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Sieste crapuleuse sur une aire d'autoroute

Après avoir mangé dans un restau routier, je m'aperçois que je n'ai aucun moyen de paiement. Mon voisin de table, routier compatissant, me dit qu'il va arranger ça. Évidemment, il y avait une contrepartie.

Proposée le 1/08/2024 par Sacha

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Parking
Type: Histoire vraie


Sur la route des vacances je m'étais arrêté, lors d'un été bien chaud, dans un restau routier entre Paris et Bordeaux.

Le repas était copieux. Il y avait pas mal d'hommes seuls, dont mon voisin de table, avec qui nous avons juste échangé quelques regards furtifs puis quelques mots.

J'avais parfois l'impression qu'il me regardait à la dérobée, sans aller jusqu'à dire qu'il me matait, mais c'était tout comme. J'avoue que me sentir désiré par un bel homme, trentenaire, ne me laissait pas indifférent. Bref, ça m'excitait, cette situation.

Pour demeurer un peu plus longtemps en cette charmante compagnie, savourer ce moment, je pris un dessert du menu avec supplément, un sorbet Coloel, poire et vodka. Je n'étais pas vraiment paf, mais juste un peu pompette.

Avait-il compris qu'il me plaisait bien, que je voulais faire durer le plaisir, prolonger les jeux de la séduction entre hommes?

Toujours est-il que c'est alors que m'est revenu à l'esprit le conseil d'un ami cher et tendre, je dis cher et tendre pour ne choquer personne, en fait lui et moi on s'était enlacés, on avait fait l'amour, on avait baisé, bref, son conseil: si tu sens que tu attires un homme, commence par déboutonner le haut de ta chemise. Laisse-le voir tes seins, ta peau nue et imberbe.

J'ai appliqué le conseil, jouant à la petite salope, j'adore, et cela n'a pas semblé laisser indifférent mon voisin de table. J'avais l'impression d'être enveloppé et convoité par ses regards insistants et concupiscents.

La serveuse est venue m'apporter l'addition. Avec l'insouciance de mes vingt ans, je ne disposais d'aucun moyen de paiement, j'avais oublié de retirer du liquide.

C'est alors que mon voisin de table a généreusement proposé de me tirer d'affaire en réglant pour moi.

Je ne pouvais pas le laisser repartir tout seul, je l'ai raccompagné jusqu'à son camion. Il me dit que ma compagnie lui plaisait bien, qu'il allait bien falloir que je lui rende la politesse, me suggérant une petite sieste coquine.

Je me sentais prêt, bien sûr, à lui accorder quelques faveurs. Ses regards insistants durant le repas avaient éveillé mon sexe, l'avaient sorti de sa torpeur. Et par chance je m'étais intégralement épilé le matin même, ma queue frétillait déjà d'impatience, comme celle d'un jeune ado impubère, et je savais bien, pour en avoir déjà fait l'expérience avec des hommes mûrs, à quel point cela a le don d'exciter les mâles attirés comme moi par les garçons.

J'ai dû monter dans la cabine du semi-remorque, il a bien fallu. C'était juste, disait-il, pour lui tenir compagnie durant sa sieste. Et je lui devais bien ça.

Dans sa cabine il n'y avait pas de photos de pin-up découpées dans un magazines. Juste des photos de mecs en pleine érection, de belles queues qui bandaient, de fesses excitantes qui s'offraient.

Dans la cabine il me demanda de déboutonner complétement ma chemise et de baisser mon pantalon, comme je ne portais rien en-dessous, l'accès était direct. Cessant d'être comprimée, ma queue jaillit, bien raide, toute émoustillée par ces préludes.

Il se livra sur moi à des attouchements qui ne firent que m'exciter encore davantage. Ma queue le rendait fou, ses mains, ses lèvres, sa bouche l'ont comblée de leurs caresses et de leurs baisers.

Je me laissais faire, lui devant bien ça. Mes mains pelotaient son torse, ses fesses, ses cuisses, ses couilles, sa queue. Je l'embrassais partout.

Puis il m'a bien fallu passer à table, si j'ose dire. Entièrement nus, nous nous sommes langoureusement frottés l'un contre l'autre. Puis je me suis retrouvé tout nu allongé sur le ventre, fesses écartées, il est venu en moi, me labourant le cul tout en me branlant.

Se faire enculer sur une aire d'autoroute, rideaux même pas tirés, c'est quand même assez excitant et jouissif.

Finalement, je n'ai pas regretté de ne pas avoir eu d'autre moyen de paiement.

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Commentaires de l'histoire :

Albert le routier gay
Très amusante ton histoire , moi ancien routier je m'arrangeais de faire mes coupures sur les aires de repos ou je savais trouver des partenaires pour passer un bon moment dans ma cabine et couchette. Je draguais un peu dans les toilettes ou petits bois autour et lors ce qu'un mec me plaisait bien je l'invitas dans ma cabine , rideaux tirés, a poile tous les deux et c'était parti pour une bonne séance de jambes en l'air . Cela pouvait durer un bon moment et souvent chacun son tour ou même quelques fois toute la nuit. Mais aujourd'hui plus que de bons souvenirs , j'avais en son temps fais aussi publier quelques unes de mes histoires sous le titre < Albert le routier gay > Il m'arrive encore de les relire avec nostalgie .
Posté le 5/08/2024


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