Je suis un garçon cde 18 ans, et je vais chez un ami. IL n'est pas là et sa mère me reçois. Elle comprends vite que je suis encore vierge et entreprend de faire mon éducation.
Proposée le 12/11/2024 par Marc-antoine
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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
MA PREMIERE FOIS
J'avais 18 ans, nous étions en plein été, je venais de terminer mes examens. Je sortais de dernière année d’humanités. J'avais été, dans le passé, un élève brillant, mais la fin de mes études secondaires venait de se terminer péniblement et de justesse. Quoique doué et intelligent (c’est ce que mon père disait), j'étais distrait, peu appliqué et souvent l'esprit ailleurs. Mes cahiers n'étaient pas en ordre ; lorsqu’il fallait prendre des notes, je n’en retenais que la moitié. Mes parents furent donc, autant que moi, soulagés de me voir arriver au bout de cette dernière année d’étude.
Nous étions à la fin du mois de juin, et c’était mon premier jour de liberté après les examens. Ma mère, institutrice, était toujours à l'école, et mon père, qui dirigeait un centre d'études pédagogiques, ne rentrait que pour le repas du soir.
J'étais seul à la maison, il faisait chaud et, la fièvre des examens étant tout à coup retombée, je ne savais trop à quoi m'occuper. Je songeais à rendre visite à l’un ou l’autre ami, près de chez moi. L’un d’eux, Jacques, avait une petite piscine dans son jardin, et ses parents m’avaient invité à plusieurs reprises à venir en profiter pour me rafraichir.
Je songeais à lui rendre visite, avec l’espoir de prendre un bain dans cette fameuse piscine, quoique je n'étais pas très bon nageur et pas non plus très amateur de sport nautique.
A l'époque, mes parents avaient un réseau d'amis proches, que nous fréquentions de façon beaucoup plus simple aujourd'hui. Nous allions les uns chez les autres, sans prévenir et nous étions partout accueillis comme chez nous. Tous les amis de mes parents étaient sensiblement du même âge, et avaient donc des enfants du même âge que nous. Les parents de Jacques faisaient ainsi partir du groupe, avec lequel nous étions familiers.
C'est ainsi que, par un bel après-midi de juin, j’enfourchai mon vélo et je me rendis chez mon ami Jacques pour profiter de cette piscine nouvellement installée.
Comme c'était l'usage, j'entrais sans frapper, sans sonner, juste comme chez moi. Je m'attendais à trouver Jacques dans la piscine ; mais la maison était déserte. Un peu désemparé, je parcourus les pièces du rez-de-chaussée sans voir personne, puis je me dirigeai vers le jardin, où je trouvai Thérèse, la mère de Jacques en train de prendre du linge à sécher.
Un peu confus de me trouver ainsi comme un intrus, je lui expliquai avec hésitation que je venais voir Jacques pour éventuellement essayer la nouvelle piscine. Thérèse sourit en voyant mon hésitation ; elle me mit la main sur l'épaule il me dit d’un ton rassurant :
- Jacques n'est pas là, il est chez son oncle à Villers ; mais tu as bien fait de venir, la piscine est justement prête, l'eau est tiède et tu pourras y nager à ton aise.
Nager seul dans la piscine me paraissait un peu incongru et je répondis en bégayant :
- je peux revenir à un autre moment quand Jacques sera là.
Mais Thérèse balaya mes scrupules,
-mais non, puisque tu es là, nous allons en profiter, et je vais prendre un bain avec toi. Viens dans le salon pour mettre ton maillot. Je vais dans ma chambre mettre le mien.
J’enfilai mon maillot, trop grand pour moi, et mal ajusté, au point que je me demandais ce qu’elle allait penser de moi.
Thérèse fut prête en peu de temps, vint vers moi, vêtue d’un maillot de bain noir, et considéra, mi moqueuse, mi-sérieuse mon maillot flottant sur mon corps maigre.
-Comment, tu n’es pas encore dans l’eau, elle et pourtant bien chaude.
Je réalisai brusquement que j’étais presque nu, seul en face d’une belle femme en maillot de bain. Je la connaissais certes depuis longtemps, mais elle n’était pour moi qu’une amie de mes parents, Elle faisait partie de mon monde, quoique je n’avais avec elle qu’un contact superficiel, comme avec les autres relations de mes parents. Je ne l’avais évidemment jamais vue dans cette tenue. Cette grande femme aux formes pleines, moulées dans un maillot noir, m’impressionna, au point que j’en oubliais qui elle était. En la voyant ainsi apparaitre, je fus hypnotisé par sa superbe poitrine, mise en valeur par un décolleté généreux.
Elle remarqua mon trouble et me sourit :
-n’aie pas peur, je ne vais pas te manger. Tu n’as jamais vu une femme en maillot ?
-Si mais je..
-Allons détends-toi, nous sommes entre nous et les voisins ne peuvent pas nous voir. Et puis, nous ne faisons rien de mal. On y va ; par cette chaleur, un petit bain nous fera du bien.
Joignant le geste à la parole, elle me précéda jusque dans le jardin, où se trouvait une piscine ronde de de quatre ou cinq mètres de diamètre, et d’un mètre de haut. Par cette chaleur de juin, c’était un lieu idéal pour se rafraichir.
Thérèse, très détendue, escalada le petit escalier et entra lentement dans l’eau. Elle fit quelques brasses, du moins ce que permettait la dimension du bassin, puis se redressa. Le maillon mouillé lui collait maintenant au corps et rendait ses formes encore plus désirables. J’escaladai à mon tour l’escalier et entrai dans l’eau agréablement tiède. J’ajustais maladroitement mon maillot, flottant autour de ma taille trop maigre pour mon âge. Je ne sais trop si c’est la fraicheur de l’eau ou le regard de Thérèse, mais je tremblais légèrement et j’avais même la chair de poule.
Thérèse remarqua mon embarras.
-Ce n’est pas pour rien que tu perds ton maillot, tu es vraiment trop maigre. Tu devrais manger plus, et faire du sport.
Je fis quand même quelques brasses, puis je nageai sur le dos, un peu ébloui par le soleil de l’après-midi. J’appuyai ensuite mon dos contre de bord et je remuai les jambes, comme pour faire des vagues. Thérèse en fit autant.
-Tu n’as pas de petite amie, c’est drôle à ton âge.
- Je n’ai pas encore rencontré une fille qui me plait vraiment. Et puis, mon père dit que j’ai encore bien le temps, que je dois étudier.
D’un naturel conformiste, je m’en tenais, du moins en apparence, à ces sages paroles de mon père. Mais la vérité était bien différente. J’avais fait toutes mes humanités dans une école mixte ( à l’époque, c’était encore exceptionnel), où j’avais rencontré pas mal de filles qui me plaisaient ; mais toutes m’effrayaient. Sûres d’elles, détendues, conscientes de leur succès, elles me paraissaient largement « en avance » sur moi. Je n’avais rien d’un conquérant. Face à elles, je redevenais un enfant balbutiant et embarrassé, qui ne savait que dire, ni comment se comporter.
Entamer une « liaison », ce qui, dans mon esprit, se réduisait à quelques caresses innocentes, me paraissait donc exclu. Quant à la sexualité, à part quelques masturbations, dont l’effet bénéfique s’accompagnait d’une inévitable culpabilité, je n’étais qu’un puceau ignorant et craintif, aussi peu entreprenant qu’un fonctionnaire à la retraite.
J’aurais été bien incapable de proposer des relations sexuelles à une fille de mon âge. Je vivais dans la terreur de « devoir me marier ». A l’époque, du moins dans mon milieu, si un garçon mettait une fille enceinte, il devait l’épouser. Cette évidence ne souffrait pas de discussion. Et de plus, « devoir se marier » était considéré comme un malheur, qui condamnait les protagonistes à une vie médiocre et sans avenir. Mes parents, consciemment ou non, entretenait dans mon esprit cette vision paralysante de la vie amoureuse.
Je n’aurais jamais osé expliquer tout cela à Thérèse, ni d’ailleurs à personne.
Voilà le jeune homme que j’étais, en train de barboter dans une piscine de quelques mètres carrés, en face d’une grande femme plantureuse, qui me regardait d’un air moqueur, moulée dans un maillot de bain noir.
N’importe quel garçon de mon âge aurait apprécié la situation et aurait sans doute tâché d’en « profiter ». Mais profiter comment ? Pour quoi faire ? Je n’osais pas y penser.
Je suppose que Thérèse avait parfaitement compris quel adolescent attardé j’étais. Elle avait sans doute pitié de moi, et tâchait de me rassurer en racontant des banalités. Elle était souriante et détendue, et mon insistance à fixer sa poitrine mouillée luisant au soleil, ne semblait nullement la gêner.
Après avoir barboté ainsi dans l’eau tiède en parlant de mon année scolaire et de mes projets d’études, je ne savais plus que dire et Thérèse décréta que nous avions assez nagé.
-Je vois que tu trembles de froid. Viens, allons nous rhabiller. Je te préparerai un chocolat chaud.
Je la suivi donc dans la maison, soulagé ou déçu, je ne savais trop.
-Attends moi ici, je vais enlever mon maillot et je te rejoins.
Je commençais à rassembler mes vêtements pour me rhabiller, lorsqu’elle revint, drapée dans un peignoir de bain, court et mal fermé, qui ne cachait rien de sa superbe poitrine, et s’ouvrait sur ses cuisses à chaque pas.
Comme ma mère l’aurait fait, elle entreprit de me sécher vigoureusement avec un grand drap de bain. Elle mit mes cheveux en bataille, puis commença à me frictionner le corps.
-Bon, enlèves ton maillot, tu dois te sécher convenablement avant de te rhabiller.
Je n’avais pas eu le temps de protester, que mon maillot gisait sur mes chevilles. J’étais mort de honte, et je ne savais comment me mettre.
-Allons, ne fais pas de manières, j’ai aussi un fils de ton âge, je sais comment un garçon est fait.
Je la croyais sans peine, mais moi, justement, je ne savais pas comment une femme était faite, ce qu’elle avait très bien compris, et je bandais comme un âne, ce qui ne semblait pas l’émouvoir.
-Là aussi, tu dois te sécher.
Elle passa un drap entre mes jambes et autour de ma queue, et, en se penchant pour me frictionner, présentait ses seins à hauteur de mon visage.
Elle toucha délicatement ma queue.
-Tu est un homme maintenant, ta petite amie doit être bien contente de te voir aussi bien monté.
- C’est-à-dire que je n’ai pas d’amie, et que, je n’ai pas encore essayé. Mon père m’a prévenu que si je devais me marier, je serais malheureux toute ma vie.
-Allons, qu’est-ce que c’est que ces sottises ? Qui te parle de te marier.
-Tu es un gentil garçon, mais tu as besoin de découvrir la vie. A quoi pense donc ta maman, elle qui est enseignante ? Je ne peux pas te laisser dans une pareille ignorance ; les filles se moqueront de toi et tu seras malheureux pour le reste de ta vie.
Viens, nous allons faire ton éducation ; à ton âge, il est plus que temps, mais tu me promets de ne rien dire à personne. C’est un secret absolu entre nous deux.
Je bredouillai sans trop y penser
-oui oui, un secret absolu.
- Vient ici, je vais te montrer. Elle sortit un préservatif d’un tiroir, le déballa, s’accroupit devant moi, et empoigna avec fermeté ma queue dressée. Elle y déposa un peu de salive et l’enfourna prestement dans le préservatif.
- tu vois, il suffit de mouiller un peu pour que ça glisse, et ça va tout seul.
J’étais sidéré, je contemplais le visage de Thérèse, près de ma queue raide et surtout ses seins sortant généreusement de son peignoir largement ouvert. Son attitude me paru tout à coup moins maternelle. Thérèse n’était plus une amie de ma mère, mais une belle femme qui s’offrait à mes caresses.
Pris d’une envie plus forte que toutes mes inhibitions, j’empoignai ses seins et les caressai à pleine main. J’étais effrayé par ma propre audace, mais je ne pensais qu’aux seins superbes que je pouvais toucher, regarder, et sentir leur douceur au creux de mes mains.
Je m’attendais à ce qu’elle me repousse fermement, Mais non. Thérèse ne semblait ni étonnée ni gênée par mon geste.
Alors que je la caressais de plus belle, elle se pencha vers mon ventre, saisit ma queue, la souleva, soupesa mes couilles, et enleva prestement le préservatif. Elle me considérait d’un air affectueux, qui me rassura.
Elle me prit par la main et m’entraina vers son lit. Elle s’assis sur le bord du lit et m’invita à m’assoir à côté d’elle. Je tendais déjà la main pour reprendre ses seins, mais elle m’arrêta.
-pas si vite, ce n’est pas une course. Si tu veux qu’une fille soit contente de t’avoir rencontré, il faut veiller à ce qu’elle se sente bien, et la traiter avec douceur.
Elle prit ma main droite et la posa sur son sein.
-Tu es tout excité, mais si tu veux que je le sois aussi, tu dois me laisser le temps. Touches les doucement. Tu peux aussi les embrasser mais délicatement.
- Regardes, mes pointes commencent à durcir.
Cette belle femme presque nue, penchée sur ma queue, provoquait au fond de moi une une envie irrésistible, qui emportait en un instant toutes les peurs et les blocages, tristes héritages de mon éducation.
- Il faut aussi penser à me caresser partout. Moi, j’aime sentir une main douce sur mon ventre et sur mes hanches.
Elle se laissa alors aller en arrière, se coucha et écarta légèrement les cuisses. Je n’avais jamais vu, ni même imaginé une aussi délicieuse situation. Cette belle femme, couchée nue devant moi, et me souriant gentiment, mes rêves les plus audacieux ne m’avaient jamais offert un tel tableau.
Je passai ma main sur ses hanches, puis sur son ventre et arrivai à sa chatte, dont les bords étaient rasés, et dont le dessus était garni d’une touffe légèrement frisée.
Mon cœur battait à tout rompre, ma queue était dure au point de me faire mal, comme si un énorme jet de sperme était prêt à sortir.
-Oh, c’est très bien. Maintenant, caresses doucement mon clitoris. Là, tu vois ce petit bouton plus clair.
Elle écarta ses lèvres luisantes, et sorti son clitoris de son capuchon.
- Tout le plaisir d’une femme part de là. Si tu traites bien ce petit bouton, tu feras des heureuses.
Je commençai à frotter sa chatte, une première pour moi,
- Holà, doucement, ce n’est pas un furoncle, c’est très sensible. Bien, bien, n’arrête pas.
Elle guidait ma main et lui imprimait le rythme que lui convenait. Je voyais son ventre qui frémissait. Elle poussait sa vulve en avant par petits coups, comme pour appeler mes caresses. J’entrai un doigt dans sa chatte, luisante et glissante comme une coulée d’huile.
Thérèse soupirait maintenant et tout son corps ondulait lentement, avec une extraordinaire sensualité.
Parfois, elle murmurait,
-oui, oui, encore, plus fort.
Je ne savais plus où j’étais, je n’avais plus peur, je n’étais plus dans un jeu interdit mais dans un autre monde.
Elle se redressa, me regarda dans les yeux, prit alors ma queue et la frotta doucement. Il n’en fallait pas plus, une giclée de sperme aspergea mon ventre, et je senti une explosion dans mon crane, comme si je venais d’avaler un grand whisky cul sec.
Thérèse se pencha alors sur ma queue et la suça longuement, comme pour aspirer les dernières gouttes de ce lait épais.
En pleine forme et excité comme je ne l’avais jamais été, je ne débandais pas, lorsqu’elle se releva, un mince filet de sperme s’écoulait encore de ma queue.
Puis elle se redressa et me regarda affectueusement. Je baissais les yeux, sidéré par une pareille audace, qui me paru la pire des transgressions.
- Tu vois, ce n’est pas si terrible. Tu es un bon élève, mais tu as encore beaucoup à apprendre. Nous continuerons une autre fois, si tu veux. Mais n’oublies pas. C’est notre secret, il ne faut en parler à personne, vraiment personne.
Je m’écroulai sur Thérèse, suçai ses seins dont les pointes étaient encore en érection, et me détendis d’un coup.
Je revins sur terre. Je n’étais plus vierge, et je venais de vivre le plus beau moment de ma vie.
On n’a qu’une première fois, et Thérèse venait de m’offrir un extraordinaire cadeau.
Le 25 octobre 2024
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Très belle éducation
Posté le 28/11/2024
Roro
J’ai aimé, me rappelle ma jeunesse.
Posté le 16/11/2024
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