Une rencontre dans un train avec un curieux qui va découvrir les plaisirs humides. J'ai fait la connaissance d'Élisabeth la perverse dans de curieuses circonstances. C’était une femme dans les 55 ans, d'apparence moyenne et, aux premiers abords, assez quelconque
Proposée le 11/03/2025 par NONNE
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
J'ai rencontré Élisabeth la perverse dans de curieuses conditions. C’était une femme dans les 55 ans, d'apparence moyenne et, aux premiers abords, assez quelconque mais dont la libido perverse m’a littéralement séduit. Je me suis découvert. Mais quelle découverte ! Avec moi elle a eu de la chance, j’étais une bonne affaire, la bite toujours à l’affut d’un bon coup et suffisamment vicieux pour trouver du plaisir à me taper une « vieille ». J’avais 28 ans et déjà un peu d’expérience en matière de jeux sexuels.
C'était l'été, dans le train, j’allais visiter une parente. La BA annuelle imposée par ma mère pour aller faire un ou deux poutous à ma tante. Il fallait flatter l’héritage. Cette Élisabeth était du voyage et comme par hasard, elle était venue s’installer dans le même compartiment que le mien, vide en dehors de moi. Peu après notre départ elle commença à me faire savoir qu’elle aimait ce train, qui allait lentement et lui permettait de profiter du paysage. Je m’en foutais.
Le silence se fit. Un peu plus tard je notais que ma vis à vis, finalement pas dégueu à voir, montraient des seins généreux, un corps sensuel, sourcils et cheveux noirs et quelques mèches blanches discrètes qui lui allaient bien, le visage lisse, plutôt inexpressif, je dirais hautain. Elle avait remonté légèrement sa robe d’été. Le compartiment était resté sous le soleil et c’est vrai qu’il y faisait très chaud. Pour moi l’occasion pour admirer une cheville fine et un début de jarret très distingué. J’en était là lorsque j’ai surpris le regard de la femme qui m’observait. Ne me demander pas pourquoi mais j’ai senti mon ventre réagir.
Sa présence, le regard pénétrant de cette femme avait transformé l’atmosphère dans notre compartiment.
Un peu plus tard, sans trop savoir à quoi m’en tenir, je sortais fumer une cigarette dans le couloir. A mon retour je découvrais la dame avec la jupe qui remontait plus haut sur les genoux laissant entrevoir des cuisses blanches et le début de l’entre jambes. Celle-ci semblait sommeiller, le corps relâchée contre la vitre. Je n’avais qu’à me baisser un peu pour découvrir ce que cachait sa robe. Comme par hasard une secousse du train la fit réagir. Elle bougea en ouvrant un peu plus les genoux. La vue était dégagée. Mon inconnue n’avait pas de culotte. La mienne fut prise de frénésie.
Pas de doute, face à moi, une femme mure m’exposait sa minette et ma queue me disait d’en profiter. Je n’avais pas baisé depuis un mois. J’étais chaud mais je craignais le scandale si je prenais une initiative. J’en était là à reluquer la chatte d’Élisabeth ; ma future amante.
L’idée de baiser avec une femme mure qui pouvait avoir l’âge de ma mère m’émoustillait. Je me voyais en train de manger ses seins et d’apprendre ce que toute cochonne bien née apprends à ses cadets. Je bandais. Mon engin réclamait un peu d’air. Tout à mes pensées libidineuses, je me laissais surprendre en train de mettre un peu d’ordre dans mon pantalon. Ses yeux riaient lorsqu’elle m’interpella me prenant totalement par surprise.
- La vue est -elle satisfaisante ? et sans attendre : Bonjour, je suis Elizabeth. Elle me tendis la main comme si nous venions de nous rencontrer dans un salon. Je bégayais : Je devais avoir de bonnes couleurs. Lui serrant la main en évitant son regard je ne sus que lui répondre.
- Bonjour, Daniel, ravi de vous rencontrer, Elisabeth." Désarçonné, je sentais que mon humour naturel avait pris le poudre d’escampette Élisabeth ne cachait pas ses intentions.
J’en suis resté coït, idiot, lorsqu’elle continua en fixant l’objet du délit : « Elle aussi doit avoir chaud, n’est-ce pas ? Et si vous la sortiez pour que je profite moi aussi du paysage.
Et se penchant elle montrait la fermeture éclair de mon futal. J’étais bousculé, c’est vrai, mais la hausse de température interne de mon corps à la vue de sa chatte qu’elle découvrait un peu plus et son regard vicieux sur mes bijoux de famille fit que je les exhibais, sidéré, subjugué et excité, comme jamais par ce qui m’arrivait.
Dans mes phantasmes les plus osés je n’aurais jamais imaginé une fusion si complète entre deux personnalités si différentes qu’Elisabeth et moi. J’avais retrouvé mon sang froid et je lui ouvrais largement mon bas ventre, découvrant une verge déjà gonflée de concupiscence. L’échange de nos regards valait contrat. Nous étions faits l’un pour l’autre. Élisabeth étalait maintenant une chatte imberbe qui ne cachait rien de son excitation. Ses grandes lèvres humides suintaient.
- Fais comme moi, branles toi ! C’est excitant. Montre-moi ta queue en majesté.
Elle souriait espiègle, comme si la situation n’avait rien d’anormale. Déjà elle descendait ses doigts dans sa chatte, les cuisses ouvertes. Daniel bandait déjà comme un cerf jetant des regards inquiet vers la porte du compartiment.
- Ne crains rien. Le contrôleur est en vacances. D’ailleurs il n’est pas bien dangereux. On se connait depuis longtemps.
Que voulait elle dire !? Je crois que j’ai failli tout larguer. Cette femme était le diable. Mon sang bouillait. J’avais envie de la baiser maintenant, bestialement. De sentir ses fesses contre mon ventre, mon chibre enfoncé profond dans son cul. Comme si elle avait deviné mes pensées, elle reprit :
- Va y. Montres moi. Descend ton pantalon ? Masturbe-toi pour moi et je serais ta chienne docile.
Ma bite n’en pouvait déjà plus de désir et voulais en finir. Je me souviens m’être levé, mon pantalon sur les chaussures, pour lui présenter ma queue à sucer. Sans un mot, j’ai approché mon sexe de sa bouche qu’elle a ouverte après avoir reniflé l’odeur de mes couilles comme pour me faire savoir si elle acceptait ou pas cette proposition de fellation. La meilleure de ma jeune vie !
Ce fut atroce. Je voulais durer. Elle voulait m’achever. Malicieuse et vicieuse elle s’amusait à me prendre entièrement dans sa bouche en de lents mouvements de sucions mais surtout cette salope ne cessait de caresser le fion s’amusant à torturer délicatement l’anus.
Élisabeth avait les yeux fermés maintenant, concentrée sur ses sensations alors que je lui pinçais ses tétons pour me venger de ses caresses cochonnes. Porter mes mains sur son bas ventre était trop acrobatique. J’en profitais pour découvrir ce qu’il y avait dans le soutien-gorge de la dame. Banco ! Un lent mouvement de masse féminine me laissait entrevoir des moments de délires avec cette poitrine magnifique. Vint le moment ou… je me laissais aller. Me vidant sans un mot dans la gorge de cette passagère spéciale qui accueillit mon sperme apparemment sans déplaisir.
- Putain que c’est bon ai-je entendu alors que sortant un mouchoir de nulle part, elle se tamponnait la bouche. Je n’ai pas hésité. C’était instinctif, pervers sans doute. Je me suis baissé suffisamment pour lui prendre la tête et coller ma bouche sur la sienne.
Nous avons entamé durant quelques longues secondes un baiser d’amants complices, aussi trash l’un que l’autre. Je sentais mon sperme encore sur sa langue, je fouillais sa bouche pour y trouver encore une trace de mon plaisir. Elle, les yeux fous, se laissait faire, me rendant une avidité que je n’ai plus jamais rencontrée. Nous nous connaissions à peine et nous étions déjà des amants affamés l’un de l’autre.
- Putain m’a telle soufflé à nouveau dans l’oreille, tu viens de me rajeunir de dix ans au moins. Je me suis contenté de l’embrasser à nouveau, encore dépassé par les évènements.
Je n’ai trouvé rien d’autre à dire sinon :
- Tu m’as eu.. À toi maintenant. Je te regarde et pas que … je souriais à mon tour afin de cacher ma confusion. Elle les yeux brillants, le ventre dégagé, reprit sa masturbation sans un mot. Tout son corps était un message de lubricité. Elle avançait son ventre vers moi, à la rencontre de ses doigts qui faisaient un bruit mouillé de plus en plus fort. Elle ouvrait et fermait les yeux, concentrée sur son plaisir, le doigt était devenu plusieurs qui fouillaient son con toujours plus humide. Je l’entendais gémir doucement alors que ses yeux s’ouvraient par moments comme pour vérifier que je la regardais toujours. Mon regard devait être au moins aussi concentré et excité que le sien et je puis dire ici que l’apothéose fut le moment où je réalisais que son plaisir se manifestait par de petits lâchers d’urine qui coulaient sur ses cuisses, atteignant le bord de la banquette.
Je n’ai pas pu m’en empêcher. Je l’ai traité de tous les noms. J’étais en ébullition. Je me souviens l’avoir traité de truie, de grosse cochonne, de pute et de chatte mal baisée, bref tout ce qui me passait par la tête, marquant à la fois notre fusion charnelle et cérébrale. Chaque fois que je la traitais de cochonne vicieuse, de perverse, chaque fois je la voyais redoubler la danse de ses doigts. Finalement, j’ai entendu un rugissement sauvage qui sortait de sa poitrine.
J’ai vu ses yeux se révulser, son bassin se relever, et un long jet d’urine est venu me gicler dessus. Elisabeth mis un long moment à revenir sur terre pour me souffler.
- Mon Dieu Daniel, je suis désolé ? Terriblement désolé. Tu m’as fait prendre un pied comme jamais depuis longtemps. Viens. Elle sortit une sorte d’écharpe blanche dont elle se servit pour limiter les dégâts. Moi j’étais encore abasourdit. Encore à me demander ce qui m’arrivait. La scène de l’abandon de cette Élisabeth m’avait remué et profondément troublé. Ce fut ma nymphomane qui le réalisa avant moi.
- Mais tu bandes à nouveau, dis-moi. Déjà sa main venait à la rencontre d’une belle bandaison. Ainsi la scène de sa bruyante jouissance m’avait bouleversé au point de m’exciter à nouveau. Je revoyais son ventre qui venait vers moi, sa chatte ouverte à l’extrême et son clitoris dilaté et ce filet d’urine associé à sa jouissance.
Je ne me souviens pas lui avoir répondu, mais d’instinct j’ai porté une de mes mains vers son sexe béant pour y glisser mes doigts puis ma main. Une scène extraordinaire.
Ma main est rentrée dans son ventre totalement exposé. Je ne pensais plus aux risques d’être surpris. J’étais concentré sur ma découverte. Un ventre de femme qui pouvait prendre ma main. Je fouillais au plus profond possible de sa chatte. Elle gémissait doucement, ouvrant le compas de ses jambes pour m’accueillir sans difficultés. Elle jouissait maintenant en permanence. Pour moi c’était une découverte bouleversante et foutrement excitante. Selon la façon ou je positionnais ma main dans son ventre j’obtenais des bruits qui exprimaient chaque fois un, plaisir intense.
De main libre j’ai recommencé à me caresser. Je voyais Élisabeth entièrement soumise à mes doigts, réclamant même. Je l’ai vu qui glissait une de ses mains pour se caresser l’anus puis le perforer de quelques doigts accentuant le bruit de ses gémissement. Heureusement que les wagons des vieilles lignes sont plutôt bruyants. J’aurais pu être Pierre ou Paul, je voyais bien qu’elle était dans un univers onirique et fantasmatique qui la faisait délirer en m’entrainant avec elle. J’étais hypnotisé par sa libido, sa liberté sexuelle mais surtout par l’intensité des plaisirs qu’elle émettait. Je ne crois pas qu’un seul homme aurait pu résister à l’appétit des plaisirs de cette femme. Quelle drôle de rencontre.
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Élisabeth se tortille sur sa couverture sous un soleil radieux. La chaleur fait du bien sur sa peau et met ses tétons au garde-à-vous sous sa robe d'été. Ou peut-être qu’ils sont au garde-à-vous parce qu’elle sait qu’elle va bientôt les toucher. Elle aime ce parc parce que c'est calme. Elle peut toujours y trouver un endroit caché pour passer du temps seule. Elle a d’ailleurs un endroit de prédilection, hors des sentiers battus dans le creux d’un bosquet, et elle s’y rend. Elle dispose d’un peu de temps. Il faut qu'elle en profite au maximum !
Sa robe d'été glisse alors qu'elle s'allonge et elle profite du soleil sur ses cuisses ouvertes. Dessous elle est nue. Appuyée sur un bras, elle laisse les doigts de sa main libre tracer le contour de ses seins pleins et douloureux. Ses doigts effleurent un mamelon et elle gémit alors que de l’autre elle commence à chercher sa chatte déjà mouillée.
Élisabeth a toujours le fantasme d'être vue et observée par un homme qui aimerait et partagerait ses désirs les plus vicieux car elle a des désirs pervers. Adolescente elle avait surpris son père pisser. Elle était fascinée par ce jet qui sortait du sexe de son géniteur.
Une profonde émotion l’avait saisi qui était devenu une image obsessionnelle. L’idée de voir un homme pisser la bouleversait ! Sa tête et son bas ventre étaient pris sous un assaut de phéromones, une excitation malsaine qu’elle ne pouvait contrôler qui lui donnait envie de se toucher le pipi, d’ouvrir ses jambes et de se vider en mettant ses doigts sous le jet. Elle en était venue à aimer cette situation accroupie qui lui dégageait la chatte, lui permettant de se masturber avec en tête des images d’hommes aux sexes aussi épais que celui de son père. Des sexes qui la visaient, l’obligeaient à découvrir son bas ventre pour se vider sur sa chatte qu’elle masturbait sauvagement.
Petit à petit Élisabeth s’était habituée à cet étrange pratique de se vider sur elle lorsqu’elle prenait sa douche. Elle aimait cette sensation du liquide chaud qui venait humidifier sa vulve, de le sentir pénétrer son sexe qui se dilatait. Elle se branlait les doigts pleins de pisse, allant même jusqu’à se caresser l’anus, encore timide dans les découvertes des plaisirs du corps. Et toujours cette idée excitante d’un homme qui la regardait faire en pissant lui-même.
Une sensation qui lui causait à la fois de la honte et une excitation sourde et vicieuse qu’elle ne comprenait pas mais qu’elle subissait avec gourmandise. Jamais elle n’avait songé à une perversion incestueuse. Non plutôt une addiction à l’image de ce sexe rouge, épais, vivant, au gland rougeâtre comme une bête vivante. A l’époque elle n’avait pas compris que son père venait de faire l’amour avec sa mère d’où l’importance de ce sexe fascinant qui se vidait inconscient d’être vu par une demoiselle qui, penchée à sa fenêtre, ne perdait rien du spectacle.
Le plaisir de son urine chaude sur ses cuisses était inexprimable. Une peu de honte mais plus trop… c’était fini. Non,. Une sorte de « punition-plaisir honteux » dont elle savait la perversité mais dont elle n’arrivait pas à se débarrasser. Qu’un incident vienne déranger sa petit vie de fonctionnaire et elle courrait presque s’isoler afin de se laisser emporter par son addiction. Sentir le jet d’urine passer sur ses doigts, les porter à sa bouche, les sucer, recommencer, elle ne se lassait jamais. Elle se sentait honteuse mais aussi fébrile car elle sentait que l’orgasme à venir dépendait de l’importance de sa miction, de l’attente avant de se lâcher. Sa chambre sentait. Elle s’en fichait. Personne ne venait la voir. Non, ce qui lui manquait c’était quelqu’un avec qui partager son vice très solitaire.
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Élisabeth avait grandi, avait vieillit avec ce délire humide sans jamais avoir pu réaliser son phantasme jusqu’à ce que son obsession se traduise par un comportement imprudent. L’âge à défaut d’avoir réussi à trouver de quoi la satisfaire, lui avait donné une assurance qui pouvait au moins satisfaire son gout de l’exhibitionnisme. Ce Daniel était son dernier trophée sauf que lui…
Elle l’imaginait qui la regarderait et l’encouragerait en lui montrant son sexe bandant pendant qu’elle se laisserait aller. Un homme tolérant et aimant les jeux humides comme elle. Elle se masturbait de plus en plus souvent, jouissant à l’idée d’un homme lui pissant dessus, s’attardant sur son anus qu’elle doigtait régulièrement.
Elle ferme les yeux, le plaisir s’installe, elle souffle fort, sentant sa vessie qui se libère. Les yeux mi-clos elle voit Daniel qui réagit à son relâchement. Non, sa queue a gonflé, il est excité. Il l’approche de ses petits relâchements, baignant son sexe sous la douche dorée en la masturbant sauvagement. Alors elle avance son ventre, à la limite du déséquilibre. Elle lui présente sa chatte mouillée et le voit remplacer ses doigts par sa bouche qui emprisonne sa fontaine et lui mange goulument son sexe dilaté par l’excitation et le plaisir. Dans sa tête cela fait comme un gigantesque soulagement. A-t ’elle enfin trouvé avec ce jeune vicieux l’âme sœur. Qu’elle ironie, si tard et si jeune !
Elle se libère enfin et le sens boire sa douche dorée libère. Elle gémit de satisfaction. Lui passe ses doigts dans la raie de ses fesses et entame une exploration audacieuse de son anus. Elle se relâche pour l’accueillir, n’en croyant pas ses yeux. Un homme aussi vicieux qu’elle !?
Daniel tâtonne avec les boutons de sa robe qu‘il défait sans vergogne. Il vient de la libérer et goutte ses seins et ses tétons durcis par l’excitation. Elle ferme les yeux, l’image de son père en train de se vider lui revient. Elle pousse un long gémissement. Un orgasme incroyable la saisi à nouveau. Ses yeux roulent, sa voix devient un filet à peine audible. Des spasmes interminables secouent son corps. Elle sent à peine la bouche de Daniel se river à ses lèvres en un baiser odorant qui ne fait que prolonger un plaisir qu’elle ne croyait pas possible.
Elle et sa mère avait une chambre sous les soupentes de leur maison. Sa chambre à elle avait une fenêtre au-dessus de la porte d’entrée de leur modeste demeure. Les toilettes étaient à l’extérieur mais souvent les hommes ne prenaient pas la peine d’y aller et préféraient uriner tout près du pas de la porte d’entrée au rez-de-chaussée. Sous sa fenêtre. Jusqu’à l’âge de 22 ans elle avait dû rester confinée chez elle. Son père voulait la marier. Ses deux frères l’embastillaient en l’empêchant de rencontrer amies ou flirts. Durant des années, jusqu’à sa fuite, elle avait été tenue cloitrée chez elle, empêchée de toute relation sociale normale.
Et, durant tout ce temps, elle avait pour seule distraction la vision des sexes des deux frères et du père qui se vidaient sous elle, engendrant un trouble grandissant engendrant des envies de caresses qu’elle jugea d’abord infâmes.
Pourtant chaque fois son corps réclamait. Les caresses de son ventre et dans son ventre sont venues. Le besoin de se masturber aussi. Cela dura. Cela devenait obsessionnel au point parfois de manquer de sommeil. Impossible de se confier. Impossible de dire le trouble de ses sens, d’expliquer ses phantasmes. Son bas ventre servait d’exutoire à une vie monacale ou tout ou presque lui était interdit dans cette famille profondément religieuse.
La première fois ou l’un de ses frères le sexe tendu se masturba dans la fraicheur de la soirée, elle en émoi, au-dessus de lui en faisait autant jusqu’à la libération finale. Soir après soir, nuit après nuit sa tête était pleine d’images de sexe épais, tendus qui se libéraient pendant que son ventre qui réclamait son plaisir. Depuis adolescente elle ne savait pas faire autrement que d’associer le plaisir de se vider à l’intense émotion des orgasmes solitaires. Durant des années Élisabeth avait tenté de trouver l’’homme qui respecterait sa déviance ou qui, bonheur suprême, la partagerait.
***************
Elle se sent si bien. Détendue. Allongée sur la banquette, ses seins exposés. Sa robe remonte autour de sa taille. Le compartiment sent la pisse et de sperme. Elle ferme les yeux pour immobiliser ce temps si précieux.
Lentement, elle ouvre les yeux et peut le sentir sans le voir. Une onde de crainte la traverse, suivie de près par une secousse d'excitation. Elle tourne la tête et il est encore là. Il est assis à ses genoux et la regarde. Daniel, l’inconnu de la banquette est face à elle. Elle rougit de honte intense mais lui sourit. Elle sait qu'elle devrait se couvrir et essayer de s'enfuir, mais elle est incapable de bouger. Sa poitrine se soulève et s'abaisse au fur et à mesure qu'elle respire. Il sourit encore et elle sent ses tétons durcir en ouvrant à nouveau le compas de ses jambes. Elle ne peut pas s'arrêter. Elle se sent obligée de s'exposer ainsi à lui. Elle ne se sent plus honteuse d’avoir révélé ses désirs les plus vils. Elle le devine complice.
Les yeux d’Élisabeth s'écarquillent à nouveau de surprise entre deux halètements. Il sourit à nouveau et s'approche, lui caressant la joue et faisant glisser ses doigts le long de son cou jusqu'à la plénitude de sa poitrine. Les doigts de Daniel effleurent ses tétons. Elle halète malgré elle, rougissant encore plus face à son manque de contrôle. "Regarde-toi, tu es vidée", dit-il d'une voix douce. Il sourit encore devant son regard surpris alors que ses doigts continuent leur exploration. Elle se sent défaite, toute molle, vulnérable alors que ses doigts parcourent son corps.
-Tu mouilles comme une reine ma jolie salope. Tu me fais bander aussi comme une reine.
A nouveau elle se sent sans force. Le train les secoue mais rien ne peut les empêcher d’avoir le regard soudé l’un à l’autre. De voir l’étincelle de vice de ce garçon inconnu une heure plus tôt la bouleverse. C’est si soudain. Elle sent que Daniel vient de glisser son doigt dans son cul. Elle ne réagit pas. Elle n’a pas la force. …et puis elle aime cette sensation d’être à la merci de ce garçon capable de comprendre et de partager son vice. « Regarde-toi comme, tu mouilles encore ma pisseuse." Il s’amuse à la torturer penché sur elle, la bouche suçant ses seins.
Elle devine qu'elle sera sa petite salope, avide de le boire, de le caresser en le sentant se vider sur elle comme lorsqu’elle s’amuser toute seule chez elle. Elle aimerait l’entendre, le questionner, lui faire dire son plaisir, son désir. Il lui racontera son histoire et elle espère qu’il restera avec elle… un peu ?
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Lors de ses observations du haut de sa fenêtre, elle avait eu envie de toucher ses sexes, d’en sentir la consistances, de sentit la chaleur de leur pipi, les sensations de leurs sexes gonflés de désirs et qu’ils manipulaient les uns et les autres sans réaliser qu’ils se lâchaient sous les yeux de la fille de la famille.
Elle ne comptait plus les fois où elle avait été tentée d’avouer et dire son désir de sentir leurs grosses bites dans sa chatte. Fantasme qu’elle laissait se dissoudre dans ses rêves et sous sa main humide de sa pisse. La première fois qu’elle y avait gouté avait coïncidé à la vue de son jeune frère se masturber en compagnie d’un camarade. Visiblement, ils étaient déjà saouls et sans doute imprudents.
Les deux garçons se connaissaient apparemment bien. D’abord concentrés sur une séance de frottis mutuel, le cadet s’était agenouillé pour prendre le sexe de son ainé en bouche. A les regarder faire Elisabeth n’en pouvait plus. Sa masturbation en devenait douloureuse au moment où elle fut surprise par un orgasme qu’elle n’avait jamais connu qui la terrassa alors que sa vessie cédait sous elle, la laissant à la limite de l’évanouissement. Toute la journée suivante elle s’était caressé, partant se réfugier dans la salle de bains pour se lâcher complètement. Déjà accro à cette drôle de façon de se procurer du plaisir. Un plaisir qu’elle avait envie de partager avec Daniel
- J'ai besoin de goûter ta grosse bite. Viens.. J'ai besoin de te sentir encore dans ma bouche. J'ai envie de sentir ta queue encore humide.
Daniel lui a une autre idée. Il aimerait revenir dans cette chatte dilatée, gourmande et y frotter sa bite. L’inonder de sa liqueur… de sa pisse. Il a envie de gouter à cette étrange manière de baiser. Il vient poser sa grosse bite sur ses lèvres. Elle lui lèche le gland, reniflant son odeur, mordillant son sexe. Lui il aimerait avoir encore de quoi lui inonder le bouche pour voir sa réaction à cette belle salope. Elle est échevelée, la belle coiffure n’est plus qu’un souvenir. Sa robe relevée, son ventre ouvert semble encore réclamer.
Daniel prend conscience que le temps a passé.
Il s'éloigne d'elle et la pousse doucement mais fermement à quatre pattes. Il caresse son cul couvert, passant ses doigts dans sa raie. Elle a compris. Elle pose sa tête sur la banquette, son joli trou du cul est là, rien que pour lui. Il aimerait lui pisser dedans mais ce n’en sera pas possible. Plus de jus ! Une autre fois.
Il avait raison. Le train ralentit. Le temps a passé si vite. Il se rajuste, limitant autant que possible les témoignages de leurs ardeurs humides. Elle fait le sacrifice de son écharpe. Lui donne son adresse. Chouette. Elle descend dans la même ville que lui. Ils s’embrassent passionnément, bestialement. Ayant du mal à se séparer. Ils se reverront bientôt.
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