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Cameras de surveillance partie 1

Employé par la municipalité d'une petite ville, il est chargé de la vidéo-surveillance...Il est partagé entre sa femme, son attirance pour sa collègue Félicidad et les amoureux qui s'offrent aux caméras dans de multiples actes sexuels...

Proposée le 13/05/2025 par jerome james b

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


CAMERAS DE SURVEILLANCE
partie 1
Il était treize heures vingt quand je me suis glissé dans le local. J'avais quarante minutes d'avance, et même si elle était habituée à ce que je vienne tôt, ma collègue ne s'attendait pas à ce que je vienne aussi tôt. Pour l'heure, elle était occupée à se masturber. Mon arrivée ne l'a pas dérangée outre mesure. D'ailleurs, elle ne dérogeait pas à sa mission, car je voyais bien qu'elle se caressait tout en ayant le regard accroché aux écrans qui nous renvoyaient aux points sensibles de la ville.
Felicidad était ronde, avec des kilos en trop, mais elle m'excitait énormément. Justement parce qu'elle était ronde, avec ces kilos en trop. Elle avait des seins, des fesses, des cuisses, une grosse chatte qui tendait le pantalon de son uniforme, et elle était bien consciente qu'elle me troublait. Tout comme j'étais parfaitement conscient que je lui plaisais. On avait une relation ambiguë qui basculait depuis six mois dans la sexualité. Mais chacun y trouvait son compte, alors on continuait sur cette voie. J'étais d'ailleurs à présent convaincu qu'elle s'était mise à se masturber consciemment pour m'exciter et me troubler, et elle y réussissait parfaitement, en sachant que j'arrivais. Elle s'était dit qu'elle allait démarrer tôt pour être au point quand je serais là...
— Si tu venais me regarder.
Elle avait gardé, accrochés à une de ses chevilles, son pantalon et sa simple culotte blanche. J'ai remarqué qu'une grande partie de celle-ci était sombre d'humidité. Elle avait du commencer à se branler à travers la culotte.
Elle avait basculé ses cuisses sur les accoudoirs, et avait glissé en avant. De la sorte, elle était aussi offerte que béante. Mais ce n'était pas la première fois qu'elle s'exhibait ainsi, ni qu'elle se masturbait devant moi. Je ne me lassais toutefois pas.
Je me suis posé en décalé au bord de la table de commandes, qui nous permettait essentiellement d'aller chercher un bout de vidéo pour le repasser. Ce n'était pas nous qui chargions ni enlevions les disques durs qui enregistraient. On regardait quand quelque chose nous semblait suspect et mériter une intervention.
Là, ce que je regardais c'était la chatte de Felicidad. Tout me plaisait. A commencer par le fait qu'elle ait des poils. Je détestais les filles qui se rasaient. Pour moi une vraie fille avait une toison. Et si elle rasait autour de son sexe, sur son pubis, elle gardait un triangle, certes dessiné et formaté, mais bien épais et bien fourni.
Et juste en dessous, il y avait un sexe qui était à la mesure du reste de son corps. Elle avait du commencer à se caresser il y avait quelques minutes, car elle était bien dilatée, ouverte quasi jusqu'à la béance sur son intérieur tout rose, son utérus visible, ses lèvres étirées hors d'elle, longues et épaisses, et son gland clitoridien, sur lequel elle faisait tourner ses doigts dans un mouvement circulaire, en pleine érection.
Je n'avais jamais vu un gland clitoridien comme le sien, à la fois dans la longueur et l'épaisseur. Il avait plus de volume que certains micro-pénis.
— Si tu as envie de venir dedans...
C'était le jeu entre nous. Elle me proposait à chaque fois de venir dedans mais je partais toujours sur un biais, lui procurant du plaisir et jouissant autrement. Frustrant? Mais je tirais de l'excitation de cette frustration, et elle aussi, même si elle ne l'admettait pas.
— On peut toujours suivre d'autres pistes.
C'était sans doute que j'avais des scrupules, et qu'autant cela ne me gênait pas de jouer à des jeux sexuels, même poussés, autant l'idée de la pénétrer représentait pour moi une trahison. C'était une vision assez vieux jeu des choses, pour ne pas dire totalement stupide. D'autres pratiques ne signifiaient-elles pas tout autant une trahison?
Nous étions en tout cas, elle comme moi, tous les deux en couple. Et cherchant à nous convaincre que non, ce que nous faisions ensemble ne signifiait pas un coup de canif dans le contrat. Même si, évidemment, c'était effectivement le cas.
Je me suis penché sur elle. Elle a écarté sa main quand je suis venu chercher son gland clitoridien de la bouche. Elle aimait, adorait même, cette caresse, simple mais efficace, que je lui avais prodiguée pour la première fois il y avait quelques semaines de cela. Elle était venue me rejoindre alors que je surveillais, pas en tenue de surveillance, mais avec une jolie robe. Elle l'avait soulevée, elle était entièrement nue dessous, elle s'était posée face à moi, l'avait soulevée jusqu'en haut, m'avait offert son corps, chaud, plein, irrésistiblement tentant, en souriant. Je l'avais attrapée par les fesses, et je l'avais faite basculer pour un cunni qui avait duré longtemps, et qui s'était transformé en ce qui aurait été une fellation si elle avait été un homme et elle avait eu une mini-bite.
Là, je n'ai pas tourné sur ses lèvres, ni autour de son sexe, je suis venu directement sur son gland clitoridien et je l'ai sucé. Elle s'est mise à gémir, m'arrosant de ses liquides intimes qui, déjà très abondants avant, ont coulé dans un ruissellement continu pendant que ma bouche allait et venait sur le morceau de chair épais qui me troublait toujours car il me remplissait ma cavité buccale comme l'aurait fait une queue. Et c'était vraiment troublant.
— Je vais jouir!
Au moins, elle annonçait la couleur. J'ai senti son corps se tendre, elle a été agitée par des spasmes, et elle a lâché des jets copieux d'un liquide blanc qui ressemblait à du sperme. Je ne m'étais pas encore mis en tenue, j'avais eu raison de garder un survêtement.
Je me suis redressé. Elle avait mis ses seins à nu, relevant un T-shirt sans soutien-gorge dessous. J'étais fasciné par ses seins. Ils étaient volumineux, charnus, bien fermes, avec des aréoles larges et des tétons longs et durs quand ils s'érigeaient.
C'était elle qui m'avait fait découvrir le plaisir d'être caressé par les seins d'une femme et de jouir entre eux.
A tel point que j'en redemandais.
Une peau chaude et infiniment douce...Des seins maniés habilement...
— Toujours pas?, elle m'a demandé.
— J'ai peur de te mettre enceinte, j'ai répondu hypocritement. (Alors que c'était pas du tout ça.)
— Je vais faire une grève des branlettes espagnoles, elle m'a répondu.
Mais elle avait déjà empoigné ses seins pour caresser ma queue.
Ce qui se passait entre nous était aussi surprenant que fort, on ne s'était absolument pas attendus à ce que ça bascule comme ça. Alors on en profitait au maximum.
Elle m'a enveloppé la queue, même si elle ne l'avait pas totalement, queue trop longue, entre ses seins, et elle s'est mise à me caresser. C'était le genre de moment qui faisait, à mon sens, que la vie valait la peine d'être vécue. Du plaisir à l'état pur, comme pour elle quand j'avais sucé son gland clitoridien. Je me sentais encore me dilater, grossir, au creux de ses gros nénés tout doux et tout chauds. Elle m'a finalement enveloppé, bien serré. Mon gland dépassait dans son décolleté, et son état, sa dimension, disaient ma jouissance proche. Avec une mine gourmande, elle est venue exciter mon gland, poussant la pointe de sa langue dans mon méat. Difficile de tenir très longtemps dans ces conditions. Elle voulait que je la pénètre, mais elle adorait aussi ce moment où je me cambrais, me retenant pour ne pas crier, et où, selon les moments, elle se laissait arroser le visage de sperme, ou remplir la bouche de semence...Des jets copieux, abondants.
On a remis de l'ordre dans nos tenues, je me suis changé. Elle m'a dit:
— Je m'entends de moins en moins avec mon concubin...Ca ne te dirait pas de le remplacer ? Ca colle tellement bien entre toi et moi.
— Ca va encore très bien avec ma femme. Mais on peut avoir des moments sympas ensemble, non ?
C'était curieux, cette relation étrange, qu'on avait démarré par désir pour l'autre, en se disant qu'on n'y accordait jamais de l'importance, quelque chose de léger, mais qui prenait de plus en plus de place dans nos vies. D'autant que Felicidad n'avait rien des critères de beauté habituels, avec son corps opulent, trop opulent...Mais on pouvait ne pas être attiré par des beautés parfaites...Elle avait en elle la sensualité, la vie, l'optimisme, la bonne humeur...Ce qui manquait à beaucoup de filles...
Et puis, simplement, on s'entendait bien. Vraiment bien.
Mais je ne m'étais pas posé encore la question de savoir si j'avais envie de remplacer ma femme par Felicidad.
On se connaissait depuis quatorze ans. Un amour de jeunesse. Annie était une très jolie femme, qui avait du charme, de l'humour, du punch, fine et intelligente...
Même si, ces derniers temps, j'avais le sentiment qu'on s'entendait moins.
Quelque chose à quoi je ne voulais pas penser. A tort, peut-être.
Elle est partie à midi pile, non sans m'avoir glissé:
— Si tu veux pas me prendre par la chatte, tu pourrais me prendre par le cul. Je suis tout à fait d'accord.
Je suis resté seul. C'était parti pour une après-midi de surveillance.
Au départ, j'étais policier municipal. Quand les caméras avaient été installés (on était proches de la métropole, et les voyous se déplaçaient chez nous, pensant que c'était plus facile de voler ici) j'avais immédiatement été volontaire. J'avais envie de casser ma routine. On avait été trois au final, moi, Felicidad, et Marc qui me succéderait dans huit heures. Une formation pour maîtriser les outils, et depuis on tournait devant les écrans.
En ce qui me concernait, ce qui aurait pu sembler une tâche fastidieuse me ravissait, au contraire. Je trouvais fascinant d'observer les mœurs de mes contemporains, pour le meilleur et surtout pour le pire. Les mauvais comportements étaient légion, cracher par terre, jeter des déchets sur le sol, rayer une voiture par vengeance ou pour le plaisir. Les incivilités, comme on dit.
Et puis il y avait le sexe.
Avant de basculer sur les caméras, je n'avais pas imaginé qu'il puisse y avoir autant de couples qui fassent l'amour en extérieur.
J'en étais arrivé à me demander s'il ne s'agissait pas de provocation gratuite, car des sites disaient aujourd'hui où se trouvaient les caméras pour chaque ville y compris la notre. J'avais même pensé en mon for intérieur que ca permettrait de faire de l'argent que de vendre leur bout d'enregistrement aux intéressés.
Chaque surveillance, c'était l'occasion de découvrir ou redécouvrir des moments de sexe aussi insolites qu'imaginatifs. Et sacrément troublants.
Tous les trois, on se faisait une banque de données, évidemment, personne en dehors de nous n'en savait rien, dans laquelle on compilait ces moments chauds. Libre à nous d'en faire ce qu'on en voulait. Felicidad m'avait avoué qu'elle en faisait des copies qu'elle mettait sur son PC, et qu'elle se masturbait en les regardant à la maison.
13 heures 15...Je venais d'arriver, et déjà, d'ailleurs, un moment de sexe se dessinait devant mes yeux. Au nord de la ville, devant un bâtiment que plus personne n'occupait, et qui avait servi pour accueillir différents services, il y avait un petit parking d'une vingtaine de places, qui servait de lieu de rendez-vous. Les gens estimaient que, si le bâtiment n'était pas occupé, le parking pouvait servir à tout, et surtout à des rendez-vous. Cela valait généralement des scènes troublantes.
Pour l'heure, il n'y avait qu'une voiture, une Datsun blanche. Portière ouverte, une jolie blonde d'une quarantaine d'années tirait sur une cigarette, vêtue d'un tailleur vert amande, avec une jupe ultra-courte, retroussée haut, laissant voir des jambes longues, bien dessinées, sans doute cambrées, quand elle était debout par les escarpins aux talons fins et longs qu'elle portait.
Elle était ravissante. Je la connaissais, comme je connaissais tous les habitants de la ville. Elle avait 42 ans, elle dirigeait une petite imprimerie, et elle se prénommait Hélène. Elle était divorcée, son mari avait quitté la ville, et depuis elle multipliait les partenaires. Revanche sur la vie, envie de sexe parce qu'elle aimait ça, ou les deux mêlés? Toujours était-il que je la voyais régulièrement avec des partenaires en divers coins de la ville, et pas que des hommes. Je l'admirais, dans la manière qu'elle avait de vivre sa sexualité sans contraintes. Elle avait énormément de charme, très sensuelle, et on lisait sur son visage que le sexe avait une grande importance dans sa vie.
J'ai vu apparaître dans le champ de la caméra un jeune type d'une vingtaine d'années, en pantalon de survêt, avec un hoodie sur le dos. J'ai été un rien surpris, même si j'avais déjà remarqué qu'elle avait des partenaires d'âge très variable...A moins qu'il ne passe par là par hasard.
Non, ce n'était pas le cas.
Il s'est calé devant elle. Relevant légèrement la tête, elle lui a souri. Et a tendu la main vers son pantalon de survêtement, pour le baisser. Dessous, il avait un caleçon déformé par une belle érection, et la tête de sa queue en dépassait. Elle a baissé le caleçon, dévoilant une verge qui méritait le détour, en pleine érection, sans doute parce qu'il avait anticipé de la retrouver et rêvé de ce qui allait se passer. Il y avait, à ce moment, quelque chose de radieux sur son visage, comme si sa vie, à ce moment, avait pris un réel sens. Mais c'était sans doute le cas, pour les personnes qui aimaient le sexe, lorsqu'elles avaient accès à celui-ci.
Je ne perdais pas pour autant le sens de mon devoir. J'arrivais, lorsqu'il y avait du sexe à l'écran, à me diviser, une partie de moi concentrée sur mon boulot, suivant ce qui se passait sur les écrans, l'autre sur ce moment de plaisir.
J'avais déjà pu le constater, Hélène aimait le sexe, n'avait quasiment pas de tabou, et comme corollaire, elle avait un savoir-faire que beaucoup de femmes auraient pu lui envier. Elle a entrepris une fellation habile, baladant sa langue le long de la tige roide, revenant frotter le gland, et descendant jusqu'aux couilles. Le gars avait l'air d'avoir du plaisir, et ça n'avait rien d'étonnant.
J'aurais donné cher pour être à sa place. Je la connaissais bien sûr, je la croisais même, j'avais même fait les premières constatations pour un cambriolage, avant de laisser ma place à un collègue de la police nationale, mais ma fonction faisait que je ne l'intéressais pas. Elle n'avait en tout cas manifesté aucun intérêt pour moi.
Elle a fait plusieurs pauses, sans doute parce qu'elle sentait que le gars allait jouir. Sa queue avait encore pris du volume. Grâce à ses habiles caresses.
Elle a tendu sa main droite derrière elle, et a ramené un préservatif dont elle a déchiré l'emballage. Elle l'a posé sur le gland dilaté avant de le faire coulisser d'un seul mouvement, fluide, jusqu'à la base de la verge dilatée. Puis elle s'est redressée, et elle est venue se placer devant le capot de la voiture, attrapant l'ourlet de sa jupe courte pour la remonter à sa taille et la coincer dans sa ceinture. Dessous, elle était cul nu. Elle s'est pliée en deux. Le gars, mesmérizé, s'est approché et est rentré en elle d'un seul mouvement, mu par une envie à laquelle n'importe quel homme, moi le premier, aurait succombé. D'ailleurs, j'aurais bien aimé être à sa place, et alors même que j'avais joui une heure plus tôt, ma queue était toute raide.
Ce que j'aimais dans de tels moments, c'était voir les gens prendre du plaisir. Que ce soit écrit dans leur corps, et sur leur visage. Et là, le plaisir était évident, aussi bien pour elle que pour lui. Elle devait gémir, alors que la queue allait et venait en elle, mais malheureusement, je n'avais pas le son. Je pensais qu'il allait se dégager d'elle et cracher sa semence sur ses fesses, mais ça ne s'est pas passé comme ça. Elle l'a expulsé de son vagin, s'est retournée, s'accroupissant à nouveau, arrachant le latex et ouvrant la bouche pour venir envelopper son gland, et un peu plus. Elle a fait aller et venir ses doigts le long de la tige roide. La queue a été agitée de spasmes. Concentrée, elle a soigneusement avalé la semence qui jaillissait dans sa bouche. Quand elle l'a enfin relâché, un filet de sperme, blanc et crémeux, a coulé à la commissure de ses lèvres. C'était excitant de ne rien voir, et cette conclusion avait été encore plus troublante.
Le gars a fourré sa queue encore roide dans son pantalon, et est reparti, comme si ça n'avait été qu'une simple pause dans une balade. Allaient-ils se revoir où était-ce juste un coup unique? Pour avoir souvent observé Hélène en vidéo-surveillance, j'avais remarqué qu'elle n'avait jamais le même partenaire. Elle aimait changer. Mais je n'avais qu'une vision vraiment partielle, et peut-être qu'elle les revoyait ailleurs.

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