Marc est avocat... Mais Marc est cocu. Dans sa tristesse et sa colère, il se laisse aller à un coup de folie, sans savoir qu'il vient de s'ouvrir les portes du stupre et s'apprête à un changement de vie.
Proposée le 5/06/2021 par Korn
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Marc avait 39 ans. Avocat spécialisé dans le droit des affaires, il travaillait dans un petit cabinet avec son associé Jean-Luc, dans le centre-ville de Bordeaux. Tout lui réussissait : il avait une épouse magnifique, gentille et intelligente, deux superbes enfants bien élevés, une grande maison et une belle voiture. Mais ce matin-là, Marc arriva déprimé au travail.
Julie était partie très en avance car elle entamait une semaine de formation à son travail. En sortant de la douche, Marc avait été attiré par le « tidoum » caractéristique de la messagerie Facebook, en provenance de l'ordinateur portable de sa femme. C'est ainsi qu'il avait découvert qu'elle n'avait pas un, mais deux amants. Que si elle était partie plus tôt, ce n'était pas parce que la formation commençait de bonne heure, mais pour rejoindre un certain Stéphane avec la promesse de se « faire péter le cul. »
Il était 9h30 lorsqu’il poussa la porte du cabinet, en retard comme il sied à un jour pareil. Jean-Luc avait pris deux semaines de vacances, il était donc seul avec leur secrétaire Rowan.
- Bonjour, monsieur.
- Bonjour Rowan.
La jeune femme fronça les sourcils.
- Quelque chose ne va pas ? Vous avez mauvaise mine.
- Non, tout va bien…
Marc prit une grande inspiration.
- Non, vous avez raison, il y a quelque chose.
Les larmes aux yeux, il lui expliqua ce qu’il avait découvert. Rowan ne releva pas, elle le soutint avec de vagues mots, ceux que l’on prononce en pareilles circonstances. Marc la remercia et s’enferma dans son bureau.
De là, par la vitre, il pouvait observer sa secrétaire. Jean-Luc l’avait recrutée et Marc n’avait jamais eu de mal à comprendre pourquoi. C’était une franco-britannique de 23 ans, au visage en triangle qui commençait par un grand front dégagé et se concluait par un menton en pointe. Elle avait des pommettes saillantes, surmontées de deux yeux émeraudes et surplombant des joues creusées qui elles-mêmes encadraient des lèvres fines. C’était une belle femme, aux très longs cheveux, lisses et châtains. Mais si Jean-Luc l’avait choisie, ce n’était pas pour ça.
Rowan mesurait à peine plus d’1m55. Très fine, elle avait les fesses parfaitement rondes ; mais surtout, elle avait une poitrine énorme, un très gros bonnet E qui paraissait d’autant plus démesuré sur une fille aussi petite et mince. Jean-Luc n’aimait pas les gros seins : il leur vouait un culte. Il ne s’en cachait d’ailleurs pas le moins du monde ; s’il était sorti avec Émeline, son épouse, c’était pour son opulente poitrine ; s’il était resté avec elle, c’était parce qu’elle le branlait avec un rapport sur deux.
Vers dix heures, Rowan demanda à Marc s’il pouvait venir l’aider pour un dossier. Debout à côté d’elle, l’avocat l’assista pour remplir un courrier juridique particulièrement complexe. Au bout d’une minute ou deux, son regard se posa sur la poitrine de sa secrétaire. Vue du dessus, elle paraissait encore plus immense, une masse de chair qui distendait à ce point les fibres du pull à col roulé léger que l’on pouvait distinguer sans mal le soutien-gorge noir qui la maintenait vaguement en place. En plissant les yeux, Marc parvint à voir, ou peut-être à imaginer, la texture de la peau légèrement bronzée, ses petits grains de beauté et quelques veines violacées.
A force de regarder, il sentit une tension naître en lui. Il se prit à se demander ce que l’on pouvait ressentir, le sexe coincé entre ces formidables mamelles. Était-ce aussi fantastique que le disait Jean-Luc ? Ou bien un plaisir intéressant mais en rien comparable à une fellation ?
Julie, songea-t-il, avait de petits seins, il n’aurait jamais pu connaître cette expérience avec elle. De toute façon, leur vie sexuelle était quasiment au point mort depuis la naissance des enfants. Durant sa première grossesse, Julie avait connu un pic de libido absolument démentiel, elle voulait faire l’amour toute la journée et se masturbait encore lorsque son compagnon s’avouait vaincu. Quand son ventre ne lui avait plus permis de chevaucher son mari, puis que les coups de reins lui étaient devenus douloureux, elle s’était mise à sucer, sucer et sucer jusqu’à plus soif. Elle avait sucé Marc entre deux et quatre fois par jour, parfois à la suite.
Puis Julie était retombée enceinte, à peine trois mois après avoir accouché. Un retour de couche leur avait-on dit. Cette fois, sa libido s’était complètement éteinte et n’était jamais revenue en 6 ans. Du moins Marc l’avait-il cru jusqu’à ce matin et la découverte de ses frasques. Sa tête était soudain envahie d’images de sa si jolie Julie à quatre pattes, un énorme braquemart digne d’un film porno fiché dans l’anus. Elle lui avait toujours refusé la sodomie, mais apparemment elle s’en donnait à cœur joie avec ses amants…
Marc réalisa soudain qu’il était excité alors qu’il aurait dû être enragé. Rowan était tout près de lui, les yeux rivés sur son écran d’ordinateur. Quand elle utilisait sa souris, son épaule frôlait la cuisse de l’avocat et ajoutait à son trouble. Il se demanda ce que ça pouvait bien faire de glisser son sexe entre ses lèvres fines… Il n’avait pas connu la bouche d’une femme depuis 6 ans, celle-ci paraissait soudain très attirante.
Baissant la tête, il vit la bosse qui déformait son pantalon de costume. Le souffle tout à coup court, il recula d’un pas. Une érection au travail, ce n’était vraiment pas convenable, il ne voulait pas infliger ça à sa secrétaire.
Il essaya de se concentrer sur le dossier, mais ses pensées le ramenaient invariablement à la bouche et aux seins de Rowan ou à la vulve et l’anus de Julie. Rien à faire, il ne parvenait pas à calmer son excitation.
- Et voilà, c’est fini ! dit soudain la jeune femme en faisant pivoter sa chaise.
Elle se retrouva à quelques centimètres de la trique de son patron, le regard au bon niveau pour ne rien rater du spectacle que Marc offrait bien malgré lui. Il y eu quelques secondes de silence atrocement gênant.
- Je… Je suis désolé ! gémit Marc.
- Ce n’est pas grave, répondit Rowan en haussant les épaules. Ce sont des choses qui arrivent.
Le mutisme s’étendit encore et encore. La jeune femme ne bronchait pas, seul son regard allait et venait entre le visage et l’entre-jambe de l’homme qui lui faisait face. Marc avait de plus en plus de mal à respirer, il lui semblait que son sexe prenait presque vie entre ses jambes. Dans un état second, il sentit que ses doigts saisissaient le zip de sa braguette, le descendaient et extirpaient sa queue de son caleçon. Rowan l’observa faire sans broncher, sans réagir.
- Est-ce que… est-ce que je peux la mettre dans votre bouche ?
Marc était horrifié par ce qu’il venait de s’entendre dire. Il ne se contrôlait plus, il avait l’impression d’être le spectateur de sa propre conduite.
- Vous voulez que je vous suce ?
- Non, je… J’aimerai juste la mettre dans votre bouche. Juste un peu. Si vous voulez bien.
La jeune femme haussa de nouveau les épaules.
- Si vous voulez.
Marc posa son sexe sur les lèvres de Rowan, qui les entrouvrit pour lui laisser le passage. Ce n’était pas véritablement une fellation, mais la sensation oubliée, chaude et humide, lui procura d’intenses frissons de plaisir. Presque malgré lui, il commença à bouger les hanches, à aller et venir entre les mandibules de cette si jolie fille qui le dévisageait avec tendresse.
- Est-ce que… je peux voir votre poitrine ? demanda-t-il après un moment.
Toujours sans vraie réaction, la jeune femme releva son pull sur son opulent buste. Marc, qui pensait ne pas aimer les gros seins, s’en trouva encore plus excité. Il accéléra son rythme, une main agrippée à la longue chevelure de sa secrétaire, l’autre plongeant dans son soutien-gorge pour cajoler et titiller le téton qu’il découvrit fort dressé. Dans sa fièvre, il se demanda… Qu’est-ce que ça pouvait bien faire ? Et s’il osait poser la question ? Il prit une grande inspiration.
- Est-ce que je pourrais… Entre vos seins ?
Rowan hocha légèrement la tête, toujours en silence. Marc se retira de ses lèvres et elle s’avachit sur son fauteuil, pressant ses obus l’un contre l’autre, obus entre lesquels son patron prit place. Et quelles sensations ! Si le tissu du soutien-gorge l’irritait un peu, la peau de la poitrine, douce et fraîche, lui procura immédiatement un plaisir encore amplifié par l’attrait de la nouveauté. C’était si bon qu’il ne lui fallut pas longtemps pour se répandre à gros bouillons entre les seins de la jeune femme.
Rowan rabattit son pull, tandis que Marc remballait prestement son engin. Il sentit le rouge lui monter aux joues ; l’excitation passée, il se sentait atrocement honteux.
- Je suis désolé, se confondit-il, je ne sais pas ce qui m’a pris !
- Ce n’est pas grave, répondit-elle. Je ne me souviens pas vous avoir repoussé.
- Tout de même, ce n’est pas convenable ! Surtout au travail.
Une dernière fois, elle haussa les épaules.
- Ça ne m’a pas dérangée.
Un petit sourire étira ses lèvres fines.
- Faisons comme si de rien n’était si vous préférez. Mais sachez que vous pouvez utiliser ma bouche aussi souvent que vous le voudrez.
Marc déglutit.
- Je… euh… Merci.
- Mais de rien.
Tous deux reprirent le travail comme si l’événement n’avait pas eu lieu. Mais l’avocat ne parvenait pas à se concentrer, toutes ses pensées le ramenaient vers Rowan, vers ce qu’il pourrait lui faire…
En fin d’après-midi, alors qu’il bouclait sa journée, il fut pris d’une soudaine impulsion et décrocha son téléphone pour appeler sa jolie secrétaire.
- Rowan, vous êtes occupée ?
- Je termine un courrier, monsieur. Mais ça peut attendre.
- Non, finissez, mais j’aurais besoin de vous ensuite.
- Bien sûr monsieur. C’est pour quoi ?
Marc prit une grande inspiration.
- Eh bien je… J’aurais aimé profiter de votre bouche si votre offre tient toujours.
- Je termine ça et j’arrive monsieur.
Les minutes semblèrent durer des heures, mais finalement à travers la vitre Marc vit Rowan se lever. Elle resta un moment devant sa porte, puis frappa.
- Entrez.
Lorsqu’elle pénétra dans le bureau, Marc comprit ce qui l’avait retenue : Rowan était entièrement nue, à l’exception d’un string noir et de ses talons hauts. Elle était d’une beauté à couper le souffle, avec sa silhouette fine et ses muscles qui saillait sous la peau bronzée et traçaient des sillons sur tout son corps.
- Que diriez-vous que cette fois je pilote ? demanda-t-elle en s’approchant d’une démarche exagérément féline.
- Volontiers, répondit Marc en dégainant son sabre.
La jeune femme s’agenouilla entre les jambes de son patron et se mit immédiatement à l’ouvrage. Elle maîtrisait son art, donnant de la bouche, de la langue et de la main, sur la queue autant que sur les bourses. Elle léchait, suçait, branlait tantôt avec indolence, tantôt avec vigueur. Elle ne mit pas longtemps à extirper la sève de Marc, dont elle se délecta jusqu’à la dernière goutte.
- Merci, dit l’avocat en lui caressant doucement la joue.
- A votre service, répondit-elle en se relevant. Si vous permettez, c’est mon heure.
- Je vous en prie. A demain Rowan.
- A demain monsieur.
Après une nuit mêlant excitation et culpabilité, Marc revint au travail bien décidé à ne pas recommencer. Julie le trompait et il voulait garder le beau rôle.
Ses convictions tinrent bon cinq minutes et moururent sur le bureau de Rowan, entre les seins de la jeune femme. Savoir que sa secrétaire recevait les clients avec son sperme encore collé à la peau le mettait dans tous ses états et elle dû déployer tous ses talents en matière de fellations pour soulager ses émois à la pause déjeuner.
Ce petit manège dura toute la semaine. Le matin en arrivant, Marc baisait la bouche et les seins de sa secrétaire. Le soir, Rowan se déshabillait et suçait son patron. En un rien de temps, c’était devenu un petit rituel des plus plaisants.
A l’euphorie des jours de travail succéda la pesanteur du week-end, en compagnie d’une épouse adultère à laquelle il n’avait toujours pas parlé. Julie se rendait bien compte que quelque chose n’allait pas, elle chercha plusieurs fois à comprendre et se heurta systématiquement à un mur.
L’explosion arriva le samedi soir, après le coucher des enfants, dans la cuisine. Les accusations, la colère, les cris, les larmes, la rage. Et soudain, sans vraiment comprendre pourquoi, sans avoir imaginé que cela fusse possible, la bouche de Marc prit celle, vociférante, de Julie.
Elle lui rendit un baiser sauvage, mordit ses lèvres comme une bête affamée. Leurs corps se percutèrent comme quinze ans plus tôt. Leurs torses étaient nus lorsqu’ils pénétrèrent dans leur chambre, leurs peaux chargées d’un désir animal frottaient l’une contre l’autre.
Marc projeta sa femme sur le lit, qu’elle finit d’escalader. A peine s’était-elle hissée sur le matelas que son mari lui avait baissé pantalon de pyjama et culotte sur les genoux. Prête à l’accouplement, Julie tendit sa croupe, attendant le pénis soudain tant désiré.
Les doigts du mâle frôlèrent sa vulve dégoulinante, jouèrent avec les grandes lèvres, les écartèrent, étalèrent son jus. Les mains se posèrent sur les fesses musclées par les heures passées à la salle de sport, la langue vint contre toute attente chatouiller l’anus. Comprenant ce qui l’attendait, Julie ne se rebiffa pas, elle se cambra même davantage pour offrir sa rondelle à son partenaire.
Quoique absorbé par le premier anulingus qu’il prodiguait, Marc n’en manqua pas moins d’introduire index, majeur et annulaire dans la chatte de sa femme et de l’entreprendre vigoureusement. Puis sans crier gare il tira Julie tout au bord du lit et l’encula brusquement.
Debout derrière elle, il la sodomisa sauvagement, comme l’animal en rut qu’il était à ce moment. Ni douceur, ni langueur, juste les coups de reins de deux chiens qui voulaient jouir de l’instant et sur l’instant. L’orgasme les prit en même temps, rapide et foudroyant, Marc eut l’impression qu’il déversait des litres de semence dans le cul de son épouse.
Julie s’effondra, ses genoux quittèrent le matelas et se posèrent sur le carrelage glacé de la chambre. Marc l’aida à se relever et il s’endormirent presque immédiatement après que leur tête se soit posée sur l’oreiller, épuisés qu’ils étaient par la dispute et le sexe. Ils n’avaient même pas pris le temps de se rhabiller ou même de remonter leurs sous-vêtements qui restaient sur leurs cuisses et chevilles.
Ils firent l’amour dès le réveil, aussi passionnément qu’à leurs débuts, avec une ardeur soudain retrouvée après des années de sclérose.
Passé le feu, vint la pluie. Pas l’orage ni l’averse, mais une chaude et douce ondée d’été. Il fut temps de discuter, comprendre comment ils en étaient arrivés là. Julie avoua qu’après la naissance du deuxième, elle avait eu besoin de plaire, parce que Marc la trouvait belle en toutes circonstances. De fil en aiguille, elle s’était laissée embrasser, elle s’était laissée toucher les fesses et les seins par un collègue, elle s’était laissée prendre sur la photocopieuse au bureau, elle s’était laissée entraîner toujours plus loin pour plaire.
Pour recevoir toujours plus de compliments, elle avait accepté que ses amants éjaculent sur sa poitrine puis son visage, elle avait accepté la sodomie, elle avait accepté des plans à trois, elle avait accepté la double pénétration. Parce qu’à chaque fois, elle était abreuvée de louages et qu’elle aimait ça.
Marc ne disait pas un mot, il laissait sa femme parler, raconter pour la première fois tout ce qu’elle avait vécu ces dernières années.
Elle lui narra comment elle, l’assistante de direction, avait un jour enchaîné les fellations à tous les membres du conseil d’administration de sa boîte. Comment un dîner d’affaire s’était conclu dans le lit de quatre hommes importants qui s’étaient relayés dans son vagin, sa bouche, son anus. Comment, juchée sur le bureau du directeur, elle s’était masturbée devant un parterre de clients. Comment son patron et plusieurs cadres l’avaient baisée et enculée, encore et encore. Et comment à chaque fois on l’avait remerciée, comment on avait vanté sa beauté et ses talents.
Marc aurait dû être enragé, mais il bandait comme un salop. Il proposa aux enfants de jouer à Mario Kart sur la Switch et entraîna discrètement Julie dans la buanderie. Là, debout contre le lave-linge, culotte baissée au ras des fesses, il la sodomisa. Lorsqu’il voulut jouir dans sa bouche, elle se mit simplement à genoux et but son sperme en le dévisageant de ses yeux emplis d’amour.
En voyant ce regard débordant de tendresse, l’avocat sut qu’il n’en voulait déjà plus à son épouse. Il comprenait même parfaitement son cheminement car il venait de parcourir le même. Une simple impulsion, une erreur comme le premier baiser accepté par Julie ou une verge tendue à Rowan, s’était mué en engrenage infernal. La conclusion pour elle avait été une déferlante de sexe. Pour lui, c’étaient deux pipes par jour de sa secrétaire. Les détails changeaient, le fond convergeait.
Alors à son tour, il se confessa sur les événements de la semaine écoulée. Comme Julie quelques minutes plus tôt, il raconta tout. Il n’était pas à la moitié du récit que Julie avait glissé la main dans sa culotte et se caressait en l’écoutant attentivement.
Il leur fallut dès lors se rendre à l’évidence : ils n’aimaient pas partager l’autre, mais les histoires qui en découlaient les excitaient, les galvanisaient. Ils passèrent le reste de la journée à fixer un contrat entre eux, contrat qui ne contenaient que trois points.
1. Diminuer la fréquence des rapports extra-conjugaux.
2. Raconter dès que possible à l’autre avec force détails.
3. Garder assez d’énergie pour subir les assauts qui suivraient.
Le lendemain, fidèle au première point, Marc évita soigneusement de solliciter sa secrétaire. Cela lui fut extrêmement difficile car il voyait sa silhouette chaque fois qu’il levait les yeux de son écran d’ordinateur et qu’il bandait rien qu’en apercevant son énorme poitrine mise en valeur par un chemisier très cintré. A la pause déjeuner, il se masturba aux toilettes en s’imaginant fourrer sa bite au fond de la gorge de la jeune femme.
Mais le soir, une surprise l’attendait. Julie lui raconta que deux cadres l’avaient coincée dans son bureau, au début pour la peloter. Très vite la situation avait dégénéré, elle s’était retrouvée à genoux, à sucer la queue de l’un pendant que l’autre la doigtait.
Elle finit son récit à quatre pattes sur le canapé, expliquant à son mari qui lui prenait violemment la chatte qu’elle s’était retrouvée debout, coincée entre ces deux hommes qui pressaient leurs sexes contre elle. L’un s’était enfoncé dans son anus, l’autre avait pénétré son vagin. Ils l’avaient prise longuement avant de jouir et, comme toujours, de la remercier pour ses services. Elle-même avait eu un énorme orgasme en les sentant éjaculer à l’unisson dans les préservatifs profondément enfoncés en elle.
Mardi matin, Marc arriva un peu en avance au bureau. Sitôt Rowan assise au sien, il l’appela par la ligne intérieure.
- Bonjour Rowan, comment allez-vous ?
- Très bien, monsieur, merci. Et vous ?
- Très bien, merci. Pourriez-vous venir ? J’ai quelque chose à vous demander.
- J’arrive tout de suite monsieur.
Il y eut deux secondes de flottement.
- C’est pour quoi ?
- J’ai un cadeau pour vous.
La jeune femme frappa à la porte un instant plus tard. En entrant dans le bureau, un rictus amusé étira ses lèvres lorsqu’elle vit son patron affalé sur son fauteuil, la verge sortie et bien dressée.
- C’est mon cadeau ? demanda-t-elle avec une fausse innocence.
- Non, votre cadeau est sur le bureau, répondit Marc en désignant le meuble du doigt.
Rowan fit quelques pas, prit l’offrande, son rictus s’élargit.
- Si ça vous tente, bien sûr, poursuivit Marc.
- Pourquoi pas ?
Rowan retira prestement son haut, ouvrit la boîte pour en extraire un préservatif. Elle s’apprêtait à en déchirer l’emballage lorsque Marc l’interrompit :
- Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, j’aimerai que vous soyez nue.
- Bien entendu, monsieur.
La jeune femme se défit rapidement de ses atours, exposant son corps superbe à la vue de Marc. Elle sortit ensuite le caoutchouc de son écrin et s’approcha de son patron en roulant exagérément des hanches, s’agenouilla, coinça le préservatif entre ses lèvres et prit la verge tant convoitée en bouche.
La lance de Marc en ressortit toute caparaçonnée de latex et prête à empaler sa victime.
- Vous êtes décidément pleine de surprises, commenta-t-il en lui tendant les mains.
- Et vous n’avez pas tout vu.
Rowan prit place sur les cuisses de Marc, guida son membre en elle. Le coït fut aussi bref qu’intense, la jeune femme ne ménageant pas son amant qui lui pétrissait les fesses et tétait les mamelles. En seulement quelques minutes de rodéo, elle fut récompensée en le sentant remplir le préservatif de longs jets de foutre.
- Merci Rowan.
- Je vous en prie monsieur, c’était très agréable. Nous pouvons recommencer quand vous voudrez.
- Ce sera très volontiers, cette boîte ne va pas se vider toute seule.
La jeune femme eut un petit rire.
- Si vous le permettez, je vais me rhabiller et retourner travailler.
- Je vous en prie.
Le soir, Marc et Julie se racontèrent leurs exploits de la journée au moment d’aller se coucher. Le récit se termina par l’orgasme de madame au moment où son mari se vidait dans sa petite rondelle.
Un mois et demi plus tard, il fallut se rendre à l’évidence : Julie était de nouveau enceinte, le récent déchaînement ayant eu raison de son stérilet. Mais cela ne calma pas le couple, bien au contraire. Marc se régalait d’éjaculer sur le ventre toujours plus rond de sa femme et dû passer les derniers mois de grossesse à trouver des énergies insoupçonnées pour la satisfaire.
Rowan devint sa maîtresse plus ou moins officielle, il préférait une unique relation à la pléthore de partenaires qu’enchaînait son épouse.
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