Dans ma tenue intégrale en latex, bien au chaud, je passe du temps à lire les petites annonces. Rien de bien. Je décide quand même de publier une annonce fétichiste du latex en n'espérant pas grand chose. Et puis un jour.....
Proposée le 13/11/2018 par plastico124
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme soumis
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Je lis des messages et des annonces de rencontres sur le thème du fétichisme du latex, du PVC et du plastique. Rien d’intéressant, que des hommes, que des hommes et encore que des hommes à la recherche d’une hypothétique rencontre féminine voulant partager cette attirance.
Je sais depuis longtemps que cela est pratiquement introuvable. Alors, je décide quand même de publier une petite annonce. Nous verrons bien ce qui se passera. Je me lance.
Comment faire, je ne sais pas. Il faut être créatif pour essayer d’attirer l’attention d’une femme ou d’un couple ayant les mêmes attirances que les miennes. Qui sait !
« Dans ma tenue latex intégral et brillante, ganté et cagoulé, je veux partager ce moment intime avec vous et partager ou vous faire découvrir cette expérience en mettant à votre disposition de nombreuses tenues »
Mon annonce est enregistrée sur le site internet que je consulte. Le lendemain, je constate que quelques réponses sont arrivées. Rien de très intéressant, vraiment rien. Les jours et les semaines passent et puis un soir, je reçois un petit message totalement différent de ce que j’ai l’habitude de recevoir couramment.
« Bonjour, nous avons vu votre annonce et nous serions intéressés à pouvoir dans un premier temps vous rencontrer pour parler de nos attirances mutuelles pour le latex et les matières plastiques. Voici nos coordonnés. Contactez-nous dès que possible. A bientôt »
Je suis troublé par ce que je viens de lire. C’est bien la première fois que je reçois ce genre de message. Je suis excité par l’idée de cette rencontre. Je décide de prendre contact le soir même par téléphone avec mes interlocuteurs. Peux être que personne ne répondra et que c’était juste une réponse pour me faire fantasmer.
Au bout de la ligne, les sonneries se suivent. 1,2, 3 puis quatre et quelqu’un décroche. Bonsoir, je me présente, je suis Daniel, le monsieur de l’annonce à laquelle vous avez répondu. Bonjour Daniel. Quelle annonce SVP. L’annonce fétichiste sur le site internet. A oui. Je me rappelle. Vous avez proposé de nous rencontrer éventuellement pour un premier rendez-vous. Souhaitez-vous toujours le faire ? Quel est votre prénom madame, Mademoiselle, je m’appelle Carine.
Eh bien, Daniel, vous faites du sport ? un peu. Nous serons dimanche prochain vers 09 : 00 au parc du château pour aller faire du jogging. Vous nous reconnaîtrez très facilement. Venez nous rejoindre dans votre tenue préférée, vous voyez de quoi je parle évidemment. Très bien, Carine, à dimanche prochain.
Je suis encore troublé par la simplicité de cette communication. Nous avons parlé comme si nous nous connaissions depuis toujours. Elle me demande de venir dans ma tenue préférée. Pourquoi ? Je ne suis encore jamais sorti de chez-moi comme cela. Vais-je le faire ou pas ? Nous verrons bien.
Dimanche matin, je me suis levé tôt. En fait, je n’ai pas réussi à beaucoup dormir cette nuit. Que vais-je faire pour m’habiller comme elle me l’a demandé ? Comment ne pas me faire remarquer. Dans l’immeuble où je suis, tout le monde connaît tout le monde et tout le monde regarde tout le monde. Ce n’est pas vraiment un endroit discret.
Je viens de tirer les rideaux et d’ouvrir la fenêtre. Miracle, il pleut comme il faut. C’est exactement ce qu’il me fallait. Je referme la fenêtre, range mon lit, mes draps en latex et mes coussins. Le lit est fait. Je vais me doucher après avoir déposé avec douceur mon pyjama en plastique bleu sur le porte-habit.
Sorti de la douche, j’ouvre la très grande armoire pour regarder toutes les tenues qui s’y trouvent. Je choisis une chemise bleue en latex, un pantalon et une veste de jogging. C’est une tenue réversible en plastique épais. Jaune d’un côté, bleu marine brillant de l’autre. Lorsque je la porte, mes déplacements engendrent de petits bruits que seuls les fétichistes reconnaissent.
Je termine de m’habiller complètement, ajuste le tout sur moi, enfonce comme il faut sur ma tête une casquette, chausse ma paire de bottes, prends mes clefs et sors de chez-moi. En sortant, je croise la voisine dans l’ascenseur. Bonjour Daniel vous voilà équipé comme il faut pour affronter ce temps. Et oui Jacqueline, il faut ce qu’il faut. Bonne journée à vous.
Je marche en direction du square et débouche enfin dans le parc du château. La vue est dégagée et je peux observer presque tout ce qui se passe devant moi. Alors que je viens de m’assoir sur un banc, je suis surpris par la tenue de deux personnes qui passent devant moi. Ce sont deux filles en tenue pluie. Quelles tenues. Une combinaison intégrale semi-transparente avec un capuchon serré autour de la tête laisse deviner en dessous une autre combinaison de couleurs rouges.
Elles viennent de s’arrêter à ma hauteur et l’une d’elles me lance doucement, vous êtes Daniel ? oui. Vous êtes Carine ? oui. Je vous présente Stéphanie. Bonjour Stéphanie. Nous allons marcher. Nous cheminons à trois dans les allées du parc, sans même que les personnes qui nous croisent ne se posent la moindre question sur nos tenues tellement il pleut. Moi, je suis troublé par la vision de ce qui m’entoure et par le petit bruit de la matière plastique, mais également sur le fait que je sois entouré de 2 femmes.
Vous aimez, nos tenues Daniel me lance Carine. J’adore bien évidemment. Comment en serait-il autrement. Vous êtes beau également dans votre tenue bleue. Elle est en quelle matière ? En plastique. Sympa me répond Stéphanie.
Que, faisons-nous maintenant ? Il pleut tellement que nous n’allons pas passer toute la journée ici. Daniel vous vous accepteriez de venir boire quelque chose de chaud chez nous ? Que répondre ? Les choses vont trop vite pour moi. Carine me prend par la main et me dit, allons-y, nous habitons tout prêts. Deux rues plus loin, nous passons au travers d’une grande porte palière, nous traversons une cour et prenons l’ascenseur. Nous y rentrons juste à trois. Où allons-nous ?
En montant, je sens une main qui caresse mon sexe au travers du plastique de mon pantalon. Je ne sais plus où me mettre. Humm, Stéphanie regarde Carine et lui dit comme cela, je crois qu’il y a tout ce qu’il faut. L’ascenseur s’arrête et nous pénétrons directement dans un grand appartement aux nombreuses grandes b vitrées. Installe-toi Daniel, fait comme chez toi.
Les deux filles enlèvent leurs bottes, ouvrent leurs combinaisons en PVC et enlèvent le tout. Elles portent bien en dessous une seconde combinaison en latex rouge brillant.
Elles se sont maintenant approchées de moi pour me mettre au sec. Elles enlèvent le haut de ma tenue encore trempée, commence à descendre mon pantalon. Je le retiens. Tu ne veux pas te mettre au sec. Oui, mais je n’ai rien mis dessous. Pas de soucis, je vais chercher ce qu’il faut et je reviens. Elles semblent ravies de cela. Stéphanie me donne une tenue deux pièces en latex fin. Allez Daniel, je vais te changer. Elle enlève ma chemise, descend mon pantalon et tombe pratiquement nez à nez avec mon sexe déjà tendu d’excitation. Elle y donne un baiser et m’enfile le bas d’un pyjama brillant, puis le haut en refermant lentement tous les boutons de la veste. Tu es beau dans ton pyjama.
Assis dans le sofa, nous buvons quelque chose. Je n’arrive plus à contenir mon excitation. Carine frotte mon sexe dressé au travers du latex. Tu es bien Daniel. Que répondre ?
Tu veux jouer un moment avec nous. Nous n’allons pas perdre notre temps dans des discussions inutiles. Elles me saisissent par les mains et m’emmènent vers quoi. Carine qui est devant moi, ouvre une porte et nous pénétrons dans une autre pièce. Elle referme la porte derrière nous et augmente la lumière.
Au milieu de la pièce, il y a quelque chose qui ressemble à une table sur laquelle il y a un très grand matelas en latex noir. Bienvenue chez nous Daniel. Nous allons te faire vivre une expérience nouvelle. Elles sourient les deux. Que vont-t-elles faire de moi ? Stéphanie m’entraine dans une autre pièce en me disant, allez, nous allons commencer de te préparer. Me préparer à quoi. Tu verras bien. Fais-nous confiance.
Carine a déjà sorti de nombreuses choses. Mon pyjama a été enlevé et je suis maintenant complètement nu devant elle, mon engin dressé comme jamais. Je sens que mes jambes sont passées dans quelque chose qui remonte sur moi. Je suis introduit dans une combinaison intégrale en latex comme celle qu’utilisent les plongeurs. Maintenant, elles terminent par passer mes bras dans les manches puis passent ma tête au travers de l’orifice étanche qui se referme autour de mon cou. La fermeture Éclair dans mon dos a été refermée. Mes pieds sont ajustés dans le latex ainsi que mes mains dans les gants de la combinaison.
Une paire de bracelets est passée à mes poignets et je me retrouve pendu, les bras au plafond. Stéphanie m’enfile une cagoule en latex épais et referme celles-ci sur ma nuque. Je ne sais pas que répondre tellement je suis excité.
Stéphanie commence à lustrer ma combinaison pour que je brille totalement. Je suis bien au chaud. Elles m’entrainent vers l’autre pièce et m’installent sur le coussin de la table. Installe-toi confortablement. Prends ton temps. Un oreiller est placé sous ma tête. Tu te sens bien me demandent les filles. Oui, très bien.
Alors laisses-toi faire. Tu vas adorer. Je me fais installer dans cet endroit très confortable dans l’attente de la suite. Carine vient de saisir ma tête. Elle enlève la cagoule épaisse, essuie la sueur doucement et puis Stéphanie me passe une autre cagoule en latex noir sur la tête. Elle finit par ajuster le tout sur ma nuque en me regardant comme il faut dans les yeux. Nous pouvons continuer Daniel. Je bouge la tête pour signifier mon accord.
Stéphanie vient de monter sur moi. Elle vient d’enfiler ma tête dans l’ouverture de sa culotte. Je me retrouve la tête prise entre ses jambes. Elle s’installe maintenant confortablement sur mon visage. Je sens bien son sexe qui coule sur ma bouche. Elle me donne l’ordre de m’occuper de son fruit mûr. Je le prends à pleine bouche pour aspirer tout ce que je peux comme si je pratiquais un baisser langoureux.
Elle vient d’écarter encore plus jambes et demande que je m’occupe de son clitoris. J’adore, j’adore, elle rentre en contact de plus en plus fort avec ma bouche pour finir par hurler de plaisir. Elle extrait ma tête de sa culotte et se libère mon visage.
Carine vient vers moi avec quelque chose qui ressemble à un masque intégral. Au revoir Daniel, à tout à l’heure. Ma tête vient de disparaître dans le masque et je sens qu’elles serrent les lanières en caoutchouc autour de ma tête pour l’ajuster. Je ne suis plus du tout en contact avec l’extérieur. Je peux voir ce qui se passe au travers des deux verres ronds devant mes yeux et c’est tout. Mon souffle est plus lourd. Je viens de me faire brancher sur une machine qui me permet maintenant de mieux pouvoir respirer. Je me sens comme en sécurité. Emballer totalement dans le latex, au chaud et respirant l’odeur du caoutchouc au travers de mon masque.
Elles viennent de m’attacher les poignets à la table avec des boucles. Elles remontent très haut mes deux jambes en arrière et attachent, les bracelets de mes pieds à des attachent venant du plafond. Je me retrouve dans une position très explicite. Elles ouvrent lentement la grande fermeture-éclair qui se trouve entre mes jambes. Mon anus est parfaitement accessible. Claudine tient dans la main et me montre un gode équipé de tuyaux souples.
Elle vient de lubrifier avec ses doigts gantés mon orifice. J’essaye de me dégager au contact du gode, mais c’est impossible. Elles introduisent doucement au plus profond de moi celui-ci, jusqu’à ce que mon orifice vienne s’emboîter dans la collerette prévue à cet effet. Il ne peut plus sortir tout seul. La combinaison intégrale et refermée sur moi, mes jambes remises à plat et rattachées fermement. Elles branchent les tuyaux à la machine et il se gonfle et se dégonfle au même rythme que ma respiration.
Maintenant c’est au tour de mon sexe d’être sorti. Les filles me sucent à tour de rôle juste un instant. Elles me montrent un autre objet dont l’usage est sans équivoque. Elles y introduisent mon sexe et fixe l’accessoire à la combinaison. Maintenant, Carine vient de brancher sur ma poitrine un tuyau flexible. Elle vient d’enclencher une machine et je sens que le vide d’air se fait entre la combinaison et moi. Je ne peux plus bouger.
Le dernier tuyau est branché sur la machine où se trouve mon sexe. La machine commence à aspirer mon sexe en alternance comme le pi d’une vache. Je ne sais plus où je suis et qui je suis. Le gode est synchronisé avec l’aspirateur. Je vais exploser de plaisir. J’explose de plaisir en quelques minutes et je hurle dans mon masque de plaisir
C’est à ce moment précis que je viens de me réveiller. Ce n’était qu’un rêve. Un rêve, encore un rêve. Bordel....
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email