Blessé, mais obligé de se déplacer pour apporter son dossier à la mutuelle, il demande au chauffeur de taxi qui transporte habituellement sa mère de le conduire. Celui-ci lui envoie sa compagne, une fille ravissante avec qui l'entente est immédiate...
Proposée le 28/03/2025 par jerome james b
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Fantasme
LA REMPLACANTE
Tout cela s'est passé il y a plus de vingt ans, mais j'en garde toujours un souvenir très fort.
A l'époque, je m'étais sérieusement fait mal. J'étais accro au sport, je le suis toujours, et passionné par les sports de combat. Je m'étais blessé, une fracture du bras, et j'avais été obligé de m'arrêter. Je travaillais dans un autre département que celui dans lequel j'habitais. On m'avait réclamé une tonne de papiers pour une prise en charge par ma mutuelle, et à l'époque, chaque département était indépendant, ils ne communiquaient pas. Et ma mutuelle était liée à mon lieu de travail. Je m'étais donc vu obligé d'amener les papiers assez rapidement. Et bien évidemment, avec mon bras plâtré, je ne risquais pas de conduire.
C'était à ce moment-là que j'avais pensé au chauffeur de ma mère. Il faisait taxi, mais aussi VSL et il amenait ma mère deux fois par an pour une visite de contrôle dans une clinique à la métropole régionale, suite à une opération de dermato. Le médecin avait estimé qu'un suivi était nécessaire.
Il était devenu bien plus qu'un chauffeur pour ma mère.
Toujours anxieuse, ma mère tenait à ce que je l'accompagne lors de ces deux visites annuelles.
Elle venait de fêter ses cinquante ans, mais c'était une très belle femme, autant magnifiée par les années qui lui avaient apporté une sensualité naturelle que par la manière qu'elle avait de se mettre en valeur, avec des tenues que je trouvais osées, mais qui, évidemment, plaisaient à tous les hommes qui la croisaient. Elle était hyper-sexy et Chris, le chauffeur de taxi, n'avait pas les yeux dans sa poche. Si d'ailleurs j'avais pu avoir des doutes quant à son intérêt pour les femmes en général et ma mère en particulier, les discussions que je pouvais avoir avec lui lorsqu'on attendait ma mère étaient édifiantes. Dans un extraordinaire mélange de naïveté, de vulgarité, d'obsession sexuelle et de franchise, il m'avait confié que toutes, ou presque, les femmes l'attiraient, que la vie était courte, et qu'il voulait en avoir le maximum avant de mourir.
Mais ma mère était aussi très en manque. Elle avait divorcé de mon père dix ans plus tôt, un 'connard' selon ses termes, qui était parti et n'avait jamais plus donné de nouvelles. Depuis, elle avait, comme on dit vulgairement 'le feu au cul', à croire qu'entre mon père et elle, sexuellement, ça n'allait pas du tout, et elle développait avec de nombreux hommes des relations sans lendemain, de son propre souhait. Ce qui ne me choquait pas le moins du monde.
Je l'avais très souvent surprise dans un degré très prononcé d'intimité.
Comme une fin d'après-midi avec Chris.
Elle était calée sur lui, la robe roulée à la taille, le string à la cheville, et elle se faisait monter et descendre sur sa queue. J'étais toujours à la fois gêné et troublé, voire fasciné, de trouver ma mère en train de faire l'amour. Elle se donnait toujours à fond, ne retenant rien, gémissant, criant...
Elle m'avait donc proposé que Chris, dont je ne savais à ce moment s'il était encore son amant ou pas, me conduise dans le département voisin. Moyennant finances, bien entendu.
C'était une solution, qui ne m’agréait d'ailleurs que moyennement. Devoir débourser une somme d'argent importante, mais également entendre durant trois heures son discours sur les femmes...J'allais l'appeler, pourtant.
Et c'était une femme qui m'avait appelé.
— Bonjour, je suis Virginie la compagne de Chris. C'est moi qui vais vous conduire. Il ne sera pas disponible. Une équipe de rugby à convoyer.
C'était vrai, je l'avais oublié, qu'il devait une grande partie de ses revenus au transport d'élèves et de sportifs.
J'ai été un peu surpris que Chris ait une compagne. D'après ce qu'il m'avait dit, il allait d'une fille à l'autre. L'une d'entre elles lui avait-elle forcé la main, se fixant chez lui? Ca me surprenait. Mais dans la vie, rien n'est jamais stable, et surtout, j'étais tout à fait convaincu qu'il pouvait très bien avoir une copine à disposition, pour le satisfaire quand il avait envie, et aller ensuite en chercher d'autres, dans son dos, comme il en avait l'habitude. Sa faim de corps féminins et de sexe était insatiable.
On a mis au point les détails du séjour. Pour arriver au siège de la mutuelle, où je devrais déposer une tonne de papiers, il me faudrait une heure et demi. Je lui ai demandé un départ en début de matinée. Je savais qu'il me faudrait rester un moment à la mutuelle, vu l'incompétence des personnes que j'aurais en face de moi.
Je lui ai proposé qu'on mange sur place, avant de revenir. Et dit que je l'invitais. Elle a répondu oui.
Tout était calé et deux jours plus tard, la berline confortable de Chris se garait devant chez moi. J'étais seul à la maison, ma mère était déjà partie travailler.
Je n'oublierai jamais les premières secondes.
Chris aimait le sexe avant tout, et n'était pas très regardant concernant les filles qu'il mettait au bout de sa queue. Vieilles, jeunes, minces, rondes...Je connaissais certaines des filles dont il m'avait parlé, et qui, selon lui, avaient partagé à un moment ou à l'autre sa couche, ou plus simplement lui avaient prodigué des faveurs sexuelles...Ce n'étaient pas des bombasses, loin de là, et pour certaines, même, la notion de charme était un concept plus que flou, à moins d'avoir l'esprit très large.
La porte du conducteur s'est ouverte, La première chose que j'ai aperçu, ça a été deux jambes magnifiques, gainées de nylon, mais prises en dessous du genou par deux bottes luisantes à talon aiguille, et puis aussi une chevelure brune épaisse, longue, luisante de vie.
La fille qui venait me chercher avait un charme fou. Une belle plante, comme on disait autrefois.
J'ai eu le temps de la regarder alors qu'elle approchait de la maison. Grande, brune, avec un visage harmonieux, maquillé, des lunettes qui corrigeaient une myopie, elle portait un manteau ouvert sur un pull jaune canari qui moulait une belle paire de seins, et une jupe noire courte qui mettait en valeur ces belles jambes qui avaient accroché mon regard immédiatement. Elle avait tout pour elle.
Elle a sonné. J'ai été ouvrir.
Un sourire chaleureux. On voyait une fille bien dans sa peau.
— Bonjour, je suis venue vous chercher. On y va?
J'allais monter derrière quand elle m'a dit:
— Vous ne voulez pas monter à côté de moi? Ce sera plus agréable. On pourra discuter. On a à peu près le même âge, on peut se tutoyer, si tu veux.
Au moins, ce ne serait pas un trajet formel.
Je me suis installé à la place du mort, comme on disait autrefois. Il y avait dans l'habitacle une odeur douceâtre que j'ai reconnue, même si je n'avais jamais consommé de drogue. Je fréquentais assez de personnes pour savoir ce dont il s'agissait. Elle avait fumé un joint en arrivant. A l'époque, il n'y avait pas de contrôle pour la drogue.
Elle a glissé sur le siège du conducteur. Je l'ai regardée s'installer, et je n'ai pas été déçu.
Quand on s'installe dans une voiture, sur un siège, les vêtements remontent automatiquement. Une jupe déjà courte au départ...J'ai découvert que le nylon qui gainait ses cuisses n'était pas celui d'un collant, mais de bas stay-up, L'élastique qui leur permettait de tenir, orné de dentelle, était à mi-cuisse. Ce que j'ai pu voir aussi, c'était qu'elle n'avait pas de slip. Un sexe, nu, une fente qui découpait sa chair en deux, dont sortaient deux grand morceaux de lèvre, dont le dessin n'était pas identique. Une chair longue et froissée. Elle avait un sexe proéminent, à l'image d'ailleurs de son pubis et dans la ligne droite de celui-ci. Ce qui m'a séduit, c'était, à rebours de la mode actuelle, que j'adorais les filles qui avaient des poils, et il y avait sous mes yeux une vraie toison riche, fournie, même si un rasoir ou tout autre ustensile avait du la redessiner dans un triangle plus impeccable que ça n'aurait été le cas en réalité.
Je me suis senti gêné. J'allais détourner le regard, mais elle m'a dit:
— Tu peux regarder, tu sais. Je n'ai pas de pudeur, et je ne t'en voudrai pas. C'est naturel de regarder le sexe opposé.
Il y a eu un moment où tout s'est figé, j'ai regardé, encouragé, sans fausse honte, Elle s'est finalement soulevée pour descendre sa jupe dont l'ourlet s'arrêtait juste en dessous de l'élastique orné de dentelle. Se masquant ainsi. Mais l'image était restée imprimée sur ma rétine, et elle le serait longtemps dans ma mémoire.
— Je mets pas souvent de slip. Sauf quand j'ai mes règles. J'aime les sensations qu'on a quand on a le sexe nu. C'est hyper-agréable.
— Ca trouble les hommes, non?
— Quand ils le remarquent, oui. Avec quelque chose de court. Sous un pantalon ou une robe longue non...
— Ca a du plaire à Chris, j'ai dit, alors qu'elle démarrait.
--Chris, il aime le sexe. C'est un partenaire parfait pour une fille qui comme moi, n'est pas coincée, et aime avoir du plaisir. Il a une queue énorme, et il me la prête pour faire plein de choses. Je passe de super moments avec lui.
Oui, effectivement, elle avait peu de pudeur. Chris et elle s'étaient sans doute bien trouvés.
On est partis le long de la départementale. Un peu plus loin il y avait l'autoroute,, qui aboutirait à la métropole, à partir de laquelle il faudrait prendre une autre branche pour arriver à A...
Elle parlait facilement, naturelle et spontanée. Elle m'a expliqué qu'elle avait arrêté les études très tôt, qu'elle ne supportait plus, Elle était partie sur divers métiers. Actuellement, elle travaillait dans la restauration. Ca lui plaisait bien, et elle envisageait à terme de tenir un restaurant.
— Et je fais aussi le taxi à mes moments perdus pour Chris.
On venait de sortir de la branche d'autoroute qui amenait à la métropole quand elle m'a dit, alors qu'on prenait le périph pour rejoindre l'autre autoroute:
— Il faut que tu sois à ta mutuelle à quelle heure?
— Avant midi, ça m'évitera de rester pour l'après-midi.
— On est dans les temps ?
— Largement.
— On pourrait prendre un quart d'heure pour un café. Et je pourrai m'occuper de ta queue, si tu veux.
Je ne me suis même pas posé la question de savoir si j'avais bien entendu.
— Je vois qu'elle gonfle ton pantalon, et je pense qu'elle aurait envie de quelques caresses.
Difficile de ne pas bander quand on était assis à côté d'une aussi jolie fille. Même si je ne m'étais pas rendu compte que c'est visible. Plutôt que posé sur moi, mon regard était accroché à cette silhouette impeccable.
— Si tu as envie de me toucher, tu peux, tu sais. Ça me fera plaisir et du bien.
Il ne fallait pas me le dire deux fois. Il y a des envies auxquelles on s'efforce de résister, mais si jamais la digue cède... Je suis venu poser ma main sur sa cuisse, m'enivrant des sensations qui m'ont envahi, remontant le long de mon bras et dans tout mon corps. Le contact du nylon, souple et électrique, et cette chaleur, intense, qui m'a envahi. J'ai caressé doucement sa cuisse, descendant jusqu'au genou, remontant sans oser aller jusqu'au-delà de la lisière du bas. Mais c'était déjà beaucoup.
Il y avait effectivement une station avec une aire commerciale et un parking sur notre trajet. Et on pouvait s'arrêter un quart d'heure. J'allais descendre quand elle m'a dit:
— Attends!
Elle avait coupé le contact et s'était tournée vers moi. Nimbée par le soleil, elle était magnifique. Sa jupe, qu'elle avait retroussée, était remontée sur ses hanches.
— Regarde bien, tu y penseras quand tu te branleras...
Elle a planté ses deux index dans sa fente et elle s'est ouverte. Elle m'a laissé voir un intérieur rose, parois lubrifiées, avec tout au fond son utérus. Et pas deux secondes. En me donnant vraiment du temps pour profiter de la vision paradisiaque qu'elle m'offrait. Si jamais, avant, mon érection déformait mon pantalon, ce n'était rien comparé à maintenant. J'avais la chance d'avoir un blouson long qui masquerait mon érection.
Il y avait un coin cafétéria. J'ai été chercher deux cafés. Surprise, les prix étaient moyennement prohibitifs. Je suis revenu avec mon butin. Elle était calée à une table.
— Merci pour le café.
Elle avait de la suite dans les idées, et peut-être l'envie de me remercier. Ses mains ont glissé sous la table et elle est venue chercher, avec beaucoup d'habileté, ma queue, pour la sortir de mon pantalon, et la masturber doucement.
— Hmmm...Tu as une belle queue dis donc. Bien longue et bien épaisse.
— Celle de Chris ne te suffit pas, je lui ai demandé.
— Tu sais, les queues, on n'en a jamais assez. J'aime la diversité. D'amants, d'expériences sexuelles. Je suis encore jeune, et j'ai envie de goûter à tout. Sans complexe. Je ne me fais pas d'illusion sur Chris et sur le couple que nous formons. C'est l'affaire d'un moment. Nous ne resterons pas ensemble. Je n'y tiens pas. Il veut se donner l'apparence d'un couple parce que, mine de rien, il est inquiet de ne pas être stable à 29 ans. De la sorte, il est rassuré, et il peut aller baiser toutes les filles qu'il veut. Moi, je me lasse vite, et, quand j'ai fait le tour, je m'en vais.
Sa masturbation me ramenait loin en arrière, à l'adolescence, quand une copine à qui je tenais beaucoup, et c'était réciproque, me masturbait, elle avait envie de sexe et moi aussi, mais très peur que même avec la pilule, elle ne tombe enceinte. A force, elle avait acquis un savoir-faire que j'espérais lui rendre en lui faisant, moi des cunnis. Et je retrouvais, à des années d'intervalle, cette même habileté.
— Je ne suis pas pressée de rentrer. Je n'ai rien à faire de particulier aujourd'hui. Ça te dit qu'après le repas, on prenne une piaule dans un hôtel. J'ai envie que tu me baises. Ces derniers temps, il n'y a que la queue de Chris qui me pénètre, et j'ai envie d'autre chose. Tu me plais.
J'ai eu envie de lui répondre que c'était réciproque, mais je me suis tu. Je trouvais ça ridicule de lui dire, alors qu'elle était bien consciente qu'elle plaisait à tous les hommes qu'elle croisait, de 7 à 77 ans, on aurait pu dire.
— Dis donc, tu aimes bien te faire branler. Ta queue s'est bien dilatée...Qu'elle est grosse...J'ai envie de la sentir dans mon ventre...Mais tu vas être en retard...
Elle est parvenue à la refourrer dans mon pantalon et on a repris la voiture. Elle ne faisait pas que branler bien. Elle conduisait également bien, et on est arrivés à l'heure que j'avais prévue. J'aurais largement le temps s'il y avait des complications.
A partir de l'accueil, on m'a guidé vers un bureau où une femme d'âge mûr, blonde, en tailleur, plutôt sexy elle aussi, m'a accueilli et a examiné tous mes papiers. Apparemment, tout collait et je suis reparti vers ma conductrice qui m'attendait, appuyée contre le véhicule, en lisant le journal. En la voyant, ma verge a retrouvé toute sa fermeté.
— Et si tu me prenais maintenant? Contre la voiture? Je suis sure que ça ne t’empêchera pas de me baiser à nouveau cet après-midi.
Et pour m'encourager, elle s'est retournée, collée contre le véhicule, soulevant sa jupe pour me présenter sa croupe, charnue et ultra-rebondie. On était en plein milieu d'une rue pavillonnaire, la mutuelle constituant le seul bâtiment public...Il n'y avait personne...Sans doute des gens chez eux, aux fenêtres. Elle s'en fichait parfaitement. Ou alors, elle aimait s'exhiber...Je partais plutôt pour la deuxième option. C'était en tout cas ce que me disaient les filaments de mouille qui pendaient d'une vulve à présent entrouverte sur un intérieur tout rose. Et eux qui m'ont donné une envie à laquelle je n'ai pas pu résister. Tant pis si on nous voyait! Tant pis, quels que soient les risques.
— Attrape une capote dans mon sac...Je prends la pilule, mais j'ai peur de choper une MST, alors tous mes partenaires sont couverts.
Elle s'est penchée un peu plus en avant, cambrant ses fesses vers moi. J'étais en feu et je n'avais plus qu'une envie: la pénétrer. J'ai trouvé une boite de préservatifs ouverte et je me suis gainé rapidement de latex.
Un instant, je pensais encore à tout ce qui m'entourait. L'instant d'après, je faisais glisser ma queue dilatée dans le sexe de la jolie blonde, appuyant sur ses lèvres, puis poussant. C'est bien rentré, et j'ai éprouvé immédiatement, alors que je glissais dans la gaine chaude et abondamment mouillée un plaisir intense. Plaisir partagé, à en juger par le petit gémissement qu'elle a poussé et la manière dont son corps s'est tendu. On avait autant envie l'un que l'autre. Je l'ai fouillée, faisant aller et venir ma queue en elle. C'était vraiment très bon, mais je n'aurais pas imaginé qu'il en soit autrement, et on était tellement excités, tellement aussi dans l'attente de ce moment depuis qu'on avait fait connaissance qu'on a joui très vite...Il y aurait plus de lenteur l'après-midi...Elle a crié: 'Oh, putain, je suis entrain de jouir!' et son corps a été traversé par un orgasme puissant, et moi, je l'ai accompagnée, ma semence venant cogner contre les parois internes de sa vulve.
J'ai reculé, et je me suis dégagé d'elle. On avait joué avec le feu. Mieux valait ne pas traîner sur les lieux. Un coup de folie. Elle a laissé retomber sa jupe, masquant son intimité, mais est venue récupérer le préservatif, le faisant glisser le long de ma queue, tout en prenant le temps, pour garder la semence accumulée au fond du latex. Une fois le préservatif récupéré, elle l'a étiré et elle a lapé le sperme, gourmandise suprême, pour laisser un latex parfaitement récuré.
C'est à ce moment qu'une vieille femme a ouvert sa fenêtre, du pavillon d'en face et nous a apostrophés. Sa voix portait ce qui semblait être réelle colère. Une femme sans âge, chevelure brune due à la tenture, avec des lunettes aux verres épais, qui s'est mise à hurler.
--Vous êtes dégueulasses! Vous n'avez pas honte! Baiser comme ça devant tout le monde !
Très calmement, Virginie lui a répondu:
--Tu es jalouse, hein connasse...Ca fait longtemps que tu ne t'es plus faite baiser, toi...Et ce ne sera plus le cas, parce que tu vieille et moche.
Qui lui a cloué le bec.
On a repris la route. Je me sentais soulagé. Et pas seulement de quelques rasades de sperme. J'avais donné les papiers, et ma situation était clarifiée.
--On cherche un restaurant ?, j'ai proposé.
Il était pas loin de midi, et j'étais de bonne humeur. Avec encore autour de ma queue la sensation de sa vulve, chaude et humide. Je n'avais pas imaginé que le trajet puisse se faire dans ces conditions.
Dans le centre-ville, on a trouvé un restaurant qui semblait accueillant et où on pourrait bien manger. On s'est garés un peu plus loin.
--Après, tu es toujours d'accord pour qu'on passe un moment à l'hôtel?, elle m'a demandé, au moment de descendre. J'ai vraiment envie de baiser aujourd'hui...Ta queue dans mon ventre, c'était bon.
Elle me l'a rappelé pendant le repas, son pied botté venant appuyer contre ma jambe, remontant contre ma cuisse, pour masser une queue qui n'avait pas vraiment débandé même après que j'aie joui. Elle était très attirante, bien sur, mais aussi et surtout, elle aimait le sexe comme aucune autre fille que je n'avais jamais connu avant et que je ne pourrais connaître par la suite. Un moment trop bref, à marquer d'une pierre blanche, et que je n'oublierais pas de sitôt. Dire que je n'avais vraiment pas envie de m'engager dans ce trajet... On ne sait jamais ce qui nous attend. Ce peut être pour le pire...Ou pour le meilleur.
On n'a pas eu à chercher bien loin. Un peu plus haut que le restaurant, il y avait un grand hôtel qui avait apparemment un passé glorieux derrière lui, mais un présent qui l'était moins. Les lieux, sombres, respiraient l'abandon. Un homme, la cinquantaine, la mine lasse est apparu. On lui a demandé s'il y avait une chambre de libre.
— Il faut payer d'avance.
J'ai compris , à voir passer près de nous une ravissante Eurasienne vêtue d'une robe aussi courte que moulante, et avec une paire de cuissardes, bottes plus longues mais pas tellement différentes de celles de Virginie que l'hôtel devait en partie sa survie aux jeunes femmes de petite vertu, comme on disait autrefois, qui amenaient leurs clients ici. J'étais obnubilé par Virginie. C'est seulement en sortant que j'ai remarqué que, sur l'immense place, une équipe d'Eurasiennes court-vêtues attendaient le client et tentaient de séduire les hommes qui passaient.
On s'est engagés dans un long couloir, sur la gauche, longeant des chambres. On a eu le temps d'apercevoir, par la porte mal fermée de l'une des chambres, la jeune femme qui était passée derrière nous avec son client quelques instants plus tôt, engagée dans une fellation, sa langue caressant la verge gorgée de sang de son client. Elle avait une expression appliquée. C'était troublant, mais moins sans doute que de voir quelques instants plus tard, une fois qu'on a été dans la chambre, Virginie remonter sa robe le long de son corps, révélant sa nudité. Elle avait un soutien-gorge rouge que j'avais déjà aperçu, et son corps nu, même si je l'avais déjà largement entrevu est venu me percuter de plein fouet. Dans la limite de ces quatre murs, coupés du monde, l'envie a explosé entre nous, déjà latente jusqu'à présent, mais pouvant là s'épanouir en pleine liberté. Elle s'est laissée glisser sur le lit, sur le dos, et m'a dit simplement:
— Viens!
Ça venir, j'en avais envie. J'ai posé mes mains sur ses chevilles, enveloppées par le cuir de ses bottes, et je suis remonté le long de la matière lisse et froide, Sensation que j'aimais, sur laquelle s'est enchaînée celle du nylon des bas, traversé par la chaleur...Une autre sensation qui me ravissait. Ma queue, collée à mon ventre, était douloureuse de désir.
Son sexe, offert, dans ma ligne de mire, n'avait plus rien à voir avec la fente close, sèche dont sortaient deux bouts de lèvre. Il était bien ouvert, ses liquides intimes coulaient, trempant l'intérieur, mais aussi l'extérieur, ses lèvres et son gland clitoridien tout gonflés, gorgés de sang. Me laissant la caresser comme j'avais envie, elle s'est mise à se masturber, dans un geste classique pour pas mal de filles, faisant tourner ses doigts sur son gland clitoridien, déjà dilaté à éclater.
Je suis passé sur la partie nue de ses cuisses. Chair chaude et douce, Je suis venu l'empoigner par les fesses, et j'ai fait glisser ma langue en travers de ses lèvres, la caressant avec de l'application et l'envie de lui donner du plaisir. Elle a gémi.
— Putain, tu lèches bien...Chris, lui, il ne fait jamais de cunni. Il ne pense qu'à me bourriquer. C'est bon...
Il n 'y a pas eu un millimètre carré de sa chatte que je n'ai pas caressé de la langue. Voulant varier les plaisirs, et lui en donner un maximum, j'ai enfoncé ma langue en elle, allant aussi loin que je pouvais, au contact de son intérieur, de sa muqueuse douce et suave, lapant ses jus et m'en abreuvant, avant de remonter sur son gland clitoridien, dont la grosseur me fascinait, pour le sucer Je savais que c'était une partie sensible. J'en ai eu la preuve quand elle a crié, au bout de quelques secondes seulement:
— Ah, je vais jouir...C'est trop bon continue, ne te relâche pas !
J'ai eu la confirmation dans les secondes qui ont suivi, même si le clitoris c'était en fait une couronne à l'intérieur du sexe féminin, le gland était une zone ultra-sensible, d'autant plus facile à atteindre qu'elle était externe. Elle s'est tordue, a crié, éjaculant à plusieurs reprises un liquide blanc qui ressemblait à du sperme, mais n'en était pas, et nous a trempés tous les deux.
Le temps de reprendre ses idées, elle a basculé à quatre pattes sur le lit. Je me suis dit qu'il fallait que je grave dans ma mémoire cette journée, et tous ces moments, qui avaient été si forts. Dont celui-ci. Elle était totalement offerte, son ventre tendu vers moi, sa croupe pleine, charnue ouverte sur son anus, sa vulve, plus bas, aussi à ma disposition. Son visage tourné vers moi, elle me souriait, et ce sourire me disait: 'Tu peux me faire ce que tu veux, je serai d'accord.'
Elle avait déposé la boite de préservatifs sur le lit. Je me suis gainé de latex, et je me suis positionné derrière elle, faisant glisser ma queue en elle, très lentement, jusqu'à ce que mon gland vienne cogner son utérus. Son ventre était brûlant, dans lequel j'ai pris mes aises, et bougé, la caressant et me procurant du plaisir. On était totalement coupés du monde dans cette chambre d'hôtel, ensemble, vraiment ensemble. Ce n'était qu'une parenthèse, et je me suis pris à la regretter.
Elle m'a soufflé:
— Sodomise-moi. J'en ai très envie. J'adore me faire prendre par le cul. C'est un plaisir très fort, et je ne suis pas sûre que je ne jouis pas mieux par le cul que par la chatte. J'ai commencé le sexe comme ça, après avoir branlé et sucé des dizaines de copains...Mon chéri voulait absolument me pénétrer, mais j'avais trop peur que, même avec pilule et capote, il me mette en cloque. Alors je l'ai guidé vers mon cul...Pendant deux ans, il est venu en moi par là, et j'y ai pris...Tellement de plaisir...Dès que je peux et que je trouve un partenaire qui n'est pas offusqué...Mais avec Chris pas de problème...Il est comme pas mal d'hommes...Il ne pense qu'à enculer toutes les filles...
Je suis venu poser mon gland dilaté, enveloppé par le latex trempé contre sa muqueuse anale...J'ai appuyé et je suis rentré très facilement...La muqueuse était tellement souple que je n'ai pas senti l'ombre d'un blocage, si léger soit-il. Ma verge a glissé dans le conduit étroit, le remplissant. Elle a gémi son plaisir. Etre dans sa voie rectale, c'était être dans quelque chose de serré qui vous caressait implacablement et vous donnait un plaisir qui n'était pas forcément plus fort, mais dont la singularité faisait la puissance. Elle ne laissait pas sa vulve au repos, se masturbant fébrilement, sa main tournant, entre ses lèvres et son gland clitoridien. Je l'ai fouillée en sentant son plaisir monter, son corps réagir, jusqu'à ce qu'on jouisse, elle en premier secouée par plusieurs orgasmes, éjaculant comme plus tôt un liquide blanc et crémeux, moi tenant autant que possible, mais finissant par jouir, en la faisant jouir à nouveau, son corps agité par des soubresauts à chaque nouveau jaillissement de sperme.
Je me suis retiré d'elle. Le préservatif était souillé, mais ça ne l'a pas empêchée de le récupérer et d'en laper le fond.
On s'est regardés. On avait encore envie. Etait-ce la preuve qu'on était bien assortis? Ma queue, bien que j'aie joui, était en pleine érection, et son regard et sa chatte béante disaient qu'on n'avait pas épuisé notre envie de sexe. On a basculé pour un 69, elle travaillant ma queue et mes couilles de la langue, moi attaquant son sexe, mais sous un autre angle. On a joui plusieurs fois, jusqu'à être épuisés.
Il fallait rentrer.
On a repris la route. En silence. Mais un silence qui n'avait rien d'un antagonisme. Au contraire. Un silence heureux, apaisé, un silence dans lequel on se sentait proches. Un moment de grâce avant de reprendre chacun nos vies séparées. Avec, en ce qui me concernait, le regret que ce ne soit qu'un moment. Si bref. Je me sentais plus d'affinités avec elle, et pas uniquement sur le plan du sexe, qu'avec pas mal de filles connues ces dernières années.
Elle s'est garée devant chez moi sur le coup de 16 heures 30.
On s'est regardés.
— Un dernier cadeau, comme ça tu penseras un peu à moi...Au moins en te branlant.
Elle s'est mise à quatre pattes sur son siège, soulevant son manteau et sa jupe, m'offrant une dernière vision de son intimité. Je crois que j'aurais pu encore lui faire plein de choses. Et qu'elle en avait sans doute envie.
Je suis descendu. Je n'avais rien à payer, Chris m'enverrait la facture et je paierais à ce moment-là.
Je me suis éloigné sans me retourner. Séparation difficile, en tout cas pour moi.
J'ai repris mon poste trois semaines plus tard, changeant de département, laissant derrière moi ma mère et ses amants. Je l'avais surprise avec le dernier en date en me rendant chez elle, je voulais lui offrir un cadeau pour son annif. Elle s'était auto-fait un cadeau. Un jeune dont elle suçait avidement la queue. Je m'étais éclipsé en laissant le cadeau devant sa porte.
Assez curieusement, je n'étais pas passé à autre chose. Et pourtant, Virginie n'avait rien à faire dans ma vie. Mais je n'avais pas connu avant une telle harmonie, et pas seulement sur le plan sexuel, même si ces moments de plaisir étaient inoubliables.
Un autre mois a passé. J'avais toujours envie, en tout cas une envie qui ne m'était pas passée, de revoir Virginie. Je n'avais pas eu le temps de revenir dans mon département d'origine. Je me disais que même si elle était maquée, elle aurait peut-être envie de me revoir. Peut-être. Je n'en étais même pas sûr. Possible qu'après tout, elle se soit satisfaite de cet unique moment ensemble.
Un matin, j'allais partir au travail, ce jour-là, je démarrais vers dix heures, il devait être neuf heures, et on a sonné à la porte. Je n'attendais personne, j'ai été ouvrir, en me demandant qui c'était.
Virginie se tenait devant moi. Toujours aussi, sinon plus resplendissante. Sa beauté, sa sensualité m'ont percuté de plein fouet, comme si un TGV m'était rentré dedans. Un blouson de cuir sur un débardeur que ses seins tendaient, un pantalon en vinyle hyper-moulant et des bottes noires à talon aiguille...Elle savait toujours se mettre en valeur.
— Je ne suis plus avec Chris...Depuis une semaine...On ne s'entendait plus...Ça a basculé après qu'on se soit vu toi et moi. On ne s'est vus qu'une journée, mais ce qui s'est passé entre toi et moi a mis en lumière ce que je ne voulais pas voir jusqu'à ce moment. Je restais avec lui surtout parce que je ne voulais pas être seule. Maintenant, je préférerai rester seule qu'aller avec n'importe qui.
Mais voilà, ça me taraudait de te revoir. J'aimerais savoir si entre toi et moi, il peut y avoir quelque chose de viable...Ou non...
Au-delà de ses paroles, qui laissaient entendre une attitude mesurée, elle a craqué, et est venue chercher ma bouche, plaquant son corps contre le mien. J'ai senti sa chaleur, le volume de son corps. Elle sans aucun doute ma verge en pleine érection.
— Viens, j'ai envie que tu me baises, là, maintenant.
— J'ai pas vraiment le temps.
— Tu seras en retard.
C'était vrai que je partais toujours en avance...Et puis, il fallait bien que je le reconnaisse, j'étais submergé par l'envie.
— Depuis cette journée, je ne pensais plus qu'à ce qu'on avait vécu ensemble, et quand il me baisait, je trouvais ça tellement fade...
Je me suis accroupi et j'ai descendu son pantalon. Dessous, contrairement à ce que j'aurais pu attendre, elle avait un string, qui au niveau de son sexe, était trempé et transparent. Je l'ai caressée à travers le tissu, l'enfonçant entre ses lèvres et la faisant gémir. Je l'ai faite pivoter par les hanches, parce que je voulais voir comment le string se posait sur son cul plein et rebondi. Le tissu ceinturait ses hanches, avant de venir se perdre et de disparaître dans son sillon fessier. J'ai descendu doucement le sous-vêtement, appuyé sur ses fesses pour les ouvrir et je suis venu titiller sa muqueuse anale de ma langue. Elle a crié de plaisir pendant que je la caressais buccalement.
— Ah, mon Dieu, tu sais t'y prendre...Viens, maintenant que tu y as mis ta langue, mets-y ta queue.
Elle s'est laissée glisser à genoux sur le divan, sa croupe tendue vers moi. Tremblant de fébrilité et d'envie, j'ai été chercher un préservatif dans son sac. Deux secondes plus tard, je la sodomisais, rentrant doucement dans son rectum, avant de la fouiller. On était tous les deux fous d'envie et de frustration, et on a joui quasiment immédiatement, sans pour autant s'arrêter, allant au bout de nos orgasmes jusqu'à n'en plus pouvoir.
— Il faut que j'y aille, j'ai dit, en me redressant, à moitié assommé de plaisir.
— Je t'attends, si tu veux.
Avant de refermer la porte, j'ai jeté un dernier regard sur elle, à moitié nue, alanguie sur le divan, qui s'endormait. Je revenais en milieu d'après-midi. Avions-nous un avenir ensemble? Il faut croire que oui, puisque, vingt ans après, on est toujours ensemble.
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