Amélie Pochetti, La Remplaçante (Chap 1)

Il est tard, il fait froid, je n'ai pas envie d'aller en interro de mathématiques. Amélie Pochetti, la remplaçante de notre professeur, pourrait me faire changer d'avis.

Proposée le 10/10/2022 par Madoral

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman

Je n’ai pas envie d’y aller.
Il y a quelques mois, je suis rentré en première année de classe préparatoire. Ce soir, dans le froid de décembre, mes deux camarades et moi marchons vers la salle de colles. Nous sommes mardi soir, et comme toutes les semaines, nous devons nous soumettre à cet exercice laborieux. Pendant une heure, debout devant le tableau, nous devons résoudre des exercices de mathématiques dictés par un professeur assis au premier rang. Mathieu et Titouan qui m’accompagnent sont bien plus doués que moi dans cette interrogation orale censée “valider nos acquis” selon Madame Servi, notre professeur de mathématiques.


En attendant notre tour devant la salle, Titouan nous raconte sa dernière conquête, Emma, une fille de notre classe d’origine italienne. Emma a une poitrine qui ferait bander n’importe qui. Toujours moulés dans des hauts serrés, ses seins attirent tous les regards des garçons de la classe. Sous le tissu, on aperçoit sans cesse ses tétons pointer "Ils sont énormes, je l’ai chopé samedi dernier”, jure Titouan en souriant.
Tout ce qu’il raconte est probablement vrai, c’est le beau gosse de la classe.


Son récit est coupé par le groupe précédent qui sort de la salle de colles. Ils ont l’air dépité. C’est une nouvelle professeur qui assure le remplacement de Madame Servi pour cette interrogation orale. “Elle est sévère”, nous résume Marie, une des premières de la classe.


Je pense encore aux seins rebondis d’Emma en entrant dans la salle. Au premier rang, la nouvelle professeur me sort vite de ma rêverie.
Assise sur la table, les jambes croisées, elle réajuste sa jupe à notre entrée. “Bonjour, je suis Amélie Pochetti, commence-t-elle, sûre d’elle. Je remplace Madame Servi cette semaine.”


Nous nous regardons avec mes deux compères, nous sommes tous du même avis. Cette nouvelle professeur fait passer Emma pour une jeune étudiante sainte-ni-touche. De la tête aux pieds, Amélie Pochetti est une créature quasi parfaite. Ses yeux d’un bleu azur tranche avec sa peau tannée. Même sous son pull col roulé, ses formes laissent deviner une poitrine plantureuse. “90D”, chuchote Titouan en connaisseur.
De grandes cuissardes en cuir qui remontent sur ses jambes habillées d’un collant noir finissent de m’exciter.
Sans m’en rendre compte, je bande déjà. Ma queue pousse sur la braguette de mon jean. “Je ne suis pas beaucoup plus vieille que vous, vous pouvez m’appeler Amélie !”, ajoute-elle en me jetant un coup d'œil. “Au boulot, chacun une partie du tableau, voilà vos exercices”, lâche-t-elle en nous tendant à chacun une feuille où se mêlent les équations.


Le calvaire commence. Le temps file. Quand Mathieu et Titouan enchaînent les exercices, je n’arrive à rien. Je ne pense qu’à cette professeur, assise juste là, dans mon dos. Je la sens soudain s’approcher. “Alors ? Tu n’es qu’au premier exercice?”, me glisse-t-elle en passant derrière moi. Je sens ses seins me frôler. Je regarde la pendule. Il ne reste que quelques minutes avant la fin de l’interrogation. “Tu devrais utiliser la loi binomiale, tu pourras peut-être finir ton exercice”, me conseille-t-elle en me regardant droit dans les yeux. Malheureusement pour l’exercice, je n’arrive plus à réfléchir, troublé par son corps nu que j’imagine sous ses vêtements.
La cloche sonne. Mathieu et Titouan effacent leurs parties du tableau.

Les deux s’en sortent avec une bonne note et quelques conseils de révision. Vient mon tour. “Tu n’es pas très doué en maths si ?”, me questionne celle sur qui je fantasme depuis maintenant une heure. Je bafouille une réponse inaudible. Elle sourit en s’asseyant sur le bureau. Dans cette position, j'entre aperçois son entrejambe. Juste le temps de voir un tissu en dentelle dessiner une chatte aux lèvres gonflées et elle croise de nouveau les jambes. Mathieu et Titouan sont déjà à la porte, prêts à partir pour le restaurant universitaire. Le service du soir finit dans quelques minutes. “On se rejoint à l’entrée du self”, lâchent mes deux camarades avant de se sauver.


En tête à tête avec cette prof inconnue, mon excitation monte d’un cran. “Il faudrait être plus concentré”, murmure Amélie Pochetti en se relevant. Elle jette un coup d’oeil à la bosse que dessine mon sexe sous mon jean. Cette fois-ci, elle ne peut pas le louper. Je bande fort.
Elle sourit. “Oh je vois, lance-t-elle en se rapprochant. Les maths ne sont peut-être pas ta priorité.”
Elle n’est plus qu’à quelques centimètres de moi quand elle saisit ma main et la pose sur son sein droit en chuchotant : “C’est ce que tu attends depuis le début non?”


Si elle savait. Sa main sur la mienne, elle la presse un peu plus contre sa poitrine. Je sens son téton durcir sous son pull. De sa main libre, elle caresse ma queue à travers mon jean. Devant mon étonnement, elle sourit un peu plus. Elle jubile. En un rien de temps, mon pantalon glisse sur mes chevilles. A la fois excité par cette nouvelle expérience et paniqué à l’idée qu’on nous surprenne dans cette salle de classe, j’ai le souffle court. Ma professeur du jour ne semble pas s’en inquiéter. D’une main experte, elle me branle doucement avant de s’agenouiller et d’engloutir mon gland.


Je gémis. Elle aussi. Je la vois se caresser les seins. Je sens les veines de ma queue se contracter sous ses doigts. Elle accélère le rythme. Elle me branle et me suce plus vite, plus fort.
Je sens ma queue se contracter avant de voir mon sperme gicler. Une partie finit sur le col de son pull.


Je ne sais plus où me mettre. Elle se relève et s’essuie la commissure des lèvres du revers de sa main. Elle lisse sa jupe et époussette son collant rapidement. J’arrive à peine à parler. “Excusez-moi” réussis-je à glisser avant de remonter mon pantalon. “Tout le plaisir était pour moi” me sourit-elle en enfilant son manteau et en rassemblant ses affaires. Mathieu et Titouan ne me croiront jamais.

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