Episode 10 : En route pour Tahiti

Enfin les vacances arrivent. Nous voici en route pour Tahiti. Depuis le temps que nous attendions de partir au soleil ! Déjà dans l'avion les prémices de notre séjour qui sera basé sur le sexe et encore le sexe

Proposée le 27/01/2025 par Ricounet

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme

Nous voici dans l’avion qui nous amène vers Papeete, escale avant d’arriver à Bora Bora, destination finale pour nos vacances.
Le repas nous a été servi, et la lumière en cabine s’estompe peu à peu, permettant aux passagers de dormir pendant ce long voyage.
Tu as légèrement froid et demande une couverture que t’amène très gentiment, une hôtesse de l’air.
Tu commences déjà à t’assoupir. Il est vrai que tu as pris un cachet pour te déstresser, et te permettre de passer un vol agréable.
Tu as préalablement relevé l’accoudoir central et tu as posé la tête sur mon épaule.
Au rythme de ta respiration j’ai eu l’impression que tu t’étais endormie.
Je pensais en faire de même, essayant de me caler tant bien que mal sans vouloir te réveiller.
Je pose ma main sur ta cuisse et m’endors à tes cotés.

Je ne sais pas combien de temps je me suis assoupi, mais un délicieux rêve m’a réveillé.
Je sentais ta main se poser sur la mienne et la diriger vers ton entre jambe. De plus tu n’avais pas de culotte.
Mais tout cela n’était pas un rêve mais bien réel. Jamais je n’ai pu croiser ton regard, tes yeux restants clos, mais tu as bien plaqué ma main sur ton sexe, écarté les jambes au maximum, et appuyé pour que mes doigts envahissent ton intimité.
J’ai alors joué de ton clitoris, enfoncés mes doigts.
Tu dégoulines de plaisir. Ton plaisir est proche.
Puis tu t’es raidie, dans un râle étouffé, pour ne pas réveillé nos voisins de voyage.
Il va sans dire que je bande comme un taureau.
Ta main a alors glissé vers mon short, sans aucun préavis tu as sorti ma queue, et tu t’es jetée avidement sur elle.
Je n’ai pas mis longtemps à venir dans ta bouche, tant mon excitation était importante.
Puis nous nous sommes rendormis jusqu’à l’arrivée à Papeete.
En sortant de l’avion notre voisin de vol nous dit « J’ai dormi comme un bébé et vous ? »
On se regarde, nous aurait il surprit cette nuit.
On ne saura jamais.
Trois heures d’escale plus tard nous voilà enfin dans notre deuxième et dernier avion, et oh surprise nous retrouvons presque à la même place notre voisin de premier vol.
Quel plaisir de vous revoir, j’espère être aussi gâté que la nuit passée nous lance-t-il.
Nous rougissons tous les deux. Il nous a vu !
Il a assisté à nos ébats nocturnes !

Nous nous asseyons et nous voilà repartis.
Le voyage se passe, nous finissons par sympathiser avec notre "voyeur".
La quarantaine, yeux verts, sportif, sympathique au demeurant.
Il s'appelle Martin
Il nous apprend qu'il est veuf depuis plus de deux ans, et que depuis le décès de son épouse, il n'avait jamais posé les yeux sur une femme, sauf. La suite resta en suspens, nous comprenons qu'il parle de notre câlin de la veille dans l'avion.
"Mais soyons clair, j'ai plus imaginé que vu" nous dit il !

Enfin nous atterrissons à Bora Bora et arrivons à notre hôtel: de superbes paillotes dans un lagon couleur turquoise.
Notre paillote donne sur la mer sans vis à vis, le paradis avant l'heure.
Nous avons perdu de vue Martin, jusqu'au repas .
En effet lors de notre arrivée au restaurant, Martin déjà assis nous fait signe.
Nous nous approchons de sa table et il nous propose de partager sa table, à moins que nous préférions manger tous les deux.
Nous acceptons son invitation sans trop réfléchir. Martin a quelque chose d’envoûtant.

Un cocktail, puis deux, langoustes, poisson de la région, le tout arrosé d'un vin blanc, nous voici à l'heure du café.
Et un pousse café.
Heureusement que nos paillotes sont accessibles à pieds, bien que il ne faudrait pas tombé dans le lagon en rentrant nous coucher.

Martin nous propose alors de boire une coupe de champagne dans sa paillote.
Nous refusons gentiment. Ce à quoi il nous répond en nous tutoyant: "Dommage, j'apprécie vraiment votre compagnie, mais je peux comprendre qu'un couple est envie de se retrouver seul, après tant d'heures de vol".

Encore une allusion à notre escapade sexuelle à 10000 pieds.

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