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Nathalie ou la vie d'une salope ( Suite 1 )

Après avoir découvert le plaisir avec son grand Père, Nathalie va faire connaissance avec le voisin Henry et son chien Tarzan, elle n'est pas encore rassasiée de plaisir !

Proposée le 27/12/2024 par Marcello

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Nathalie ou la vie d’une salope ( Suite 1 )

Après cette première journée et nuit, je me réveille vers dix heure. Léon est déjà levé et prépare le petit déjeuner. Il est en short, torse nu. J’arrive pour lui faire la bise, lui sans ménagement me passe la main au cul en me disant :
« T’as remis une culotte ? T’as froid ? «
« Non Léon, mais c’est normal ! «
« Quant tu es ici, je veux que tu es le cul nu, pour le reste, si il vient du monde, je te dirais comment t’habiller ! «
« OK Papy, tu veux que je sois comment aujourd’hui ? «
« On va aller voir le voisin, c’est un vieux con, je lui dois de l’argent et il me presse, il va falloir le calmer ! Donc, sois belle et sexy, c’est un vieux vicieux ! «
« Hum, comme je les aime ! «

Le petit déjeuner pris, j’avance pour aller à la douche, et là Léon me rappelle :
« Attends, on va la prendre ensemble pour économiser de l’eau, imagines, 30 douches la quantité d’eau économisée ! «
Je rentre la première dans la cabine, Léon est déjà nu, il a encore le sexe raide !
Nous nous arrosons avec la douchette et là, il me demande de le badigeonner de savon liquide.
« Fais bien le sexe et mon cul, oui comme cela ! «
Je lui astique sa queue épaisse. Ensuite, je lui badigeonne l’anus et lui enfonce un puis deux doigts. «
« C’est bien ma grande, tu apprends vite, rinces là et suces moi ! «
A genoux, je m’exécute et commence la fellation. Je suis contente que Papy soit fière de moi, je m’applique et rapidement il succombe à mes coups de langue. Je reprends ma dose de vitamines, les vacances vont mettre profitables !
Nous nous rinçons et séchons. Léon monte avec moi dans ma chambre pour choisir ma tenue. Il craque pour une culotte noire transparente et un soutien gorge à demi bonnets de la même couleur.
Il hésite plus pour la jupe et se décide pour une petite jupe courte noire. Je l’aide pour le chemisier sans manche qu’il préfère blanc. Étonnamment, il veut que je mette des bottines en cuir marron, il me dit que cela fait plus salope ! Je me maquille un peu les yeux et beaucoup plus les lèvres avec un rouge foncé, me voici au top !
Nous avons rendez-vous pour midi chez son voisin Henry. Je suis presque excitée et j’arrive là bas avec une sucette ronde à la bouche, cela me rend encore plus gamine !
Un petit homme de la soixantaine nous accueille, il est bedonnant, chauve mais souriant. Derrière lui, un berger Allemand nous regarde en bavant. Il vient vers moi et directement passe sa truffe sous ma jupe, elle est froide !
Le voisin s’empresse de me faire la bise en me tenant la taille.
Je lui rends sa bise en soupirant à chaque baisé, il me fixe fortement.
Il sert la main à Léon, et nous invite à rentrer dans le couloir.
« Tu ne m’avais pas dit qu’elle avait tant grandi ! C’est une vrai adolescente, et avec des belles formes ! «
« Oui, elle est charmante à tout égard ! «
Me tenant à la taille, il m’amène vers le petit salon ou il me demande de m’asseoir sur la petite banquette. J’obéis en le regardant tout en suçant ma sucette. Je vois bien qu’il scrute mes jambes. Pour ne pas le décevoir, je les écarte un peu en lui souriant.
Papy lui est assis dans un fauteuil.
« Elle va boire quoi la petite ? Grenadine, eau plate, bière vin cuit, Ricard ou Whisky ? «
« Mets lui un bon verre de vin cuit, je dois veiller sur elle, même si elle a 18 ans ! «
Henry nous a servi, il a pris un double Whisky. Nous trinquons, il est assis à mes côtés et n’arrête pas de mater ma poitrine. Il faut dire que mes mamelons sont apparents et mes pointes de seins dressées. Le chien est allongé à mes pieds, il m’a adopté.
Après avoir parlé avec Léon, il lui demande sur un ton plus ferme :
« Alors, tu comptes me payer quant mes 200 euros ! «
« Là, je ne peux pas ce mois ci, après les vacances ! «
« J’ai une idée, la petite peut faire un peu de ménage et de cuisine ce mois, et on sera quitte, si elle le veut bien ? «
« C’est d’accord pour moi, tu veux bien Nathalie ? «
« Je veux bien pour t’aider Papy, mais un jour sur deux je coucherai dans la maison à Papy ! «
« OK, on commence cet après midi, Je vais te montrer ton lit ! «
Je suis Henry qui me conduit dans une grande chambre et me désigne un petit lit.
« Ce sera ton lit ! «
" Et le grand à côté ?»
« C’est le mien, il n’y a qu’une chambre, ne t’inquiètes pas, je ne ronfle pas ! «
Nous redescendons, Léon me dit qu’il m’apportera quelques affaires et ma trousse de toilette et me fait la bise en partant. Je me retrouve donc seule pour déjeuner avec le voisin, je sens l’arrangement entre eux deux !
Il ne c’est pas embêté pour le repas, des nouilles et du jambon. Il me sert par deux fois du vin rouge et me fait la conversation. Je suis en face de lui, il ne quitte pas des yeux ma poitrine et ma bouche ! Je vais le faire baver le Henry !
Le repas fini, il me demande de passer un tablier pour faire la vaisselle. Je le prends et pars dans la cuisine, j’enlève ma jupe la passe. Comme cela il pourra me mater le vieux cochon !
D’où il est, il peut me voir me dandiner et mater mon derrière dans ma petite culotte transparente ! Pendant que je fais la vaisselle, le chien « Tarzan « ne cesse de me sentir le cul. Je le repousse gentiment avec ma main, il s’allonge et je peux apercevoir son bout rouge sortir de son fourreau. J’ai pu voir Henry qui se touchait le sexe à travers son pantalon velours, je lui fait de l’effet.
« Voilà monsieur Henry, la vaisselle est faîte ! «
« Laisse là s’égoutter, et pendant ce temps là tu peux faire les carreaux de la cuisine et du salon, ils ont besoin ! Prends la chaise de cuisine, elle est solide !
Je positionne la chaise et après avoir pris du produit et un chiffon doux je monte sur la chaise. Là le tablier sous la pression de ma jambe se dénoue et tombe au sol ! Tant pis, je reste comme cela en culotte et commence le nettoyage des carreaux. Sous mes mouvements de bassin, le chaise bouge.
Henry vient aussitôt en disant :
« Je vais te tenir, on sait jamais ! «
Et là, il m’attrape et me tient au niveau des cuisses. Tout en frottant les carreaux, je me dandine du bassin. Sa main me frotte les cuisses et remonte au niveau de mon derrière. Doucement, ses doigts passent sous le lycra de ma culotte culotte et palpent l’arrondie de mon derrière.
« Oh monsieur Henry, arrêtez ! Ahhhhh «
« Tu es bien chaude ma coquine ! «
Tout en parlant ses doigts glissent dans ma raie culière et me caressent mon œillet !
Je ne peux rien dire, je soupire, mon corps est parcouru pas des frissons.

Sa main maintenant glisse dans mon entrejambe et se dirige vers mes lèvres vaginales.
Instinctivement, mes jambes s’écartent et lui laissent l’accès à ma minette.
« Oh, mais tu es mouillée ma cochonne, descend de la chaise et enlèves ta petite culotte ! «
J’obéis et suis maintenant le cul nu devant lui.
« Mets toi à quatre pattes en écartant les jambes ! «
Je me mets en position et j’attends la suite !
« Tarzan, vient là ! «
Le chien se précipite et sur l’ordre de son maître reste dernière moi
« Allez lèche ! «
Tarzan commence à me lécher l’entrejambe, sa langue va de mon anus vers mon vagin. Elle est chaude et rugueuse et me pénètre à chaque passage.
Henry est passé devant moi, il ouvre sa braguette et sort un petit sexe bandé. Sans parler, il me prend la tête et positionne son sexe devant ma bouche.
Elle sent l’urine, cela ne me dérange pas, ça me rappelle la bite du voisin. Il vient à la maison dès que les parents sont partis au travail, mais la sienne est plus grosse !

Je commence à sucer Henry, il m’insulte avec ses gros mots, je lui malaxe les couilles, il a l’air d’aimer !
Soudain, je sens derrière moi Tarzan qui m’enserre la taille avec ses pattes ! Je ne peux pas voir, mais je sens sa bite qui tape le long de mes cuisses, il cherche ma moule !
Oh, mon rêve, être prise par deux bites, mais la c’est un vieux et un chien, c’est quant même un bon début !
Ça y est, sa bite glisse entre mes lèvres et rentre enfin dans ma chatte ! ça glisse bien, je suis tellement mouillé ! Et le vieux qui me donne des coups de bassin pour aller plus loin !
« Oh ma salope, t’es trop bonne, t’aime cela !!!!!! Ahh ahh !!! «
Je ne peux pas répondre, ma bouche est pleine de son sperme qui se déverse, j’aspire pour tout avaler ! «
Tarzan continu à me limer, son membre pénètre au plus profond de moi même, et soudain, il s’arrête et grossit en moi ?
Henry m’expliquera plus tard qu’il se noue ! Le chien s’arrête de gigoter et arrive à se tourner malgré notre liaison. Il attend maintenant le désaccouplement.
Henry se retire et déverse sur mon visage son dernier jet, j’essaie de rattraper le liquide avec ma langue, cela le fait rire ! J’attends donc que Tarzan se dénoue, Henry est parti se servir un verre, il rigole en me regardant ! Après un bon moment, le sexe à Tarzan se ramollit et il se sort de ma chatte.
Henry revient vers moi en disant :
« Maintenant, tu dois le nettoyer pour le remercier de t’avoir fait jouir ! «
Je m‘approche du chien qui est couché sur le dos, je prends son membre rouge encore tendu et je commence à le lécher. Ce n’est pas le même goût que celui d’ Henry, je le trouve meilleur. Tarzan ne dit rien et se laisse faire, il est de nouveau tout bandé, du coups je le prends en bouche et le suce. Ses couilles sont dures comme du bois ! Tout en le suçant, je ne pense qu’à une chose, c’est que Tarzan me sodomise, avec sa queue fine cela sera bien pour une première, mais j’attendrai qu’ Henry ne soit pas là à jouer le voyeur ! Ah, qu’elle est bonne sa queue, il doit aimer ma fellation, car il me décharge à nouveau par des jets saccadés. Je me régale !
Après cet intermède, je prends ma douche et me rhabille. Léon passe le soir à l’heure de l’apéro pour m’apporter mes affaires. Henry ne le garde pas pour dîner, et après le repas, nous montons nous coucher.
Forcément, il me regarde me déshabiller et enfiler ma nuisette. Je me couche dans le petit lit, il me voit tourner dedans pour trouver ma place, alors que lui est seul au milieu de son grand lit.
« Si tu veux, tu peux venir avec moi, tu seras mieux ! «
Sans réfléchir, je le rejoins. Il est torse nu en caleçon.
Il éteint la lumière, et rapidement se colle contre moi. La petite lucarne du toit laisse passer un filet de clarté. Je me tourne pour ne pas le voir. Je sommeille. Un peu plus d’une heure plus tard, alors que je suis sur le ventre, je sens ses mains qui relève doucement ma nuisette.
En silence, je cabre doucement mon bassin et j’écarte un peu mes jambes. Je mouille déjà rien que de penser à ce vieux con qui mate mon cul.
Ça y est, il ose avancer sa langue et commence à me lécher. Sa langue passe de ma rondelle anale au bas de mes lèvres vaginales. Il s’attarde au bas de celle-ci et y l’enfonce au plus profond. J’ai remonté mon cul pour lui donner un meilleur accès, il en profite et m’écarte mes fesses. Sa langue glisse maintenant entre les fesses, je mouille !
C’est le moment qu’il choisit pour baisser son caleçon, il bande assez pour présenter son membre face à ma chatte. Je le sens poser son gland contre mes lèvres qui s’ouvre toutes seules sous la légère pression. Son gland est maintenant en moi et il me pénètre en poussant par à coups.
Il me tient par les hanches, et je peux rouler du bassin pour augmenter sa pénétration !
« Tu n’attendais que cela petite garce, tu la voulais la queue à Henry, tu la sens ! «
Je sens sa queue qui me lime, elle est raide et bien chaude, il me baise bien ! «
« Oh oui Henry, baises moi, elle est bonne ta petite queue ! Ahhhhhh !!!! «
Henry est déchaîné, ses mains attrapent maintenant mes seins qu’ils pelotent comme un malade ! Oh quel pieds ! Je sens son jus bien chaud qui se déverse en moi ! Il se raidit une dernière fois et dans une ultime coups de rein m’arrache un nouvel orgasme ! Ses couilles claquent sur mon cul une nouvelle fois, puis il s’écroule sur le côté essoufflé comme après avoir fait un 100 mètres. Je me blottis dans ses bras et lui prends sa bouche. Nous nous embrassons longuement avant de nous endormir.

A SUIVRE !
Marcello

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