La main de ma soeur

Cette histoire est arrivé il y a quelques années, nous étions en vacances dans une location que ma sœur avait réservée en bord de mer. Son mari, fort occupé par son travail de commercial devait nous rejoindre dans quelques jours, mais il y avait toujours un fait nouveau qui retardait sa venue.

Proposée le 13/05/2025 par Furet

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie

Cette histoire est arrivé il y a quelques années, nous étions en vacances dans une location que ma sœur avait réservée en bord de mer. Son mari, fort occupé par son travail de commercial devait nous rejoindre dans quelques jours, mais il y avait toujours un fait nouveau qui retardait sa venue, au grand dam de ma sœur qui, je le crois, commençait à trouver le temps long.

Je dormais dans le salon, sur un canapé lit fort confortable. Ce matin là, je fus pris d’une raideur matinale assez conséquente mais pas encore absolue, sorte d’entre deux fort agréable. quand j’entendis ma sœur se lever dans la chambre à coté.

Feignant de dormir, je me suis découvert et laissais l’oiseau à l’air libre. Quand la porte s’ouvrit, j’entendis ma sœur approcher puis s’arrêter près de mon lit. J’entendais sa respiration tout près , je me gardais bien de bouger quand soudain, je sentis un doigt qui basculait mon sexe de l’autre coté. La coquine voulait l’examiner sous tous les angles, en toute discrétion, même si sa respiration trahissait une sorte d’émoi.

Que faire, la laisser s’enhardir, ce qui n’était pas gagné, ou me réveiller et la surprendre là, penché sur mon sexe. Je choisis la seconde option.
- Hé ben, tu fais quoi ?
- Tu pourrais te couvrir quand même.
- On ben, ça a pas l’air de te gêner, tu viens de me toucher, je l’ai senti et c’est ce qui m’a réveillé.
- N’importe quoi, je t’ai pas touché
- Et en plus, tu as les yeux rivés sur ma bite. Tu peux la toucher si tu veux.
- Entre frères et sœurs, ça ne se fait pas
- Allez, vas-y, t’en meurs d’envie
- Bon, mais on va pas plus loin !

Elle a pris ma tige en main, et a commencé à l’explorer, l’effleurer pour la faire durcir
- Comment tu la trouvez ?
- Jolie et dure, c’est étonnant
- Pourquoi ? Tu aimes branler les hommes ?
- C’est personnel ça.
- Tu as déjà sucé ? Tu veux goûter ?
- Heu, c’est pas mon genre.
- S’il te plaît, montre moi tes nénés
- On a dit « pas plus loin »
-Tu as ma queue en min, tu peux bien me montrer tes lolos.
- Bon, pour cette fois

Elle a ouvert sa chemise, qui, entre parenthèses était la mienne, et j’ai vu ses superbes seins, bien galbés, ses aréoles foncées et son téton dessiné comme un bout de zan.

J’ai commencé à les caresser, je sentais que j’allais exploser bientôt
- Tu me montreras ta chatte ?
- Ah non, pas ça.

Elle a accéléré et j’ai explosé dans sa main. Elle en avait sur le bras. Elle est partie se laver, sans rien dire.

Je suis resté un peu frustré, déçu de n’avoir pas pu voir son sexe, mais ma déception fut de courte durée car l’après midi, sur le sentier des dunes, elles fut prise d’une envie subite d’uriner et pas de WC en vue.
- Tu n’as qu’à faire là.
- Mais on va me voir !
- Il n’y a personnes, allez,
- Bon mais tu regardes pas
- Si
- Bon tant pis, j’ai trop envie
- Elle a baissé son maillot et s’est accroupie ; j’ai fait de même face à ses cuisses ouvertes
- Ça me gène, j’arrive pas, j’ai envie mais j’arrive pas
- Ferme les yeux, imagines que tu es seule

Et c’est venu, un jet puissant qui sifflait entre ses lèvres, une longue miction pour mon plus grand plaisir
Elle a remis son maillot en me traitant de vicieux, j’ai éclaté de rire, j’avais vu ce que je voulais voir, et je savais maintenant qu’un de ses soirs je pourrai embrasser cette vulve sublime.

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