Un couple qui s'installe en face de chez lui...Coup de foudre entre lui et l'épouse, délaissée par son mari. Ils se voient dans des moments très courts, mais qui sont intenses, avec l'espoir que les choses changent un jour.
Proposée le 3/09/2025 par jerome james b
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
BREF MAIS INTENSE
Je venais de rentrer. Me demandant si...
Mon portable a sonné. Un prénom s'est inscrit. Le sien.
— Il se prépare pour partir à la mairie. Regarde par la fenêtre. Tu peux me rejoindre dès qu'il a dégagé.
La vie est étrange, dans bien des sens du terme. J'habite dans une petite bourgade, en pleine campagne. Des blocs de maison, pour 800 habitants, éparpillés sur plusieurs dizaines de kilomètres. Juste en face de chez moi, une belle maison, qui a été rénovée tout récemment. Un couple, dans mes âges, la trentaine, s'y est installé. Lui travaille pour EDF, elle fait de la pâtisserie l'après-midi, qu'elle vend le matin sur les marchés.
Je crois bien que dès la première minute, quand je les ai rencontrés devant chez moi, il y a eu quelque chose qui est passé entre elle et moi. Nos regards se sont accrochés, et ne se sont pas lâchés. Elle était brune, pas très grande, avec un très joli visage, de grands yeux, et une silhouette fine et délicatement dessinée, dont sa tenue, très simple, un pull et un caleçon, soulignait les courbes.
Elle s'est montrée chaleureuse, souriante, et drôle.
Dans les jours qui ont suivi, je l'ai trouvée souvent sur ma route, et je me suis demandé si c'était le hasard. Elle m'a amené un panel de ses pâtisseries:
— Vous goûterez, c'est pour vous appâter. Je compte bien qu'elles vous plairont et que vous viendrez m'en acheter.
Elle portait un simple jean et un débardeur, mais comme cela, elle était irrésistible.
Il s'est passé une semaine avant que je ne débarque chez elle.
C'était qu'elle cuisinait vraiment bien, et je voulais lui prendre plusieurs produits. Le soir, en rentrant, je n'avais pas forcément envie de me mettre aux fournaux.
J'ai traversé la pelouse. Au fond de la maison, il y avait son fameux laboratoire, où elle travaillait.
J'ai cogné à la porte. Elle est apparue, enveloppée par un grand tablier blanc, avec une charlotte sur la tête. Elle a ouvert la porte, et elle m'a souri.
— Je voudrais vous prendre une quiche lorraine et quelques pâtisseries.
— Vous me laissez finir, et je m'occupe de vous.
— Je reviens dans dix minutes.
Dix minutes plus tard, je revenais. Pas besoin de frapper, elle est sortie au moment où j'arrivais.
— Venez, on va passer à côté. J'ai une pièce froide où j'entrepose tout.
Effectivement la pièce était fraîche. Il y avait des frigos, mais aussi de simples étagères.
C'est venu tout seul, et je ne suis pas sûr que la seconde d'avant on se disait que ça allait basculer. Elle m'a dit, simplement :
— Il fait chaud dans le labo, et je suis totalement nue sous la blouse. Tu veux voir?
Mon absence de réaction avait valeur d'envie. Elle a défait les boutons l'un après l'autre, en commençant par le haut. J'ai aperçu des morceaux de chair. La moitié de ses seins, une partie de son ventre, et puis une toison brune, et la fente de son sexe dont sortaient ses lèvres.
Mais ça n'était qu'un début. Elle l'a laissée glisser sur le sol. Corps offert. Elle s'est tournée pour me présenter aussi son côté pile, deux fesses charnues et rebondies. Et puis, en se tournant à nouveau, elle s'est jetée dans mes bras. Sa bouche est venue chercher la mienne. En même temps, j'ai fait glisser mes mains le long de son dos, pendant qu'elle, audacieuse, elle venait chercher ma queue dans mon pantalon, qu'elle la sortait, et qu'elle la masturbait. J'étais en pleine érection, et je ne risquais pas de partir en sens contraire, vu le trouble de sentir sa nudité contre moi, l'épaisseur de son corps, sa chaleur. Nos langues se caressaient. J'avais ses fesses dans mes mains.
On aurait sans doute été plus loin si elle n'avait jeté:
— Il revient!!! Vite!!!
Je n'avais rien entendu, elle si heureusement.
Il nous a trouvés à distance l'un de l'autre, elle rhabillée, sortant des pâtisseries, moi avec du fric à la main.
On s'est bien rattrapés depuis.
Elle m'a expliqué sa situation. Mariée à un mari qui l'adorait, mais qu'elle, elle adorait de moins en moins, car il n'était absolument pas porté sur le sexe, alors que celui-ci était très important pour elle. Elle ne tenait absolument pas à se séparer de lui, ils avaient vécu beaucoup de choses ensemble, mais elle avait envie qu'on fasse un bout de chemin ensemble. Il y avait entre nous quelque chose de fort, une alchimie.
Son mari partait à la mairie, il était maire adjoint, tous les soirs, et y passait en moyenne une heure.
Une heure qui nous permettait de nous rapprocher.
C'était prendre un risque, mais j'étais un bon client. Et on pouvait donner le change avec cette habileté propre aux amants qui savent déployer des ruses incroyables.
J'ai traversé. Saisi par l'envie.
Elle était dans la pièce réservée à la vente. Elle m'a regardé arriver comme si j'étais le messie. On se précipitait littéralement l'un sur l'autre. On n'avait pas encore épuisé notre envie de l'autre, loin de là.
Une tenue simple, un caleçon, un T-shirt. Elle est venue se coller contre moi, chercher ma bouche, nos langues se sont accrochées. Elle a glissé à genoux. Attrapant ma queue et commençant une fellation, la parcourant de la langue, l'enveloppant de sa bouche, faisant aller et venir celle-ci dessus, puis revenant à sa langue uniquement.
— Zut, il est revenu.
Elle s'est redressée, fourrant ma queue dans mon pantalon de survêtement. Son mari a fait irruption. J'avais une assiette de muffins à la main. Il m'a souri, m'a serré la main.
— J'avais oublié un dossier, chérie. Et aussi les gâteaux pour la réunion.
Elle a désigné un grand plateau avec des petits fours plus qu'appétissants.
C'est quand il a été parti qu'elle a fait:
— Ouf!!!Je n'y pensais même plus.
On a attendu le bruit de la voiture qui s'éloignait, et puis elle s'est pliée en deux devant une table, et elle a descendu son caleçon et la simple culotte blanche qu'elle portait dessous, s'offrant dans une position irrésistible. Ses fesses tendues vers moi, ouvertes, et cette muqueuse toute gonflée d'excitation, avec ses lèvres qui en sortaient, des chairs brillantes des liquides qui coulaient d'elle à cause de la même excitation.
— Viens, j'ai envie que tu me fouilles. On a quelques minutes pour nous.
Je me suis gainé d'une capote. On en avait parlé, elle tenait absolument, et je le comprenais parfaitement, à ce que je couvre ma queue de latex. Son mari pouvait passer des semaines sans faire quoi que ce soit, mais elle ne tenait vraiment pas à mélanger nos fluides.
J'ai appuyé sur ses lèvres, son humidité à coulé sur ma queue, sensible malgré le latex. Et j'ai poussé pour rentrer en elle. Elle a gémi, mais j'aurais pu gémir aussi tellement c'était bon. Etre enveloppé par sa petite chatte bien serrée, une peau infiniment douce et chaude, c'était...Si j'avais du y renoncer, ça aurait été difficile...
Le Nirvana, c'était quand son mari partait certain week-ends faire des excursions. Je me glissais chez elle discrètement...Le samedi soir, la nuit du samedi, le dimanche au réveil, le dimanche matin...Autant de moments de pur bonheur...Là, c'était juste le plaisir de la soirée. Court, rapide, inconfortable peut-être, mais même si on ne passait que quelques minutes ensemble, c'était quand même très fort.
Pliée en deux sur la table, elle m'a laissé fouiller ses chairs avec obstination, me nourrissant de la caresse de sa vulve autour de ma queue, comme elle se nourrissait du frottement de ma queue contre ses chairs intimes.
— Je sens que ta queue grossit en moi...Si tu savais comme j'ai du plaisir...Lui, il ne m'en donne pas...Je suis convaincue qu'il va baiser des femmes qui gravitent autour du conseil municipal...Moi, je ne lui conviens plus...Il me joue la comédie.
D'une contraction, elle a expulsé ma queue de son vagin. A force de la fouiller, j'avais pris un bon tiers de queue en plus. Elle s'est retournée, elle a fait glisser le préservatif, et elle a attrapé ma queue, pour frotter la tête de mon sexe contre le clitoris fin qui pointait en haut de ses lèvres. On a joui, quasiment dans la coïncidence, elle a crié en se tordant, et moi je me suis mis à arroser son ventre et sa toison, toute blanche des jets de sperme crémeux que j'y ai déposé en jouissant.
Elle m'avait préparé un colis de bouffe. Elle tenait à me nourrir. Et ne voulait plus me faire payer. Ce avec quoi je n'étais pas d'accord. On avait trouvé un accord, je payais mes commandes, mais pas ce qu'elle m'offrait.
Alors que j'allais partir, elle m'a dit:
--Le week-end prochain!
Je suis rentré chez moi. Un moment intense, pour finir la soirée. Parfois, mais plus rarement, elle me rejoignait, quand il y avait des réunion au niveau de la com d'agglo. On ne savait jamais quand il rentrerait, donc, on se limitait dans le temps.
Une relation en pointillé, mais qui me rendait plus heureux que toutes celles que j'avais pu vivre auparavant.
Et puis je ne désespérais pas que les choses changent.
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