Lors de ses voyages, elle va trouver des cireurs, une profession quasi disparue en France, pour faire entretenir ses plus belles bottes. Elle tire du plaisir de leur habileté, de sentir leurs mains sur elle, au travers du cuir...Toute excitée, elle va au-delà du soin aux chaussures avec eux...
Proposée le 13/05/2025 par jerome james b
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
SHOE SHINER
Partie 2
J'étais prête. Une robe noire courte, hyper-moulante qui soulignait mes formes et m'arrivait à mi-cuisse, et une magnifique paire de cuissardes noires. J'y tenais particulièrement, parce qu'il s'agissait de la première paire de cuissardes que j'avais achetées, et elles marquaient un tournant pour moi. Quand j'avais enfin décidé de céder à mes envies et d'être ce que j'étais vraiment. J'avais eu envie de me mettre en valeur, de souligner mes charmes, ma féminité, de devenir plus sensuelle...Je n'imaginais pas, avant de les acheter, ce que je pourrais éprouver. Le plaisir intense de les porter, qu'elles caressent mes jambes, le fait de me sentir désirable, le fait aussi qu'elles attirent le regard des hommes sur moi, même si c'était déjà le cas avant. Dans les premiers temps, je rentrais chez moi, je me foutais à poil, et je les mettais, m'admirant, me photographiant, me caressant tellement ça m'excitait de les mettre, pour ces raisons que j'ai mentionnées plus haut. Il y avait même une photo de moi que j'avais prise, face à un miroir en pied, entièrement nue, mais le visage masqué, les jambes levées, offertes, comme le reste de mon corps au miroir et à l'objectif, qui avaient pas mal tourné sur le net. Mais personne ne savait que c'était moi.
J'en avais acheté d'autres, bien d'autres depuis...Mais je tenais à cette paire qui avait besoin de soins, soins que je ne leur avais jamais prodigués.
Il est arrivé sur le coup de neuf heures, sérieux, pile à l'heure. Une grande valise à la main.
— Tu n'as pas eu de problèmes à la réception?, je lui ai demandé.
— Des clients demandent souvent que je vienne cirer leurs chaussures.
Il a jeté un œil à mes cuissardes. L’œil du professionnel.
— Elles sont magnifiques, il a dit.
C'était vrai qu'à l'époque, je les avais payées une blinde.
Est-ce qu'il a lu en moi?
— On va les faire comme neuves.
Il a déballé son matériel. Ici, évidemment il n'y avait pas de chaise, mais un reposoir pour les pieds.
Je me suis calée sur le divan.
La valise contenait un ensemble de produits. Ceux qu'il avait utilisés la veille.
Ma robe s'est retroussée quand je me suis assise. Je lui offrais l'intégralité de mes jambes, gainées de bas stay-up et mon ventre nu.
— Laisse-moi caresser ta queue avant de commencer.
C'était le bon moment. Il ne s'était pas encore accroupi devant moi. Il ne m'a pas empêché de le défaire. J'ai trouvé une queue agitée de spasmes qui grossissait sous mes yeux, et que j'ai aidée à se dilater en la masturbant. Elle a retrouvé peu à peu sa superbe, ce volume qui m'avait tant séduit la veille.
— Si tu cires bien mes bottes, tu auras une belle somme et du plaisir...
— Je fais toujours du bon travail, il m'a assuré.
Une réaction d'orgueil pour me dire qu'il faisait effectivement toujours du bon travail ou une manière de me dire qu'il avait envie de sexe avec moi, et qu'il ferait tout pour. En tout cas, sa verge dilatée disait bien son envie, verge que j'ai refourrée dans son caleçon. Ce n'était pas, encore le moment, même si j'étais déjà excitée, même si j'avais envie, et le sexe entrouvert et ruisselant...J'y pensais depuis la veille, j'en avais rêvé cette nuit, et je m'étais réveillée avec le ventre en feu. J'avais rêvée, après, éveillée, jusqu'à ce qu'il arrive, mariant l'envie de sentir ses mains sur mes bottes et sa queue à ma disposition.
Il s'est agenouillé. Au dessus de mes bottes et face à mon sexe nu et ses métamorphoses. Je voyais bien, plus que la veille, parce qu'il n'éprouvait pas le besoin de la masquer, sa fascination, celle que tout homme a pour un corps de femme, pour mon intimité offerte.
C'était un moment important pour moi, à la fois parce que je voulais voir mes cuissardes préférées métamorphosées, mais aussi parce que je souhaitais aller plus loin avec lui. Comme j'étais déjà allée plus loin avec d'autres cireurs. Mon métier préféré, au final...
Je me suis dit que je ne parviendrais pas à épuiser la fascination que je pouvais éprouver pour ces gestes, qui étaient, pour moi, empreints d'une profonde sensualité. Ses mains qui se sont mises à danser le long du cuir, venant dépoussiérer, puis laver avec un produit moussant. Ca faisait une bonne surface à couvrir, mais ce n'était pas un problème pour lui. Il volait littéralement sur le cuir, lui réservant le meilleur traitement. Déjà le cuir prenait un nouvel aspect. Tout comme sa queue, qui, à présent, déformait les tissus qui le couvraient, et mon sexe que je sentais évoluer.
Le cirage, dans ses étapes d'applications, a été un véritable baume sur le cuir. Bien sûr, je les avais déjà cirées, mais cela faisait un an que je ne l'avais pas fait, et pas aussi bien que lui, d'évidence. Le cuir prenait vie et substance, devenait une matière vivante...Tout nos sexes, eux aussi, prenaient vie.
Je n'avais plus réellement notion du temps. Une demi-heure, une heure? Difficile de savoir. Je m'étais dissoute dans ce moment...Et lui aussi.
Les bottes étaient à présent comme neuves. Elles démarraient une deuxième vie. J'ai passé mes doigts sur le cuir, touché la matière lisse.
Il y avait une poche sur le côté de ma robe. J'y ai péché le préservatif emballé qui attendait. J'ai baissé son pantalon. Sa queue était dilatée, épaisse et longue d'excitation, plus encore que la veille. Un sexe dilaté et bien humide l'attendait. Je me suis basculée en arrière. Qu'il me pénètre serait un parfait achèvement. Il s'est penché sur moi, sa dernière boite rangée, et après avoir repoussé les deux reposoirs sur le côté, qui délimiteraient notre étreinte. J'ai pris sa verge dans ma main pour la guider vers ma vulve, la faire rentrer. Qu'elle soit aussi épaisse me mettait dans tous mes états. Quand le gland a touché mes lèvres, j'ai eu l'impression que de l'électricité en provenait et me traversait tout le corps. Il a glissé en moi, jusqu'à ce que son gland vienne cogner contre mon utérus. Je me sentais bien remplie, par cette verge épaisse. Il est resté en moi immobile, d'abord, savourant le plaisir que pouvait lui procurer la sensation de ma vulve, l'enveloppant, autour de lui, tout comme je pouvais moi apprécier sa présence chaude et dure en moi, et puis il s'est mis à bouger en moi, variant les rythmes. Curieusement, je retrouvais, sur une manière et un rythme différent, ce savoir-faire et cette habileté qu'il avait quand il cirait mes bottes.
Mes bottes...Je ne les négligeais pas pour autant. J'avais étendu les mains, et je touchais le cuir, lisse, revigoré. Deux plaisirs qui se complétaient, celui d'être fouillée, caressée par son énorme queue, et celui de frôler le cuir des bottes auxquelles il avait donné une nouvelle dimension.
Autour de sa queue, qui allait et venait en moi, je crachais des torrents de mouille, qui dégoulinaient sur nos chairs, et sur le canapé en dessous. Je me suis vite, très vite même, mise à jouir, le corps secouée par des spasmes, ne jouissant jamais aussi fort que dans de tels moments, enveloppée par bottes ou cuissardes, et fouillée par celui qui avait redonné vigueur à mes bottes mais m'avait aussi troublée dans cette danse érotique autour du cuir...Au bout de sa course, lui aussi a joui, et chaque jaillissement de sperme, venant cogner contre mes parois internes, m'a donné de nouveaux orgasmes. Au final on était bien humides tous les deux. Je l'avais copieusement arrosé de mes jus.
Un rien groggy après ce plaisir, il s'est redressé. Il bandait encore. Je lui ai enlevé le préservatif, et m'efforçant de garder la semence au fond du latex pour la bouffer quand il serait parti, et j'ai attrapé sa queue, la masturbant vivement. La semence a jailli quasi instantanément. J'ai ouvert la bouche devant sa queue pour choper le maximum de sperme. Je l'ai avalé, bien évidemment.
J'avais préparé une enveloppe que je lui ai tendue. Il y avait largement de quoi payer le cirage des bottes, et le plaisir qu'il m'avait donné.
Il s'est éclipsé, me laissant seule. J'ai d'abord attrapé le préservatif et lapé le sperme jusqu'à la dernière goutte. Et puis, comme j'avais encore envie de jouir, je me suis masturbée sur une schéma totalement différent, caressant les cuissardes d'une main et mon sexe de l'autre. Un plaisir très égoiste, que je ne partageais qu'avec moi. Je me suis enivrée de plaisir et d'orgasmes jusqu'à l'épuisement, et m'endormir.
Je me suis réveillée sur le coup de midi. Il était temps d'aller manger. J'avais une faim de loup.
Il me restait quelques jours à passer ici, des bottes à cirer, et la ville regorgeait de cireurs.
J'allais encore avoir de bons moments de plaisir.
Ce qui me sidérait toujours, maintenant j'avais un peu d'expérience, c'était que les gens passaient et qu'ils ne vous voyaient pas. Personne ne vous regardait jamais. On était comme dans une bulle.
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