Romain l’un de mes meilleurs me dit qu'il à consulter celui le journal intime de sa femme Solange qui raconte son aventure avec deux jeunes inconnus.
Proposée le 28/03/2025 par EmilieDan
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie
En parlant avec Romain l’un de mes meilleurs amis d’enfance, je lui faisais part de ma surprise en ayant découvert par hasard le journal intime de mon épouse.
Il se mit à rire et me dit que lui aussi eu l’occasion de consulter celui de sa femme Solange, et me confiait alors un extrait d’une des aventures de sa jolie compagne.
En 1978 le réseau social le plus répandu est la Cibi poste émetteur récepteur radio dont tous les routiers et les particuliers sont quasiment tous équipés afin en priorité d’éviter les radars des policiers et gendarmes avec le message amusant « attention papa 22 à l’entrée du village, etc. », mais bien évidemment cet appareil magique permet également d’échanger en public ou en privé avec d’autres automobilistes c’est ainsi que mon histoire commence.
Je me nomme Solange j’ai 35 ans je suis mariée depuis 15 ans à Romain 40 ans avec qui j’ai eu un garçon qui a aujourd’hui 10 ans .
Brune aux yeux verts, cheveux mi-long, on me dit jolie.
Pour autant, depuis mon adolescence j’ai un léger complexe je trouve ma poitrine un peu trop volumineuse, mais je me console avec mon mètre soixante-huit et mes longues jambes.
Je suis par contre fière de ma chute de reins très cambrée qui met en valeur mes jolies fesses.
Je porte régulièrement des mini-jupes avec en hiver de jolies bas que mon compagnon qualifie de coquins.
Mon mari Romain est représentant de commerce et s’absente pratiquement tous les jours de la semaine pour rentrer le week-end nous habitons dans un village dans l’Est de la France proche d’une grande ville.
Notre villa est voisine de mes beaux-parents qui adore garder notre fils lorsque j’ai besoin de faire du shopping.
Je suis de nature assez timide heureuse en ménage je n’ai jamais été tenté par une aventure extra-conjugale jusqu’à ce fameux jour ou tout a dérapé.
LE PREMIER CONTACT SUR LA CIBI
En ce mois de novembre, je décidais de faire du shopping en ville partant pour la journée ayant déposé mon fils chez mes beaux parents.
J’étais au volant de ma BMW sur la trois voies, bien évidemment la gymnastique des pédales embrayage, débrayage avait toujours pour conséquence de faire remonter ma mini-jupe et lorsque je doublais des camions ma cibi résonnait de commentaires « ho les jolies jambes que voilà » etc.
Bien évidemment je ne répondais pas et m’en amusait. Je recevais alors un message plus explicite mais d’une voix douce
« Dis-moi ma jolie brune à la BMW tu ne serais pas partante pour un tendre câlin »
je devinais que c’était le camion que je venais de doubler et je me laissais aller à répondre
« Non, c’est gentil, mais je suis mariée »
Au moment où je prononçais ces mots une Mercedes me doublais avec deux hommes à bord et le passager un jeune métis me souriait, leur véhicules était également équipé dune antenne Cibi et ils avaient dû s’amuser de mon échange avec le routier.
Je poursuivais ma route et vers 9h00 je me garais en sous-sol du parking de l’hypermarché ou j’avais l’habitude de faire les galeries marchandes.
Je déambulais dans les boutiques et je dois dire que je faisais de multiples achats.
Je venais de me restaurer d’un copieux sandwich il était à présent 13h00 et je décidais d’aller déposer les sacs de mes emplettes dans le coffre de ma voiture avant de me rendre au centre-ville.
DANS LE PARKING
Je venais de déposer mes achats dans le coffre à peine installé au volant, une belle voix grave m’interpellais
– Notre jolie brune complimentée par les routiers, bonjour …
Ma porte n’était pas fermée en penchant la tête je découvrais le jeune métis qui m’avais souri lors de mon échange avec le routier la politesse voulait que je réponde.
– Bonjour, je vois que vous profitez des conversations des autres.
– Tout à fait, à ce propos mon ami et moi nous sommes au Novotel et nous nous demandions si vous accepteriez de vous joindre à nous pour une agréable après-midi.
J’étais abasourdi par tant d’audace et je sentais à l’évidence que mes joues devaient trahir mon émotion je répondais
– Mais je suis mariée
– Nous le savons, vous l’avez précisée sur la Cibi. Cela signifie aussi que si vous n’étiez pas marié vous vous laisseriez tenter. Je remarque que depuis que nous échangeons, vos jolis yeux vert regardent plus souvent mon entre-jambe que mon visage.
Il caressait alors son sexe que je devinais en légère érection, j’étais tétanisée, je bafouillais
– Mais je, enfin, non, ce n’est pas sérieux, ce n’est pas possible …
– Solange, nous n’avons qu’une vie, nous vous proposons une aventure sans lendemain, une après midi de plaisirs et de jouissances sans contrainte.
Mon ami à entendu la vendeuse de la bijouterie vous appeler Solange c’est la raison pour laquelle je connais votre prénom. Le mien est Jean et mon collègue Stéph pour Stéphane. Allez ma belle laisse-toi aller, profite de l’instant présent.
Ses paroles prononcées avec une extrême douceur s’était accompagnée de sa main sur mon cou pour se glisser de façon câline sur mon sein gauche qu’il caressait tendrement.
Je sentais une chaleur m’envahir, j’étais troublée et sous le charme indéfini de cette voix grave et de cette caresse si douce.
Au plus fort de mon trouble Jean cessait toute caresse et me dit
– Hé bien Solange, à toi de décider, notre voiture est là, en sortant du parking sur la nationale la première sortie c’est le Novotel chambre 212 pour une après midi de plaisirs sans conséquences.
Soit tu poursuivra ta route vers le centre-ville et je garderai de toi le souvenir de ta si jolie poitrine et de ton regard vert émeraude. Au revoir ma belle.
Il venait de claquer la porte me faisant sursauter. Il se dirigeait vers sa voiture, son ami très imposant avait le bras posé sur le toit de la Mercedes et m’adressait alors un joli sourire accompagné d’un petit geste de la main m’envoyant un baiser.
Un instant de trouble et de folie
J’étais totalement déboussolée, mon souffle était court je frissonnais.
Les paroles de ce jeune métis et il faut le dire sa beauté me faisait perdre toute notion de convenances et de vie bien rangée.
Je voyais au loin s’éloigner la Mercedes elle avait à présent totalement disparu et avec elle toutes les promesses de plaisirs interdits et de rêves érotiques et de fantasmes que bien des femmes connaissent.
Un panneau m’indiquait à présent sortie vers la zone hôtelière. Tout droit je poursuivais ma petite vie bien rangée, à droite c’était la promesse d’un instant de folie unique dans une vie.
212 LE NUMÉRO QUI CHANGE MA VIE
J’étais comme l’ombre de moi-même lorsque ma main droite fermée je frappais à la porte 212
La porte s’ouvrait, je découvrais la chambre qui était dans une semi-pénombre les stores vénitiens étant abaissé.
J’apercevais Jean, debout au milieu de la pièce, il était terriblement beau, torse nu je pouvais admirer sa musculature. Il ne devait pas avoir plus de 25 ans.
Le claquement de la porte qui se refermait me faisais sursauter.
Dans mon dos, les bras puissants de son ami Stéphane venaient à l’instant de me saisir par les hanches. Il collait mes fesses contre son sexe dont l’érection naissante appuyait sur ma mini-jupe.
Je penchais la tête en arrière au moment où les mains de ce géant me saisissait les deux seins.
Seul le bruit de nos respirations et du froissement de nos vêtements résonnaient dans la pièce.
Stéphane continuait à malaxer mon sein gauche mais sa main droite s’était glissée sous la ceinture de ma jupe et à l’intérieur de ma culotte. Il investissait sans vergogne ma chatte qu’il caressait de ses gros doigts agiles.
Jean me fixait de ses yeux et baissait lentement son pantalon, je découvrais son slip qui à ce moment était manifestement trop étroit. Il laissait dépasser le gland de son sexe au-dessus de l’élastique de la ceinture.
Cette vision ajoutée aux deux doigts de son ami qui s’agitaient sur mes lèvres intimes me mettait dans un état d’excitation total. Je ne pouvais retenir des gémissements de plaisirs.
Jean baissait à présent lentement son slip libérant un sexe qui, s’il n’était pas plus gros que celui de mon mari, était par contre bien plus long.
Il bandait furieusement lorsqu’il rompait le silence. Immédiatement son ami venait de me lâcher.
– Solange, déshabille-toi, tu conserveras ton soutien gorge ta culotte, tu remettras tes chaussures et tu viendras t’asseoir ici sur le lit.
J’obéissais, j’étais à présent assise sur le coin du lit uniquement vêtu de mon ensemble de sous-vêtement vert émeraude
– Alors mon Steph je t’avais bien dit qu’elle viendrait. Il ne te reste plus qu’à terminer l’effeuillage de notre jolie et si sérieuse femme mariée.
Stéphane dans mon dos se mettait immédiatement à l’œuvre pour dévoiler ma poitrine à son ami Jean qui me faisait face.
Il faisait glisser les fines bretelles de mon soutien gorge le long de mes épaules et de mes avant-bras. Ses mains remontaient lentement vers mes aisselles. Il glissait à présent les balconnets vers le bas libérant d’un coup mes deux seins qui jaillissaient et semblait ravir son ami Jean dont les yeux brillait d’excitation semblant déjà imaginer la suite.
Ces deux hommes me fascinaient, j’étais comme une poupée de chiffon, je n’étais plus moi-même.
J’obéissais comme un automate aux ordres de ce jeune au corps d’ébène.
Stéphane avait rejoint son ami et me faisait face me lançait
– mets-toi à genoux sur le lit ma belle.
J’obéissais et dans un réflexe comme toutes les femmes, je mettais mes deux mains sur mes seins, un instant de pudeur ho combien décaler eu égard à la situation mais qui me valait immédiatement une remarque de la part de Jean.
- Regarde mon Stéphane elle n’est pas mignonne notre jolie maman qui cache ses seins pudiquement. Aller mon Steph c’est à ton tour de te déshabiller et d’offrir un peu de spectacle à notre douce et belle Solange qui va nous faire le plaisir d’ôter sa culotte maintenant.
Steph, du haut de ses deux mètre, avec sa carrure de joueur de football américains, se délestait de son pantalon et de son slip.
La vue de son sexe me mettait véritablement en panique.
Sa verge à moitié bandée amenait déjà son énorme gland au diamètre imposant à mi-cuisse.
Même si je connaissais en tant que mère l’élasticité de mon vagin, je peinais à imaginer être pénétré par ce géant.
J’étais tout autant subjuguée par le diamètre impressionnant de ses couilles dont la peau se tendaient de plus en plus en découvrant le triangle fournit et frisé entourant ma chatte.
– hé bien ma petite Solange, je vois que tu imagines déjà les possibilités de plaisirs que tu peux retirer de la bite de mon ami !
Mais quelque chose cloche ma belle, viens avec nous dans la salle de bain passe devant.
Un instant de panique
Je m’exécutais. Je sentais les regards de ces deux hommes sur mes talons, mes mollets, mes cuisses, pour se délecter enfin à la vue de mes reins cambrés et des rondeurs de mon cul.
J’étais tout de même en panique par la phrase de Jean me regardant et déclarant
« il y a quelque chose qui cloche ».
Ils m’invitaient à m’asseoir sur un petit fauteuil appuyée contre la paroi de la douche.
Je pouvais me contempler dans le mur opposé revêtu d’un immense miroir.
Uniquement revêtue de mes bas et mes chaussures Steph me demandait d’écarter le plus largement possible mes genoux et mes cuisses.
Je m’exécutais. Au milieu de mon triangle brun se dessinait discrètement les longues lèvres intimes de ma féminité.
En me découvrant dans le miroir cuisses écartés, tout le poids de mon éducation rejaillissait.
Pas de doute à cet instant je me sentais totalement impudique.
Mon intimité mise à nu, une première
J’étais rappelée à la réalité par le bruit de l’eau, que Stéphane souriant, faisait couler dans un joli bol en faïence décorée.
Jean sortait alors de son sac de voyage : son savon à barbe, un joli blaireau au manche de bois précieux assortit à celui du rasoir qui brillait sous le plafonnier de la salle de bain.
Il percevait sans aucun doute mon stress à la vue de ses objets.
Il venait de s’agenouiller et ses mains me caressaient des chevilles aux cuisses, effleurant ma chatte lorsque sa jolie voix grave me dit :
– Ma douce et belle Solange pourquoi cacher ta jolie chatte sous un triangle obscur.
Je vais te demander surtout de ne pas bouger.
Nous allons découvrir ensemble les si jolies lèvres sexuelles que tu caches depuis bien trop longtemps et que je devine déjà luisantes et frémissantes.
J’étais totalement sous le charme de cette voix parlant de mon sexe. Il avait raison je sentais très clairement mon excitation croître à chacun de ses mots et de ses caresses.
À présent il maniait avec dextérité le blaireau et je voyais dans le miroir mon entre-jambe blanchit par le savon tiède et mousseux. Tout était d’un érotisme incroyable.
IL entamait à présent avec douceur et professionnalisme le rasage de ma toison.
Ma respiration était courte à chaque aller-retour du rasoir dans le bol d’eau tiède je découvrais un peu plus mes lèvres intimes et à leurs sommets, le petit bouton rose encapuchonné objet de tant de plaisirs.
Ma chatte était à présent totalement imberbe.
Stéphane saisissait le fauteuil, j’étais soulevée avec lui comme une plume et il rapprochait le tout du miroir afin de passer derrière moi.
Il m’invitait alors de bien vouloir replier mes jambes en inclinant mes genoux sur ma poitrine.
J’avais à peine amorcée le mouvement que ses mains puissantes saisissaient de mes chevilles.
Il me pliait en deux positionnant mes jambes de part et d’autre de ma tête.
Le miroir me renvoyait alors le reflet de mon cul qui me paraissait énorme.
Il ajoutait alors avec humour :
– Si madame veut bien écarter ses jolies fesses pour nous dévoiler son petit œillet …
Je saisissais mes fesses et les écartaient au maximum. C’était bien la première fois que je découvrais ma raie culière aussi clairement.
Sans attendre sous la main agile de Jean, les doux poils du blaireau investissait mon sillon fessier répandant la mousse tiède avec douceur autour de mon œillet.
En se saisissant du rasoir, sa voix chaude résonnait à nouveau :
– Regarde Stéphane, notre jolie Solange va nous dévoiler son plus beau trésor. Ce petit œil est minuscule et si doux, il me semble fort ne jamais avoir révélé ni avoir reçu tous les plaisirs qu’il était en droit d’attendre. N’est-ce pas ma jolie ?
Ma respiration était courte et mes seins saisis d’une chaire de poule qui faisait dresser mes tétons. Jamais mon mari n’avait touché, ni même évoqué cette partie intime de mon corps.
Les derniers atomes de mousse avaient disparu et avec eux tout le duvet brun qui jusqu’à présent mettait au secret mon anus.
Mon regard se perdait dans l’immense miroir et d’assister à un film érotique d’une intensité exceptionnelle.
J’étais comme dans un rêve.
JE DÉCOUVRE DES PLAISIRS INCONNUS
Mon trouble décuplait lorsque Jean après avoir délicatement passé une serviette chaude sur mon sexe, mon entrejambe et mon sillon fessier, il commençait à me lécher tendrement en partant de mon anus en et remontant lentement vers le point le plus haut de ma chatte.
Mes jambes tremblaient mais étaient puissamment maintenus par ce géant de Steph qui en un mouvement de reins venait de déposer ses couilles sur front son immense verge couvrant mon nez, ma bouche laissant le gland très largement dépassé de mon menton.
Dans un doux va et vient, d’avant en arrière, il avançait et reculait cet énorme gland qui suintait sur mon menton, mes lèvres, mon nez, mon front pour finir de se noyer dans mes cheveux bruns.
Le bas de ma nuque reposait depuis le début sur le haut du dossier du fauteuil crapaud.
À chaque coup de langue de Jean j’avais tendance à pencher ma tête en arrière qui se retrouvait dans le vide je voyais alors en gros plan l’entre-jambe de mon géant de Steph.
Je prenais alors tout la mesure de la dimension de ses testicules de l’énorme longueur de sa verge, et du diamètre impressionnant de son gland qui était à présent totalement décalotté par son érection.
À n’en pas douter je ne devais pas être la première naïve que ces deux complices avaient invitée dans cet hôtel.
Je voyais Jean se saisir de mes cuisses les pressant au maximum contre ma poitrine, il adressait un coup d’œil à son complice Steph
Le signal était donné, Stéphane lâchait mes chevilles pour se saisir de ma nuque ses immenses mains enveloppait mes tempes et même mes joues il m’inclinait la tête totalement vers le bas et sous la pression de son gland mes lèvres s’écartait au maximum pour lui permettre d’investir ma bouche
Jean venait de replonger immédiatement au cœur de mon œillet totalement humide des caresses de sa langue chaude et brûlante
Mes deux diables d’hommes se coordonnaient. Plus la langue de jean pénétrait mon anus vierge, plus son ami forçait pour prendre possession de ma gorge.
J’avais l’impression d’avoir écarté au maximum ma bouche je pensais alors qu’il n’arriverait pas à ses fins et que son gland ne pourrait jamais pénétrer plus loin.
J’étais naïve et c’était sans compter sur l’expérience de mes deux jeunes amants.
Comment mes amants arrivent à leurs fins
J’avais la bouche totalement investit par l’énorme sexe de Steph dont les allers-retours se faisait de plus en plus pressant lorsqu’il immobilisait son gland au fond de ma gorge.
Il s’adressait alors à Jean.
– Mon Jeannot je pense qu’il va falloir stimuler notre jolie Solange pour l’aider à découvrir le nirvana.
– Tu as raison mon Steph, je pense qu’elle est fin prête pour devenir une amante débridée et torride.
Stéphane empoignait puissamment mes seins pendant que Jean positionnait mes mollets sur ses épaules, je me retrouvais alors avec lui dans la position du missionnaire que je pratiquais régulièrement avec Romain mon mari.
La nouveauté est que j’avais l’énorme sexe de Stéph dont le gland touchait l’entrée de ma gorge.
MA PREMIÈRE SODOMIE
Pour moi Jean allait investir ma chatte, lorsqu’il positionnait son gland à l’entrée de mon anus. Son pouce caressait mon clitoris et je devenais une véritable fontaine.
J’étais prise de tremblements et de gémissements mes seins se gonflaient sous la pression des mains de mon géant tout autant que par le gland de Jean qui venait d’écarter le cercle étroit et vierge de mon œillet.
A chaque millimètre de progression dans mon anus me faisait ouvrir un peu plus la bouche et entraînait inexorablement une pénétration de la verge de Stéph dans la profondeur de ma gorge.
Une fois de plus je gémissais et je m’abandonnais à leurs coups de reins de plus en amples et mon œillet comme ma gorge cédait à chaque aller-retour un peu plus de terrain.
Jean avait depuis le début compris que sa voix et ses mots débridait en moi mes fantasmes les plus profonds et une fois de plus il en usait
– Regardez-moi ça, notre petite Solange qui prend plaisir à se faire sodomiser, regarde mon Stéphane comme nos queues entrent et glissent tendrement de plus en plus profondément dans sa gorge et de son cul. Vois mon ami je ne bouge plus et c’est elle qui vient maintenant s’enculer sur ma bite.
Chaque mot me pénétrait aussi profondément que leurs sexes dans ma gorge et dans mon fondement.
Ces deux inconnus me faisait jouir comme jamais. À présent mes fantasmes, ma gorge et mon cul leur appartenait totalement.
Un sexe énorme au fond de la gorge c’est un filet d’air qui filtrait au milieu de mes gémissements. L’autre sexe était totalement planté dans mon anus distendu qui suintait du liquide abondant de l’excitation de Jean.
À présents je me livrais totalement mes hanches, mon cul, ma bouche se projetaient en avant pour accueillir et profiter à fond de leurs virilités.
Je sentais et j’entendais leurs gémissements. En une fraction de seconde leurs cris résonnaient dans la salle de bains. Ils m’offraient ensemble leurs longues et multiples giclées de jouissances
inondant abondamment ma gorge et mon conduit anal.
Quel pied ! Jamais dans mes rêves et mes fantasmes les plus fous je n’avais imaginé une telle jouissance.
Tous mes tabous venaient de sauter, du moins c’est ce que je pensais.
Y avait-il une suite sur le journal intime de Solange
J’avoue que la lecture de ce texte m’avait terriblement excité.
Je décidais à la première occasion, d’interroger mon ami Romain pour savoir si sa belle et chaude épouse avait écrit dans son journal intime une suite faisant état des tabous qu’elle évoquait en conclusion de son premier récit.
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