Une bonne année après leur rencontre, Abi vient passer quelques jours avec Julie et Alain dans la maison de la tante de Julie à Mandelieu. Quelques jours bien occupés où on verra la transformation de Julie !... N'oubliez pas de lire auparavant l'Histoire de Julie et l'Histoire d'Abi déjà publiées !
Proposée le 11/07/2025 par Chris2004
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Roman
Chapitre 1 : Julie
Je vous ai déjà raconté ici ma rencontre avec Abi, c’est intitulé « Histoire de Julie », il vous faut la lire impérativement pour bien comprendre, je ne peux pas vous la résumer ! D’ailleurs il faut que vous lisiez aussi cette rencontre, mais cette fois-ci racontée par Abi, c’est intitulé bien sûr « Histoire d’Abi »...
C’est peu dire que cette rencontre l’an dernier a transformé ma vie ! Ma vie sexuelle j’entends… Et donc aussi, et pas qu’un peu, ma vie personnelle !
Si on m’avait dit, il y a simplement quelques mois, qu’en fait je suis bisexuelle, j’aurais répondu « n’importe quoi ! »…
Si on m’avait dit, il y a simplement quelques mois, qu’en fait je suis polyamoureuse (Alain et Abi), j’aurais répondu « n’importe quoi ! »…
Si on m’avait dit, il y a simplement quelques mois, qu’en fait je deviendrai sexuellement insatiable, j’aurais répondu « n’importe quoi ! »…
Pourtant, il faut bien que me rende à l’évidence, je suis bi, polyamoureuse et sexuellement insatiable.
Je suis par exemple devenue fan de lingerie sexy, voire indécente. Bien sûr, avant, je portais régulièrement des strings, pas au travail bien sûr. Mais j’ai découvert les mini, voire mini-mini, ou encore micro-strings.
Le premier que j’ai porté m’avait été offert de façon improvisée par Abi.
Le premier que j’ai acheté était pour le jour mémorable où Abi est venue passer la soirée à la maison. J’avais fait cet achat sur internet car je ne me voyais pas demander ça en boutique !
Maintenant j’adore ! Surtout quand la vendeuse est toute jeune et que, lors de l’essayage, je me dandine un peu devant elle pour lui demander son avis. Surtout quand j’arrive à la faire rougir un peu… Il suffit parfois de prendre sa main et de lui demander de regarder si ça n’est pas trop serré sue le coté...
J’ai aussi découvert les strings ouverts : je n’imaginais pas que ça existait. Il y a quelques années, une rencontre d’un soir avait écarté ma culotte pour me pénétrer sans l’enlever. Je pensais être tombée sur une sorte de pervers mais c’est moi, aujourd’hui, qui aime qu’Alain puisse mettre une main sous le triangle arrière de mon string en pénétrant le triangle de mon intimité…
Et je dois dire qu’il s’est aussi mis à aimer cette lingerie que certains trouvent sans doute un peu cochonne.
Je précise que je suis en couple avec Alain depuis quelques années et il est clair que celui-ci bénéficie aussi de la nouvelle situation !
Il aime faire l’amour avec moi, avec Abi ou avec nous deux…
Il aime pimenter nos moments partagés ! De plus, c’est un vrai boy-scout, il est toujours prêt !
Pour épicer le sexe, il m’a ainsi par exemple offert un ensemble où le soutien-gorge, qui ne soutient rien, est formé de trois bandes de tissu noir autour de chaque sein simplement « recouvert » de fines chaînettes dorées et c’est pareil pour le bas où mon sexe est aussi simplement « recouvert » de quelques fines chaînettes dorées.
J’avais trouvé le (petit) paquet en rentrant du travail avec un mot : je te veux habillée quand j’arrive.
Il n’a même pas eu besoin de dire « habillée comme ça ». Même s’il ne devait arriver que deux heures plus tard, je me suis déshabillée pour me vêtir de son cadeau… Je me suis regardée dans la glace et ai décidé de me faire une queue de cheval pour avoir encore plus l’air innocente ou ingénue, comme vous voudrez !
Il est clair qu’il est plus juste de parler de notre évolution sexuelle que de mon évolution sexuelle...
Il avait sonné en arrivant, chose inhabituelle chez lui, et je lui avais ouvert la porte de l’appartement vêtue simplement de son cadeau, quasiment nue donc. Un voisin avait peut-être entrevu quelque chose, on ne le saura jamais…
Quand je disais qu’il aimait pimenter nos rencontres…
Quand il est entré, tout en prenant, un petit air mutin, je lui ai fait deux petits baisers sur les joues, c’était à lui de prendre les « choses » en main, ce qui n’a pas tardé...
Je vous passe les détails de cette soirée mais je tiens à dire que, me glissant quelques centimètres au-dessus de lui, le doux frottement des chaînes sur ses tétons l’avait mis dans un état qui me convenait parfaitement…
Chapitre 2 : Julie, dimanche 3 septembre
Je vous ai déjà raconté que nous partions en vacances en septembre et que, par hasard, c’était aussi les dates de vacances d’Abi. Je l’avais donc invitée à nous rejoindre quelques jours dans la maison de vacances de ma tante à Mandelieu, une petite maison avec une piscine protégée des vues inopportunes par des canisses. Je me suis toujours demandée comment ma tante qui se plaint toujours avait pu acheter une telle maison à moins d’un kilomètre de la plage…
Finalement, l’année dernière, c’est-à-dire l’année de notre rencontre, ça n’avait pas pu se faire…
Heureusement cette année ça marche !... Ça fait donc une bonne année qu’Alain et moi on s’éclatent avec Abi, mais aussi qu’Abi prend son pied avec nous...
Nous sommes arrivés à Mandelieu, Alain et moi, le premier dimanche de septembre après avoir fait étape chez une cousine.
Vous imaginez bien que, dans ma nouvelle vie, je me suis débarrassée de mes vieux maillots de bain, même les plus échancrés, les plus « petits », les plus sexy, pour les remplacer par des modèles « beaucoup » plus petits, beaucoup plus sexy et beaucoup moins discrets finalement !
Mon préféré est importé directement du brésil, un bas noir string-ficelle, petit triangle dans le dos, très très étroit devant et un haut tour de cou dont les bonnets semblent être du 8 ans fillette. J’ai donc dû passer du « maillot brésilien » à l’épilation intégrale !
Il ne faut d’ailleurs pas que je bouge trop sinon mes seins « prennent l’air » et le bas rentre dans ma fente.
Je l’ai inauguré à la piscine Joséphine Baker cet été et un jeune maître-nageur m’a « intimé » discrètement l’ordre d’arrêter de marcher le long du bassin et de me mettre à nager… Tout juste s’il ne m’a pas dit d’aller me rhabiller... En même temps, comme il s’était rapproché, il n’était pas le dernier à profiter de la vue de mes seins et de mes fesses…
J’ai aussi vu au moins vu deux types qui, allongés sur un transat avec leur slip de natation (les boxers sont interdits), ont dû passer sur le ventre…
J’étais super fière de moi ! Et mon intimité a visiblement aimé ça ! Pas besoin de nager pour être mouillée !
Si on m’avait dit, il y a simplement quelques mois, qu’en fait je suis un peu exhibitionniste, j’aurais répondu « n’importe quoi ! »…
Comme m’a dit Abi une fois :
- t’es canon, bandante alors quand ils te voient, les mecs bandent et ne rêvent que de tirer un coup !
Alors bien sûr, quand j’y met du mien !...
On arrive donc à la maison de ma tante vers midi et on décide de se baigner tout de suite. Alain monte la valise et redescend en boxer. Je suis déjà dans l’eau, nue puisque mes maillots étaient dans la valise ! Obligée...
Abi m’avait bien dit que nager nue est une sensation vraiment nouvelle et agréable, et elle a clairement raison, je vous invite à essayer, vous verrez.
Il me rejoint. L’eau est bonne, on a eu bien chaud dans la voiture, mais j’ai vraiment envie qu’il me « réchauffe ». Je prend bien ma respiration, plonge, baisse son maillot et commence une fellation sous-marine. Son membre durcit vite mais je dois refaire surface un instant et replonge… En sept ou huit fois, il éjacule dans l’eau : c’est amusant de voir ses belles giclées de sperme se répandre et se dissoudre dans l’eau…
Bon, finalement ça n’est pas grave l’eau des piscines est filtrée en continu ! Comme dit le chanteur Renaud : la mer, c’est dégueulasse, les poissons baisent dedans !
- allez à toi maintenant, lèche moi !
Il plonge mais il n’est pas bon nageur et ne peut donc pas rester assez longtemps sans respirer pour que je vienne vite, malgré l’excitation de la nouveauté.
Je m’assied donc tout au bord du bassin, les pieds dans l’eau, cambrée ; la posture est parfaite pour un cunni profond qu’il fait à la perfection. Je mouille comme une folle et jouis aussi intensément que rapidement.
Voilà, on a baptisé la piscine ! Ça n’est pas la première fois qu’on vient mais c’est la première fois qu’on fait l’amour dans la piscine… Pourtant je vous assure que, même avant la rencontre avec Abi, on faisait très souvent l’amour...
On sort de l’eau, il s’allonge sur une serviette et c’est moi qui, après quelques minutes pour récupérer, le remet en état de marche pour le monter en amazone, je me tourne légèrement, lui titille et pince un téton, le droit, de ma main droite et je masse ses bonbons de la main gauche. C’est bon, on apprécie tous les deux !
Je veux le sentir, et qu’il jouisse, profondément en moi ! Bien endurant, il peut rester longtemps avant de craquer et, comme on se connaît parfaitement, on en profite pour se maintenir juste en dessous de l’extase de longues minutes... Mais tout a une fin, il éjacule et sa jouissance entraîne la mienne, je m’écroule alors sur lui, épuisée et repue…
On se retrempe quelques minutes dans l’eau, on mange un peu et il faut faire des courses, Abi arrive demain !
Chapitre 3 : Abi, lundi 4 septembre
Six heures de train depuis Paris, j’arrive à Mandelieu pour passer quelques jours avec Alain et Julie.
Ils m’accueillent à la gare, il fait chaud. Je les vois ! Grands signes de la main.
Tee-shirt et bermuda pour lui.
Petit short large bien court mais quand même très sage et débardeur léger blanc, à fines bretelles, ample, très décolleté devant-derrière et aussi surtout très échancré sur le coté, porté sans soutif sinon ça gâcherait tout…
Elle se penche un peu pour me faire la bise et j’ai un instant une vue imprenable sur sa poitrine, et quand elle marche on a une belle vue sur le coté : magnifique side-boob !
J’ai très envie de mettre mes mains partout… Bon, j’ai quand même cajolé un sein quand on s’est fait la bise, il faut que je vous dise qu’à ce moment elle me massait les fesses avec les deux mains !
On arrive à la voiture, ma valise dans le coffre, Julie dit à Alain qu’on monte toutes les deux derrière. Il se met au volant, règle le rétroviseur intérieur pour ne rien perdre du spectacle qu’il pressent ! Verra-t-il du porno soft ou hard ? That is the question !
Ne le décevons pas ! Sans attendre, je vire le top de Julie pour lui caresser et lécher les nichons. Elle n’attendait que ça et son corps réagit, je suis sûre qu’elle mouille déjà copieusement !
Facile à vérifier, je caresse sa cuisse et glisse ma main sous le short par une jambe pour trouver directement son bouton avec mon pouce et entrer deux doigts : pour ma visite, elle n’a pas mis de culotte et est déjà super bien mouillée ! Ça coule ! Je la caresse en regardant Alain dans les yeux via le rétroviseur, je me lèche les lèvres, bouche légèrement entrouverte pour l’exciter davantage… Je suis une vraie roulure !
Julie jouit, ma chatte aussi est trempée, et je ne ne sais vraiment pas comment Alain fait pour conduire !
Dans le rétro, il a vu du hard !
On arrive à la maison de sa tante, la piscine est superbe !
Deux espadrilles, un short, un string, un top out : je plonge toute nue. J’étais déjà bien allumée et le coup de froid me fais encore monter en pression…
Ceci dit, il faut quand même que je donne un pourboire au chauffeur ! Il nous a bien conduit dans des conditions difficiles… Dans ce cas là, il ne faut pas être radine !
- Alain, tu viens ? On va baiser dans l’eau, j’adore ça...
Alain ne se fait pas prier, il me rejoint !...
Chapitre 4 : Julie, lundi 4 septembre
En arrivant, Abi s’extasie devant la piscine, se déshabille en trois secondes et plonge !
Ça n’a pas l’air de la refroidir puisqu’elle appelle Alain qui se déshabille et plonge aussi.
Tiens Alain ne met plus son short de bain comme hier, il semble avoir compris que c’est embêtant un maillot : c’est mouillé quand on sort de l’eau, il faut le rincer, le sécher...
Pas difficile de deviner qu’elle va se le faire ! Je pousse un transat au bord de l’eau et m’allonge, décidée à ne rien louper du spectacle. J’aime bien le voir quand il la baise, j’aime bien la voir quand elle le baise… Bref, j’aime bien les voir quand ils baisent !
Si on m’avait dit, il y a simplement quelques mois, qu’en fait je suis un peu voyeure, j’aurais répondu « n’importe quoi ! »…
Mais ce n’est pas tout...
Si on m’avait dit, il y a simplement quelques mois, qu’en fait je suis un peu perverse, j’aurais répondu « n’importe quoi ! »…
Revenons à nos moutons si on peut dire !
Elle se place là où l’eau est juste au-dessus de ses seins qui, flottant à la surface et tétons durcis, se dressent fièrement. Dos à la paroi elle écarte légèrement les jambes et saisit son membre bien dressé pour le glisser dans sa foufoune, direct !
Il semble que les préliminaires ont eu lieu dans la voiture!
Il se tient les deux mains accrochées au bord de la piscine pour avoir de l’appui et elle a ses mains sur ses fesses pour contrôler le mouvement, obtenir exactement ce qu’elle veut.
Quand elle voit qu’il est proche de l’orgasme, elle se sépare de lui, va vers l’échelle où l’eau est moins profonde, s’y accroche et s’allonge dans l’eau, cuisses très écartées. Elle veut qu’il la prenne comme ça, une sorte de levrette aquatique. Il est juste à la bonne hauteur, debout dans l’eau il lui saisit les hanches et la pénètre bien profond.
Leurs va-et-vient brutaux font des vagues, si ça continue, je vais être éclaboussée !
D’un seul coup, elle crie, elle hurle plutôt, et est prise de tremblements incontrôlables. C’est un orgasme très violent, elle pleure, elle étouffe, elle a du mal à retrouver sa respiration. La surface de l’eau est maintenant parcourue de petites vaguelettes...
Il laisse passer quelques secondes puis donne de grands coups de butoir
Suit alors un puissant râle de mâle en rut, il jouit lui aussi, c’est également un orgasme très violent !
Ils s’en sont bien donnés… Ça a kiffé dur entre eux ! Comme à chaque fois !
Elle sort de l’eau, encore vibrante, du sperme coule sur sa cuisse… Quant à lui, il récupère encore quelques secondes dans la piscine. Pour se refroidir ?
Je ne me suis même pas rendue compte que pendant ce temps, j’avais ôté mon short et je me caressais. C’est cette vision du sperme qui coule sur la cuisse d’Abi qui me précipite à mon tour dans le plaisir… Je n’ai même pas enlevé mon débardeur. J’ai eu du mal, même sur internet à en trouver un aussi échancré sur les cotés… Alors bien sûr mes seins se sont dégagés et sont en train de bronzer !
Un peu remis tous les deux, ils installent des transats à coté du du mien pour finir de récupérer et peut-être rêver à encore plus d’extase…
Chapitre 5 : Abi, lundi 4 septembre
Les vacances commençaient bien. Même pas deux heures que j’étais arrivée et j’ai baisé avec Julie puis avec Alain.
Alain a aussi bien profité de Julie et moi en conduisant…
Julie a bien pris son pied en nous regardant, Alain et moi dans la piscine…
Ce petit séjour à Mandelieu se met bien en branle !
Tout le monde sort de sa torpeur et Julie propose de m’installer dans ma chambre. On reste à poil, il fait chaud, et on monte, l’escalier est raide.
Je ma mate, j’ai ses fesses à la hauteur des yeux et, c’est clair, elle a un cul parfait !
Je me délecte en particulier du pli entre la cuisse et la fesse, elle se doute que je la reluque et elle se trémousse marche après marche pour que j’en profite davantage. Comme j’ai un sac et ma valise dans les mains, je dois me contenter de mater !
J’ai une belle petite chambre face à la leur, la salle de bain est commune avec une porte dans chaque chambre...
- on ne ferme jamais à clé
- pas de problème
Elle m’aide à ranger mes affaires, elle flashe sur un petit string bleu électrique, tout neuf, il y a encore l’étiquette ! Ni une, ni deux, elle le passe !
C’est un cadeau de Stéphanie ! Si vous voulez savoir qui est Stéphanie il faut lire l’Histoire d’Abi… Mais je suis sûre que Julie vous l’a déjà dit !
Julie est un peu plus grande que moi mais on a quasiment les mêmes mensurations, ce qui va à l’une va à l’autre !
Stéphanie, plus ou moins ma régulière, est toujours un peu jalouse, pourtant elle ne se prive pas de rencontrer d’autres filles ! Elle s’est même faite Vanessa la secrétaire d’Alain !
Elle savait ce qui allait se passer ici et tenait à ce que je ne l’oublie pas...
Julie, toujours vêtue de « mon » string bleu me montre ses achats, je flashe à mon tour sur son petit maillot de bain brésilien noir… Je le passe, il n’y a pas de raisons, et défile en me déhanchant devant elle, qui n’attend que ça !
Il est superbe ce maillot, vraiment petit, tant le haut que le bas. Comme je me tortille un peu, chacune son tour, je suis obligée de remettre un sein baladeur dans le (petit) bonnet et le bas est complètement rentré dans ma chatte, en cameltoe !
Ça la fait rire !
- c’est un maillot pour bronzer sur la plage, pas pour jouer au volley !
- je ne jouais même pas au volley…
- quand on bronze, on ne bouge pas ! Tu remuais du cul, alors bien sûr...
- ce soir on va aller prendre une glace tous les trois ! Comme tu n’es pas sage, tu es punie et c’est moi qui choisis ta tenue !
Je prend un petit short à la taille très basse dans mes affaires. Je l’enfile et, comme prévu, le devant, le dos et les liens du maillot dépassent du short, surtout que je remonte bien les cotés sur mes hanches…
- tu vois, tu t’habilleras comme ça ! C’est toi qui ira chercher les glaces… Et si Alain n’a pas envie de t’enfiler quand tu feras la queue chez le glacier, je rend mon tablier…
- et toi, je te vois venir, tu auras bien envie aussi de vérifier que mon maillot frotte bien mon clito !
- mmmm… Possible... Sans doute même !
- sûr !
Il faut qu’on redescende, Alain va s’inquiéter !
En fait, il ne s’inquiète pas du tout, il est visiblement, vue sa chandelle dressée bien allumée, à la porte de la chambre depuis un moment à nous espionner ! Il n’a rien perdu de la conversation ni de ma tenue qui sera celle de Julie ce soir…
- d’accord avec vous les filles, ça marche pour ce soir !
On s’échange un regard complice avec Julie et on décide de sucer cette queue au garde à vous, et ces couilles qui sont en train de se remplir, c’est tout de suite ou jamais…
Il ne faut laisser passer aucune occasion de se distraire !
Il ne faut laisser passer aucune occasion de faire plaisir ! Ça fait plaisir de faire plaisir !
C’est Julie qui prend la queue la première, très douée, elle lui fait une magnifique gorge profonde. Ça la fait saliver beaucoup, c’est vraiment une turlutte bien baveuse…
Moi je gobe les couilles l’une après l’autre, les caressant avec la langue, les travaillant délicatement avec les dents…
Je demande à Julie si ça ne la dérange pas que je le finisse en bouche. Elle valide d’un petit sourire très coquin…
- d’accord mais après on s’embrasse et tu me donneras la moitié de son sperme…
- je te donnerai tout son jus pour que tu l’avales si tu veux…
- mmmmmm
- mmmmmm
Deux perverses ? Non, deux filles qui profitent de la vie...
Aussitôt dit, aussitôt fait, même si je ne suis pas aussi douée qu’elle pour le deep throat… Je n’ai pas trop l’habitude en fait. Il vient bien, ça gicle, c’est chaud et doux dans ma bouche. Il n’y en a pas énormément mais il faut dire qu’on le sollicite beaucoup…
Je roule un sacré patin à Julie, nos langues se caressent dans le foutre d’Alain, elle avale au fur et à mesure… Chose promise, chose due !
Il est temps de manger et de boire, modérément bien sûr…
Chapitre 6 : Julie, lundi 4 septembre
Après le repas, on va prendre une glace sur la plage, c’est à moins d’un kilomètre.
Je suis habillée avec mon petit maillot brésilien et le short taille basse d’Abi, c’est ma punition.
J’ai bien remonté les lanières sur mes hanches, le maillot s’est mis dans ma chatte et me frotte le clito à chaque pas. C’est bon !
Le short, très taille basse, a plutôt tendance à descendre un peu quand je marche. Je pense qu’on voit complètement le petit triangle au dos et les spectateurs bénéficient d’un beau sourire du plombier, je n’ai même pas besoin de me pencher.
Quant au haut, réduit comme il est, mes seins s’échappent régulièrement et je les remet en place de temps en temps seulement. Abi et Alain jouent au couple, la main dans ma main ou sur le bas du dos, les fesses, ils s’embrassent goulûment de temps en en temps…
Si j’ai bien compris, je joue le rôle de la cousine célibataire qu’on emmène un peu par pitié !
On croise des tas de gens : des discrets, des surpris, des choqués, des qui profitent de la vue, des qui matent ostensiblement…
Mon sein gauche est complètement sorti de son bonnet quand on croise quatre ados, deux petits couples en fait, dans la tranche 13-15…
Les gars ont les yeux qui sortent des orbites et les filles piquent un fard ! Même si pas mal de femmes sont topless sur la plage, là on est un peu en ville, c’est pas pareil.
Je suis clairement impudique, un peu vicieuse, un peu exhibitionniste. Abi doit être contente du choix de ma tenue.
Je remet tout en place pour faire la queue chez le glacier. Un type me colle vraiment les fesses, je m’écarte. Il recommence… Je m’écarte encore, il recommence et je sens son sexe durci entre mes fesses. Stop !
Je suis les conseils d’Abi, « ne jamais se laisser faire », et je place une main dans mon dos, saisis ses couilles, serre un bon coup et tourne le poignet. Il renonce. Maintenant il n’a plus envie de glace, il en a besoin !…
On va s’asseoir au bord de l’eau pour déguster nos glaces, zut j’ai du sable plein les fesses… Abi est morte de rire et Alain se lève, me relève, enlève mon haut de maillot et entreprend de m’essuyer les fesses avec… Je me demande s’il n’a pas des idées en tête !
Chapitre 7 : Abi, mardi 5 septembre
Ce soir après une nouvelle journée de stupre, on a décidé d’aller manger dans une pizzeria.
Je ne vous raconte pas la journée mais je voudrais dire que, c’est la baise en trio dans la piscine que j’ai préférée !
Ça s’est fini, moi assise tout au bord de la piscine, posée sur les coudes, avec Julie qui me lèche le minou en laissant traîner ses doigts là où ça me fait chaud, elle-même prise comme en levrette par Alain qui lui tient fermement le cul !…
Je sais, c’est un plan à trois très classique, juste adapté à la piscine…
- hé les filles, on essaye de jouir tous en même temps ?
- ho ouiii !
- je vous préviens quand sa bite ne me laissera que dix secondes
- et si je ne suis pas prête ?
- dis le, je ralentirai
- si tu contrôles, je contrôlerai aussi !
- de toutes façons, on fera pour le mieux !
Et on l’a fait ! A un moment, je me suis mise à couler davantage, Julie a prévenu Alain que c’était bon pour elle, il a alors donné quelques coups de queue qui étaient de véritables coups de boutoir, Julie avait du mal à me lécher tellement elle était secouée.
Ça m’a fait partir, puis Julie et Alain ont été out dans les trois secondes sans que je sache qui était le premier des deux !
Après ça, on a fait une bonne sieste, tranquille mais un peu coquine quand même à certains moments… Mais on veut tous se réserver pour ce soir...
Avant de partir au restaurant, Alain m’offre quelque chose que je ne connaissais pas, ça ressemble à un œuf. Il a offert le même à Julie. Le mien est rouge, le sien bleu.
Il me montre qu’il peut le faire vibrer depuis son téléphone, en Bluetooth… Il peut le faire vibrer plus ou moins fort, plus ou moins vite.
Je comprend vite où ça se met ! Je me caresse, ça le fais bander, ça me fait mouiller et je rentre l’objet dans ma fleur. Il le met en marche doucement pour le tester. C’est plutôt agréable, ça me plaît !
- tu as vu le cadeau d’Alain ?
- oui, ça me va à ravir et ça me ravit !
- moi aussi, c’est bon…
- je me demande ce que ça va donner au resto !
- sûr qu’il va faire son petit vicieux !
- sûr qu’on est parties pour bien en profiter !
Je m’habille un peu, la même tenue que lors de ma première soirée chez Julie et Alain il y a un an, si vous en souvenez, mais sans string en suivant la suggestion d’Alain : pas de culotte pour les filles ce soir…
Je rappelle qu’à cette soirée, je portais un top lycra noir très transparent et décolleté jusqu’au nombril, porté avec un short coupé comme un tanga, la moitié des fesses à l’air, ce qui, pour un short est vraiment rare...
Je me dis que l’œuf va me faire mouiller mon short, que ça se verra, que j’aimerai ça et que c’est donc moi qui vais faire un peu d’exhib ce soir.
Julie met un short moulant et le petit débardeur side-boob, elle est aussi sans culotte, Alain nous a demandé la même chose à toutes les deux !
Si elle part en fontaine comme ça lui arrive assez souvent maintenant, elle devra faire semblant de renverser son verre d’eau, sinon !…
J’ai vraiment envie de voir ça !
Pendant la descente vers le bord de mer, il joue un peu avec nous. Il nous a mises toutes les deux sur la même télécommande : on subit le même traitement !
J’avoue que j’ai un faible pour le mode aléatoire : fréquence et intensité variables au hasard !
Je lorgnele short de Julie : comme je le pensais il est déjà bien mouillé et je m’accroupis pour lui faire un petit baiser sur sa chatte et frotter une seconde son clito avec mon nez.
On s’installe, Julie à coté d’Alain et en face de moi, on consulte la carte et le serveur arrive pour prendre la commande… Alain prend son téléphone… Échange de regards fripouilles entre filles, ça craint ! Il envoie une forte vibration...
Julie assume parfaitement, l’air de rien malgré la trépidation maximale à ce moment, alors que mon oeuf me sexoue tout le corps et durcit mes tétons qui menacent de percer le fin lycra noir, le serveur n’en manque pas une goutte :
- pour vous mademoiselle ?
- ce sera une reine, avec un œuf dedans, pas trop cuit !
J’ai plus de mal qu’elle à commander comme si de rien n’était :
- et pour vous ?
- une p-pimen-tée
- avec un œuf ?
- n-non j-j’en ai d-dé-jà… N-non, n-non m-mer-ci, p-pas d-d’oeuf...
Le serveur prend la dernière commande, nous laisse et Alain coupe tout ! Un peu de calme.
Mon calvaire est terminé, ouf. Je ne sais pas comment a fait Julie ! Cette salope se contrôle parfaitement. Je suis écœurée !
Alain relance, je m’accroche à la table, excitation insupportable et ma petite mort survient, que j’arrive à contrôler… Enfin pas complètement vu les yeux rieurs de Julie qui frotte maintenant ma chatte avec son pied !
Les deux en face s’embrassent, la main d’Alain sur l’entrejambe de Julie, ce qui lui arrache un petit cri de contentement. Petite mort également pour elle ! Chacune son tour !
Tant à l’apéritif que pendant le repas, Alain se délecte de sa domination et intervient surtout lorsqu’on porte un verre à nos lèvres.
Là encore Julie s’en sort mieux que moi…
Je renverse une partie de mon verre lors d’une attaque aléatoire maximale. Je me sens de plus en plus concupiscente, j’aurai du mal à finir ma pizza. L’œuf est plus piquant que ma pizza pimentée…
Après quelques minutes plus calmes, Alain repasse en aléatoire au maximum… C’est reparti pour un tour ! Je jouis en femme fontaine. Moi qui craignait que ce soit le cas de Julie… C’est pas elle, c’est moi ! Pourtant ça ne m’arrive quasiment jamais...
Je me remet. En face, ils ont compris… Alain remplit mon verre d’eau que je renverse sur ma chaise et par terre.
Pour le reste du repas, Alain coupe tout, on en a assez vu pour ce soir !
Chapitre 8 : Julie, mercredi 6 septembre
Le lendemain, c’est notre dernier jour à trois, on se lève tard, on traîne un peu, c’est particulièrement calme le matin.
J’ai dormi avec Abi cette nuit et vers 10 heures, Alain nous a apporté du café. C’est sympa d’avoir du café au lit…
Puis il s’installe sur le dos entre nous deux. L’air innocent, il veut qu’on s’occupe de lui…
Nos mains, nos bouches jouent avec sa bouche, ses tétons, ses fesses, son sexe et ses couilles…
Nos seins et nos sexes se frottent à lui, on est tous les trois rapidement prêts.
Abi le monte en amazone et je m’assied face à elle pour qu’il me lèche le minou.
Je l’embrasse, on se cajolent les seins, titillent les tétons et le clito…
C’est mon trio préféré : chacun se fait plaisir avec sa bouche et son sexe !
Ce matin, c’est très lent, très intime, très tendre et affectueux…
Notre jouissance n’en n’est pas moins intense et profonde...
Après le déjeuner, on décide d’aller à la plage.
Je met le brésilien que vous connaissez bien maintenant, un débardeur basique et un short assez large.
Abi sort un une pièce string dos nu, qui ne recouvre absolument rien de ses fesses, le cul à l’air pour utiliser son expression. Il présente une belle découpe sur le coté et un décolleté très plongeant…
Je n’ai jamais vu un maillot une pièce avec aussi peu de tissu !
Comme c’est un beau lycra, malgré la forme, on devine plus sa poitrine qu’on ne la voit !
Je me demande bien où elle a pu trouver ce une pièce là ! On peut en trouver sur les sites chinois pour quelques euros, mais pas avec cette qualité là.
Elle l’assortit à son short taille basse, celui qu’elle m’avait prêté pour aller manger une glace. Résultat, ses fesses et ses hanches sont bien découvertes et vont clairement faire bander tous les ados mâles qu’on va croiser ! Et peut-être aussi exciter les filles !
On étale nos serviettes et se met en maillot. J’enlève mon haut et Abi roule le sien, même s’il n’y a pas grand-chose à rouler !
Alain nous met de la crème solaire sur tout le corps, sur le dos bien sûr, mais aussi les fesses et la poitrine. Même si les seins et le popotin, on pourrait le faire nous-même, on le laisse faire, c’est plaisant.
J’imagine que ça lui plaît aussi, en tous cas, il accomplit sa tâche avec beaucoup d’application. Difficile de savoir s’il se raidit avec son maillot de bain large et sa position.
Quand il a terminé, c’est à nous de le crémer… On s’y met ensemble, coté pile d’abord puis coté face. Là, il a du mal à maîtriser son émotion… Abi, jamais en retard d’une caresse, glisse fugitivement sa main dans son maillot pour lubrifier lui son chibre… Puis elle redevient sage, on est quand même sur la plage, il y a du monde ! Au passage, d’un petit signe, elle me confirme qu’il bande comme un taureau...
On s’allonge, moi, Abi et Alain dans cet ordre. Au bout d’un moment, un type, une bonne trentaine, plutôt beau gosse, qui nous mate depuis un petit moment, vient m’inviter à me baigner… Ha, la cousine célibataire !...
- désolée, vous êtes mignon mais je ne me baigne qu’avec des femmes…
J’en profite pour flatter le mont de Vénus d’Abi… Celle-ci me renvoie l’ascenseur et caresse ma chatte ! Je fais attention de ne pas trop bouger, sinon...
- je suis désolée aussi, c’est la même chose pour moi !
Abi m’embrasse à bouche que veux-tu...
Alain tient à achever notre Brad Pitt de passage :
- moi, par contre, je vous trouve mignon, on peut aller se baigner tous les deux si vous voulez !
Je pense qu’il n’est pas prêt d’oublier ce râteau !
Nous voilà de nouveau tranquilles !
On va se baigner tous les trois, l’eau un peu fraîche nous rend encore plus désirables, mamelons dressés fièrement. Nos mains se promènent sous l’eau explorant toutes nos zones érogènes.
Alain nous pénètre furtivement chacune notre tour, moi en face à face, Abi jambes bien écartées, un peu penchée en avant, maintenue par les mains d’Alain qui tiennent fermement sa croupe.
On n’insiste pas, on est quand même en public ! Justement, comme il y a du monde pas très loin, n’en faisons pas trop !
Satisfaits, nous retournons sur nos serviettes prendre le soleil.
Nous rentrons assez tard à la maison pour nous câliner tendrement sur le plus grand des deux lits.
Demain, Abi retrouve Stéphanie et nous profiterons de la vie en couple pour notre plus grand plaisir…
Comme c’est un lit d’un mètre quatre-vingts, on décide de dormir à trois cette nuit...
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