Ce matin, Alexandre est le premier à se réveiller. A ses côtés, se trouve sa jeune amante Béa venue rejoindre le jeune homme. En la voyant dans sa nuisette, Alex craque littéralement. S'en suit alors un moment de sensualité et d'érotisme intense
Proposée le 1/10/2016 par LZ79
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
En ce samedi matin, Alex ouvrit les yeux le premier et les fixa en direction de Béa.
Dans un état de réveil léger, il pensait rêver en voyant, à ses côté, la belle Béa dormant encore apparemment.
Il ne pu s’empêcher de se remémorer tous ces instants de bonheurs qu’ils avaient passé ensemble depuis leur
rencontre au sein du camping des Charente quelques semaines auparavant.
Leur coup de foudre respectif au sein des douches du camping, le diner suivi de la soirée romantique
sur le port de La Rochelle, la surprise faites à Béa pour son retour à Nancy et, enfin, la soirée
chaude et sensuelle qu’ils venaient de vivre la veille.
Outre le fait que les deux amants s’appréciaient et s’aimaient de plus en plus, une sorte de
communion érotique semblait s’emparer de leur relation.
Le jeune homme ne su s’empêcher de contempler le corps admirable de la jeune dame blonde. La nuisette
qu’elle portait lui allait à ravir et donnait à son anatomie un aspect de peinture en trois dimensions.
De plus, le tissu lui collait au corps dessinait sublimement les formes de son corps. Les seins
de Béa ressemblaient à deux magnifiques poires que même le plus sophistiqué des programmes
informatiques n’aurait su dessiner
Au sortir de sa nuisette, ses jambes s’élançaient en une longueur interminable. La rendant encore plus gracieuse.
La seule vision de cet ensemble suffit à produire chez Alexandre une érection. Ce dernier
étant pleinement conscient du bonheur de se trouver, là étendu, auprès de Béa.
La nuisette disposait d’un échancré léger mais suffisant pour laisser apparaître ses deux collines
féminines qu’Alexandre aimaient tant gravir.
Avec la tendresse et la douceur qui le caractérisent, le jeune homme glissa doucement sa main dans le tissu
et vint effleurer la peau du décolleté de Béa.
Ce mouvement léger entraina un raffermissement de la poitrine de la jeune fille. La nuisette n’étant maintenant plus suffisante pour dissimuler l’extrémité de ses deux
mamelons durcissant progressivement.
Béa, tout en se réveillant, regarda son jeune amant. Comme à son habitude, lorsque des effleurements mammaires lui produisaient cet effet, elle
cabra son corps, à partir de la base de ses reins. Ses jambes se rehaussèrent quelque peu mais, suffisamment
pour laisser entrevoir sa petite culotte de satin mauve et brodée de dentelle fine.
A son tour, la jeune femme se mit lentement à caresser le torse nu d’Alexandre. D’un mouvement à la fois léger et symétrique, elle câlinait la poitrine musclée du jeune
en descendant vers son bassin.
Plusieurs fois d’affilées, elle reprit son mouvement avant de se diriger vers les cuisses de son amant. L’anatomie d’Alex s’érigeait tellement fort qu’elle permettait à Béa d’y glisser sa main, sans même
toucher le tissu du short. A plusieurs reprises, elle saisit le sexe du jeune dans un mouvement léger. A son tour, le jeune homme eu du mal à se contenir et laissa sortir quelques gémissement.
Sa respiration s’accélérait, haletait et son corps se cabra, trahissant son désir.
Dans un mouvement assez rapide mais ample et gracieux, Béa enleva sa nuisette, sa petite culotte
et ensuite le short d’Alexandre, laissant les amants, maintenant, totalement nus. Indiscutablement aussi excitée qu’Alexandre, la nudité de la femme permettait à Alexandre, tout en
caressant les deux seins, de voir d’une autre façon la partie la plus intime de Béa.
L’entre jambe de la jeune femme, sans encore même avoir été réellement stimulée
par son amant, paraissait déjà suffisamment humide. Alexandre, lentement, glissa ses doigts en direction du sexe de la jeune femme.
Une impulsion suffisant pour provoquer l’accélération du souffle de Béa.
Alexandre entama alors des mouvements de spirales entrantes et très lentes autour de
l’entre de la jeune femme.
Ses doigts arrivaient à hauteur du vagin lorsqu’il entreprit le mouvement inverse.
Béa, s’attendant sans doute à une autre issue à la manœuvre d’Alex, ne su se retenir de gémir de plaisir. Béa prit gracieusement dans ses mains la tête de son amant qui lui caressait maintenant les flans.
Subitement, Alex plongea en direction de la partie intime de Béa et entreprit un
mouvement similaire à l’aide de la langue, cette fois-ci.
Plus Ce dernier approchait le cœur de l’anatomie de la blonde, plus celle-ci gémissait. Sa respiration et ses cabrements ne pouvant d’ailleurs cacher la répétition d’orgasmes de plus
en plus fréquents. Alexandre entra et tourna sa langue au sein du sexe de Béa. La jeune femme, dans le même temps, serrait de plus en plus fort la tête d’Alex, comme
pour l’inciter à rester et prolonger la manœuvre réalisée. La jeune femme hurla son bonheur à plusieurs reprises.
Alexandre bascula aller lentement le corps de Béa.
Les deux amants ne pouvaient s’empêcher de se regarder mutuellement avec un sourire qui
trahissait le bonheur du moment partagé.
La jeune femme, dont la partie intime demeurait humide comme jamais vint alors se positionner sur l’organe de son amant en érection.
Simultanément, leurs mouvements permirent aux deux organes de fusionner.
Tout en exerçant des allers et retours de son bassin, Béa stimulaient les mamelons,d’Alexandre qui gémissait en prononçant régulièrement le prénom de sa dulcinée.
Les mains d’Alex tentant de continuer, d’une part à stimuler le clitoris et, d’autre part, de
caresser les seins de la jeune femme blonde.
Presque dans un mouvement conjoint, les deux amants cabrèrent leur corps.
Alexandre venant d’atteindre son paroxysme et, Béa, jouissant en sentant la semence du jeune homme
jaillir dans son entre tel un feu d’artifice.
Béa se retira délicatement de l’organe de son amant et vint déposer sa poitrine à hauteur de celle d'Alex.
Les deux amants se serrèrent tendrement comme pour remercier l’autre du bonheur procuré.
Le réveil sonna alors. Il était 9 h. A 10h30, ils avaient décidé de partir en balade dans la forêt voisine.
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