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La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 2

Camille découvre les calendriers dont certains ne sont pas à mettre entre toutes les mains. Elles y reconnait Julien qui l'a fait sauter sur ses genoux étant petite. Mais ce qu'il lui avoue lui fait découvrir un autre aspect de cet homme, ou plutôt de cet étalon et de son nom, LAPOUTRE...

Proposée le 17/06/2024 par mlkjhg39

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 2

La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 2 Je suis estomaquée, Julien m’a prise sur ses genoux quand j’étais petite, m’a portée sur ses épaules. Et là j’apprends qu’il est monté comme un étalon et que l’usine est son terrain de chasse suis-je puis m’exprimer ainsi. Et que dire des femmes de cette entreprise ? Qu’elle est celle qui a fait la pouliche pour se faire monter par l’étalon de l’usine ? papa reprend:
-Il parait qu’il circule sous le manteau d’autres photos et que les nouvelles embauchées doivent passer un véritable bizutage pour être bien vues par les anciennes. Mais je n’en sais pas plus. D’ailleurs, connais-tu son nom ?
-Je dois admettre que je ne me suis jamais posé la question, papa, je l’ai toujours appelé Julien.

Suite :
-Eh bien, m’annonce-t-il, son patronyme est… Julien LAPOUTRE ! Ceci explique peut-être cela. Tu sais qu’avant Napoléon, beaucoup de gens n’avaient pas de nom et ils ont pris celui qui les caractérisaient le plus par rapport à leur métier, le lieu où ils habitaient ou une particularité qui les différenciaient des autres, bossu, le gros, etc… D’après-moi, certains de ses ancêtres avaient déjà un organe semblable à celui de Julien d’où son nom, LAPOUTRE.
-Tu as sûrement raison papa. Maintenant quand je vais le croiser, je le verrai sous un autre jour. Il a quel âge ? Papa feuillète le dossier du personnel avant de me répondre :
-43 ans, il a été embauché en 1998 est a monté tous les échelons. Un bosseur très consciencieux amoureux du travail bien fait et qui ne ménage pas sa peine. Il a eu la médaille du travail il y a quelques années déjà pour vingt ans d’ancienneté.

Cela fait quelques mois déjà que je dirige seule l’entreprise. Mais comme un lieutenant novice au front, je m’appuie sur le vieux sergent qui a fait de nombreuses campagnes et qui me recadre en douce pour ne pas saper mon autorité. Pour cela, nous nous retrouvons souvent dans mon bureau et un jour après une énième bévue, je le fais asseoir devant moi.
Mais question bévue, je me pose là, souvent je feuillette les calendriers et ce coup-ci, j’ai oublié de les ranger. L’un d’eux est ouvert sur le mois d’aout 2002, on y voit deux filles que je n’ai pas connues avec des mains baladeuses. L’une d’elles a les mains pleines d’une paire de couilles presque visibles sous le slip noir et l’autre essaie de cacher une véritable trompe qui déforme le sous-vêtement.

Julien y jette un œil rapide avant de plonger son regard dans le mien.
-Mademoiselle Camille, je vois que votre père vous a révélé tous les secrets de l’entreprise. Je pourrais faire l’offusqué, le surpris ou le blasé mais ce qui est fait est fait. Je me suis laissé entrainer la dedans et très vite je ne contrôlais plus rien du tout. C’était mon premier emploi et je ne voulais pas le perdre alors je me suis laissé convaincre. Me permettez-vous de parler franchement sans rien vous cacher, même si ça vous choque un peu ?
-Bien sûr Julien, je le rassure. Rien de tel que la vérité même un peu crue.

-La photographe n’aurait jamais dû lancer cette idée mais après le premier shooting, tout est parti en vrille. Au début, on posait de trois-quarts et ça restait soft, puis je ne sais pas qui a eu l’idée d’être photographié de face avec la collection 2000. Certaines se sont monté le bourrichon et ont voulu savoir si je bandais sur les photos. Lors des séances de pose suivantes, tous les autres hommes c’étaient désistés je ne sais même pas pourquoi. Yolande qui prenait la pose avec moi s’est mise à me caresser le sexe et comme à cet âge je n’avais que peu d’expérience, je me suis mis aussitôt à bander et la photographe m’a mitraillé sans arrêt sous les exclamations de surprise de Yolande.
-T’as vu ça Lana ? T’as vu ça ? Putain de bite ! Elle arrête-pas de grandir ! jamais vu ça ! Et la grosseur bordel ! Un vrai manche de pioche ! Et qui en a la dureté. Et si on faisait un calendrier avec des filles qui le tripotent avec la collection 2000 ? J’en connais qui vont se battre pour chaque mois de l’année, on en mettra deux pour moins de jalousies !
Et c’est comme ça que ce type de calendrier a été créé et vendu sous le manteau.
Je ne peux pas dire que du côté des collègues masculins, ils ne me faisaient pas la gueule. mais du côté des filles j’avais la cote et elles me regardaient avec un drôle de regard. Pourtant je n’avais rien changé à mes habitudes étant un garçon assez pudique.

Ça a dégénéré pour le calendrier 2001 quand deux nouvelles filles prenaient des photos avec moi pour le mois de décembre. L’une d’elle assez délurée n’a pas résisté à l’envie de voir (La Bête). Elle avait la main à la verticale et enserrait ma verge avec le maillot N° 15 de la collection été 2002, elle a crocheté ses doigts sous l’élastique et tiré vers le bas mon sous-vêtement, dévoilant à sa collègue et à la photographe mon sexe. Je n’ai pas eu le temps de réagir que déjà son autre main avait saisi ma teub par le milieu présentant fièrement sa prise aux deux autres filles ébahies en s’exclamant :
-Depuis le temps que j’en avait envie ! Et les défiant du regard ; c’est quand même bien plus
beau comme ça ! J’en avais marre de fantasmer sur ce qu’il avait dans le calbut sans jamais le voir. Elle est belle sa bite, hein ? Une belle queue bien droite, bien massive, mais ce n’est rien de faire du lèche-vitrine, il faudrait tester la marchandise…
Je me suis alors réveillé de ma stupéfaction et l’ai repoussée avec violence et lui hurlant :
-Mais tu te prends pour qui ? Moi je ne suis là que pour des photos ! Je ne suis pas un gigolo qui accepte que n’importe-qui lui prenne la queue !
Et je me suis rhabillé à toute vitesse et ai quitté le studio de la photographe, mort de honte et furieux contre cette petite salope.
Elle n’a pas pu s’empêcher de déblatérer sur moi dans toute l’usine et maintenant ses collègues me regardaient encore plus, mais leurs yeux bifurquaient rapidement vers mon entrejambe.
Ce jour-là j’ai décidé de ne plus participer au calendrier mais le mois de décembre était dans la boite. Pendant des mois, j’ai résisté aux avances de plus en plus pressantes mais deux filles de mon âge m’ont invité à l’anniversaire de l’une d’entre elles. Tout c’est bien passé au début mais elles m’ont fait boire plus que de raison et je ne sais pas trop comment je me suis retrouvé sur le divan, en slip avec les deux filles qui m’encadraient, une main nonchalamment posée sur mon entrejambe. Elles ont pris chacune l’une des miennes pour les poser sur leur chatte, se servant de mes doigts pour les glisser dans leur vulve très vite humide. Je me souviens alors d’avoir été pris par une envie irrépressible et me suis mis à bander à mort. Ces salopes en ont aussitôt profité pour descendre mon slip et me branler.
C’était la première fois que deux filles s’occupaient en même temps de mon engin et je dois dire que je n’en menais pas large mais l’alcool aidant, j’ai cédé à leurs avances et me suis moi-même mis à explorer leur chatte. Je ne savais plus ce que je faisais.

On s’est vite retrouvé à poil, moi coincé au fond du divan avec la hampe du drapeau à la verticale et l’une après l’autre, jouant à l’amazone sur son fier destrier en hurlant :
-Putain ! ça c’est de la bite ou je ne m’y connais-pas ! S’exclamait Élisa. Ou alors :
-Josiane ne nous avait pas menti, il a vraiment un sacré gourdin massif, on le sent passer son engin, une vraie poutre ! Déclamait Virginie.

Je n’avais que peu d’expérience côté sexe et les laissais faire à leur guise ne sachant que faire mais ces diablesses ont eu tôt fait d’obtenir leur tribu et je me suis vidé dans la chatte de Josiane. J’espérais avoir enfin un peu de calme pour récupérer mais ce n’était pas du goût d’Elisa qui n’a eu de cesse de redresser le drapeau en berne. Elles ont joué ainsi avec moi et je dois dire que ce n’était pas désagréable. J’ai été étonné qu’elles me disent que j’étais un bon coup après les avoir honorées deux fois chacune.
Bien sûr, elles n’ont pas pu s’empêcher de se vanter auprès des autres femmes de l’entreprise en embellissant encore plus les choses. J’étais tellement harcelé par toutes ces femmes que j’ai eu le malheur à céder à certaines d’entre-elles. Il a fallu que j’y mette le holà et ai ensuite refusé toutes leurs propositions, leurs avances au grand dam de toutes ces filles qui ne voyaient plus en moi qu’un bon coup, se fichant complètement de ce que moi j’en pensais.
Le problème c’est que chaque année, l’une ou plusieurs d’entre-elles arrivaient à leur fin car je ne suis pas de bois, à part peut-être…. (Il se met à sourire).
Mais ça fait bien maintenant huit ans, depuis mon mariage avec Manon, que je refuse toutes leurs propositions graveleuses. Mais elles ne m’en tiennent pas trop rigueur.
Voilà, vous savez tout et j’espère ne pas vous avoir trop choquée.

A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

lejonc
faut changer ma marque sur le slip, beau gourdin.
Posté le 22/06/2024

Anonyme
Vivement la suite cela me rend curieux ????
Posté le 17/06/2024

Anonyme
ça pousse dans le Dim
Posté le 17/06/2024


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