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Derrière le miroir, la salope... comment je suis devenue sa chienne

Ma transformation de femme prude à soumise par un agent de sécurité sur mon lieu de travail. Récit de chaque séance de soumission imposé par mon Maître.

Proposée le 11/03/2025 par EmilieSoumise

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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Chapitre 1 : Comment il a fait de moi sa chienne

Le titre est un peu crû, mais telle est la vérité sur mon changement de vie depuis cet été.
Pourquoi ne l’écris-je que maintenant, plus de 6 mois après ?
Parce que mon Maître l’a exigé. Il m’a ordonné de coucher sur papier, enfin, sur le net, mon dressage et ma transformation de petite secrétaire à l’apparence sage en la salope qu’il a révélée.
Je devrais me sentir gênée, mais non, au contraire… je mouille déjà à l’idée des lecteurs qui se masturberont sur mes récits en imaginant être à la place de mon Maître et aux lectrices qui envieront sans doute ma position d’objet sexuel… ne vous mentez pas, certaines ont ce désir profond mais n’ose pas l’admettre.

Voici comment tout a commencé…

* * * * *

Je m’appelle Emilie, enfin, c’est le pseudo choisi par mon Maître pour préserver mon anonymat, évidemment.
La quarantaine légèrement passée, je suis la mère d’un garçon de 20 ans et d’une jeune fille de 18 ans. Oui, je les ai eus assez jeunes, car c’était le désir de mon mari et je ne souhaitais qu’une chose, le combler.

Malheureusement, une fois ce devoir conjugal accompli, il ne m’a touchée que plus rarement, histoire d’entretenir la machine comme il disait. Finalement, cela ne me dérangeait pas : le sexe avec lui relevait plus du calvaire et de la routine que la super éclate : même position, même pièce, aucune frivolité, aucune imagination. J’ai bien essayé de pimenter notre vie sexuelle par des tenues sexy, des scénarios que j’élaborais dans mon coin, mais il se contentait de me lancer un regard méprisant, me traitant de dépravée.

J’ai fini par ranger mes fantasmes dans une boîte et de les oubliés.
Mes deux grossesses n’ont pas trop abîmé mon corps. Même si je garde quelques rondeurs et vergetures, mes seins sont toujours aussi ronds et fermes, comme mes fesses. Il faut dire que je fais régulièrement de la gym à la maison, au moins 1 heure tous les soirs… Mais Charles, mon mari, me rabroue à chaque fois trouvant cela ridicule. Je m’en moque : la gym intense me permet de garder un corps souple et ferme et me fait oublier ses vilaines remarques.

Je travaille comme secrétaire médicale dans un grand hôpital. Je partage mon bureau avec 2 autres secrétaires avec qui je m’entends plutôt bien. Les 4 médecins dont je gère les agendas et les courriers sont plutôt sympas. Bref, c’est un plaisir de travailler dans ces conditions.

Mais, j’ai une autre raison d’aimer mon travail. C’est pour ma pause entre 12h30 et 14h, celle que j’attends avec impatience. Alors que mes collèges vont déjeuner au self, j’apporte toujours mon repas (avec l’excuse de surveiller ce que je mange).

Puis, entre 13h et 13h45, c’est ma pause plaisir.

Je prends l’ascenseur jusqu’au 6ème étage, étage fermé depuis plusieurs semaines en raison de travaux (qui, soit dit en passant, n’ont jamais commencé). Je m’enferme dans les toilettes « handicapé » et m’y livre à mon rituel.

J’ouvre mon chemisier et sors mes seins des bonnets de mon soutien-gorge. Puis, je relève ma jupe autour de ma taille, retire ma petite culotte avant de m’agenouiller sur le carrelage dur et froid. Je sors mon gode ventouse que je garde précieusement dans mon tiroir fermé à clé. Je le fixe sur le couvercle de la lunette des WC

Mes mains englobent mes seins, les malaxent avec force. Mes doigts pincent mes tétons jusqu’à m’arracher un gémissement où se mêlent délicatement douleur et plaisir. Puis, l’une de mes mains descend sur mon sexe mouillé d’excitation et je me doigte, 1, puis 2, puis 3 et 4 doigts profondément enfoncés dans mon vagin. J’aime sentir mes chairs moelleuses étirées, ma cyprine couler sur mes doigts qui vont et viennent lentement. Mon regard reste fixé sur mon gode : 4 cm de diamètre pour 20 de longueur. Mon cœur bat à l’idée de m’empaler dessus, comme tous les midis de la semaine. Si seulement ça pouvait être une vraie bite ! Mais je dois m’en contenter.

Je me lève et me place au-dessus de l’objet de mon plaisir. Je me laisse m’empaler dessus, appréciant chaque centimètre qui me pénètre. Puis, prenant appui sur les barres de chaque côté des toilettes, je me lance dans des mouvements de va-et-vient, lents et profonds. Je ne retiens pas mes gémissements : personne ne vient jamais ici. Je chevauche mon gode en ondulant du bassin, variant la vitesse pour éviter de jouir trop vite. Je sens mon jus couler de plus en plus sur mon gode. Que penseraient mes collègues si elles me voyaient comme ça ? L’idée d’être surprise m’effleure un instant l’esprit. Quelle idée excitante !

Je ferme les yeux en imaginant un instant la porte s’ouvrir sur un inconnu qui me découvrirait dans cette posture obscène. Que ferait-il ? En profiterait-il ? Une part de mon esprit le souhaite. Peu importe qui cela pouvait être !

Parfois… il faut éviter de désirer les choses ardemment.

J’entends alors la porte s’ouvrir brutalement. J’ouvre les yeux, me figeant sur mon gode. Une large silhouette se découpe dans l’encadrement de la porte.

— C’est bien ce qu’il me semblait ! dit une voix profonde. Pas besoin de demander ce que tu fais ici !

Je reconnais l’uniforme d’un agent de sécurité incendie. Ils font régulièrement des rondes dans tous les étages, mais c’est la 1ère fois qu’il passe à cette heure-ci au 6ème.

— Alors, comme ça on s’accorde un petit plaisir solitaire, hein ?
— Par… pardon… je…

Je bafouille… j’essaie de me relever, mais une main ferme s’abat sur mon épaule pour me forcer à rester sur mon gode.

— Je savais bien que j’avais entendu du bruit ici… je suis ravi d’en avoir trouvé la source.
— S’il vous plaît… ne dîtes rien à personne.

Il entre dans les toilettes et verrouille la porte derrière lui. Il est très proche de moi. Je n’ose pas relever les yeux. Sa présence m’écrase.

— Pourquoi ferai-je ça ?

Je me dégage de mon gode et m’agenouille devant lui.

— S’il vous plaît… je ne veux pas perdre mon travail… Je… me montrerai gentille avec vous.

Ces mots se sont échappés de mes lèvres contre ma volonté. Mais qu’est-ce qui me prend ? Est-ce le mode survie qui prend le dessus ?

— Hmmm, tu m’intéresses, là… gentille comment ?
— Très gentille, continué-je, très obéissante.
— Montre-moi, je déciderai après.

Je me penche en avant. Mes mains se dirigent alors vers son bassin. Mes doigts tremblants tirent sur le zip de la fermeture éclair de son uniforme. Une bosse énorme apparaît sous son boxer tendu. Je ne me ses pas de reculer. Mon fantasme devient réalité ! D’un mouvement rapide, je libère son membre tendu aussi gros que mon gode. Sans réfléchir, je le saisis d’une main et commence à le lécher, du gland à ses couilles. Mes mouvements de va-et-vient semblent lui plaire. Il ne dit plus rien. Seule sa respiration rauque résonne dans les WC.
J’ouvre alors la bouche pour prendre son sexe. Il lâche un long râle de plaisir alors que son gland progresse dans ma bouche. Il me saisit la tête et la tire contre lui. Je suis surprise par son geste qui enfonce son membre au fond. Je manque de m’étouffer lorsque son gland atteint le fond de ma gorge.

— Salope ! Tu suces bien ! T’arrête pas !

Je lui obéis. J’ai très souvent sucé mon gode alors, autant dire que j’ai un peu d’expérience. Son membre glisse dans ma bouche avec de plus en plus de facilité. Je le sens palpiter contre ma langue. J’accélère le mouvement en resserrant mes lèvres. J’ai mal aux joues, aux lèvres.

Il repousse alors ma tête pour me la faire pencher en arrière et, dans un râle animal, éjacule sur mon visage et mon décolleté ouvert. La respiration courte, j’accueille sa semence chaude et visqueuse sur ma peau.

— Continue d’être aussi sage, petite salope. Et bien obéissante !
— Oui, monsieur.
— Tu comprends vite. Reviens ici tout à la même heure. A poil.
— Oui, monsieur.

Sans un mot de plus, il ouvre la porte et s’en va.

Mais qu’est-ce qui vient de se passer ? Qu’est-ce que j vais bien pouvoir faire ?

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Jazjaz
J’adore votre premier partie et attend avec impatience les suivantes
Posté le 18/03/2025

Jazjaz
J’adore votre premier partie et attend avec impatience les suivantes
Posté le 18/03/2025


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