Histoire Erotique

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Houda et son double dépucelage par le jardinier de l’école.

Houda étudiante vierge de 18 ans révait de sexe et s'excitait chaque fois qu"elle passait devant le jardinier qui regardait avec avidité sa croupe serrée dans son short de sport. Et un jour elle alla le rejoindre dans sa cabane où il la dépucela et de la chatte puis du cul et la fit jouir à fond.

Proposée le 8/07/2024 par DALIDA

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Je suis Hanna, 18 ans et après mon Bac je suis entré à l’École Supérieure de Commerce ESC. Donc je suis parti de mon village, au bled, vers la ville où je suis par ma bourse, prise en charge, à l’instar de tous mes camarades filles et garçons, dans la cité spéciale de ESC, située pas très loin de l’école, une sorte d’internat libre.

Au bled j’étais en robe traditionnelle, hijab et khimar, mais ici, j’ai du me plier aux coutumes locales, donc cheveux découverts que j’ai du raccourcir un peu, robes plus ou moins courtes, pantalons plus ou moins bleu jean donc souvent assez serrés sur les fesses, tee-shirt moulant mes seins qui sont assez développés et en sport j’avais aussi des shorts très courts et serrés pour les séances obligatoires de sport. Donc ma silhouette a complètement changée.

De plus, j’ai du apprendre et suivre certaines moralités nouvelles dans mes attitudes surtout avec les garçons. Heureusement que j’avais assez de caractère car j’avais vécu avec quatre frères, certains plus âgés que moi et que j’arrivais à mater quant c’était nécessaire. Donc pendant mes premiers mois j’ai réussi à me faire éviter les avances et les contacts masculins et à réprimer les langages provocateurs et osés. Donc ça marchait bien pour moi.

Et je me suis faite une amie, Zineb, qui venait souvent passer des heures dans ma chambre où on pouvait travailler, réviser et parler de tout et rien. Elle s’habillait comme moi mais parlait toujours de ses envies et lisait des livres de sexe et apportait des revues et photos osées. Au début cela me gênait mais je m’y suis habituée et j’ai même réussi à lire quelque uns de ses livres cochon et à voir les contenus de ses revues et photos osées. C’est grâce à cela que j’ai pu voir des sexes d’hommes en détails et en situations actives avec des femmes.

Au début j’ai été secouée mais les histoires cochonnes ont réveillé en moi des envies agréables. Mais ce sont surtout les photos et images de sexes masculins, de zob gros et gonflés et les images de baises et de sodomies qui m’ont secouée. Et je restais souvent un long moment à les admirer en me touchant mon sexe, ma vulve. Donc, mes envies ont explosées et augmentaient à chacune de mes lectures et au vu des images et ma vulve mouillait pratiquement chaque jour et nuit dans mon slip.

Alors, comme j’étais presque toujours en pantalon et en tricot serrés, je sentais bien que mes seins et mes fesses étaient bien moulées au regard des camarades garçons et même des professeurs et autres hommes du voisinage. Je savais qu’ils pouvaient ainsi observer les profils de mon corps et en avoir des envies sexuelles.

Et justement, un jour, c’est un jardinier de la résidence que j’ai découvert et qui observait mes rondeurs avec envie. En tout cas, il insistait dans ses regards mais n’osait pas en parler. Mais moi, je ne savais pas pourquoi au début, c’était le seul dont les regards me troublaient. Quant je passais devant lui et le dépassais, je savais que son regard suivait avec insistance mon derrière et admirait ma croupe et les mouvements de mes fesses et je me sentais toute drôle. Pire, ses regards me provoquaient des sortes de démangeaisons dans mon cul et dans mon sexe. Et en effet, quant j’arrivais dans ma chambre, je constatais, chaque fois que mon slip était tout mouillé.

J’étais vierge mais comme j’avais beaucoup lu, surtout les livres érotiques de Zineb, je savais que cet homme, ce mâle avait envie de moi, de mon corps et surtout de ma vulve qui semblait répondre à son appel et j’en avais un peu honte, une honte délicieuse. Mais, je recommençais à revoir les photos des sexes masculins et je me demandais si le zob du jardinier Tahar, c’est comme ça qu’il s’appelle, si son zob, et j'aimais me répéter ce mot agréable, était aussi gros et tendu et cela augmentait mon excitation. Mais aucun de nous deux n’osa parler, ni même s’approcher de l’autre.

Pourtant je savais que plusieurs filles de ESC, peut-être même la totalité, avaient des copains et que, suivant les rumeurs, la majorité des filles n’étaient plus vierges. Je me demandais, j'étais presque sûre, si Tahar avait couché avec certaines de ces étudiantes. J’ai alors abordé, discrètement le sujet avec ma copine Zineb et elle m’a confirmée que cet homme avait la réputation d’avoir un gros zob et qu’il était un grand baiseur, et qu'il avait dépucelé en douceur plusieurs vierges, d’après les rumeurs féminines. Je savais qu'elle avait un autre copain mais pas Tahar, et je ne sais pas encore si elle était encore vierge. J’étais un peu déçue de savoir que Tahar lorgnait et baisait d'autres filles, peut-être choquée car j’avais espoir qu’il ne regardait que moi et mon cul.

Quelques jours après, au retour d’une séance de sport, je passais par le jardin où Tahar travaillait. J’étais en short très court et serré sur ma croupe et accompagnée de Zineb, aussi peu vêtue que moi. Mais ma poitrine était nettement plus gonflée que la sienne et cela se remarquait bien en prime abord. Passant devant Tahar qui nous regardait avec envie, nos yeux se sont rencontrés. Alors il toucha sa poitrine puis leva haut son pouce et avec ses lèvres il fit la mime d’admiration. J’ai immédiatement compris qu’il félicitait ma poitrine, mes seins qui bombaient le vêtement. Zineb comprit très bien et me fit la remarque en rigolant doucement.

Quant nous l’avons dépassé, je me suis retourné brièvement et lui continuait à m’observer. Alors il toucha cette fois son derrière et reprit le geste de son pouce levé en admiration. Je savais qu’il parlait de mon derrière et de mes rondes fesses que le short cachait si peu mais montrait nettement comme une seconde peau. Zineb n’a rien vu. Les chairs de mes fesses débordaient nettement de part et d’autre du short. J’ai fait encore deux pas puis je me suis encore retourné brièvement et j’ai eu une sorte de plaisir, d’envie agréable, alors j’ai repris ma position mais en soulevant ma main comme un salut vers lui. Je lui disais clairement que j’avais compris ses deux messages et ça me plaisait.

Trois jours plus tard, on avait jour de congé, et au lieu de sortir de la résidence du coté de la ville, j’ai préféré passer de l’autre coté, jardin. Je savais qu’il serait là bas car il logeait dans une sorte de grande cabane à deux pièces, située, là bas sous les arbres, bien cachée tout au fond du jardin. Comme je suis passé du coté des bosquets d’arbres, donc de sa cabane, je l’ai découvert, assis par terre, en train de soigner un chat qui semblait blessé. Il me vit et libéra le chat puis se leva et s’approcha de moi. Il était seulement en pantalon et le torse nu, poilu et semblait puissant. J’étais en chaleur, comme un automate, c’étaient mes pieds qui m’avaient amenées et non ma raison et il le devinait.

Il me prit la main et me guida à l’intérieur de sa cabane. J’ai tout de suite vu son grand lit et ses affaires éparpillées en désordre et je savais ce qu’il allait faire, mais pas un mot ne sortit de ma bouche. C’est lui qui me dit, presque en murmurant, qu’il savait et qu’il m’attendait depuis deux jours déjà, et que je n’avais aucune crainte, au contraire. Il me déshabilla en vitesses et quant je fus entièrement nue, il m’installa doucement le dos sur le lit et écarta mes jambes et cuisses.

Il se courba sur ma vulve et la goba avec sa bouche. Il m’embrassa la vulve, plutôt il m’aspira les lèvres de ma vulve et me suça lentement, puis sa langue me pénétra doucement. Elle était forte, presque dure et arriva à me pénétrer et avancer dans ma vulve. J’étais au septième ciel, c’était totalement différent des démangeaisons et même de mes faibles attouchements manuels. C’était un corps étranger qui me caressait l’endroit le plus secret de mon corps et je ressentais une sorte de plaisir nouveau mais agréable et je désirais que ça continue.

Il se redressa soudain, je rouvris les yeux et il m’interrogea du regard que je ne compris pas. Puis, sa main se colla à ma vulve et un doigt se glissa à l’intérieur et fouilla. J’ai ressenti le doigt qui butait et se bloquait et j’ai compris son regard d’avant. Il venait de comprendre que j’étais vierge. Alors il me sourit et me dit de ne pas m’inquiéter, puis il retira son doigt de ma vulve et s’allongea sur moi. Il me donna quelques petits baisers sur la bouche et sur le cou et me demanda si je voulais vraiment coucher avec lui. Et j’ai secoué la tête par l’affirmative.

Puis il ajouta si je voulais vraiment être dépucelée et j’ai tourné un peu la tête. Mais il l’a prise et le regard droit dans mes yeux, il me dit que si je voulais garder ma virginité, il pourra me donner du plaisir en me dépucelant du cul et sans me faire mal. Et il ajouta que si je désirais perdre mon pucelage vaginal, il le fera délicatement car il l’habitude. Alors j’ai secoué la tête par un oui. Alors, il se releva et ôta son pantalon et son slip. Et il offrit à mon regard le plus beau spectacle de ma vie, un gros zob déjà bien bandé et gonflé, horizontal et avec une tête monstrueuse mais excitante et j’en avais follement envie.

Il se baissa encore et recommença à me sucer la vulve, puis avec son doigt, il me branla les lèvres et le clitoris plusieurs fois jusqu’à ce que mon souffle s’accéléra et que mes rapides halètements d’excitation devenaient incontrôlables. J’étais donc à point et ma vulve explosa de mouille. Déjà depuis un moment je sentais qu’elle mouillait à l’intérieur et maintenant elle a pisé tellement que j’en avais honte. Il me dit que j’étais à point et tenant son zob à la main, il me caressa avec la vulve.

D’abord les lèvres extérieures puis plus profond et le clitoris et je commençais à crier de plaisir et enfin il poussa sa queue fortement et je ressentis comme une brulure vive mais brève. Je croyais que ce serait beaucoup plus dur et douloureux mais ce fut presque comme une petite piqure excitante. Puis son zob se glissa lentement plus profondément dans ma vulve et encore plus loin, je le sentais parfaitement et ça me faisait hurler de bonheur. Enfin, ses couilles heurtèrent mes cuisses par-dessous et j’ai compris qu’il m’avait pénétré entièrement.

Son gros, large et très long zob était en moi, m’avait complètement pénétré sans me faire vraiment mal et son contact me donnait déjà du plaisir. Je revoyais en pensée la tête, l’énorme tête de son zob et j’étais surprise qu’elle ait pu me pénétrer, me dépuceler et me faire maintenant des frottements de plaisir. Elle était à moi, maintenant, sa grosseur était un atout pour mon plaisir et je commençais moi-même à bouger du bassin comme pour inviter le zob à me pénétrer encore plus. Tahar commença alors ses vas et viens, doucement d’abord puis petit à petit, il accéléra. Il me regardait et suivait mon plaisir sur mon visage pour ralentir ou accélérer. J’étais enfin baisée par le zob d’un homme et j’avais déjà du plaisir.

Nous avons baisé ainsi longtemps puis il sortit son zob et m’invita à le regarder. Me soulevant un peu sur les coudes, j’ai pu le voir, énorme, gonflé à bloc et brillant, peut-être de son suc et de celui de ma vulve. En tout cas, un pieu énorme mais tellement excitant, affolant et j’ai immédiatement ordonné à l’homme de le remettre à sa place. Alors, il se pointa à l’entrée et d’un poussée violente, il me pénétra de nouveau, et jusqu’aux couilles et j’ai hurlé à fond et j’ai entouré ses reins de mes jambes et cuisses. Il recommença ses puissants vas et viens et ma jouissance devint continue. Enfin, j’ai eu mon premier orgasme avec un zob et ça m’a étourdit un moment.

Quant j’ai repris mes esprits, Tahar mouvementait son zob très doucement dans ma chatte, puis quant il a vu que j’étais consciente, il redémarra ses mouvements vigoureux et accélérés. C’étaient des coups de reins qui me transperçaient et je pensais que son zob allait arriver à mon ventre et ça me rendait folle de jouissances et soudain un second puis rapidement un troisième orgasme et le plaisir ne s’est plus arrêté. J’ai fermé les yeux et je sentais l’homme qui me niquait, malaxait mes gros seins, me donnait des baisers sur le cou et sur la poitrine, suçait mes bouts de seins et tout cela me rendait complètement à sa merci, abandonnée totalement. Ma chatte était largement remplie de son zob et j’ai pensé à mon cul espérant que Tahar tiendrait parole et me donnerait aussi du plaisir de ce coté ci.

Enfin, il a du ressentir les débuts de son plaisir car il sortit son zob de ma chatte. Et se tenant à genoux au dessus de ma poitrine, il secoua et branla vigoureusement son gros zob gonflé. Soudain, son éjaculation arriva et le premier jet de sperme se projeta sur ma poitrine, sur mes seins et même un peu sur mon visage. Le second jet s’étala sur ma poitrine et comme j’avais avancé ma main, le troisième jet la remplit de sperme chaud et visqueux. J’étais heureuse, dépucelée avec facilité par un homme d’expérience et j’ai ressenti les effets agréables de la baise, du plaisir, des jouissances et plusieurs orgasmes étourdissants.

Puis il se releva et me demanda si j’étais bien ou si j’avais mal. Je lui ai répondu, en l’entourant de mes bras, en l’embrassant fortement sur la bouche puis en allant empoigner, baiser, lécher et sucer le gros zob qui, malgré les trois éjaculations, était encore horizontal, bien debout et très dur. Il était prêt pour une seconde séance et j’en voulais avec avidité encore et encore. Mais, comme il me l’a déconseillée, il fallait que j’aille me nettoyer du sperme et au cas où il y avait un peu de sang mélangé à la mouille. Heureusement, il avait installé un bidet et un lavabo juste au fond de la chambre.

Pendant que je me lavais, il s’allongea, le dos sur le lit. Son zob était pratiquement vertical et il le branlait doucement de la main, pour maintenir sa forme. Rapidement je l’ai rejointe et sans attendre et sans demander, je me suis assise sur ses cuisses. Et les miennes, largement ouvertes de part et d’autre de son corps, j’ai empoigné son zob et je l’ai guidé vers ma chatte. Il me laissa faire avec un sourire complice et moi j’ai enfoncé le zob dans ma chatte et je me suis assise doucement pour l’enfoncer jusqu’aux couilles. Ça y est, je suis devenue spécialiste.

Dès ma première baise, j’ai aimé le zob, du moins, ce zob la et j’ai espoir pour d’autres. Puis me, courbant et les mains sur sa poitrine, j’ai mouvementé mon bassin par des vas et viens du zob dans ma chatte. Je le ressentais dans ma grotte de plaisir et j’essayais de le guider là où ça me faisait le plus de plaisir, de démangeaisons agréables et je m’enfonçais totalement. Ce sont ces coups violents de mes reins aidés par ceux de Tahar et qui enfonçaient mieux le zob, ce sont ces gestes qui m’étaient les plus excitants et me faisaient hurler à fond et ma chatte explosa encore et encore par des orgasmes mouillés.

Je pense qu’étant assise sur ce gros zob et le manipulant à mon aise, à ma guise j’ai du me faire facilement quatre ou cinq orgasmes plus ou moins forts. Ainsi, de cette manière je pouvais me donner plus de plaisir et de jouissances qu’en étant couchée sur le dos et laissant l’homme me niquer à sa manière. Je retenais la leçon pour mes futures séances de chatte.

Et au bout d’un moment, il me semblait que le zob se gonflait encore plus en largeur et s’allongeait plus en moi et je l’ai dit à Tahar. Il m’a informé que c’était les prémisses de ses éjaculations arrivantes, ses couilles ont préparé ce qu’il fallait et maintenant le zob commençait à ressentir les débuts du liquide.

Dons, il fallait, hélas, quitter ce zob pour le laisser éjaculer. Mais j’ai eu une idée et je dis à l’homme, de profiter maintenant, de mon maximum de chaleur sexuelle, pour essayer de me dépuceler tout de suite du cul et ensuite d’éjaculer dedans. Tahar fut étonné mais heureux et il approuva. Alors on s’est disloqué et je me suis positionnée à genoux sur le lit et lui derrière moi et entre mes cuisses. Lui posant une question sur l’état de son zob, il m’a dit qu’il s’était calmé heureusement et qu’il ne ressentait plus les prémisses de l’éjaculation. Il fallait faire vite pour m’ouvrir le cul. De toute façon il n’y avait aucun obstacle majeur qui pourrait arrêter la pénétration de son zob gonflé.

Il fallait seulement, bien lubrifier mon anus et son zob et sa salive ne semblait pas suffire au début. En effet, il poussa un doigt qui pénétra mais difficilement, puis impossible d’ajouter un second. Mais Tahar avait de l’expérience et des atouts ici même dans cette chambre où il a dépucelé plusieurs filles. D’un des tiroirs de la commode, il tira un flacon avec lequel il lubrifia mon anus et son zob en même temps. Puis il essaya de nouveau, et le zob pénétra un peu mais mieux qu’avant. Il ajouta du lubrifiant et même au-delà de l’anus, à l’intérieur de mon cul, et avec un ou deux doigts. Puis il essaya de nouveau. Et cette fois, le cul s’ouvrit facilement et le gros zob entra doucement, petit à petit.

Je gémissais car cela me faisait plus mal que lors du dépucelage de ma chatte. Mais le zob me pénétra rapidement et glissa à l’intérieur de mon cul et jusqu’aux couilles. Alors, Tahar, tenant fermement mes hanches, il fit quelques mouvements à mon bassin et à ma croupe qui permirent au zob de s’installer convenablement à l’intérieur de mon cul. Nous sommes restés ainsi un petit moment, immobiles, Tahar m’interrogea si j’avais mal et je lui ai dis que j’avais un plaisir bizarre différent de celui de ma chatte mais que c’était très agréable et excitant. Et qu’il ferait mieux de s’enfoncer encore dans mon cul et à bouger car je commençais à avoir une nouveau type de chatouillements agréables.

Alors le jardinier démarra lentement puis accéléra petit à petit ses vas et viens dans mon cul. Rapidement les glissades devinrent normales, aisées, jouissantes et nos souffles devinrent bruyants et accélérés en tout cas pour moi. Je hurlais même à fond, autant que lorsque le zob me baisait la chatte, et l’homme semblait encore mieux disposé qu’auparavant. En effet, d’après ce que j’avais lu, les hommes semblent préférer la baise du cul, la sodomie. D’ailleurs j’ai même lu que certains préféraient les culs masculins car souvent mieux serrés et serrant les zobs plus fortement, donc plus agréablement jouissants, que les culs et chattes des femmes. Mais enfin, à chacun ses gouts et plaisirs.

Pour l’instant Tahar était aux anges d’avoir dépucelé ce beau cul qu’il admirait souvent, bien serré dans mon bleu jean ou mon short de sport quant je passais devant lui auparavant. Il l’imaginait alors, blanc, rond, doux et profond. Et maintenant, effectivement, entre ses mains, devant ses yeux et à la merci de son gros zob, toutes ses rêveries, ses espérances se concrétisaient agréablement. Il avait un plaisir fou en s’enfonçant dans cette large Terma blanche et douce, ce cul profond et brulant de désir. Et rapidement son plaisir arriva. Il ne fit rien pour l’arrêter, au contraire, il accéléra son rythme.

Et soudain le premier jet de sperme explosa dans le cul de la fille qui la fit hurler bien fort. Houda ressentait déjà les nouveaux plaisirs du gros zob dans son fond et même dans sa chatte à travers la fine peau séparant le cul et la chatte et elle a eu, bien avant Tahar, un énième orgasme qui avait fait pisser sa chatte. Maintenant, elle reçoit la soudaineté de l’explosion du sperme comme un choc chaud et visqueux et elle hurla encore plus fort que son amant. Et d’un coup de rein aussi puissant que le premier, l’homme éjacula un second jet de sperme puis un troisième et même un quatrième tous par coups de reins puissants accompagnés de hurlements des deux partenaires.

Enfin, après le quatrième, Tahar resta un moment comme paralysé, collé aux fesses de Houda, puis il s’écroula sur le dos de la fille qui ne put supporter son poids et s’aplatit ventre sur le lit. Ils restèrent ainsi un long moment, pratiquement inconscients, le zob de Tahar encore à l’intérieur du cul de la fille. Ce n’est que Hanna, en se secouant qui réveilla Tahar de sa torpeur de jouissances, alors il se glissa sur le coté allongé sur le dos, le zob ramolli le long de ses cuisses. Houda ayant obtenu tous ses désirs, dans sa chatte et dans son cul, se leva et alla se nettoyer. Puis, laissant Tahar encore allongé et les yeux fermés, encore sous le choc des jouissances de son zob, elle se rhabilla et s’en alla, sans un mot.

Elle rejoignit d’abord sa chambre pour se déshabiller et admirer son corps, son nouveau corps. Elle avait encore du sperme dans son cul, sur ses fesses et cuisses. Elle mit ses doigts dans sa chatte et se pénétra à fond pour se convaincre que tout était prêt pour d’autres plaisirs sexuels. Puis elle alla prendre une douche. Le couloir séparait deux rangées de six chambres et au fond, à droite il y avait quatre douches avec portes et à gauche, quatre lavabos et quatre WC avec portes. Habillée de son peignoir, Hanna alla prendre une longue et chaude douche puis retourna à sa chambre. Elle s’allongea sur le lit, nue sous son peignoir et recommençait à rêver sur ce qui lui était arrivé et rapidement, elle s’endormit d’une douce et agréable fatigue sexuelle.

Elle ne fut réveillée que trois ou quatre heures plus tard par son amie Zineb revenue de ville. Zineb s’étonna de trouver sa copine, endormie et nue et n’étant pas allé en ville. Elle soupçonna quelque chose mais Hanna n’avoua rien mais préféra lui dire qu’elle était malade à la tête et au ventre. Heureusement que Zineb l’a cru et elle est allé lui apporter, du foyer, un café chaud et un cachet d’aspirine. Entre temps, Hanna s’est rhabillée, puis les deux amies sont allées diner plus amplement au restaurant de la résidence.

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Commentaires de l'histoire :

Okmar
Hmm. Belle première fois qui j'espère ne restera pas sans suites :)
Posté le 8/07/2024

Okmar
Hmm. Belle première fois qui j'espère ne restera pas sans suites :)
Posté le 8/07/2024


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