Histoire Erotique

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La Petite Anglaise.

Je vous souhaite de vivre un jour, l'histoire que je vous livre telle quelle à été vécue, je l'ai un peu romancée afin d'en faciliter la lecture. J'ai recueillis cette aventure auprès d'une femme qui restait toujours impressionnée et heureuse d'avoir héberger cette jeune fille lors d'un échange.

Proposée le 15/09/2025 par maximilien7

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FF
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Cela faisait huit jours qu’elle était arrivée la trop jolie Victoria, elle devait passer quelques temps avec nous pour perfectionner une langue qu’elle ne maîtrisait pas vraiment, une idée de ses parents qui me l’avaient confiée. Pensez donc, 17 ans, belle comme un cœur, un regard de biche apeurée, toute en finesse et toujours parée de ce satané flegme Anglais. J’ai beau être une femme, cette fillette là, finira par me pousser au crime me suis-je dis en la rencontrant dans la de salle bain. Un rien ne l’habille, et bien souvent, inconsciente de sa Vénusté, elle ne s’habille en effet de rien. Un petit coup à ma fierté, que je ressent de part mes 35 années de vie passée à travailler sans relâche.
En parlant d’amour ! De quel amour voulez-vous qu’on parle? De celui du matin ou du soir, de celui qui blesse et qui mutile votre âme, ou pire, votre raison d’être ? Elle, elle me jette au visage, ce que je ne suis plus, et cela me gène beaucoup. Ce matin, alors que je vaquais à mes occupations, toilette, petit déjeuner, ranger le désastre d'hier soir etc., je la retrouvais face à moi sur le palier du 1er, je veux dire par là, dans son plus simple appareil. Oh ! Ce n’est pas que cela me dérange, mais je peux vous dire que de voir apparaître cette petite puce entièrement nue face à vous, eh! Bien, on ne s’en remets pas facilement, et je ne m’en remets d’ailleurs toujours pas…

Décrire une telle apparition est un exercice littéraire que je vais faire pour votre plaisir. Je me suis donc assise au bureau avant que l’image de la jeune pucelle ne s’estompe. Comme je le disais, j’ai beau être une femme, et d’avoir vu dans ma vie de nombreux corps nus, y compris le miens, cela ne change en rien à l’intensité du moment, j’en reste époustouflée.
Imaginez de vous trouver soudain en face de cette gamine qui se tient là, devant vous, toute droite, sans dire un seul mot, le regard baissé, les mains derrière le dos ! Agrémentée de longs cheveux soyeux qui retombent par la gauche sur de petits seins mignons et fermes. Ses épaules carrées relèvent d’une incroyable prestance. Son visage porte une certaine mélancolie, on dirait celui d’une vierge en soumission qui attend son châtiment.

Je ne sais pas pour quelle raison elle adopte l’attitude d’une prisonnière qui attend d’être fouillée au corps . Mais cette image est torride à souhait et terriblement sexy. Donc, j’en reste médusée, pour ne pas dire émoustillé, oui, c’est plutôt cela l’adjectif qui correspond à mon état émotionnel, abasourdie par l’idée qui m'envahit aussitôt. Qu’attend t-elle de moi ? Que me veut-elle en me provoquant de cette façon? Une minauderie sans doute, afin d’obtenir une réaction de ma part !

Je cherche donc à comprendre les raisons qui la poussent à apparaître en tenue d’Eve, devant une femme qu’elle ne­ connaît que depuis quelques jours ! En l’occurrence moi, une mère de famille sans prétentions, dont la libido n’avait jusque là, qu’un intérêt secondaire. Moi, qui par les reflets du miroir de la chambre d’en face, voit se projeter cette scène irréaliste, mais extrêmement sensuelle. Aucun réalisateur de film érotique n’aurait put imaginé un meilleur scénario. Mais voilà..., voilà, qu’au lieu de la coucher sur mes genoux et de lui apprendre la décence par une bonne fessée, voilà que mes pensées s’envolent au royaume des fantasmes. Me voilà obligée de combattre des idées qui s’imposent d’elles même, des idées incongrues, déplacées certainement, mais tellement appétissantes. Ce sont d’incroyables senteurs printanières que me délivre ce jeune corps qui pénètrent subtilement mon cerveau.

Oui...je devrais la corriger… fermement, mais ce n’est pas l’envie qui s’impose en ce moment. Non, j’ai soudain cette convoitise qui m’invite à profiter de la situation, de l’adopter de l’aimer de la choyer, de la masturber, jusqu’à ce qu’un orgasme s’en suive…..de lui faire l’amour, de laisser courir mes doigts dans l’orifice qui se planque entre ses jambes et qui brille de tous ses feux, de la châtier par mes caresses…., mais.. !! ? mais suis-je donc devenue folle ?? ce n’est encore qu’une gosse, ! Je me demande alors ce qui peu bien passer par la tête de cette gamine qui agite à mon encontre une si douce flanelle de volupté.

Une petite musique alors se met à tourner en boucle dans ma tête !!‘’ rien à foutre ! fais ce dont tu as envie’’….Un quart de seconde plus tard, tout s’en va, ni réflexion, ni aucune bonne intention ne persiste plus ! Mes mains sont moites, ma bouche est sèche, mon ventre s’enflamme, mon sexe s’active et je mouille, pour une fois l’expression est juste , ça coule de source. Je le sais, je suis foutue..., je reste sans voix, ce dont j’ai envie est impensable, et va à l’encontre de ma conscience de femme. Mais… elle..., elle est là, grande et céleste, silencieusement docile, une étoile qui dans ma nuit, éclaire une vie bien terne.

Sa poitrine tient de l’art, de l’art pur, de la perfection même, tant elle est ferme. Elle pointe avec l’arrogance de sa jeunesse deux tétons majestueusement enjolivés par la tache blanche qu’un soutien gorges s’est évertué de cacher aux impertinences du soleil. Le buste s’amincit comme un violon et sculptées d’un subtil trait de crayon, ses hanches sont parfaites, elles soulignent un petit ventre rondelet, ou se profile avec élégance la rosace du nombril, un joyaux particulièrement désirable, comme je les aime, rehaussé en son centre d’un petit diamant qui brille comme une étoile au milieu d’une galaxie.

J’imagine que c’est Vénus qui l’a enfantée. ?!! Cette enfant n’est pas né d’une mère, non, elle à été modelée par la nature elle-même et fécondée par le soleil ? ou peut-être s’est elle échappée du fond des océans, une sirène qui aurait perdue sa queue ? Et puis… et puis mon regard s’en va plus bas, là où commence l’immodestie et l’invraisemblable chance qui s’offre là. J’admire ses hanches qui s’élargissent à bonne mesure, c’est Diane que j’ai là en face de moi, elle a l’allure d’un chérubin, celle d’une vierge effarouchée, qui sans doute n’a jamais connu l’affront d’une verge.
Au centre du ‘’V’’ que forme le pubis un string chimérique à laissé une empreinte opalescente, ici commence la parure parfaite d’un bosquets admirable. C’est une gracieuse tapisserie de poils doux, parfaitement taillés et ordonnés, qui enjolive ce triangle d’amour. En son milieu une macule plus sombre conduit mes yeux vers la jointure des cuisses, et juste là, à la courbure des merveilleuses balises ambrées, miroite une légère et sirupeuse trace laiteuse qui affole mes sens déjà bien aiguisés

- Victoria? what are you doing there, all naked?

- Madam, I'm sorry, I'm always naked at home, it's a habit with us!

Ah oui, c’est une habitude d’être nus chez eux ???? Il faut que je détourne mon regard de cette merveilleuse tentation ! Il faut que….., mais il est trop tard, la révolution en moi s’est faite à mon insu. L’emprise aura raison de moi, je le sais, l’envie va l’emporter, l’envie idiote et coupable de toucher, de posséder ce corps juvénile, l’envie aussi de vivre cette aventure, de sortir de ma léthargie, du long sommeil qui assomme mes jours.
Le trouble devient visible sur mon visage, Victoria s’en aperçoit évidemment. Ce qui doit arriver arrive, je ne devrais pas vous le dire, sous peine de me voir accusée de perversion, ou le cas échéant de voir suspecter ma jeune protégée, d’exhibitionnisme, ou peut-être même bien plus que cela. Soupçons qui ne seraient pas entièrement faux, je vous l’accorde. Mais encore, qu’en avons nous donc à faire?

- Would you prefer that I get dressed, ma'am, I'm sorry

- no, Victoria it's ok, you are very pretty, you understand, I'm amazed...

Voilà ma réponse, la seule que j’ai trouvée pour ne pas briser le charme, alors en dépit du bon sens, je vais vous décrire la chute qui ce matin fut la mienne. Cela me permettra de me rappeler de ce moment de folie, de cette sensation d'existence que j’éprouvais au moment où elle vint se coller contre moi, au moment où sa poitrine frôla mon buste. Ce seul contact confirma mes soupçons quant à l’état de ses émotions, on ne s’y trompe pas, cette fille est envieuse de jouer de ses charmes et je ressent dans mon intimité l’ardeur qui se dégage de son corps, Victoria exsude une folle envie de sexe qui aussitôt se transmet à moi.

Madam, sorry…, I really want you, you are a superb woman, and I love women. I'm going to make love to you, now for a long time, we're going to cum together, yes?

Sa bouche exquise mordit mes lèvres, sa langue vint fureter dans la mienne, puis, après avoir défait les boutons de ma blouse, elle vint envelopper mes seins de ses douces lèvres . Le lit nous prêta allégeance, elle reprit ses attaques suçant quelques goûtes de lait maternel dont j’ignorais la présence. Sa peau sentait le sucre d’orge, sa gorges déployée tressaillait au moindre touché, quand s‘érigeait dans ma main ses petites poires roses. En quelques gestes je fut débarrassée de mes vêtements, elle savait faire cela avec une élégance toute anglaise, me jetant instamment dans un trouble émotionnel sans pareil. Il fallait que je réagisse, car, par trop excitée par ma nudité devant cet enfant qui venait de s’imposer, je l’embrassais avec une infinie tendresse.

Il fallait que j’aille droit au but, suivant le profil harmonieux d’une cuisse, je trouvais au centre de ces soyeuses rondeurs, les lèvres grossies d’une vulve hyper-lubrifiée. Victoria silencieuse, s’ouvrait à tous mes attouchements, j’osais de deux doigts à peine pousser au delta de son sexe. J’y pénétrais avec une sorte de vénération, elle venait de fermer ses yeux, et son corps se fit lourd, langoureusement lourd.
Son sexe harmonieusement sensible, mouillait beaucoup, l’envie de jouir devait être démesurée. Elle s'agrippa soudain, m'enfonça ses ongles dans une cuisse, je compris qu’elle en arrivait à l’extase, alors, forçant un peu l’entrée tendre de l’orifice sexuel, je m’enfonçais entièrement entre ses cuisses,... jusqu’au poignet. La petite n’eus qu’une seule, mais violente réaction. Me poussant à entrer plus encore dans ce vagin distendu, je tourmentais longuement cette vulve colorée jusqu’au premier soupir de félicité, elle était douce en son intérieur, chaude comme la braise. Alors, elle s’ouvrit entièrement en me fixant dans les yeux, avide de jouir sans cesse, criante à l’apogée d’une nouvelle vague, et résignée quand j’imposais une pose pour lui permettre un peu de respirer.

‘’Yes..., yes…., more!, more! , please, yes. Mam….i love you,….’harder, deeper, even harder, hurt me, yes…., again

Cela durera longtemps, et j’y trouvais un extrême plaisir à mortifier jusqu’à l’impossible ce jeune corps. Avant de me rendre compte qu’elle était en train de vivre avec ma complicité, un rêve de gosse, un rêve dans lequel j’étais actrice, et cela me séduisait beaucoup. Oh, non, ce n’est pas une vierge que je persécutais là, elle avait apprise toute la magie des sens bien avant ce jour, et elle me le faisait comprendre en se lobant entre mes bras comme l’anguille au bout de la ligne.

‘’ now mom, punished me, please punished me harder….i Was naughty ….Yes, more….punished ’’

‘’mom punished me ???’’Ce jeu là, je ne l’avais pas anticipé !! un jeu dévoyé sans doute, mais la chose me paraissait tellement érotique que je m’y suis laissée prendre à cœur perdu. Aussi, je la couchais par-dessus mes genoux, le cul bien offert, en appréciant le galbe du fessier, puis la forçant à écarter ses cuisses, afin d’avoir un accès illimité à une foufoune tendre et rosée. Et puis, attendrie par l’image, j’y allait avec retenue, frappant au jugé ce cul qui se tendait aussitôt. Le plaisir vient après la douleur, c’est un jeu d’une déliquescence extrême et si je vous le dis, c’est que je le sais... ! Et je le sais parce que…..eh!bien je le sais c’est tout... !‘’ Splash, et re-splash, Victoria vagis et gémit, et moi, je me dissout par le bas, je m’écoule comme un glaçon au fond d'un verre.

‘’yes mom, punish me more….’’

Je me glissait dans l’entre-jambe, pénétrait et masturbait la turgescence clitoridienne, elle se laissait aller, je frappais encore, elle tentait un échappatoire bien vain, car je n’avais pas l’intention de lâcher ma proie. Sa jambe droite glissa par-dessus mon genoux, la fente ruisselait et s’épanchait, je frappais le sexe, elle glapie !! Elle était si belle dans cette position avilissante, alors j’en profitais pour lui faire ce que je n’aurai jamais imaginé.

- Victoria ? You've been a bad girl, you deserve your punishment, don't you?

‘’ yes, I regret mom !!, yes, strike again !! I deserve it! mom, yes.., again, yess, again..., please….’’

Victoria braillait aux tourments, et je la persécutait en mettant en action ce que je savais de moi-même. Mes peurs, mes espoirs, et mes doutes s'entremêlèrent dans un cocktails de petites actions que je mettais en œuvre pour satisfaire la petite pucelle Anglaise. Ce qu’elle me fit plus tard, ne se raconte qu’à demi-mots. Je ne croyais pas qu’une femme de mon âge, puisse être l’otage d’une si jeune fille. Je ne pensais pas qu’elle puisse être plus perverse que moi-même, plus insidieusement sauvage que tout ce que j'avais imaginé jusque là, je me demandais comment elle avait appris tout ça, et qui à bien put lui enseigner des choses aussi crues ? Mais en tout cas elle savait user d’un savoir acquis ailleurs, une science qui lui avait été enseigné par d’autres mains.

‘’ Ma’am, i’m going to fuck you, no !!!! , don’t move anymore !!

‘’ i’m going to fuck you !! j’ai appris ce que ça voulait dire, en sentant mes cuisses s’ouvrir. Je l’ai sus quand remplie de ses doigts je subissais ce que nul n’avait jamais osé. Je le sus lorsqu’au bord de la rupture, je me mis à brailler comme une pute, par la surprise de l’emprise inconditionnelle que me faisait enduré cette petite folle. Oui, on peut dire qu’elle m’a baisée, par tous les trous, moi une femme qui aurait pu être sa mère. Je l’entendais prononcer son nom à elle, avec une sorte de rage, alors qu’elle déversait sur moi une violence sans pareil. Je n’ai jamais eu de réponse quant à cette confusion, entre moi et sa mère. Je jouissais donc au nom d’une autre, en acceptant des gestes très insidieux, ce fut, j’en suis certaine, un inceste par procuration. Il y avait là, de l’amour et de la haine, j’en garde depuis ce jour, des traces physiques et morales.
Mais…, peut-on reprocher à une fille de vouloir faire l’amour à sa mère, fuse t-il brutal et délétère ??? 

C’est véritablement une très belle femme que sa mère. Victoria me l’avais présentée sur une photo, et là, je voyais couchée au bord de la piscine familiale, une femme d’origine indienne à la peau ambrée et aux longs cheveux noirs, qui ne gardait sur elle qu’un mince tangua, pour cacher le dernier secret d’un corps de rêve.

Il y a peut-être là, une explication quant à la maturité sexuelle de la jeune Victoria, qui, je l’ai vécu, en savait plus sur les fantasmes et les pratiques sexuelles que je ne l’aurai soupçonnée. Ce n’est peut-être pas un hasard, si elle m’avait accordée le rôle d’une mère qui enseigne à sa fille les choses de l’amour, et moi, en y pensant encore, je me dissous encore en me demandant ce que je ferai si ma fille me posait ce type de piège.

Eh!bien, je n’en sais rien et je ne le saurai certainement jamais…mais peut-être qu’un jour une mère, pourrait avoir un intérêt particulier pour l’un de ses enfants ? S’agirait-il alors d’une dérive, ou d’un amour plus prononcé envers un parent ? Que dirais-je si Davina avais les mêmes fantasmes ?
Ce que j’en retire, personnellement s’est pourtant profondément ancré en moi !....mais Dieu que je l’ai aimée cette petite Anglaise….Toujours est-il que l’envie de revivre en telle aventure sensorielle ne me quitte plus. Davina serait-elle prête à jouer à ce jeu là ? Ou peut-être la petite voisine que j’observe quelques fois, lorsque toute nue elle passe devant la fenêtre de sa chambre, en m’offrant un merveilleux sourire complice.

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