Voici l'histoire d'une rencontre libertine entre un couple et une belle célibataire lors d'une chaise journée estivale. J'espère qu'elle vous plaira et vous donnerez envie d'aller vous promener sur le cours Mirabeau et du faire d'agréables rencontres ????
Proposée le 4/09/2023 par Circumglobe
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
C’était un de ces soirs de l’été où il fait bon se promener dans les rues d’Aix en Provence, de flâner devant les vitrines des magasins de luxe et de s’arrêter boire un verre sur le cour Mirabeau. Val et Olivier venaient tout juste de revenir d’un voyage lointain et leur bronzage laissait imaginer qu’ils revenaient d’un pays ensoleillé.
Elle portait une petite robe légère de coton blanc, laissant deviner ses formes parfaites dans le contrejour du soleil couchant. Les plus avisés devinaient qu’elle ne portait aucun sous-vêtement et ses jolies fesses rebondissaient délicatement au rythme de ses pas. Ceux qui la croisaient se retournaient souvent pour voir si elle était aussi belle de dos que le laissait penser la courbe de ses seins dodelinants à découvert eux aussi, tétons frottant le coton tels deux petites billes appétissantes.
Perchée sur ses sandales aux semelles compensées elle avait fière allure au bras de son homme qui se délectait de l’effet qu’elle faisait aux autres. Point de jalousie entre eux, juste une complicité totale qui les amenait parfois jusqu’à partager un moment avec d’autres, femmes seules, hommes seuls ou couples libres, pour le plaisir du plaisir.
Arrivés au niveau de la brasserie des deux filles, ils choisirent une table pour y boire un verre et regarder les passants, imaginant pour chacun une histoire de vie. C’était un de leurs jeux préférés.
Val commanda deux coupes de champagne pendant qu’Olivier passait au crible les tables de la terrasse à la recherche d’une histoire à inventer. Son regard s’arrêta net sur une superbe femme dans la cinquantaine qui sirotait seule un grand verre de Spritz.
- « Regarde cette belle aixoise couverte de bijoux ma douce, penses-tu qu’elle soit heureuse dans son couple ? Elle a l’air bien triste malgré ses diamants chatoyants. »
- « Heureuse, je ne pourrais te dire mon Amour » chuchota-t’elle en lui caressant ostensiblement la cuisse tout en fixant la bourgeoise. « Mais peut-être pourrions-nous l’aider au moins à retrouver le sourire en lui donnant du plaisir ? La trouves-tu à ton goût ? »
- « Elle n’est plus toute jeune mais c’est souvent dans les vieux pots que l’on fait les meilleures soupes, du moment que les légumes sont frais ! Ma carotte est encore ferme et ton petit abricot ferait un bien bon dessert pour cette belle rombière je pense » dit-il en souriant et en lui glissant un baiser fougueux dans le cou en adressant un clin d’œil à la voisine qui rougit aussitôt.
- « Si tu allais lui proposer de boire un verre avec nous ? » renchérit-il.
Val se leva de sa chaise, lissa le bas de sa petite robe qui était monté bien haut sous les caresses peu discrètes d’Olivier, et se dirigea vers la belle inconnue.
- « Bonjour Madame, excusez-moi de vous importuner mais mon mari et moi vous observions de loin et aimerions vous inviter à vous joindre à nous pour boire un verre au lieu de rester ainsi seule. Je m’appelle Valérie» Osa-t’elle derechef en fixant l’inconnue au fond des yeux.
Celle-ci parut surprise mais soutint le regard de Valérie et après un instant d’hésitation, se leva élégamment de son siège et lui tendit la main : « Ce serait très volontiers. Je m’appelle Muriel et je suis en effet souvent seule depuis le décès de mon époux, j’apprécierais un peu de compagnie, surtout de gens aussi charmants que vous. »
Les deux beautés se dirigèrent vers la table d’Olivier et Val fit les présentation sans quitter Olivier du regard. Celui-ci semblait fasciné par la poitrine de Muriel, c’en était presque gênant. Il se leva sans quitter ses seins laiteux et opulents des yeux et embrassa Muriel sur les deux joues sans autre forme de procès. Il en profita au passage pour glisser sa main droite sur sa taille, délicatement mais sans équivoque. La belle inconnue ne put retenir un petit gémissement.
- « Enchantée Olivier, merci de m’inviter à me joindre à vous, je ne voudrais pas déranger un si joli couple cependant, vous avez l’air si complices ! »
- « Vous ne nous dérangez pas le moins du monde sans quoi je n’aurais suggéré à Val de vous inviter. Asseyez-vous entre nous deux et faisons connaissance. »
Muriel ne se fit pas prier, attrapa un siège libre à la table d’à côté et le glissa entre ceux des deux complices malicieux.
La conversation s’engagea rapidement, Val et Olivier revenant du Bélize, un pays que connaissait bien Muriel pour y avoir travaillé quelques années auparavant. Dans le feu de celle-ci (la conversation), les mains d’Olivier frôlèrent plusieurs fois les cuisses de Muriel et Val, pour ne pas être en reste, alla même jusqu’à presser la sienne contre celle de leur nouvelle amie. Plus aucun doute n’était permis pour Muriel, ce joli petit couple avait envie d’elle.
Elle commençait elle-même à être excitée par leur petit jeu et sentait que son tanga devenait de plus en plus humide.
Elle leur proposa de but en blanc de monter terminer cette agréable conversation chez elle, à deux pas du cour, en haut de la rue Nazareth. Ils acceptèrent immédiatement en lui souriant avec gourmandise et après avoir payé l’addition, se dirigèrent d’un pas décidé vers la rue Nazareth.
Arrivés au pied de l’immeuble où habitait Muriel, un bel immeuble cossu du XVIIIème siècle, Olivier se proposa d’aller acheter une bouteille de champagne au Monoprix du coin pendant que ces dames montaient à l’appartement de Muriel et continuaient de faire connaissance. Elles acceptèrent volontiers en riant légèrement à l’idée de se retrouver seules en tête à tête pendant un moment en attendant son retour.
Olivier pris le chemin du Monoprix pendant que Muriel accompagnait Val vers son appartement. Celui-ci était au troisième étage de l’immeuble cossu et la porte à peine refermée derrière les deux belles, Muriel se retourna vers Val et lui glissa :
- « Il est charmant ton Mari et toi tu es une femme comme je les aime, franche et magnifique, je suis contente de vous recevoir chez moi. J’espère que vous ne trouvez pas mon invitation inconvenante, je ne voudrais pas passer pour celle que je ne suis pas mais la solitude me pèse et il y a si longtemps que je n’ai pas autant ri ! »
- « Ne sois pas timide Muriel, c’est nous à qui avons été un peu trop entreprenants je pense, mais tu nous a tapé dans l’œil à tous deux et ce moment en terrasse avec toi fut très agréable » lui répondit-elle en s’approchant d’elle. Elle la pris par les mains et la serra contre elle, tétons contre tétons, et l’embrassa délicatement sur les lèvres.
- « Ne crois-tu pas que ton mari serait un peu jaloux s’il nous voyait ainsi alors qu’il vient à peine de nous quitter pour nous faire plaisir en apportant une autre bouteille de champagne ? »
- « Ne t’inquiète pas Muriel, j’ai vu dans ses yeux qu’il te trouvait charmante et il nous arrive de faire des rencontres passionnées, dans le respect de chacun et de chacune. Notre seule limite étant d’être ensemble dans ces moments, et il sera bientôt là »
Muriel serra les mains de Val en retour et renforça leur étreinte. Leur lèvres se soudèrent dans un élan d’ardeur et leur langues s’enroulèrent bien vite l’une autour de l’autre. Val glissa la main droite sur les fesses de Muriel en lui rendant son baiser. Celle-ci se cambra sous la caresse. Et laissa échapper un soupir.
- « Cela fait au moins deux années, depuis la mort de Michel, que je n’ai ressenti de tels frissons dans tout le corps, j’en suis toute mouillée… » susurra Muriel à l’oreille de Valérie tout en glissant à son tour ses doigts chargés de diamants sous la jupe de sa partenaire pour découvrir qu’elle ne portait rien dessous.
- « Tu avais prévu ton coup dirait-on petit cochonne ! Vous n’avez pas l’air d’en être à votre première aventure libertine en effet ! Entre dans le salon, installe-toi, je vais me mettre à l’aise comme toi.» Dit-elle en conduisant Valérie vers un vaste salon décoré avec goût.
Valérie s’installa dans un grand canapé de cuir, ôta ses sandales compensées et remonta ses pieds nus sous ses fesses, nues elles aussi.
- « Je t’attends là, prends ton temps, j’irai me rafraîchir ensuite »
Muriel lui proposa un verre d’eau qu’elle refusa en lui rappelant que le champagne était en route et qu’elle patienterait jusqu’à l’arrivée d’Olivier. Muriel se pencha vers elle et l’embrassa avec fougue avant de se diriger vers la salle de bains. Elle y enleva ses bijoux et son tailleur pour enfiler une petite robe dans le même style que celle de Valérie, sans rien dessous non plus. En enlevant son tanga elle se rendit compte qu’il n’était pas humide, il était trempé, preuve de son indicible émoi.
Alors qu’elle finissait de se préparer, la sonnerie de l’entrée retentit, annonçant l’arrivée d’Olivier. Val se leva pour aller lui ouvrir au moment précis ou Muriel sortait de la salle de bains et elles se dirigèrent toutes deux vers l’entrée. C’est main dans la main qu’elles ouvrirent à Olivier qui ne cacha pas son étonnement :
- « Quelle belle surprise ! Vous n’avez pas perdu de temps mesdames, et habillées de façon si semblable, on dirait presque des sœurs jumelles. » s’exclama-t’il en fermant la porte derrière lui.
Il suivi les deux femmes jusqu’au salon où il sortit la bouteille de champagne fraîche et proposa de l’ouvrir pendant que Muriel et Valérie installaient les 3 flûtes et quelques gâteaux d’apéritif.
Muriel mis une agréable musique d’ambiance et après avoir préparé la table basse proposa à ses invités de trinquer à leur rencontre.
- « A cette amitié qui commence et qui promet bien des surprises agréables » lança-t’elle en levant son verre.
- « A nous trois ! » renchérirent ensemble les deux tourtereaux coquins.
Tous les trois burent leur coupe d’un trait pour se mettre en confiance, Valérie se rapprocha à nouveau de Muriel et l’embrassa à pleine bouche en regardant Olivier droit dans les yeux, l’incitant à se rapprocher d’elles, ce qu’il fit sans se faire prier. Il passa son bras autour des tailles des deux femmes collées l’une contre l’autre et glissa une main indiscrète sous la robe de leur nouvelle amie qui se laissait aller à un baiser de plus en plus enflammé avec sa femme. Muriel se cambra à nouveau sous cette caresse afin que les doigts d’Olivier puissent avancer plus avant vers son intimité qui commençait à palpiter sous l’effet du désir. Le doigt indiscret effleura son anus et glissa encore plus loin afin de parvenir jusqu’au petit bouton de Muriel durcit par l’envie. Elle se laissait faire par les deux coquins et s’abandonnait à leurs caresses avec délectation en ronronnant.
C’est alors que les lèvres de Valérie quittèrent les siennes et se dirigèrent plus bas, effleurant ses seins laiteux au travers du tissus léger tout en continuant vers son ventre. Val déposa de légers baisers tout au long du chemin jusqu’à atteindre la peau des cuisses de Muriel puis remonter vers son petit bouton pour y retrouver les doigts de son mari.
Muriel poussa un gémissement plus fort sous l’effet de cette double caresse et attira ses deux partenaires vers le canapé en titubant, elle était aux anges et au bord de s’effondrer de plaisir.
Les deux femmes haletantes s’enlacèrent de plus belle et s’ôtèrent mutuellement le peu de vêtements qu’elle portaient en profitant au passage pour laisser leurs langues courir sur le corps de l’autre. Olivier était aux anges aux première loges et sentait l’envie monter en lui comme on peut sentir l’orage arriver après une grosse chaleur.
Muriel et Valérie se lancèrent dans un 69 de légende, gémissant alternativement sous les coup de langues qui s’affairaient sur leurs clitoris mutuels. Muriel hurlait presque de plaisir mais c’est quand Valérie, après avoir lui avoir offert un anilingus d’anthologie, plongea son index au fond de ses entrailles tout en aspirant son bouton de rose qu’elle explosa de plaisir en criant, la bouche encore entre les cuisses de Val et lui déclenchant ainsi un premier orgasme à son tour
- « C’est trop bon, encore Valérie, je n’ai jamais jouit aussi fort ! »
- « Attends ma chérie, chargeons nous de mettre Olivier au garde à vous et tu découvrira encore plus fort, fais-moi confiance » lui murmura-t’elle à l’oreille.
Olivier était en effet le seul à porter encore quelques vêtements bien qu’il ait déjà réussi à se débarrasser seul de son pantalon afin de se masturber au vu du spectacle. Son sexe était gonflé mais Valérie savait comment le rendre encore plus impressionnant et efficace.
Elle s’approcha de lui, attirant Muriel avec elle et les deux coquines entreprirent de terminer la mise à nu du mâle.
Val se pencha vers son membre et le mis en bouche d’un seul coup, tentant de l’avaler jusqu’à la garde, à quatre pattes, offrant à Muriel un vue savoureuse sur sa chatte, bien ouverte et dégoulinante. Muriel compris le message et se coucha sur le dos, passant sa tête sous le bassin de Valérie qui lui offrit son bouton de plaisir en guise de sucette. Elle était très souple et écarta ses belles jambes repliées jusqu’à poser sa vulve sur le menton de Muriel, sans arrêter de pomper son homme qui commençait à haleter aussi, le parfait trio commençait.
Olivier entrepris de contourner ses belles et Val en profita pour se retourner et se retrouver à nouveau tête bêche avec Muriel qui gémissait sous elle tout en pénétrant de plus en plus profondément dans son con avec sa longue langue. Olivier décida alors de s’agenouiller face à sa femme, ayant ainsi à portée le sexe béant de Muriel et la bouche gourmande de sa femme, que demander de plus !
Relevant les jambes de Muriel allongée sur le dos qui profitait encore de la langue experte de Val jouant frénétiquement avec son clitoris qui grossissait à vue d’œil, Olivier plongea son sexe au fond de leur nouvelle amie, à la barbe de sa femme, au sens propre plus qu’au figuré ! Surprise par cette pénétration délicate mais inattendue, Muriel se cambra et ses jambes se mirent à trembler sous les effets combinés de ces deux coquins.
Mais la partie ne pouvait s’achever si rapidement et Olivier se retira avant de ne plus pouvoir se retenir et demanda à sa femme de se retourner pour lui offrir sa croupe , ce qu’elle fit promptement, désirant être prise au plus vite, au comble de l’excitation. Cette nouvelle position permit aux filles de reprendre les baisers, les saveurs mélangées du trio ajoutant au côté sauvage de la situation.
N’y tenant plus, Olivier plongea tout au fond de sa femme puis se retira de suite pour prendre Muriel, et ainsi de suite, alternant les chattes au gré du rythme de la musique et des gémissements des femmes, quel beau spectacle !
Au bout de quelques aller-retours, il sentit qu’il allait exploser et choisit d’offrir à sa femme un orgasme d’exception. Emmanché jusqu’à la garde dans le sexe accueillant de Val, il stoppa tout mouvement et guida la main gauche de Muriel jusqu’à l’entrée du passage interdit qui semblait au contraire bien accueillant après ces libations intenses. Le petit trou de Val dégoulinait de salive et le doigt de Muriel s’y glissa avec une facilité déconcertante incitant Olivier à reprendre ses mouvements au rythme de la respiration de sa femme, de plus en plus rapide.
Profitant de la position, il entreprit de fouiller d’un doigt le trou du cul de Muriel qui apprécia tant cela qu’elle explosa d’un coup, se cambrant à l’extrême en tremblant de la tête au pied provoquant une réaction en chaîne chez sa partenaire dont l’anus se mit à palpiter autour de son doigt au même rythme que sa chatte sur la queue d’Olivier qui n’en pouvant plus, déchargea en elle une semence chaude et épaisse comme elle l’aimait. Du pur plaisir.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
En effet ça donne envie de fréquenter Aix en Provence.
Posté le 23/05/2024
Anonyme
N'hésitez pas à commenter, ça fait toujours plaisir ????
Posté le 18/09/2023
Marie
Très bien écrit et on ne pourrait rester tout à fait insensible à une telle lecture.. Bravo
Posté le 16/09/2023
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