Histoire Erotique

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Une rééducation pas si difficile que ça...

Une jeune femme suite à une entorse manipule son kinésithérapeute pour arriver à ses fins. Perverse ou simplement sensuelle ? Peut-être tout simplement les deux à la fois...

Proposée le 13/09/2023 par Buzz

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Je touchais pour la première fois de l'index son méat et touchais cette perle de liquide qui suinte parfois d'un gland. J'adore cette sensation qui me permet de sentir que mon partenaire est particulièrement excité. Doucement j'approchais ma langue et léchais lentement ce qui sortait doucement, deux ou trois goutte de liquide cristallin, légèrement collant, presque un peu huileux.

Mais je n'avais pas envie d'aller trop vite, qu'il jouisse trop rapidement car j'attendais qu'il me bourre longtemps. Cinq minutes, à quoi bon ?
Je mets en général un certain temps, minimum un quart d'heure, et s'il pouvait tenir plus, pour que mon deuxième orgasme arrive ce ne serait que mieux. Je ne savais pas encore comment il se comportait au lit. Il allait falloir que je dirige un peu ça.


Comment en étions-nous arrivés là ?


Et bien, suite à un accident sportif (je m'entretiens, à trente cinq ans il le faut), j'eus besoin de séance de kinésithérapie et une voisine me recommanda cet homme dont le cabinet était à quelques rues de là.


Un cabinet moderne, propre, accueillant et décoré avec goût. C'était assez tranquille, loin de l'idée de ce que je me faisais de ce genre d'endroit, style salle de sport ou plein de box et travail à la chaine.


Nicolas, un quadragénaire, brun, à l'allure sportive me reçut, de façon assez décontractée, mais professionnelle. Je dirais pas qu'il me plaisait, mais quand même c'était plutôt agréable de se faire soigner par ce genre d'homme.


Les premières séances étaient assez tranquilles mais devinrent pour mon entorse de genou relativement rapidement assez toniques puis sportives.


Malgré la climatisation, je commençais à transpirer sous l'effort ce qui laissait des marques de sueur sous mes seins que j'ai assez ronds. Il était assez touchant dans le rôle de celui qui ne remarquait pas.
Ça a même commencé à m'amuser et comme je suis d'un caractère taquin et entreprenant je fis un soir à l'heure de la fermeture de son cabinet exprès d'oublier ma serviette et ma montre que j'enlevais à chaque séance.


A peine rentrée chez moi, j'appelais son cabinet pour lui faire part de cet oubli et du fait que la montre m'était indispensable. Il allait fermer et comme j'habitais à deux rues de chez lui, il me proposa de passer pour me les ramener. Je n'en attendais pas moins. Je suis assez machiavélique parfois.


Juste le temps d'une douche rapide et d'enfiler un bas de sport bien moulant qui dit la vérité, ainsi qu'un T-Shirt court dévoilant mon nombril qu'il sonnait à la porte.


Je le fis entrer et lui dis : "Vous tombez bien, j'ai un ou deux conseils à vous demander sur certains exercices que je fais pour mon dos pour m'étirer. Je peux ?", et sans attendre sa réponse, sur mon tapis de sol, je me positionnais à quatre pattes, reins hyper-cambrés, bras en avant au sol et mes seins ronds touchant à peine le sol. "C'est bon ça" lui demandais-je en tournant un visage souriant vers lui avec un petit air mutin. " Vous pouvez corriger ?"


Là, sa main s'est posée sur mes reins et j'ai frémis, me cambrant davantage, faisant ressortir mes fesses. J'ai senti son autre main sur ma fesse droite et je poussais un soupir qu'il ne pouvait pas ignorer. Sa main est devenu caressante, séparant mes deux fesses, les écartant. Mon visage s'est tourné vers lui qui s'était mis à genou et ma main gauche a saisi la bosse qui commençait à déformer son pantalon.


"Nous serons mieux dans ma chambre" et je l'y menait en le tenant serré par la bite à travers le pantalon.


J'ai continué à caresser sa grosseur de mes mains et de ma bouche à travers le jean, déboutonnait et baissait ce dernier tout en lui laissant son boxer et recommençais à travers le fin tissu.


Voilà où j'en étais tout à l'heure, au moment où baissant son boxer je touchais de l'index son gland et sa goutte huileuse qui sortait pour pouvoir me lubrifier.


Mais je n'en avais pas besoin, ma culotte était trempée, j'enlevais mon collant et chevauchais son visage, écartant mon string pour tapisser ses lèvres, sa bouche, son nez de ma liqueur. Sa langue s'enfonçait ou restait à plat pour que je frotte mon clito. J'adore, ce type était bien parti pour me faire jouir.


Rapidement nous avons tout enlevé et j'ai enfourné son sexe en moi. J'aime qu'on me prenne profondément et que je frotte mon clitoris sur son pubis en amazone, mais mon plus grand plaisir c'est en levrette avec des coups lents et profonds, ça me termine en général. Je me connais par cœur.


Je me suis donc retournée, et ses mains ont attrapé mes fesses, les écartant, et j'ai aidé son sexe à trouver le bon chemin. Sans qu'il bouge j'ai commencé mon va et vient sur sa bite en cambrant et reculant mon cul, comme si je me branlais sur un gode, puis lui ai dit, vas-y maintenant, prends moi fort. Le salaud était résistant et au bout de quinze minutes de ses coups de boutoirs dont il avait l'intelligence de varier le rythme il accéléra et je partis. Sans bruits mon corps fut agité de soubresauts et il s’arrêta doucement, lentement. Au bout de trente secondes, il repartit de plus belle, ouvrant mes fesses avec ses mains et me caressant de son pouce droit je pense, ma rondelle. Je suis très sensible de ce côté là et lorsqu'il l'enfonça dedans je jouis à nouveau et lui s'écroula sur moi dix secondes après dans un grognement significatif puis roula sur le côté.

Je pris son sexe encore raide dans ma bouche et nettoyais doucement ce qui s'en écoulait encore et le fruits de nos ébats jusqu'à ce qu'il ramollisse complètement et le gardais encore deux minutes en pressant son gland de mes lèvres.

Depuis, je vais régulièrement à son cabinet et vous raconterais peut-être ce que nous faisons parfois dans le gymnase ou sur les tables de massage...

Si vous êtes sages.

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