Suite de l’histoire de Marion…. pour ceux qui ont lu ma première histoire vous savez que dans ma relation avec Marion nous glissons tendrement vers un truc SM...(soft). Ne pouvant nous voir physiquement cette fois-ci, nous jouons à des jeux érotiques à distance grâce à nos smartphones
Proposée le 12/11/2021 par Dramakween
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Après cette chaude histoire, nous ne nous étions plus revus en chair et en os depuis au moins 3 mois...nous devions encore rester séparés pour des raisons professionnelles cette fois, du coup nos échanges se firent le plus souvent par texto avec parfois des petites photos d’agrément.
La première photo hot qu’elle m’envoya d’elle même -chose qu’elle ne faisait jamais d’habitude- fut une photo de son ventre cadrée de manière à apercevoir juste le haut de son slip. Je reconnus tout de suite la cicatrice à côté de son nombril, une cicatrice que j’aimais tant embrasser tout les soirs par le passé. Je ne sais pas si il y a d’autres hommes comme moi probablement que si -je ne suis pas le seul dans l’univers c’est sûr- mais après cette photo (excusez mon langage trivial) ma queue était devenu dur comme du béton et je n’ai pas débandé pendant deux heures durant.
Je lui demandé alors d’être plus explicite et elle ne se fit pas prier pour m’envoyer une seconde photo où je voyais l’entièreté de son slip et le début de ses cuisses puis une troisième photo où sa main posée sur le nombril faisait subrepticement déjà descendre trois ou quatre doigts sous l’élastique…
Les prochaines photos qu’elle m’envoya furent de plus en plus obscènes, je vous passe les détails mais ça finissait pas son doigt à l’intérieur de son vagin bien cadré pour que l’on puisse voir le début de sa poitrine appétissante. Là je dois vous dire que je suis entré dans un état pratiquement d’auto combustion, bref j’étais en flammes. N’en pouvant plus, je pris mon téléphone et l’appelait. Premier appel, elle ne répondit pas, je suis devenu encore plus fou et pendant cinq minutes je tourne en rond dans mon petit studio à 800 km de sa maison à elle, ne pensant plus qu’à ça… qu’à son sexe et sa bouche, ses pieds et ses fesses... ma bouche collée contre ces dernières... Au bout de cinq minutes elle me rappela avec une petite voix suave et ne dit presque pas un mot. La suite se fit tout seul et pendant deux minutes nous écoutâmes seulement nos souffles respectifs. Je commençais à me caresser et je lui chuchotais en lui demandant à quel stade elle en était. Elle me répondit que sa main était dans son slip et qu’elle se caressait en pensant à moi contre elle, à moi en elle, ce qui ne fit qu’attiser mon excitation.
C’est très difficile d’imaginer une odeur mais c’est ce que je faisais là précisément; j’ai essayé de me remémorer l’odeur de son sexe, son odeur pénétrant mes narines tout en me massant le devant de ma queue.
Je la fis entrer dans mon scénario qui était somme toute assez simple. Moi assis sur le canapé et elle nue devant moi avançant sa chatte inexorablement vers ma bouche, en se frottant contre moi on se donnant du plaisir ainsi. Moi, je la maintiens contre moi avec mes mains derrière ses cuisses ma queue bandée comme un cheval en rut-je dois avouer que je n’ai pas à me plaindre à ce niveau là, ma queue est assez longue et épaisse, assez en tout cas pour ne pas laisser indifférente une femme, surtout la chatte a l’air juste devant moi...
Donc elle est là dans mon film, contre ma bouche, je la bois sans jamais être rassasié je bute parfois contre son mont de Vénus puis redescend contre ses poils pubiens qui ne me posent absolument aucun problème, j’aime beaucoup trop le sexe pour avoir des idées préconçues sur la manière dont une femme doit entretenir son corps et au contraire les poils peuvent m’exciter, bien sûr j’avoue que parfois d’expérience, une chatte complètement lisse c’est très agréable à lécher c’est clair c’est doux et tendre tout cette chair glabre, mais jamais je n’imposerais cela à ma partenaire, autant dominateur que je puisse être…
Je sais qu’avec elle il y a tout d’un coup un déclic où l’on passe de la douceur à la bestialité et il ne se fit pas tarder ce déclic... je sentais qu’elle avait un besoin très profond que je la prenne... que je la contienne, que je la contrôle, avec si possible mon membre ancré en elle pour la maintenir encore plus…. Elle mouillait tellement que j’entrai en elle d’un coup en venant derrière elle, tout en l’inclinant vers le canapé, puis dans un même mouvement je l’allongeait et m’allongeait moi-même au-dessus d’elle tout en continuant à la pénétrer.
Elle commençait à soupirer et emplissait mes oreilles de gémissements incandescents qui m’intimèrent encore plus fort de la dominer et de la remplir le plus possible.
J’apprends à la dominer et j’aime ça... apparemment elle a besoin que je contiennent ce truc en fusion à l’intérieur de son bas-ventre, même si en vrai, c’est techniquement elle qui me contient avec son ventre…. Je lui susurre « ma petite chienne » à l’oreille à travers le téléphone. Elle pousse un « han » qui m’excite et me pousse à la dominer encore plus, je lui dis ce qu’elle doit faire tout en lui interdisant de se faire jouir sans me demander la permission, ce qui a pour effet de l’exciter encore plus et elle en est presque du coup au point de non retour. Elle n’en peut plus, elle va me supplier de la laisser jouir mais non.
Là présentement elle n’a plus droit de se toucher avec les doigts, elle a juste le droit de se mettre ventre à ventre contre son coussin et de se mettre un doigt dans la bouche en pensant à mon sexe.
Elle me chuchote que c’est trop bon qu’elle n’en peut plus, qu’elle crève d’envie de jouir mais je tiens bon... et moi aussi je suis prêt à exploser…. ma queue me gêne tellement elle est tendue, elle est comme un membre de mon corps qui aurait envie de se détacher, de se démultiplier, de grandir comme un arbre jusqu’au ciel, bref de la planter, ouais de la labourer, je sais que ma partenaire n’est pas un champ agricole mais là dans la bestialité à laquelle nous sommes arrivés je crois qu’effectivement je deviens juste un outil, un truc presque métallique qui perfore son corps offert aux quatre vents…. comme un terrain vague dans lequel je pioche avec fougue... je continue ainsi à lui parler en la traitant de petite putain et je lui permet tout à coup de se toucher le clitoris doucement…
Elle exulte de pouvoir de nouveau se toucher. Elle est trempée.
Quelques minutes passent ainsi, elle est presque sur le point de jouir alors je lui intime de se mettre un doigt puis deux, profond entre ses lèvres d'en bas et d’aller de plus en plus vite jusqu’au bord de l’orgasme.
Je la laisse au bord du gouffre en lui interdisant de jouir, elle m’écoute, elle a seulement les mains posées à côté d’elle sur le lit dans lequel elle se trouve. Après avoir joué encore un peu avec ses nerfs je lui autorise la délivrance : « petite chienne tu vas te faire jouir maintenant pour ton maître d’accord ? » J’entends ses doigts coulisser d’urgence dans son organe tout trempé, elle se masturbe si fort que je l’entends comme si elle était à côté de moi, elle hurle qu’elle jouit et dans mes oreilles ça fait comme un court-circuit de l’entendre jouir ainsi, un peu de sperme coule de mon membre aussi raide que douloureux.
Va venir mon tour de lui demander de me faire jouir….
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