Camille a gagnée. Julien se révèle un merveilleux amant et les années n'ont pas eu d'effet sur lui. C'est la 1ère fois qu'elle subit les assauts d'un homme aussi bien gâté par la nature et aussi si résistant. Jamais elle n'a été baisée avec autant de fougue et aussi longtemps, devant et derrière.
Proposée le 20/06/2024 par mlkjhg39
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 4
-Elle est si énorme ! Tu sais qu’à part toi, je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts -Elle n’est rien que pour toi Camille, dis-lui donc bonjour, fais-lui un petit bisou !
Comme je ne réagis pas assez vite devant un tel engin, il pose une main sur ma tête désormais devant son bas-ventre et appuie doucement mais fermement. -Allez, fais-lui un simple petit bisou pour refaire connaissance. Il pose sa main sur la mienne et branle rageusement son membre, je l'accompagne dans ses mouvements.… - Hhhuuuumpfffff !!!
Suite.
Profitant du fait que j’ai la bouche ouverte. Sans plus d’hésitation je pose ma bouche sur le gland surdéveloppé que j’embrasse puis le tète tant bien que mal. Il appuie encore plus sur ma nuque et l’énorme barre de chair s’engouffre dans ma bouche avide. Il me tient toujours la main mais a cessé le branlage de son engin.
-Oh que c'est bon Camille !! Oui, continue de me sucer…
Je recommence de douces caresses tout le long de son mat sans qu’il ne m’en empêche. Il est ravi par la pipe d'enfer comme je sais si bien les faire.
-Quelle cochonne, tu suces à la folie, ma patronne préférée !
Ça je le sais. Je branle sa bite d’une bonne longueur mais si massive. Ma langue tourne autour du gland, je lèche le frein puis reviens sur le méat et lape les perles de liquide qui s'en échappent. Son méat suinte, des perles de jus s'en échappent. Je passe la langue sur mes lèvres et soupire doucement.
-Suces le comme tu en as envie, c’est toi la patronne !!
Il a lâché ma main et commence à me peloter les seins bien fermes. Julien s'empare et triture les mamelons qui commencent à se dresser. Je lui mordille le gland un bon moment avant de faire descendre ma langue sur la hampe gigantesque que je lèche comme une sucette, me délectant de lui. Au bout d’un moment, il m’avoue :
-Arrête ou je vais jouir !!!
Je cesse de lécher le monstre et soupèse les bourses bien gonflées d’un jus prometteur et lui ordonne :
-Jouis mon chéri, jouis !
-Ah non tu m'as trop excité je ne veux pas me finir à la main, tu ne peux me laisser comme ça !
Il a raison, je ne peux pas le laisser sur sa faim et j’ai tellement envie de me faire prendre par cette queue mais je résiste encore à l'invitation, l'envie est trop forte. Il est en face de moi avec sa magnifique queue dressée droit devant lui, déjà décalotté, son beau gland rose- pâle luisant de ma salive. J’ai ce beau chibre en main. Il donne un léger coup de reins et j’ai sa bite quasiment entière dans ma bouche. Mais lui aussi veut connaitre mon corps et le peu qui me couvre finit au sol, me laissant nue, debout devant lui qui me caresse la minette entièrement épilée. Il fourre un doigt dans ma foufoune et s'aperçoit de la présence de deux petits anneaux. Julien m’étend sur le divan et me bouffe la chatte, joue avec les anneaux fixés sur mes grandes lèvres, me faisant gémir de plus en plus et après quelques minutes de ce traitement je me laisse aller à la jouissance, me trémoussant comme une anguille dans la main d’un pêcheur.
- Défonce-moi Julien, oui, je suis ta salope qui te fait bander, vas-y ! Je veux enfin goûter à ton rostre.
Il tient dans sa main sa bite au mieux de sa forme ! Il hésite, peur de me décevoir ou que je me refuse devant un tel gourdin, va savoir... Mais moi, je n’ai qu'une envie ; me saisir de sa queue pour me la foutre dans la chatte. Cette véritable poutre me rend folle de désir. Julien finit heureusement par vaincre ses préjugés et monte sur le canapé. J’ai oublié notre différence d’âge, je ne pense plus qu’à ce gland massif qui me chatouille le clitoris, augmentant mon envie de me faire pénétrer.
Ma respiration s’accélère et mon désir se fait de plus en plus fort. Ma main part en une lente exploration progressant par va-et-vient successifs le long de ce formidable bélier, ne semblant ne jamais arriver au bout. Combien de centimètres de long fait-il ? J’arrive enfin aux couilles, elles aussi de taille assez respectable. Je désire de plus en plus qu’il me prenne. Je dirige la colonne de chair à l’intérieur de mon vagin abondamment lubrifié par ma cyprine. Mais il résiste encore, souhaitant profiter pleinement de l’occasion qui lui est offerte par cette magnifique jeune femme qui est sa patronne, voulant faire durer le plaisir.
Il est de plus en plus émoustillé par mon corps offert, son énorme sexe tendu comme un arc est un spectacle magnifique et fascinant qui effleure le corps d’une jolie blonde offerte à ses regards et ses envies. Il place sa queue à l'entrée de ma chatte et me fourre enfin sa bite dure et épaisse dans la minette après avoir acquis mon accord d'un regard, s'enfonçant doucement, délicatement, Je gémis à la pénétration de la plus énorme queue qui ait jamais franchi cette frontière. Un frisson parcourt mon corps quand je sens son dard me transpercer, me remplir.
- Oh mon Dieu, c'est trop bon ! Oui, baise ta pute de patronne !
Les longs coups de reins de mon étalon sur le retour m'emmènent au paradis. Il enfonce sa queue loin en moi, jusqu'à buter au fond puis prend son rythme. Je sens la formidable queue s'enfoncer dans ma chatte qui n’a jamais connue telle fête, puissamment, lentement, m’arrachant à chaque poussée un gémissement de plaisir.
- Prends ça ma petite salope ! Si ton père me voyait…
Je gémis de plus en plus fort jusqu'au moment où je me crispe, et qu’un cri de jouissance jaillisse de ma bouche, prenant un plaisir immense sous le joug de la queue de monsieur Lapoutre qui accélère encore son rythme, me prenant de plus en plus fort jusqu'à atteindre sa propre jouissance en une explosion de plaisir. Il retire sa bite de mon vagin et me tire par les cheveux pour me faire m’agenouiller devant lui et décharge de gros flots de sperme sur mon visage ruisselant en criant. Il se lâche, balançant son jus sur moi.
Il lâche d’énormes rugissements rauques, mais moi j’ai encore faim de ses bourses magnifiques, de ses couilles pleines, juteuses, lisses, de vraies friandises?! Je m’empresse de les mettre en bouche, essayant de les gober toutes les deux à la fois. Elles roulent sur les commissures de mes lèvres, lui arrachant des petits grognements d’énervement au passage, ne lui laissant pas une seconde pour récupérer. Après les bourses, je m’attaque au gland poisseux de son sperme. Ma langue le titille un peu, tourne autour de son chapeau violacé sans jamais le prendre réellement en bouche.
Ses encouragements remplacent enfin ses gémissements pour que je mette fin à cette délicieuse torture et que je m’attèle pleinement à la tâche. Sa verge qui avait perdu un peu de sa superbe a déjà repris à mon grand étonnement pratiquement sa consistance du début, aussi ferme qu’une barre de fer. Je continue de la pointe de la langue à exacerber quelques centimètres de peau, tirant un peu à la base de sa bite pour décalotter entièrement son gland.
- Hmmm... Quelle belle queue tu as là ! Déjà prête à remettre le couvert. Je vais devoir m'en occuper à nouveau ! Je lui lance en commençant la masturbation de son phallus.
J'ai l'impression que sa queue augmente encore de volume dans ma main qui enserre son sexe, je sens mon cœur s’emballer, ma main est loin d’en faire le tour tellement elle est massive, accroissant mon désir. J’ai toujours fantasmé sur ce genre de sexe qu’on ne voit que dans les films pornos.
Je plonge ma bouche sur la grosse queue qui s’offre à moi, si épaisse que j’ai du mal à l’enfourner entre mes lèvres. Je lape ses couilles, lèche toute la longueur de cette superbe tige avant de replonger comme une gourmande pour gober son gland violacé par le désir.
Mais il ne veut pas rester inactif et nous nous retrouvons tête-bêche sur le sol.
Il glisse sa langue au fond de mon intimité et prend visiblement grand plaisir à me dévorer du clitoris jusqu’au petit trou. Je m’ouvre comme un abricot top mûr sous les caresses délicates et au combien plaisantes de Mr Lapoutre, ondulant du bassin afin que sa langue se fraye un chemin dans mes endroits les plus intimes. Ma mouille abondante coule sur son visage et il essaie de ne pas en perdre une seule goutte.
-Tu sais que tu es belle Camille quand tu jouis !!!
Après un temps de pause, je recommence à le sucer, il ne résiste pas, trop content de se faire dévorer Popaul. Je m'accroche à sa queue comme je n’en avais encore jamais connu avant lui, plus grosse que celle de mes amants précédents, l'avale, la lèche, la suce. Il me propose alors :
-Si mon sexe est trop gros pour toi, je ne t’en tiendrais pas rigueur si tu refusais, acceptes-tu que je te sodomise ?
- Je ne peux te répondre tant que je n’ai pas essayé, je lui rétorque, je ne peux pas savoir si mon cul acceptera un tel engin.
- Je vais te faire voir qu'un cul aussi beau que le tien peut accepter une bite comme la mienne, déclare-t-il, pendant que je continue de caresser doucement son incroyable engin.
Je me mets en levrette, il me prend une main et la porte sur son phallus qu’il frotte doucement, un tout petit peu à l’intérieur des lèvres de mon vagin, sans vraiment me pénétrer puis guide ma main qui emprisonne son boutefeu vers son second objectif qu’il a copieusement graissé pour ne pas m’enculer à sec. J'avance et recule m’empalant toute seule de quelques centimètres sur la tête de cette barre de fer en prenant soin de ne pas la laisser s’échapper.
-Je … Ouaiiiis... Oh putain que t’es gros !!! Vas-y, maintenant, défonce-moi le cul maintenant que l’avant-garde est passée ! Je dérouille grave !
- Tu verras, ça va bien se passer... C'est normal que tu aies mal le temps que l’intrus trouve sa place... Laisse-moi faire, tu es si bonne et de toute façon, les dés sont jetés...
Je me fais enculer en levrette par un splendide braquemard ! Je sens son défonce-cul pénétrer au plus profond de moi et commence seulement à ressentir un certain plaisir car mon sphincter s’est acclimaté à ce calibre peu commun mais ça ne m’empêche-pas de dérouiller grâve :
- Ooooh...nonnnn... ouiiiii..... Ta queue est enfoncée jusqu'aux burnes dans mon cul, je sens tes couilles battre sur ma chatte, oh mon Dieu...
Je commence à bouger mon cul, avançant doucement pour faire sortir son mandrin puissant puis reculant aussitôt pour me réempaler, sentant « la Chose » gonflée et raidie dans mes entrailles.
Je tourne la tête comme je peux et le regarde dans les yeux pour lui faire comprendre que je kiffe. Je suis heureuse qu’il ait été si vite de nouveau opérationnel. Il varie les plaisirs et ma chatte en est fort aise. Je sens cette grosse queue chaude pénétrer en moi me faisant soupirer de plaisir quel que soit le chemin qu’il empreinte. Mais la suite est une grande découverte pour moi, Julien pose ses mains sur mes seins, me redresse pour que mon dos se colle à lui puis je ne sais comment, réussit à se relever. Je suis comme un papillon transpercé par une aiguille et fixé sur une feuille de papier. Mais là, l’aiguille fait dans les vingt centimètres de long, dix-sept centimètres de circonférence, que le papillon, c’est moi et que la feuille de papier est le corps de Julien. C’est irréel, fantastique mais très scabreux et assez douloureux pour mon trou du cul. Il me repose enfin après m’avoir fait monter et retomber plusieurs fois sur son piston de forge. Je ne sens plus mon cul…
Il se branle enfin et je sens un liquide chaud et poisseux laisser des traces blanchâtres de mes reins à mes cheveux. Lapoutre est aussi un sacré éjaculateur malgré son âge.
Je me souviendrai longtemps de ce coup de canif entre une patronne et son employé. Il n’a jamais voulu ensuite recommencer me disant que ce n’est pas convenable pour un subalterne de sauter sa patronne et que ça risquerait de jaser à l’usine. Mais il a accepté que l’on refasse des calendriers pour booster les ventes.
Je ne peux m’empêcher quand je le croise de regarder son entrejambe où je sais que se cache le plus bel outil de l’atelier. Il met tant en valeur nos produits que les ventes s’envolent.
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