Cette histoire remonte de mon adolescence chez des parents de ma mère. Il y avait souvent,à cette époque, des jeunes femmes qui venaient comme domestique contre le gîte et le couvert. Souvent issues de familles nombreuses, elles se louaient en attendant un mariage .
Proposée le 23/06/2025 par Furet
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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Cette histoire remonte de mon adolescence chez des parents de ma mère. Il y avait souvent, à cette époque, des jeunes femmes qui venaient comme domestique contre le gîte et le couvert. Souvent issues de familles nombreuses, elles se louaient en attendant un mariage.
C’était un dimanche après midi et les parents étaient partis en goguette, comme souvent. Lucie se croyait seule à la maison, et profitait souvent de ce moment pour faire sa toilette dans la salle commune, avec une simple cuvette car à cette époque, les douches n’existaient pas plus que les salles de bains, on faisait avec les moyens du bord.
Je me suis, comme je l’avais déjà fait,doucement approché par le balcon pour l’épier à travers les volets au trois quart fermés. Il fallait une ruse de sioux et il était difficile de voir les détails de son anatomie. Lucie était une belle jeune femme d’une vingtaine d’années, bien faite, jolie poitrine et fesses bien rebondies, un régal pour un ado de mon age, mais aussi une frustration….
Or, ce jour là, quelle ne fut pas ma surprise de voir Lucie fouiller dans la boite métallique où la patronne rangeait l’argent du foyer, et escamoter un billet. C’en était trop, je décidais d’entrer et de la prendre sur le fait.
- Je t’ai vu voler, la patronne va te renvoyer
- Non, c’est pas vrai, je volais pas, je rangeais
- Menteuse, je t’ai vu prendre un billet, si je le dis, tu vas comprendre ta douleur
- Ne le dis pas, s’il te plaît, je te donnerai quelque chose, ce que tu voudras.
Lucie était au bord des larmes, mais je tenais là une occasion unique d’explorer l’anatomie féminine, et j’étais bien décidé à le faire sur le champ.
- Je dirai rien si tu me montres tout et que tu me laisse toucher
- Te montrer quoi ?
- Tes nénés,ta zezette, tout ça
- Ça va pas non ? J’ai jamais fait ça, je veux pas.
- Tant pis pour toi, dans deux heures, la patronne est là et elle saura tout.
Lucie était perdue, elle prenait un risque énorme à se faire renvoyer, mais était d’un autre côté très pudique. Terrible dilemme.
- Allez, décides toi, on a pas trop de temps
- Bon, si tu me promets d’oublier….
- Oublier quoi ?
- Le billet, et que je t’ai montré, mais pas ici, on peut me voir, dans la chambre.
Nos sommes montés à l’étage, elle devant toute stressée, et moi qui admirait le mouvement de ses fesses qui allaient bientôt être offertes à mon regard.
Elle a encore hésité, en me demandant de ne pas lui faire ça, mais je suis resté inflexible.
- Bon tu regarde, mais tu touches pas !
- J’ai dit voir et toucher, sinon c’est la porte.
Elle a fini par céder, ôté sa robe, puis son soutien gorge et libéré ses deux magnifiques seins.
- Voilà, tu as eu ce que tu voulais.
- On a dit la zezette aussi.
- mais non, j’ai jamais fait ça devant quelqu’un
- Il faut un début à tout
Je sentais, malgré sa gène, que se trouver nue devant un jeune homme commençais à la troubler. Elle a fini par baisser sa culotte et s’asseoir sur le lit, jambes serrée.
- Laisse moi voir.
- C’était magique, j'ai doucement ouvert ses cuisses, comme pour découvrir un trésor, au milieu des poils une fente se dessinait, j’ai tendu ma main pour écarter les poils et glissé deux doigts sur sa fente, elle s’est tendue et a gémi.
- Tu m’as montré, je te montre moi aussi.
J’ai sorti mon sexe à quelques centimètres de son visage, dur et tendu. J’ai pris sa main et l’ai enroulée autour tout en caressant ses seins. J’ai vu que son autre main s’agitait sur ses lèvres humides, et n’ai pas pu résister ; le coup est parti sur ses seins tandis qu’elle resserrait ses cuisses dans un râle de plaisir ; nous venions de jouir tous les deux.
Elle est allée finir sa toilette, je suis resté là à la regarder en lui promettant juré craché que je ne dirai rien de cet épisode magique.
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