Difficile de résister aux avances d'un homme, une fois que vous l'avez laissé découvrir et flatter vos parties intimes, vous branler, et qu'il en veut plus. On ne peut plus que céder, sur cette pente fatale.
Proposée le 22/08/2024 par Sacha
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Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Difficile, pour un jeune homme tout juste sorti de l'adolescence, de résister aux avances d'un homme mûr qui s'y entend à vous donner du plaisir. Qui vous délivre du plaisir solitaire en vous faisant découvrir d'autres horizons, et des plaisirs beaucoup plus intenses et jouissifs, comme de faire l'amour entre hommes.
Certes, c'est plaisant pour un garçon éprouvant, comme moi, une folle attirance pour les hommes, de se sentir désiré. Chaque privauté en amenant une autre, il voulait aller plus loin.
Il ne m'avait jamais rien caché de ses goûts, ni moi des miens. L'amour des garçons était déjà entre nous un trait d'union. Et il savait s'y prendre, le bougre. Et faire monter ma sève. J'ai donc compris assez tôt dans quoi je me laissais si volontiers embarquer, et avec tant de complaisance: une histoire d'amitié virile, de tendresse, d'amour et de sexe.
Certains soirs je restais dormir chez lui, dans la chambre d'ami. La nuit venue il me rejoignait, soulevait le drap, me caressait les fesses. Me demandait de bien cambrer les fesses pour saisir mon sexe, constater à quel point je bandais, et s'attardait aussi délicieusement dans ma fente.
J'aimais bien aussi quand il malaxait mes petites boules. Ça durait une éternité, j'étais aux anges. Il me faisait découvrir un pays fabuleux, mon propre corps.
Ça finissait toujours en beauté, il me faisait jouir, mais je sentais aussi que des plaisirs insoupçonnés pourraient un jour me combler. Parfois aussi je déchargeais dans sa bouche, grâce à ses fellations.
Mes parties intimes n'avaient donc plus de secret pour lui. Il n'a pas tardé à exiger que je m'épile intégralement, ça lui donnait l'impression assez troublante de peloter un ado impubère.
Sous la douche nos langues s'enlaçaient, on s'embrassait à pleine bouche, tandis que nos queues se frottaient l'une contre l'autre, jouaient aux petites épées et fricotaient. Alors pourquoi ne pas "pousser le bouchon" plus loin? Je lui devais bien ça. Je ne voulais pas passer pour une petite salope, se dégonflant au dernier moment, celui de passer à l'acte.
Et il me l'a bien comprendre. Il en avait assez que je joue les biches effarouchées chaque fois qu'il me taquinait la rondelle. Il voyait très bien qu'alors je tortillais du cul. Il me menaçait de changer de mec.
J'ai cédé au chantage. Je me sentais redevable envers lui. Moi aussi, au fond, je voulais aller plus loin dans notre complicité érotique. Je me sentais coupable, non de nos ébats torrides entre hommes, mais de ne m'être pas encore donné entièrement à lui. S'il voulait me défoncer le cul, j'étais partant.
En plus, il me voulait à lui, et rien qu'à lui, pleinement à lui. C'était à lui de me déflorer du cul. Grand masturbateur, je prenais parfois mon sexe dans ma main, quand il me flattait si bien ma croupe. Mais il me l'interdisait. C'était à lui d'officier, quand l'envie lui prenait de "s'occuper de moi". Et c'était encore plus excitant.
Le moment me semblait donc venu de lui offrir mon cul, qu'enfin il me baise et que nous devenions amants, heureux amants.
Au lit, les choses ont pris une autre tournure. Un soir, allongé sur le ventre, je l'ai supplié de me donner une fessée bien méritée pour avoir tant tardé à m'offrir entièrement à lui. C'est alors que je lui ai offert mon cul, en me mettant en levrette.
Quel plaisir, quelle récompense, après la fessée qu'il m'administra, de sentir se glisser, entre mes fesses meurtries, sa queue toute frétillante. Ma petite chatte mouillait. Rien qu'à sentir son gland épouser si parfaitement ma rondelle, à l'orée du sous-bous plein de fraîcheur que je lui offrais, qui se contractait et se dilatait dans l'attente gourmande de sa verge.
Il m'enfila enfin. Nos couilles parfois se touchaient comme des castagnettes dans notre coït. C'était bon. Dans un cri de volupté il a répandu en moi sa semence, en me faisant gicler.
Il m'a voulu, il m'a eu. J'ai aimé sentir sa bite en moi, je lui devais bien ça, faire vraiment l'amour entre hommes, se sentir si intimement soudés l'un à l'autre. Mon homme m'a dépucelé du cul, et m'a souvent sauté par la suite.
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