Histoire de Julie

Julie reçoit une collègue chez elle... Elle est complètement surprise à son arrivée et cette rencontre va amener beaucoup de belles surprises...

Proposée le 17/02/2024 par Chris2004

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Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman

Scène 1 : Julie et Abi



Moi, c'est Julie, 28 ans, en couple avec Alain depuis quelques temps... On s'entend bien, dans la vie comme au lit... ou ailleurs ! Lol...

On me dit jolie, c'est vrai que je suis assez grande et mince...

Professionnellement, je suis cheffe de projet dans une multinationale...



Mais aujourd'hui je suis malade, un air de grippe, au milieu du mois de juin alors qu'il fait beau et chaud, il faut le faire ! Je suis restée chez nous toute la journée en jogging informe et sweat capuche, ça me change du bureau où la tenue de travail des filles est plutôt stricte : tailleur pantalon noir et chemisier blanc... Ma seule fantaisie vestimentaire au travail est de mettre un string dessous, mais c'est aussi pour que les mecs qui matent ne voient pas la marque de la culotte...

Que voulez-vous, même dans un milieu évolué comme on dit, les mecs matent...

À propos de mec, le mien, Alain, est en séminaire, il ne rentre que demain soir.



En milieu d'après-midi, ma collègue Abigaïl, cheffe de projet comme moi, m'a appelée, elle veut passer me voir, nos domaines sont proches et on doit se coordonner sur un dossier délicat. J'ai l'habitude de l'appeler Abi, après tout elle est un peu plus jeune que moi, je dirais 25 ans environ. Déjà cheffe de projet à son âge, en plus d'être très mignonne, un peu plus petite que moi mais sans doute un joli corps, elle est plutôt douée, intellectuellement parlant...



Plutôt douée et très mignonne, des yeux à faire craquer le pape, petit visage rond, fossettes et nez retroussé ! Visiblement au bureau il y a plus d'un mec qui voudrait se la faire, ceci dit je ne l'ai jamais vue quitter une attitude purement professionnelle.



On sonne, j'ouvre. Je m'attendais donc à la trouver en tenue de travail, la même que la mienne, hyper stricte. Grave erreur, elle porte un tee-shirt très moulant sans soutif, superbe poitrine, ce que j'avais pas soupçonné, des beaux demi-pamplemousse, tétons qui pointent fort, et un short ultra court qui dévoile même le haut des cuisses et le bas des fesses !

Elle voit mon étonnement mais fait semblant de rien, deux bises sur les joues, quoiqu'il me semble que sa main reste un chouïa trop longtemps et un peu trop basse dans mon dos, à peine au dessus des fesses...



Je m'interroge, et ça me fait un peu drôle, je ne suis jamais sortie avec une fille, qu'est ce qu'elle fait ? J'ai rêvé ou quoi ? Bizarre... Pourtant sa tenue et sa main qui traine un peu sont des indices assez clairs !



— t'es super sexy comme ça !

— qu'est ce que tu veux, on n'est pas au boulot...

— attend une minute, je vais passer autre chose que ma tenue de malade !



Je redescends rapidement, tee-shirt XL et débardeur. J'ai mis un soutif basique quand même.

On boit un Coca 0 en échangeant sur le dossier pendant une bonne heure.



J'en ai quand même bien profité pour regarder ses seins, pleins et ronds, visiblement naturels...



On est OK sur le dossier, il est temps de se quitter, un bisou sur chaque joue et Abi ajoute un petit baiser plus long et tendre dans le cou puis sur le lobe de l'oreille... Cette fois-ci, plus de doute et c'est moi qui laisse ma main un peu trop longtemps et un peu trop bas dans son dos. Je n'aurais peut être pas dû, elle approche ses lèvres des miennes, un bisou, trois bisous très rapides, puis un baiser plus coquin, elle entrouvre ses lèvres, je ne sais pas ce qui me prend, j'entrouvre les miennes, je réponds à son baiser, nos langues se trouvent, nos corps se collent...



Elle passe sa main dans mon dos, sous le tee-shirt et dégrafe mon soutif... Elle prend un de mes seins à pleine main et le caresse en le pinçant légèrement...

Pendant ce temps, je lui pince et titille ses tétons, je suis une pro, Alain est très sensible à cette caresse, il ne se contrôle plus quand je les suce, les pince et mordille...

Elle enlève son tee-shirt et le mien, en profite pour virer le soutif, je lui suce le mamelon droit, l'aréole est vraiment toute petite, mamelon qui est maintenant parfaitement dur, elle me rend la pareille, mes seins sont plus en forme de poire mais pointent comme jamais.



Visiblement Abi est lesbienne et je comprends mieux son attitude avec les mecs au bureau.

Mais moi, qu'est ce que je fais ici avec une fille, jamais j'aurais pu imaginer que ça m'arrive...



Elle fait glisser son mini-short et enlève le mien. On se retrouve toutes les deux en string, le mien est classique, noir, plutôt tanga ; au toucher le sien est petit, en T derrière, je me recule pour le voir devant : mon dieu, je n'avais jamais vu de string aussi petit, je ne pensais même pas que ça pouvait exister... C'est même pas un cache-sexe ! Comment peut on porter ça ?



Elle mouille ses doigts et passe sa main sous le mien pour caresser doucement mon clito, je lui rends la pareille quoique passer la main sous son mini-micro-string est un bien grand mot... Son clito réagit immédiatement et tout son corps ondule, se tend, se détend, je glisse deux doigts dans sa foufoune, elle est bien mouillée et ça rentre tout seul... Pendant ce temps elle s'occupe toujours de mes seins avec ses mains, sa bouche, c'est un peu hard, un peu douloureux mais qu'est-ce que c'est bon ; en plus, un peu plus petite que moi, sa hanche me caresse l'entrejambe, c'est bon, je suis toute mouillée aussi...



Je l'emmène dans la chambre en lui faisant monter l'escalier la première, je me régale de ses fesses découpées par deux fines ficelles noires, elle le sent et monte lentement en se déhanchant... Elle veut que je mate son cul, pas d'autre possibilité !



Arrivées à l'étage, elle vire l'objet de ma fascination, le jette dans le salon...

— c'est cadeau, comme ça tu me regarderas au lieu de regarder ma culotte !

Tant qu'à faire elle enlève aussi le mien... On est toutes les deux toutes nues !

— on n'a pas besoin de ça pour être heureuses !

Sur le lit, elle prend les choses en main m'allonge sur le dos et commence un 69 d'enfer, mon dieu, qu'elle lèche bien... Je m'enhardi, je la pousse à libérer ses instincts !

— vas-y, mets ta langue plus profond, suce bien mes lèvres, mordille mon clito, oui... Oui... Ouuuiiiiiii...

J'ai joui comme une belle, comme une bête, qu'est ce que c'était bon...

À mon tour de passer au dessus, je suce, aspire, titille son clito, deux doigts dans sa chatte, bien profond, deux doigts qui cherchent son point G, je le trouve... Elle explose !

— ooouuuuuuiiiiiiiii !

Je n'avais pas imaginé qu'une fille puisse mouiller autant en jouissant...



Pourvu que les voisins ne sachent pas qu'Alain n'est pas là...

On est trempées, en sueur et mouillées !

Douche obligatoire et coquine, en mode tendresse après le hard, longs baisers, effleurements des corps...



— il faut que j'y aille, je suis en retard !

Elle descend, enfile son short et son tee-shirt et me roule un super patin d'au revoir.



Je ramasse ses 3 grammes de dentelle...

— et ça ?

— c'est cadeau, je te l'ai dit !

Je rougis...

— dans deux jours au boulot !

C'est fini, elle est partie...



Scène 2 : Julie



Je suis toute nue dans le salon, son mini-string à la main...

Tant pis, je le passe, c'est rigolo, le bas du triangle me frotte le clito quand je marche. Une drôle d'impression pas désagréable du tout ! Après tout il me va ! Je marche par plaisir, toute excitée... Deux petites pressions sur mon bouton et je jouis de nouveau, très fort, secouée de spasmes, je dois me mettre à genoux... Comme c'est bon, mais qu'est ce qui m'arrive ?



Scène 3 : Julie et Alain



Au fait mon air de grippe semble bien passé, le lendemain matin, je fais la lessive, y compris mon petit cadeau que je ne sais d'ailleurs pas comment accrocher sur le séchoir, je travaille de nouveau notre dossier en arrivant quand même à me concentrer.

L'après midi je sors faire des courses, Alain arrive ce soir, je dois l'accueillir ! Alain fait un bon mètre quatre vingt, 75 kg, musclé et endurant, il a même couru des marathons... Plutôt beau gosse, 32 ans... Responsable informatique.



Je ne sais pas ni pourquoi ni comment, en plus, sans doute en pensant à lui mais d'un autre coté il fait chaud, j'achète donc une petite robe jaune paille, en crêpe de nylon très léger, une robette sexy et courte, moulante à souhait... Pas aussi courte que le short d'Abi, mais pas loin !

Je la passe pour accueillir Alain, avec le cadeau d'Abi et rien d'autre sur moi, il arrive enfin et me découvre, un peu surpris quand même !

Il ne m'a jamais vue sans soutien gorge, enfin je veux dire habillée et braless...

Ma robe est moulante à souhait, mes tétons sont bien érigés et pointent dur, mes aréoles assez foncées, je suis très brune, lui sautent aux yeux...

Je suis assez, très loin de la façon dont je m'habille habituellement, même pour l'accueillir, même en tête à tête...

Il m'embrasse, s'aperçoit qu'en plus ma robe est dos nu, ça l'incite à prolonger son baiser et le transformer un french kiss beaucoup plus fougueux...



— quelle belle robe, elle est magnifique, elle te va comme un gant !

— comment tu me trouves, sexy ? Très sexy ? Bandante ? Pute ?

— oui, non pas pute bien sûr...

— vas-y, lâche-toi, comment tu me trouves ? Dis vraiment !

— bandante, super bandante...

— hé bien c'est cadeau !



Je lui enlève sa veste et sa chemise et, directe, lui mordille les tétons que je sais très sensibles surtout le droit. Il bande déjà comme un taureau, les dix dernières minutes l'ont transformé en ado regardant un porno pour la première fois !

J'en suis toute mouillée, vraiment mouillée, il faut que serre les fesses !

Il veut défaire sa ceinture...

— non, non, non... C'est moi qui fais ! C'est moi qui dis...



Ça doit lui faire quand même un peu mal serré comme ça dans son jean ! Il ne sait plus comment se mettre...

Je l'excite encore quelques minutes...

— maintenant tu peux enlever ma robe si tu veux...

Aussitôt dit, aussitôt fait... Je me colle à lui, il ne doit pas voir mon string-cadeau tout de suite !

Je lui roule un patin d'enfer, il est surpris, je suis plus modérée habituellement même si j'adore les french kiss bien appuyés ! Il a l'air d'aimer, il est de plus en plus serré dans son jean, ça se voit à sa tête. Je prends comme je peux l'objet en main au travers de son futal sans oublier de lui masser un peu ses boules... Quelques aller-retour pour le faire bander encore plus, je me recule et avance un peu pour lui montrer mon dos, mon cul et mon cadeau vu de derrière !



— oulla, ton string ! Je ne l'ai jamais vu, je me trompe ?

Effectivement il ne l'a jamais vus, d'un autre côté, il n'y a pas grand chose à voir : deux fines ficelles noires bien tendu par mes petites rondeurs !

— tu l'aimes ?

— mmmmmm

— on ne bouge pas ! Nooonnn !

— c'est mon deuxième cadeau ?

— c'est mon cadeau !

Il est loin d'imaginer exactement ce que ça veut dire...



Je mets mes mains sur mes hanches, j'écarte un peu les jambes, je me déhanche un coup à droite, un coup à gauche... En fait je l'excite en remuant mon cul, jz ùe comporte en vraie salope... Appelons un chat un chat !

Je me retourne, toujours aussi provocante et sexy face à lui, épaules en arrière pour faire ressortir ma poitrine même si elle n'en a pas vraiment besoin, je le regarde dans les yeux, un regard coquin et un peu pervers...



— tu l'aimes mon string ?

— mmmm

— tu trouves qu'il me va bien ?

— mmmm

— il n'est pas trop petit ?

Il rougit comme un ado ! Comme c'est facile a manipuler un homme !

Maintenant j'avance vers lui lentement, toujours en balançant les hanches, poitrine en avant...

Il n'en revient pas, ce string fascine, charme, allèche et attise son regard, il n'en a jamais vu de semblable, bandé comme il est, ça doit lui faire encore plus mal sous la ceinture...

Je m'arrête tout près de lui.

— vas y, profite !

Il ne se fait pas prier, directement deux doigts dans ma chatte, bien profond, et son pouce appuie sur le clito, il lubrifie son pouce dans ma chatte pour exciter mon bouton plus efficacement...

Il fouille, caresse, frotte, torture, va et vient...

— ouuuiiiiiii...

C'est trop, je craque, je jouis, pleine de tiraillements et de spasmes, toute tremblante, je ne tiens plus debout, obligée de me laisser tomber sur le tapis...

C'est violent, hard, aigu, sec et mouillé à la fois...



Je me remets sur les genoux, après tout, je me retrouve dans la bonne position pour une fellation, en trois secondes, je libère son sexe, je ne l'avais jamais vu aussi gros, je lui fais une gorge profonde en le regardant effrontément, je bave comme une bête, mes aller-retour sont rapides, ardents, limite agressifs...

Il est encore plus surpris, c'est ma première gorge profonde, je lui ai toujours dit que je n'aimais pas ça !

Je le fixe, à la fois salope et soumise, perverse et candide...

Il jouit rapidement, me balançant un gros jet de sperme dans la bouche, je lui montre sa semence, en fais couler un peu sur le menton et j'avale...

Une vraie porn-star ! Sauf que je ne joue pas la comédie, oh non !

Dire que d'habitude je me retire avant qu'il gicle, comment voulez vous qu'il comprenne ?...

Je me relève et l'embrasse goulûment, je veux qu'il sente le goût de son foutre, je n'ai pas tout avalé...



On s'installe tendrement sur le canapé pour se remettre de nos émotions...

Une pizza deliveroo plus tard, on s'est couchés en cuillère et on a dormi comme deux bébés...



Le lendemain matin, on s'est plus effleurés que caressés puis on a fait l'amour doucement tendrement, fait monter le plaisir mielleusement jusqu'à jouir l'un dans l'autre quasiment en même temps...

Douche, petit dej et départ pour le boulot...



Scène 4 :Julie et Abi



En arrivant, j'ai rencontré Abi, en tenue de travail, BCBG très classique...

— bonjour, tu vas bien, tu es remise ?

— oh oui, ça va, un petit coup de chaud avant-hier en fin d'après midi, mais ça fait du bien de transpirer !

— oh oui, c'est sûr, on transpire un bon coup, une bonne douche et après ça va bien !

— à qui le dis-tu !



C'est resté comme ça au travail, deux cheffes de projet BCBG qui échangent des banalités...



Jusqu'au jour où on sait qu'on va devoir clore un dossier délicat, on finira tard, seules au bureau...

— bonjour Julie, c'est toujours OK pour ce soir ?

— bien sûr, il faut qu'on avance sur ce dossier, Alain sait que je rentrerai très tard...

— on se retrouve à cinq heures dans mon bureau ?

— super, ça marche...

J'arrive pile à l'heure dite, on bosse sérieux grave et on a fini vers un bon huit heures.



— on a bien travaillé, on a droit à un petit réconfort, non ?

Et elle s'avance sur son siège, remonte sa jupe, enlève sa culotte et met les jambes sur son bureau. Une invitation limpide au cunni !

Tiens elle a mis des bas avec un porte-jarretelles...

Je ne me précipite pas, je minaude, passe une main sur sa poitrine, embrasse un lobe d'oreille, taquine une jambe, flirte avec le haut des bas, passe une main dans son entrejambe...



Mais je suis surprise !

— dites donc madame Abi, ça n'est pas très mouillé tout ça, vous n'êtes pas prête !

Elle se mord les lèvres, elle le sait.

— attendez, je vais vous aider, vous allez voir, on va vite remédier à ça...

Je me dessape, en deux temps trois mouvements, je suis en string et bas auto-fixant...

Je minaude encore, présente un téton à sa bouche, lui prend la main pour qu'elle me caresse un sein, une cuisse, une fesse, l'autre fesse... Je suis comme une abeille qui l'échauffe, l'excite, l'aguiche, ma main rejoint son entrecuisse, jouant avec sa vulves, ses lèvres, son clito...



Maintenant, c'est parti elle baigne dans son jus

— voilà qui est beaucoup mieux, ma langue va glisser sur votre bouton et mes doigts vont vous défourailler jusqu'au point G... C'est pour ça que vous deviez être bien mouillée !



Je me glisse sous le bureau et lui donne du plaisir, prends du plaisir en en donnant... Mes doigts savent trouver l'entrée de la jouissance, elle voudrait se retenir mais n'y arrive pas, elle jouit, ma main est trempée...



— je me suis bien rattrapée mademoiselle Julie ?

— plutôt oui, lèchez mes doigts et vous verrez vous-même...

— à moi de m'occuper de vous maintenant...



Elle commence par contempler mon "very tiny g-string" blanc virginal, mon très petit micro-string si vous voulez, aussi petit c'est introuvable en boutique, par contre sur internet on trouve ce qu'on veut, si je vous dis qu'il est encore plus minuscule que celui qu'elle m'avait laissé en cadeau et que même Alain n'y a pas encore eu droit, vous imaginez que mon épilation intégrale est plus que nécessaire...



Elle me penche en avant, les coudes au bord du bureau, les jambes assez écartées...

— tu me plais quand tu es comme ça exhibée et offerte... Tes seins sont divins, si tu bouges ils balancent doucement, on a envie de faire le chaton et de venir dessous pour les téter...



— fais moi jouir, Abi, fais moi jouir...

— ferme les yeux, je me place à côté de toi, sens ma chatte qui se brique sur ta cuisse, sens ma main droite qui arrive par derrière entre tes fesses et cherche ton sexe...

— oui, je la sens, vas y, mets tes doigts, mets les bien profond, vas y... Plus profond encore !

— attends, n'allons pas trop vite, mouillée comme tu es tu vas jouir tout de suite et tu ne pourras même pas sentir ma main gauche qui titille ton clito, mes doigts qui le pincent, le roulent, tu les sens maintenant ? Il aime ça ton clito ?

— oh oui...

Elle s'est alors mise à bouger ses deux mains, j'ai alors senti un troisième doigt dans mon vagin qui se dilate encore quand elle roule et pince plus sauvagement mon bouton de plaisir. Puis c'est allé très vite, j'ai écarté un peu plus les jambes, un quatrième doigt et enfin sa main toute entière qui va et qui vient en moi.



Et j'explose en hurlant, tremblante, repue comblée, baisée... La première fois que je me fais fister... Combien de premières fois avec Abi ?



Elle continue encore un peu, beaucoup plus doucement, tendrement en remuant les doigts lentement...

Puis elle retire sa main, relève ma tête et se fait vulgaire.

— lèche ma main, sale fille ! Mieux que ça !

Je m'exécute.

Elle n'avait même pas eu besoin d'enlever le mini triangle sensé cacher mon intimité pour arriver à ses fins...



À deux ou trois reprises cet été, on a eu un dossier à compléter tard le soir... Je ne vous raconte pas sinon je vais encore jouir sur place !



On y explore nos corps, tribadisme et le kamasoutra lesbien !

Je vous raconterai un jour si vous êtes sages !



Scène 5 : Julie et Alain



Vous imaginez bien que, sans raconter nos ébas, je parlais régulièrement d'Abi à la maison, ma collègue sympa, BCBG, avec qui je m'entendais bien...

Alain l'avait remarqué et était content que j'ai une amie au travail... S'il savait !



— tu n'inviterais pas ton amie à la maison un soir ?

— si tu veux bien sûr, mais tu ne la connais pas !

— pas grave, tu sais bien que je m'adapte facilement aux gens, je les prends tels qu'ils sont...

— oui je sais, si tu veux je lui en parle... Tu verras, elle sait facilement nouer une amitié avec les femmes mais au bureau elle évite systématiquement les types !

— on verra bien, on ne sera pas au travail !



S'il savait ! Rien que d'imaginer Abi à la maison, ça m'excite, restons calme...



Une proposition comme cela mérite une petite gâterie. On était au petit déjeuner et je dois le branler un peu pour qu'il bande et que je puisse lui faire une fellation matinale dont j'ai le secret...

Quand il est bien raide, après avoir vérifié que j'étais bien mouillée, il s'assied sur une chaise de la cuisine et je me mets à califourchon sur lui...

Il place ses mains sur mes fesses pour accompagner le mouvement...

Pour jouir plus fort, je prends sa tête et l'approche d'un mamelon, il comprend et le suce doucement avec des petits coups de langue, il passe d'un sein à l'autre...

Nos orgasmes sont presque simultanés, il n'y a que dans les livres ou films pornos que les protagonistes jouissent toujours exactement en même temps...



Scène 6 : Julie, Abi et Alain



On est le 15 août et on attend notre invitée. Vous la connaissez bien maintenant, 25 ans environ, un peu plus petite que moi, bien faite et n'ayant, c'est le moins qu'on puisse dire pas froid aux yeux, ni ailleurs...



Le plat est prêt, je m'occupe de l'entrée et Alain du dessert, tout est calé, on se croirait au travail, je plaisante bien sûr !

Alain est en bermuda et chemise légère manches courtes, il fait chaud !

Moi, j'ai un petit short et un débardeur sur un soutien gorge sans armatures tout en dentelle et string "de combat" rouge vif assorti...



Connaissant Abi maintenant, je me demande quelle sera sa tenue, Alain ne l'a jamais vue et sait juste qu'on est bonnes copines...

Une fois arrivée, je la regarde et je ne suis pas déçue ! Jupe noire ultra courte qui couvre à peine les fesses, crop-top moulant très fin, quasi transparent, bien décolleté et très serré, qui met en valeur ses deux seins en pamplemousse et ses tétons qui pointent et semblent déjà menacer de percer le Lycra !



Alain est tout chose, ses yeux valent ceux du loup de Tex Avery, il m'interroge du regard mais que voulez-vous que je réponde ? Je feins la surprise.

Elle l'embrasse sur les deux joues, obligée de se coller à lui car elle fait une tête de moins... Je ne suis pas dupe, elle reste contre lui un peu plus que nécessaire en laissant ses seins frotter sur la chemise...

— Julie, je comprends que tu m'avais caché Alain jusqu'aujourd'hui !...



Je la savais lesbienne mais j'ai plutôt l'impression maintenant qu'elle est bi !

Alain ne sait plus où il habite... Je sens que l'air de rien il profite de la situation !



Présentations faites, on s'installe au salon pour l'apéritif. Très décontractée, elle s'installe sur le fauteuil pile face à mon chéri, moi à côté de lui.

Champagne pour nous, whisky écossais de Sky pour Alain...

La conversation est agréable, l'été, les collègues, Abi parle de son travail, ses collègues, Alain aussi mais Abi l'embraye sur ses collègues féminines, elle parle de ses vacances la première semaine de septembre, tiens on est en vacances en même temps...

Même s'il a une main sur ma cuisse, il est clair que toute son attention est pour Abi, cette garce l'a bien vu et s'en amuse, elle croise et décroise les jambes, c'est peu dire que sa jupe remonte, sa jupe est pratiquement à la taille et elle a le cul collé au cuir du fauteuil...



Je dois aller préparer l'entrée, des coquilles Saint-Jacques juste snackées et une petite sauce à la crème fraîche et aux herbes…

— je vous laisse quelques minutes, soyez sages les enfants !

À table... J'apporte mon entrée et mon entrée est plus que remarquée, en effet j'en ai profité pour me changer, il fait très chaud. J'ai passé ma petite robe jaune paille qui a dû un peu rétrécir au lavage et qui me moule d'une façon quasi indécente...

Ma petite robe et rien d'autre... Une absence qui se voit...

C'est vrai quoi, on porte des strings pour qu'on ne voit pas notre culotte mais tant qu'à faire, sans rien, on ne voit rien !

J'ai rangé mon string rouge, tant pis !



Abi me fait un clin d'œil, met son index dans sa bouche, lui fait faire des allers-retours et fait semblant d'avaler.

Pas difficile de comprendre, elle a profité de mon absence pour pomper Alain et tout avaler vite fait...

Elle me fait un grand sourire coquin et prend l'air désolée...

Alain est tout rouge, tu m'étonnes ! Les hommes sont des grands naïfs, il n'a rien vu de notre échange !

Et dire que notre N+1 veut nous faire faire une formation sur les échanges non verbaux !



Le vin est parfait, titillé par Abi, Alain se décide un peu et nous raconte comment une secrétaire le drague au boulot au point que tout le monde le charrie...

Abi passe à l'attaque !

— elle est bien ? Physiquement ?

— oui

— dis nous vraiment, son cul, ses seins, je suis sûre qu'elle a un gros cul et des gros seins, je me trompe ?

— non pas vraiment...

— j'en étais sûre ! C'est un non qui veut dire oui ! C'est combien, bien gironde 105-95-110 ?

— 105 ?

— oui moi c'est 93-63-95, et c'est pas mon 06, ceci dit, si tu veux mon 06...

Je lui balance un coup pied sous la table...

— si tu veux mon 06, Julie te le donnera !

Et elle me rend mon coup de pied ! LOL...

— moi c'est 94-62-94, on pourrait échanger nos culottes et soutifs, personne n'y verrait rien ! Mais t'as mon 06...



Abi continue à le torturer...

— elle s'appelle comment ta copine ? Dis nous son nom !

— Vanessa

— c'est son vrai nom, on dirait un nom de pute ? Elle porte des slips ou des strings ?

— des strings je crois

— tu vois que tu la mates !

— c'est pas exprès, je le vois c'est tout...

— si tu regardais ton ordi, tu ne le verrais pas ! À moins que Vanessa soit ton fond d'écran !



Abi cherche à l'exciter encore, elle réussit à l'ébranler un peu, et vu leurs changements discrets de position, je suis sûre qu'elle le branle sous la table avec le pied...

elle se déhanche quand elle quitte ton bureau !

— comment ça ?

Je reprends la main.

— attend, je te montre

Je me lève et m'éloigne doucement avec mon plus beau déhanché, en me cambrant bien... Je reviens vers la table, poitrine en avant. Puis je repars toujours très cambrée et remuant mon cul plus que de raison, comme ma robe est très serrée, elle remonte sur ma taille, j'ai clairement les fesses à l'air...

— elle se penche parfois pour ramasser des papiers ?

— ça peut arriver bien sûr

Je prends une feuille sur le buffet, m'éloigne un peu, la fait tomber et me penche divinement pour la ramasser, surtout sans plier les genoux... S'il en doutait encore, il sait que je n'ai pas de culotte !

— comme ça ?

— un peu bien sûr mais elle est habillée !

— je suis habillée aussi il me semble !

— méfie toi Julie, Alain bave sur tous les culs qui se balancent... Même, et peut-être surtout les gros postérieurs, il aime les grosses fesses !



Pendant tout ce temps, Abi frotte ostensiblement son pied sur le sexe d'Alain, il n'y a qu'à voir sa tête et leurs petits mouvements... Complètement out il croit que je ne vois rien !

Elle continue...

— il y en a qui l'ont essayée au bureau ? Elle bouge bien quand elle baise ?

— oui parce que, même avec un gros cul et des gros seins, si elle fait l'étoile de mer, c'est pas drôle pour le mec...

— moi on m'a toujours dit que je bougeais bien...

— et tu trouves que je bouge bien, tu me le dis souvent, dis le à Abi, surtout en Andromaque, là je contrôle, tu aimes te laisser un peu dominer...



Abi est partie pour conclure... Mais je l'arrête d'un petit signe...



On a fini le tagine à l'agneau servi simplement tiédi vu la chaleur. Alain tu vas nous préparer ton dessert ?



Scène 7 : Julie et Abi



On se retrouve toutes les deux...

— il doit faire sa chantilly, il en a pour un quart d'heure

— moi, j'ai fait monter sa chantilly en cinq minutes !

— Abi, allons...

— ben quoi, c'est pas vrai ?



On s'installe sur le divan, au point où on en est, je lui enlève top-crop et jupette, j'enlève ma robe et je prends les choses en main. Je suce, mordille, croque ses tétons en la doigtant, son string ne gêne pas, mini-triangle, liens invisibles et perles tout le long de la fente !

Elle démarre au quart de tour et a bientôt un bel orgasme, ensuite je me satisfais toute seule et on s'allonge l'une contre l'autre... On ménage nos forces, on sait toutes les deux que la soirée n'est pas terminée !



Scène 8 : Julie Alain et Abi



Alain arrive avec sa tarte tiède à la chantilly et nous demande de passer à table, Abi reprend sans place...

— attendez moi une minute, je ne vais quand même pas manger toute nue, je vais passer quelque chose...

Alain paraît un peu rassuré, sauf que je reviens vêtue de mon seul string rouge de combat et je m'installe tranquillement à ma place...

Il est en train de manger un dessert avec deux filles en mini-strings

Abi fait tomber, volontairement à mon avis, un peu de crème sur un sein que je suis obligé de lui lécher sinon ça tache, j'en profite pour laisser trainer ma main entre ses cuisses qu'elle serre...

— tu es prisonnière, il faut lécher mieux que ça...

Je suis obligée de m'exécuter ! Vous auriez vu la tête de mon mec !



Sans se concerter, on se lève et déshabille le pauvre Alain qui n'a pas l'air si mécontent de la situation. Je l'embrasse goulûment et pince un téton pendant qu'Abi lui fait une fellation bien baveuse...



On le met sur le dos, Abi s'empale sur lui et je m'assieds sur son visage, on est toutes les deux face à face, on s'embrasse, se caresse les seins à pleines mains, on se mouille les doigts pour cirer nos clitoris, chacun le sien ou chacun celui de l'autre...



C'est mon premier trio mais je trouve mes marques tout de suite ! On se remue bien et j'observe le beau travail du périnée d'Abi sur la queue d'Alain... Sûr qu'elle a de l’entraînement



On échange nos positions et je vais essayer de faire aussi bien ! Alain est plutôt bon en cunni et le premier orgasme est pour Abi, je masse sévère grave les boules d'Alain dans mon dos, c'est lui le deuxième, il balance une bonne dose de sperme dans mon vagin, ça coule un peu sur son pubis et c'est à mon tour de perdre tout contrôle...



— on fait une pause café et ensuite on lui montre ce que peuvent faire d'autre deux filles et un mec ?

— ça me paraît une bonne idée...



Abi a beaucoup de bonnes idées !



— mon doudou, tu nous fais un café ?

— meahmeu...



C'est vrai il faut qu'on le libère, on est toujours assises dessus !



Scène 9 : Julie et Abi



Je me mets à quatre pattes, bien cambrée, jambes assez écartées, Abi vient derrière moi, frotte son sexe sur un de mes talons, m'embrasse les fesses et me caresse doucement en attendant le café. On est bien en osmose, décidées à ne pas perdre une minute de plaisir...



Scène 10 : Julie Alain et Abi



Alain revient avec le café et contemple le spectacle, visiblement il apprécie beaucoup...

Abi s'assied sur le canapé et cette fois c'est moi qui me pose sur une de ses jambes, chatte sur son genou...



Il est tard, ce n'est plus l'heure du sexe débridé, on termine la soirée tranquillement. Abi me fait un cunni pendant qu'Alain la prend en levrette. Les mouvements sont plus tendres et doux, ça n'empêche pas le plaisir de monter. C'est moi qui ait un orgasme la première, pui Abi et enfin Alain jouit en elle...



Repus, on s'allonge tous les trois. Abi et moi portons toujours nos strings, perles pour l'une, rouge feu pour l'autre...



Abi doit partir, les baisers de départ sont langoureux, des baisers d'amants... Demain est un autre jour !



Scène 11 Julie et Alain



Le lendemain matin, on se réveille un peu à la bourre, il faut qu'il aille au boulot assez tôt, moi c'est plus cool, je suis en télétravail.



— comment tu as trouvé la soirée, elle est sympa ma copine !

— très sympa...

— comment tu la trouves, physiquement

— elle est bien

— c'est tout ? Dès qu'elle est arrivée pourtant, tu l'as matée comme un taureau en rut...

— un peu oui, mais elle est très sexy, c'est normal

— quand je préparais l'entrée, vous avez parlé de quoi ?

— de tout et de rien, je ne me souviens plus

— peut être que vous n'avez pas beaucoup parlé ?

— oui, je ne me souviens plus...

— c'est une fille bien élevée, elle ne parle pas la bouche pleine...

— pourquoi tu dis ça ?

— ne fais pas l'idiot, pendant que je préparais l'entrée, tu bandais à mort et elle t'a sucé jusqu'au bout et avalé ton foutre...

— mais c'est elle qui…

— ah, tu avoues



Je l'arrête en l'embrassant et en lui massant le sexe, sinon il va partir dans des explications foireuses...



— vous étiez deux il me semble, tu me dois une compensation.



Je le regarde dans les yeux, un regard doux et tendre, mais aussi et surtout pervers, un regard de salope...

Je l'entraîne dans la chambre, enlève ma chemise de nuit et m'allonge sur le ventre, légèrement cambrée, cuisses un peu ouvertes...



— mais Julie, tu sais que je suis pressé

— il n'y a pas de mais Julie qui tienne, prends moi, fais moi jouir et après tu arroseras mes seins avec ton sperme, et j'en veux pas seulement trois gouttes, concentre toi...

— Julie...

— exécution !



Il a compris qu'il ne pourra y échapper. S'il commence un peu à contre cœur, il se prend au jeu.

Ses caresses sont plus appuyées, le bas du dos, les fesses, les cuisses et les jambes. Puis il remonte par l'intérieur des cuisses, trouve mon sexe qu'il caline et cajole.

Je ne bouge pas, décidée à me laisser faire, même si je me cambre davantage pour l'aider, comme je suis souple, j'ai vraiment le cul en l'air ! Je suis sûre qu'il aime le spectacle...



Il s'allonge sur moi, je l'attends sans bouger, il me pénètre facilement...

Je l'accompagne maintenant dans ses va et vient, j'ondule du bassin d'avant en arrière, de gauche à droite, je sens son sexe bien gonflé dans le mien. La pression monte doucement et j'ai un orgasme long et profond, c'est une jouissance de tout le corps.



Il me retourne et me prend en missionnaire, je place quand même mes chevilles sur ses épaules, qu'il puisse me pénétrer encore plus en profondeur.

Ça me permet d'avoir un deuxième orgasme juste avant qu'il se retire pour jouir sur mes seins...

Je les masse avec son sperme abondant et crémeux, je veux sentir la baise à plein nez...



Il prend son téléphone pour appeler au bureau...

— bonjour c'est Alain...

Je tourne autour de lui, toute nue, provocante, un doigt dans la bouche, un dans la chatte, je masse mon clito sur son genou, lui fais sentir son sperme...

— oui je suis désolé, j'ai eu une panne d'oreiller...

L'oreiller, je l'ai bien vu, j'avais la tête dedans, mais la panne, non, je ne l'ai pas vu, il ment...



— alors, on ment à son patron, ça n'est pas bien monsieur Alain...

— qu'est ce que tu...

— c'est pas beau de mentir, tu me dois un autre gage...

— Julie...

— tu ne m'aimes pas ? Tu veux que je dise pourquoi tu es en retard ?

— non bien sûr

— alors on monte, je veux un 69, moi au dessus. Tu ne peux jouir qu'après moi, sinon on recommence !

— Julie...

— pas d'histoire, on y va, tu es déjà en retard...



Après une nouvelle bonne baise, j'ai une proposition à lui faire...



— on part une semaine dans la maison de mes parents dans le midi, tu te souviens ?

— oui pourquoi ?

— Abi est en vacances en même temps, on pourrait l'inviter, elle apprécierait la piscine je pense !

— c'est une bonne idée, tu crois qu'elle voudra bien ?

— je pense...

— ça me ferait vraiment plaisir...

— à moi aussi, et je lui dirai de ne surtout pas emporter de maillots de bain...

— pensez quand même à prendre vos petits strings

— c'est vrai, un rien nous habille...



On s'est souris, embrassés et il est parti travailler...

Peut être que je vous raconterai nos vacances, si vous êtes très sages !

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