petit trou avait été largement défoncé. Mais à chaque fois il me le fallait. Il me lubrifiait puis venait lentement en moi. Il bandait dur même très dur. Mon cul passait du plaisir à la douleur et vise versa. Il me baisait le cul sans s’arrêter durant au moins une demi heure. Avoir la chatte en feu et le bout des seins complètement irrités à force de les pincer et de les mordiller et en plus de se faire enculer durement très longuement vous passez par l’envie de crier d’arrêter mais aussi par l’envie que ça ne s’arrête pas. Dès que je passais ma main entre mes jambes et que je caressais ses testicules, je le sentais se crisper puis il commençait à me pilonner avec plus de force pour enfin jouir en moi. J’étais comblée.

Un samedi après midi d’été, alors que j’étais à une réunion mon téléphone vibra : « je suis au bureau, tu ne voudrais pas venir j’ai une surprise pour toi »
Je quittais prématurément la réunion et je fis route vers son lieu de travail. Avant de me garer devant son bureau je fis halte. J’ai retiré ma culotte sous ma jupe et mon soutien gorge. Mes tétons pointaient fièrement sous mon t-shirt.
Arrivée je me dirige vers son bureau. Le sentiment de ne pas porter de culotte me faisait mouiller et à chaque pas mes seins se baladaient sous mon t-shirt. La pointe de mes seins frottaient sur le tissu se qui les irritaient et les faisaient grossir.
Je rentre dans son bureau et là je découvre qu’il n’est pas seul. Je ne sais plus où me mettre car mes tétons étaient devenu gros et dur et que mon t_shirt ne cachait rien au contraire. Mon amant le gratifia d’un baisé sur la bouche et son ami me fit la bise en disant « tu avais raison elle est très sexy »
Je ne savais pas quoi dire. J’avais l’air d’une conne. Mon amant se plaça derrière moi et me chuchota « voilà ta surprise, aujourd’hui tu vas te faire baiser par deux mec. J’étais tétanisée. Mais j’avais déjà les deux mains de mon amant sous mon t-shirt entrain de me prendre les seins. Il ouvrit le bouton de ma jupe qui glissa à mes pieds. Le copain vint vers moi et se mit à genou. Il dégagea mes jambes de ma jupes et me plaça un baisé sur ma chatte. Puis il continua avec sa langue. Je ne pouvais rien dire car mon amant m’embrassait à pleine bouche tout en me caressant les seins. Je ne voulais pas ça mais j’avais chaud de partout. A chaque coup de langue je mouillais un peu plus et à chaque caresse mes seins en redemandaient. Ma tête disait non alors que tout mon corps en voulait plus. Des bras costaux me soulevèrent par les fesses et mes cuisses s’écartaient naturellement. Dans cette position il pouvait me lécher profondément. Je me mis à gémir alors que j’entendais dire « je te l’avais dis qu ‘elle est bonne »

Moi je m’entendais dire « oui oui oh oui encore «
On me retourna alors qu’une queue me pénétrait une autre s’enfonçait dans ma bouche. Je ne pouvais me concentrer sur une ou l’autre car je sentais le plaisir monter dans mon ventre alors que j’appréciais le gout de celle dans ma bouche. Je me faisais baiser par deux males. J’étais complètement à eux. Je passais d’une queue à l’autre une fois dans ma bouche une fois dans ma chatte. Ils me caressaient les seins, me fouillaient l’entre jambes avec leurs doigts puis c’est avec leur queues qu’ils revenaient. J’ai joui et j’ai re joui pour encore jouir. Le sol était mouillé de ma mouille. Je passais d’un corps à l’autre. Debout contre le mur, par devant par derrière, sur le bureau sur une chaise, tout y passait. Je n’avais pas compté mes orgasmes mais il y en a eu plusieurs. J’ai aussi avalé du sperme une ou deux fois je sais plus. Du sperme coulait aussi entre mes jambes. A un moment on en pouvait plus. J’étais assis au sol dans les bras de mon amant. Son copain était assis au bureau et fumait une cigarette. Dans des bras protecteurs je me sentais habillée et en sécurité. Chacun fuma une ou l’autre cigarette puis j’allais faire un tour aux toilettes. Je pris beaucoup de temps pour me laver et m’habiller.

A mon retour au bureau je vis à ma grande stupeur mes deux males encore nus et bandant à tout rompre. Mon amant me dit « tu vas quand même pas nous laisser dans cet état. » Je ne sais pas si c’était par envie, par manque de force ou autres, je me suis retrouvé à sucer deux bites. A présent j’étais à nouveau nue. Ils m’ont baisé à tour de rôle puis alors que je suçais l’ami, on me lubrifia mon cul et j’ai aussitôt senti mon petit trou rempli par une queue. Fermement maintenue par les mains de celui que je suçais je ne pouvais que me laisser prendre. Les 4 bras me soulevèrent et me gardèrent suspendue avec une queue dans ma chatte et une dans mon cul. Je criais de plaisir ou d’excitation ou peut être de douleur je ne sais plus. Mais je me suis ai fais prendre comme jamais. Il on fini par m’enculer à tour de rôle et à jouir dans mes fesses.
De suite après je suis aller me faire une toilette et m’habiller.
En revenant au bureau mes deux amants s’étaient aussi rhabillés.
« tu es un sacré coup il faut le dire » me dis l’ami
« on peut se revoir si tu veux et je suis même prêt à payer s’il le faut »
J’ai failli vomir. J’étais devenu la pute de mon mec ou une pute tout court.
Je sorti en courant sans rien dire avec les larmes qui coulaient à flot.

Qu’avais-je donc fait ? J’étais allée trop loin. Et si mes enfants et mon mari apprenaient que j’étais une pute ? J’ai littéralement pété un plomb. Je me suis retrouvé en dépression sans pourvoir expliquer à quiconque le pourquoi du comment. J’ai perdu mon travail et j’ai coupé les liens avec mon amant.
J’ai mis des années à me reconstruire et à déculpabiliser. Aujourd’hui j’essais d’être une mère et une épouse honnête mais j’ai parfois l’impression d’avoir l’épée Damoclès au dessus de ma tête et pourtant d’autres jours je suis contente d’avoir vécu ces deux années d’expériences et de plaisir sexuel et je suis même nostalgique.

Allez comprendre ce que je ne comprends pas moi même.
Voilà la fin de mes histoires.

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